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anti-national - Page 746

  • LIT DE CAMP ET SEAU D’EAU : À SAINT-MARTIN, EMMANUEL MACRON EN A FAIT DES TONNES

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    « La mise en scène d’Emmanuel Macron à Saint-Martin qui dort sur un lit de camp et se lave au seau » (« Le Lab » Europe 1), « Aux Antilles, Macron soigne sa mise en scène »« avec de gros sabots »(L’Express), « Au risque peut-être d’en faire un peu trop » (Paris Match)… Tels sont les commentaires glanés dans la presse, après la nuit à la dure ostentatoire du président de la République à Saint-Martin. « Après Top Gun [allusion au passage sur la base d’Istres ], Koh-Lanta sur #Macron TV », ironise sur Twitter le journaliste Alexandre Devecchio, avec un succès certain si l’on en croit le nombre de retweets.

    Napoléon mâtiné de Kouchner, Emmanuel Macron n’y est pas allé avec le dos de la cuillère. Il a même eu la main un peu lourde. Il en va de ces choses-là comme du reste : trop de communication tue la communication.

    Bien sûr, le bon sens élémentaire, la décence commune soufflaient en la circonstance d’éviter l’hôtel de luxe avec spa – si tant est qu’il en reste un seul debout à Saint-Martin – mais nul n’aurait été choqué de savoir qu’Emmanuel Macron avait pris une vraie douche. Surtout si, auparavant, son gouvernement n’avait pas fait preuve de l’impéritie que l’on sait.

    Emmanuel Macron en combinaison de vol ne règle pas les problèmes de la Défense. Pas plus que, doté d’un pot de chambre et d’un gant de toilette, il ne résout ceux d’une île dévastée par l’ouragan et les pillards. S’afficher le visage grêlé d’acné et chaussé de Stan Smith ne saurait suffire à venir à bout des insuffisances de l’APB. Enfiler une blouse de nylon devant Whirlpool sur le costume présidentiel n’aurait pas amorcé l’ombre du début d’une solution pour les salariés. Pire : ces postures vexent les intéressés, qui sentent confusément qu’on se paie leur tête. Comme un petit-fils qui, ayant laissé croupir sa grand-mère durant des mois dans sa maison de retraite sans décrocher son téléphone ni envoyer l’ombre d’un chèque, se pointerait un matin, avec un déambulateur et en pantoufles, pour marcher péniblement dans le couloir à ses côtés : « Et tu te fous de moi, en plus, mon garçon ? »

    C’est le gouvernement par identification. On a bien intégré les méfaits du bling-bling sur l’opinion publique, alors on lui préfère le snif-snif. Le Kleenex remplace la Rolex, mais reste tout aussi voyant. Et agaçant. Dans une démarche qui se veut vaguement christique, le grand de ce monde chemine – 30 secondes – avec le pauvre. Auquel ça fait une belle jambe. À tout prendre, le cancéreux en chimio préfère un médecin doté d’une tignasse opulente qui le sauve plutôt qu’un chauve qui le tue.

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • "Oui, on va encore parler d'avortement"

    Une youtubeuse féministe de Madmoizelle et une "journaliste" de LCI décryptent les méthodes des Survivants. Laisser ses adversaires parler à votre place n'est pas toujours désavantageux. C'est ce que ces analystes n'ont sans doute pas encore compris :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/09/oui-on-va-encore-parler-davortement.html#comments

  • Au-delà de la réforme du code du travail, pour une contestation sociale fondatrice.

    Ainsi, la contestation sociale de l'ère Macron commencerait ce mardi 12 septembre, au gré des 4.000 manifestations prévues contre la nouvelle loi Travail (en fait, une réforme du code du travail) portée par Mme Pénicaud, et, selon leur importance et leur capacité de nuisance à l'égard du gouvernement, elles ouvriraient le bal d'une incertitude qui pourrait bien déstabiliser, sinon le régime, du moins le président de la République, plus cité (et hué) dans les slogans que son premier ministre, moins exposé et, surtout, moins audible. Mais est-ce la loi elle-même qui jette les manifestants dans la rue, ou une inquiétude sourde des classes ouvrières et tertiaires devant un lendemain qui semble se présenter comme le triomphe du libéralisme européen et la montée du « précariat », de cette situation qui fait des travailleurs de simples fétus de paille ballottés au fil du vent ou, plutôt, du Marché dit « libre et sans entraves » ?

    A bien y regarder, cette nouvelle loi Travail n'est rien d'autre que la suite (certains diraient la pente...) logique de la loi Travail de 2016, appelée aussi « loi El Khomri », qui avait soulevé une vague contestataire, forte mais bien vaine et stérile, faute d'une stratégie et d'une vision sociale claire et prospective des syndicats et des opposants. Aujourd'hui, elle semble pourtant moins contestée, à défaut d'être moins contestable, ce dont il est légitime de discuter : la méthode employée par l'actuel pouvoir a évité une part des erreurs du précédent quinquennat, particulièrement maladroit et malhonnête sur ses principes comme sur ses projets, faisant souvent passer des vessies pour des lanternes, au risque de discréditer toute parole politique près des électeurs et particulièrement de ceux qui étaient censés être les siens. Durant l'été, le gouvernement a travaillé, proposé et discuté avec les partenaires sociaux sans se les mettre à dos, mais en position de force et avec la ferme intention de ne pas être amené sur un terrain qu'il ne possédait pas : cette stratégie s'est avérée plutôt efficace, et elle a désarmé certaines oppositions syndicales qui ne pouvaient plus arguer du « mépris » de leur interlocuteur. Habile, le gouvernement a aussi profité d'une certaine lassitude d'un monde ouvrier de plus en plus désabusé qui se retrouve, aux yeux des médias et des observateurs, sans autres représentants politiques que les mouvements qualifiés de « populistes », qu'ils soient « insoumis » ou « frontistes », ces derniers semblant avoir déserté le terrain social pour en laisser l'exclusivité à M. Mélenchon...

    Dans la rue, il risque bien de n'y avoir que peu d'ouvriers et beaucoup plus de fonctionnaires : cette représentation biaisée du monde du Travail n'est pas une bonne nouvelle car l'opinion publique risque bien de se laisser abuser, ne croyant voir en cette manifestation qu'une « confiscation » de la cause ouvrière par des militants professionnels et donnant ainsi raison à un gouvernement trop content d'avoir de tels adversaires, faciles à décrédibiliser. Les autres démonstrations, celles du 21 (à nouveau sous l'égide de la CGT) et du 23 septembre (derrière La France Insoumise), risquent aussi d'accréditer l'idée que le seul choix serait entre MM. Macron et Mélenchon, ce qui constitue, en somme, une impasse politique, l'un servant de faire-valoir à l'autre (et réciproquement), sans grand bénéfice pour les travailleurs, producteurs ou fonctionnaires, et occultant ainsi les vrais débats et les vrais enjeux de la réforme, les uns comme les autres dépassant pourtant la simple question du code du travail, devenu un symbole plus qu'autre chose...

    Et pourtant, la question sociale mérite, encore et toujours, d'être posée ! Mais sa résolution, qui n'est jamais définitive, ne peut être le fait de M. Macron ni de M. Mélenchon, et, en République française, elle paraît bien insoluble comme l'ont montré les deux siècles qui nous séparent de la date maudite de 1791, véritable acte de naissance de la condition prolétarienne en France et acte de décès, dans le même temps, de toute protection sociale d'envergure du monde des producteurs et des travailleurs, manuels comme intellectuels. Bien sûr, l'on nous rétorquera que le décret d'Allarde et la loi Le Chapelier de cette année de la Révolution française n'ont plus cours mais leur esprit, lui, demeure et semble même triompher avec les temps contemporains et les principes développés par cette « libéralisation capitaliste » qui n'est rien d'autre que la prise du pouvoir par ce que d'aucuns pourraient nommer, un peu rapidement et sans nuance (mais pas sans un vaste fond de vérité) « la Bourgeoisie », celle-là même dont Charles Maurras, ici bien inspiré, expliquait qu'elle « ne comprend pas la question ouvrière, et cela, faute de la voir ».

    Car les inquiétudes du monde du Travail sont bien réelles et, trop souvent, bien fondées : la mondialisation, si elle semble désormais en déclin (ce qui reste néanmoins à confirmer), joue plutôt contre les travailleurs français et contre les entreprises « de proximité », au risque d'aggraver le précariat et de fragiliser un peu plus le tissu social du pays, déjà bien détricoté au profit des grandes métropoles, ce processus renouant avec la logique terrible de « Paris et le désert français » évoqué jadis par Jean-François Gravier dans un livre homonyme célèbre paru en 1947. La loi du libre Marché est trop souvent celle du plus fort, et elle profite à cette oligarchie économique et financière qui raisonne selon cette effroyable logique franklinienne selon laquelle « le temps c'est de l'argent », formule terrible qui sacralise l'argent au détriment de cette humanité raisonnable qui nous conseille d'être attentif aux autres avant que de vouloir s'enrichir à leurs dépens, et à celui d'un monde désormais saturé de pollutions et d'objets jetables... 

    L'on ne protégera pas le monde des travailleurs sans protéger le Travail comme une valeur plus importante et plus humaine que l'argent : l'exemple des SCOP dans lesquelles le directeur gagne moins du double du salaire des ouvriers de celles-ci, loin des folies (dignes d'un Don Salluste !) de certains grands patrons mercenaires, n'est pas à négliger, s'il n'est pas le seul à appliquer, comme le soulignent aussi les partisans d'un corporatisme rénové et adapté à notre temps. Mais, pour remettre de la mesure dans l'économie et préserver au mieux les intérêts des travailleurs, sans démagogie ni déni des réalités économiques et budgétaires, encore faut-il un État politique digne de ce nom qui n'oublie pas que son premier rôle social est de protéger ceux qui, de naissance ou d'adoption, sont ses administrés et, plus encore, ses citoyens. Et, puisque la République se confond trop avec l'oligarchie qui la dirige ou la manipule, il faudra bien poser la question institutionnelle de la magistrature suprême de l’État susceptible de pouvoir, par statut et par devoir, incarner la justice sociale : au regard de l'histoire de notre pays, il semble bien que ce soit la Monarchie qui réponde le mieux aux exigences à la fois politiques et sociales d'un monde du Travail aujourd'hui déboussolé et divisé...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1449:au-dela-de-la-reforme-du-code-du-travail-pour-une-contestation-sociale-fondatrice&catid=51:2017&Itemid=62

  • NICOLAS HULOT LIVRE LA FRANCE AUX PÉTROLIERS

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    Décidément, la France fait de mauvais choix dans beaucoup de domaines. Ses « responsables » semblent peu instruits… Ainsi, le docteur en physique Thomas Allmendinger vient de démontrer 1que le gaz carbonique (CO2) ne joue pas de rôle dans la température terrestre.

    Mais qui le sait ?

    Enfin un physicien reconnu a bien voulu clarifier la situation ! Son travail met fin au fondement même du discours du GIEC : le réchauffement climatique anthropique par le CO2.

    Et cela se passe au moment où la France fait l’objet d’un projet de loi interdisant progressivement toute recherche ou exploitation des hydrocarbures producteurs de CO2

    La presse bien-pensante et soumise insiste sur le fait que la France ne produit actuellement que 1 % de ses hydrocarbures, que ce sacrifice est peu douloureux et doit servir d’exemple aux autres nations. On camoufle ainsi le fait qu’elle s’interdit d’exploiter ses ressources en gaz naturel (de schiste) aptes à la rendre autonome. Cet interdit est d’autant plus absurde que les États-Unis ont essuyé les plâtres et qu’aujourd’hui, les techniques d’extraction sont parfaitement au point, sûres et propres… tandis que les vraies pollutions sont passées sous silence !

    Il faut noter que Total pourra (devra) continuer toutes ses activités mais – vertueusement – hors de France. La pollution, c’est pour les autres !

    On sera doublement vertueux : interdiction d’importer le gaz naturel obtenu par fracturation, il doit sortir « tout seul ». C’est fou et il y a pire : la multiplication des éoliennes importées se fera en parallèle avec la fermeture des centrales nucléaires (fabriquées en France)… Centrales nucléaires qui produisent un courant très économique, dont les finances du pays ont grand besoin.

    La folie est totale : il faudra multiplier les centrales au gaz importé. Elles ont un faible rendement et sont donc très polluantes. Ces centrales au gaz polluantes sont nécessaires quand il n’y a pas de vent et elles doivent être assez souples pour pouvoir suivre les variations incessantes du vent ! Personne n’a envie d’être privé de courant quand le vent manque. Et comme si cette folie ne suffisait pas, on voit se multiplier les usines éoliennes dans des régions peu venteuses !

    Une explication à la folie générale ? À partir de 1928, Edward Bernays 2 a mis au point des techniques psychologiques permettant de nous faire avaler n’importe quel mensonge dès qu’il y a de l’argent à prendre dans nos poches… C’est réussi !

    Si le mensonge ne rendait pas service à certains, on pourrait voir la réalité des découvertes de Phidias Mitchell : cet Américain a su libérer les hydrocarbures des roches non poreuses dès 2005. Ces hydrocarbures ont retrouvé des prix en rapport avec leur prix de production et non plus basés sur une pénurie programmée, entre autres par Riyad. Nos financiers, habitués aux juteux arrangements avec l’Afrique et le Moyen-Orient, ont été perturbés… Ils veulent s’assurer que la dépendance de la France restera totale et leur portefeuille bien garni. Propaganda leur est précieux…

    Ainsi Nicolas Hulot se bat pour sauver la France d’un problème qui n’existe pas ! Nous n’avons jamais influencé et n’influencerons jamais le climat sur Terre 3.

    Imaginez ce que l’on aurait pu faire avec les deux mille milliards d’euros jetés, par exemple, dans les éoliennes ! On aurait pu dépolluer les centrales thermiques, les usines en général et éviter beaucoup d’autres pollutions qui nous empoisonnent vraiment. L’Allemagne, modèle de Nicolas Hulot, ne serait pas devenue le pays le plus polluant d’Europe avec ses 70.000 éoliennes couplées à des centrales thermiques très peu souples fonctionnant… au charbon ou au lignite ! Espérons que les personnes composant l’Assemblée nationale, non encore corrompues par la politique, empêcheront le désastre : le maintien artificiel de la dépendance française des pétroliers…

    Notes:

    1. Thomas Allmendinger :The Refutation of the Climate Greenhouse Theory and a Proposal for a Hopeful Alternative, Environment Pollution and Climate Change
    2. Edward BERNAYS, Propaganda, 1928, traduit en français et édité par Zones en 2007 
    3. Au Burkina Faso, j’ai pu voir des localités au climat amélioré ou détruit par l’être humain : le Sahel déboisé, sec et chaud en opposition avec une mission catholique où les missionnaires avaient boisé et où il faisait bon… 

    http://www.bvoltaire.fr/nicolas-hulot-livre-france-aux-petroliers/

  • Climat de guerre civile et violences ethniques dans l’île antillaise de Saint Martin

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    12/09/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie:

    Les Saint Martinois font face à une situation de chaos après le passage de l’ouragan Irma qui a détruit 95 % des habitations et causé des dégâts matériels évalués à 1.2 milliard d’euros. Le nombre de morts est encore trop incertain pour être avancé. Des gangs armés, composés d’individus d’origine africaine, volent tous types de denrées dans le but de créer un marché noir et instaurent un climat de terreur.

    Les forces de l’ordre ont tardé à arriver et le gouvernement est critiqué pour son impréparation et sa gestion calamiteuse de la crise

    Côté néerlandais de l’île, l’armée avait déjà été déployée en amont de l’ouragan afin d’anticiper les pillages. Côté français, ce sont 1 100 gendarmes, policiers et soldats qui sont arrivés seulement vendredi sur les îles de Saint Martin et de Saint Barthélemy. Le président français, après avoir organisé une réunion d’urgence ce samedi, a décidé d’envoyer 240 gendarmes supplémentaires et 30 hommes du GIGN.

    Plus grave, les habitants blancs font état de violences ethniques à leur égard

    Exactions, menaces de mort et coups de feu omniprésents, les habitants livrés à eux mêmes sont obligés de créer des milices pour se protéger. Les gangs meurtriers ont dévalisé l’armurerie de la police aux frontières et des douanes. Ils sillonnent l’île et défoncent les portes des habitations, armes au poing en criant « dehors les blancs ». Cette chasse aux blancs terrorise les Saint Martinois qui veulent à tout prix être évacués, car ils se savent en danger de mort.

    https://fr.novopress.info/

  • JEAN-YVES LE GALLOU : « SI LES GENDARMES TROUVENT UN PILLARD, ILS ONT À PEINE LE DROIT DE LUI TIRER L’OREILLE »

    Le Président Macron a dû décoller lundi soir pour se rendre sur l’île de Saint-Martin, notamment pour faire taire les critiques quant au manque de moyens déployés par l’État avant et après l’ouragan.

    Jean-Yves Le Gallou, lorsqu’il était à l’Inspection générale de l’administration, a eu à plusieurs reprises l’occasion de participer à des missions de retour d’expérience (RETEX) à la suite de catastrophes naturelles. Il a pu constater que le débarquement d’autorités gouvernementales sur les lieux d’une catastrophe n’aide pas à régler les problèmes mais, au contraire, en retarde le règlement.

    Par ailleurs, Jean-Yves Le Gallou revient sur la situation sécuritaire de l’île. Il constate qu’il est très difficile de savoir ce qui s’y passe exactement, notamment parce que les médias essayent de rassurer.

    http://www.bvoltaire.fr/gendarmes-trouvent-pillard-ont-a-peine-droit-de-lui-tirer-loreille/

  • La droite à gauche toute avec Valérie Pécresse

    Démonstration avec le mariage et l'avortement :

    Arrêtons de promettre l'abrogation de la loi Taubira sur le mariage pour tous. C'est humainement impossible d'y revenir 

     

    Revendiquons d’avoir porté le droit à l'IVG et menons pleinement le combat pour la dignité de la personne humaine 

     Et en prime son inculture :

    Ce qui fait la force d’âme de la droite, c’est d’avoir toujours préféré Charles de Gaulle à Charles Maurras 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • AFFRONTEMENTS AVEC LA POLICE, VIOLS, CRIMINALITÉ : ÉTÉ NORMAL POUR LES MIGRANTS D’ITALIE

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    L’actualité de ces dernières semaines aura – de nouveau – mis à dure épreuve les discours angéliques sur les bienfaits de l’immigration et la réalité de l’intégration. Entre deux reportages vantant la bonté de Mamadou qui fait du jardinage bio pour nourrir les Italiens et le civisme d’Habib qui lave son pot de yaourt avant de le jeter au tri (véridique), elle était plutôt faite d’émeutes avec la police, de viols à répétition et d’agressions dans les transports en commun.

    Le 24 août, à Rome, une centaine de réfugiés mettaient à feu et à sang la place de l’Indépendance pour protester contre la proposition de relogement de la mairie, alors qu’ils occupaient illégalement un immeuble depuis 2013 (où furent retrouvés plusieurs milliers d’euros d’argent liquide et des biens de luxe). De violents affrontements eurent lieu avec les forces de l’ordre, qui essuyèrent jets de pierres, de cocktails Molotov, mais aussi de bouteilles de gaz. Les sempiternels gardiens de la bonne conscience, qui dénoncèrent l’utilisation des canons à eau pour calmer les émeutiers, ne purent que se taire devant les images où est clairement visible l’attaque contre la police. Seules quatre personnes ont été interpellées.

    Des images parlant d’elles-mêmes aussi, celles qui montrèrent un groupe de Subsahariens jetant à terre et rouant de coups un chauffeur de bus. Étrangement, les gardiens de la bonne conscience n’ont pas commenté l’incident. 

    Silence analogue quant au viol, d’une rare violence, perpétré quelques jours plus tard à Rimini (le quotidien La Repubblica a quand même produit un article dénonçant… les commentaires à caractère raciste publiés sur la page Facebook d’un des violeurs !). Une bande de quatre « jeunes » (dont trois mineurs) – deux Marocains, un Nigérian et un Congolais (à qui le statut de réfugié avait été refusé) – massacrèrent un couple de touristes polonais, violant la jeune femme à tour de rôle, et étouffant son compagnon en lui mettant la tête dans le sable. Non contents de leur agression, que la police a qualifiée de « brutale et bestiale », ils s’en prirent à un transsexuel péruvien rencontré quelques centaines de mètres plus loin, le sodomisant six fois. La Pologne a demandé l’extradition des quatre auteurs.

    Le problème, ce n’est pas – seulement – que ces « faits divers » soient tous l’œuvre d’hôtes d’origine étrangère, immigrés de fraîche date ou nés en Italie. Mais plutôt qu’ils bénéficiaient tous de la solidarité et de la générosité du pays d’accueil. Pire : dans le cas des frères marocains, malgré la décision d’expulsion de toute leur famille tombée en 2014 (ils faisaient l’objet de plusieurs plaintes), ils vivaient aux frais de la princesse, mairie et Caritas s’acquittant de leur loyer, de leurs factures d’énergie et de leurs courses.

    On pourra alors rétorquer que de nombreux délits ont été commis par des Italiens durant la même période. Certes. Or, si de tels crimes sont difficilement prévisibles, il est néanmoins possible et impératif de contrôler les entrées sur son territoire, comme cela fut le cas des siècles durant. Ces racailles (aucune ne provenant d’une zone de guerre) n’avaient rien à faire sur le sol italien. La politique de la porte ouverte et de l’argent facile ne pourra que drainer vers nos contrées ce que la démographie explosive africaine produit de pire. Puisque les gens bien, eux, quand ils ne s’engagent pas pour l’amélioration de leur lieu de vie, restent au moins chez eux, auprès de leur famille 1.

    Notes:

    1. Rappelons que, selon l’UNHCR, sept migrants sur dix qui débarquent en Italie sont des hommes dont l’âge est compris entre 18 et 34 ans. 

    http://www.bvoltaire.fr/affrontements-police-viols-criminalite-ete-normal-migrants-ditalie/

  • L’usurpation du Pouvoir par les minorités

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    Bernard Plouvier

    C’est toujours de cette façon que meurt un régime politique, voire une civilisation : lorsqu’un petit groupe d’agités, aussi motivés qu’efficaces, s’empare de la force publique, profitant de la passivité du troupeau humain.

    Les minorités commencent par saper l’autorité du Pouvoir en place, sous les applaudissements d’une partie des rejetons veules, incapables et moralement déficients de l’élite de la richesse et de la culture. C’est la phase nécessaire, généralement longue de plusieurs décennies, que des observateurs aussi lucides qu’impuissants nomment parfois, d’une façon fort intelligente : miner une société.

    On y parvient grâce à l’hystérie et à l’arrogance, par l’usage des confusions sémantiques et du trompe-l’œil, et encore plus facilement si l’on adopte un statut victimaire. Les sexagénaires actuels ne peuvent oublier comment ont agi, puis triomphé, les agitateurs des années 1965 sq. en Occident.

    L’hystérie du comportement, l’arrogance du discours exercent une extraordinaire fascination sur le bourgeois, l’ouvrier, le commerçant ou le paysan calmes et travailleurs. Car, pour des êtres qui s’ennuient à force de routine, d’application et de conformisme, il persiste toujours un espoir de divertissement hors normes. Les détraqué(e)s et les crétins fascinent les êtres de bon sens, au même titre qu’ils se jettent, avant de s’endormir ou lors de leurs vacances, sur des thrillers dégoulinant de joie de nuire, de malfaisance, de sang et d’horreur.

    La bonne propagande est celle qui fait passer l’exception pour la règle, qui parvient à faire adhérer aux plus gros mensonges, par le mécanisme des informations tronquées parce que partielles et partisanes, de la répétition jusqu’à satiété des mêmes bobards. Les images et les films truqués valent infiniment mieux que n’importe quel discours démagogique, tout le monde le sait depuis plus d’un siècle. Mais le succès va toujours à celui qui promet la lune sans effort ou, mieux encore, le paradis, soit terrestre, mais dans un avenir indéterminé, soit post-mortem (et personne n’est jamais revenu d’outre-tombe pour détromper les bonimenteurs).

    Au bout du compte, l’universitaire se retrouve aux côtés de l’analphabète, vaincu par les mêmes mensonges ou les mêmes demi-vérités, seule varie la présentation… encore a-t-on vu en 1968 de soi-disant brillants cerveaux beugler des slogans d’un merveilleux crétinisme.

    La reconnaissance par les media - partant par l’opinion publique qu’il est devenu si aisé de « formater » grâce à la propagande télévisée, puis aux blogs et aux sites à prétentions historiques du Net - du statut de victime personnelle, familiale ou communautaire, permet d’exiger une protection juridique particulière, une atténuation du discours médiatique en cas de déviance personnelle ou communautaire, et d’espérer un afflux d’hommages publics et privés, ainsi que de subventions d’origine étatique.

    Être reconnu descendant d’un peuple de « victimes perpétuelles de persécutions » permet de s’intégrer à ces « minorités qui font la loi ». Se réclamer du judaïsme victimaire, se poser en lointain descendant d’esclaves, en victime de discrimination sexiste ou « homophobe », en résidu d’inceste ou de viol à l’âge prépubère font de n’importe quel minus, voire d’un authentique délinquant, un sujet hautement protégé par les media, l’administration publique et les directeurs des relations humaines du secteur public et du privé. La posture victimaire bien exploitée autorise la revendication permanente et tous azimuts.

    À la fin du processus de pourrissement de la société, s’impose l’une des minorités. Qu’elle soit composée d’une communauté d’affairistes, d’intellectuels, de professionnels de la manipulation d’opinion publique (des journalistes et des « fous de dieu » jusqu’aux simples courtiers en assurance-vie éternelle) ou de guerriers ne fait rien à l’affaire. D’ailleurs, bien souvent, comme ce fut le cas en France l’An 1789, à Petrograd en 1917 ou à Téhéran l’An 1979, on trouve associés des membres de ces quatre composantes.

    Dès qu’une minorité a triomphé, raflant le Pouvoir - soit la puissance policière et militaire, la justice, les media, le droit d’user de l’argent public et, pour les nullités plus ou moins décoratives, les sinécures -, débutent les querelles de Divas. La lutte est sans merci, mais pas forcément sanglante. Puis se crée une société nouvelle, dont la durabilité dépend de bien trop de paramètres, dont le plus puissant demeure sa sacrée majesté le hasard, pour qu’on puisse énoncer une théorie à ce propos.

    Il n’est pas besoin de « complot » (variante à la sauce romantique : de « conjuration ») pour expliquer la victoire d’une minorité.

    Les minorités qui ont triomphé ces derniers millénaires jouissaient presque toutes d’un chef, parfois génial (tels Jules César et son neveu Octave devenu Auguste), souvent médiocre (un François Mitterrand a incarné l’espoir du changement en France à l’aube des années 1980).

    De façon obligatoire, elles sont riches de propagandistes efficaces, ceux qui savent « colérer » la populace, suivant le principe fondamental : « Plus c’est gros, plus c’est con, mieux ça passe ».

    Mais, pour triompher, elles doivent nécessairement enthousiasmer des militants prêts à tout pour la cause. Une minorité qui gagne n’est pas celle qui pleurniche ou intente des actions en justice pour enrichir ses membres ou faire parler d’eux. Une minorité qui emporte le morceau est celle qui parvient à noyauter l’infrastructure de l’État, non pas les hauts-fonctionnaires vénaux et opportunistes, mais des centaines de petits agents mus par l’idéal ou l’ambition (et la combinaison de ces deux motivations s’est toujours avérée particulièrement efficace).     

    Dans la France soixante-huitarde, les fêtards alcoolo-tabagiques et les grandes gueules marxistes de toutes les chapelles (trotskistes et maoïstes s’avérant les plus nocifs) ont obtenu ce qu’ils voulaient : l’abolition de l’État napoléonien, la féminisation de la société – gage d’une plus grande efficacité de la propagande pleurnicharde et démagogique -, le brassage des races et des cultures. Ils n’ont fait que détruire, tenter de dissoudre l’esprit national. Ils y sont presque parvenus grâce à la globalo-mondialisation.

    Le résultat est effarant, au point que le seul (et lamentable) mouvement populiste français est objectivement devenu le premier parti du pays… au moment où il n’a plus ni chef, ni doctrine, ni élan, ni militantisme actif.

    Au milieu des ruines, il reste l’espérance. Celle du triomphe d’une aristocratie du courage et de la droiture, au service du Bien commun & de la Nation, elle-même pleinement intégrée à la race européenne.

    Mais pour obtenir ce résultat, il faut attendre que les Français – et d’une manière générale les Européens – souffrent davantage qu’actuellement, pour qu’enfin ils se révoltent. Ils ne le feront que le jour où une puissante minorité active aura compris que la globalo-mondialisation menace directement la survie de leurs descendants.

    Car, si la plupart des minorités triomphantes s’avèrent malfaisantes, corrompues, tyranniques, voire sanguinaires, il en est de bienfaisantes – celle qui instaura l’Empire romain, par exemple.     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/09/05/l-usurpation-du-pouvoir-par-les-minorites-5977151.html

  • Quand la liberté a disparu…

    Plaire aux cénacles euromondialistes, écouter les injonctions de Bruxelles, ne pas froisser Angela Merkel, partenaire indispensable pour poursuivre méthodiquement la mue de l‘Europe, malgré les résistances des peuples, vers l’avènement d’un fédéralisme européiste placé sous la tutelle de l’idéologie libérale-libertaire … Le site euractiv notait l’évidence en soulignant que « les ordonnances réformant le marché du travail en France », présentées la semaine  dernière par le Premier ministre Édouard Philippe et le ministre du Travail, Muriel Penicaud, « font la joie de la Commission européenne » et du « Medef » (…). « Elles ont d’ailleurs été chaleureusement accueillies par Pierre Gattaz, qui les qualifie de  première étape importante  pour  conforter la confiance des chefs d’entreprise » (…). « L’extrême droite (sic) a dénoncé le texte comme une escroquerie » mais « les mesures en question sont en revanche perçues comme un gage de confiance par les partenaires européens. » Le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel  avait déjà salué cette réforme  le 30 août,  à la sortie du conseil des ministres français où il avait  été invité à siéger, le symbole n’échappera à personne… Et « la Commission européenne ne tarit pas d’éloge sur la réforme, en des termes encore plus élogieux que lors de la présentation de la loi El Khomri en 2016. »

    Ouest France rapportait pour sa part les propos du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, martelant ce qui fut un des fils conducteurs de la campagne d’Emmanuel Macronhors l’europe de bruxelles et l’euro point de salut pour la France. Mercredi dernier, M. Castaner a déclaré « qu’il faudra une volonté forte de la France et de l’Allemagne  pour réformer la zone euro. » « La réforme de l’Union européenne et de la zone euro supposera de trouver un équilibre entre les positions française, allemande et les autres mais des propositions tièdes mettraient l’Europe en péril » (sic).  Propositions tièdes qui ne sont pas non plus de mise dans la volonté des gauleiters de l’Europe nouvelle d’imposer toujours plus avant  une police de la pensée. Le tout  sous couvert de lutte contre  les propos haineux et la désinformation. Bassesses et mensonges dont les grands médias sont souvent  remplis à l’encontre de leurs adversaires du moment,  en fonction des objectifs de leurs vrais  patrons.

    Mariya Gabriel, 38 ans, Bulgare, francophone, spécialiste des relations internationales et membre du PPE (Parti populaire européen),  est la nouvelle commissaire au numérique entrée en fonction en juillet. Euractiv  nous prévient aussi qu’elle s’apprête « à prendre une des premières mesures de son mandat : mettre sur pied un groupe d’experts sur les  fake news  »  (fausses nouvelles). La jeune femme « a cependant indiqué n’être pas encore certaine qu’il faille passer des lois européennes sur la question.  Il est prématuré de parler de législation , a-t-elle jugé. Elle a toutefois l’intention de  dire très clairement que les plateformes (Internet) ont une obligation de diligence , un terme juridique signifiant que les sociétés en ligne, comme Facebook ou Twitter devraient prendre des mesures pour surveiller les posts de leurs utilisateurs. »

    « Le mois prochain, la Commission européenne devrait annoncer des mesures instaurant des obligations communes pour le retrait de contenus illégaux publiés sur les réseaux sociaux(…).  Certains États membres font pression pour que la Commission annonce ces nouvelles mesures sur les fausses nouvelles et les contenus illégaux en ligne. L’Allemagne a même introduit une loi nationale plus tôt dans l’année, selon laquelle les médias sociaux risquent jusqu’à 50 millions d’euros d’amende s’ils ne retirent pas les contenus illégaux, comme les propos haineux. D’autres pays européens envisagent de suivre cet exemple. »

    « Il est évident que nous avons besoin d’une approche européenne, en plus des pratiques et lois nationales », estime Mariya Gabriel. « Si nous ne mettons rien en place, les exemples d’abus ne feront que se multiplier. Il est réellement important d’assurer ce type de cohérence au niveau européen. » C’est Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, est il indiqué « qui avait demandé à sa nouvelle commissaire de se pencher sur la question des  fake news  dans la lettre de mission qu’il lui a adressée en mai ( …):  La Commission doit examiner les défis que créent les plateformes en ligne pour nos démocraties en ce qui concerne la dissémination d’informations fausses et initier une réflexion sur ce qui pourrait être fait au niveau européen pour protéger les citoyens , avait-il écrit. » Protéger les citoyens?... On se pince ! 

    Cette lutte pour un contrôle accru des canaux d’information échappant aux grands groupes capitalistiques  et à la pensée dominante a été voulue et initiée par les gardiens d’un Système de plus en plus illégitime et sans soutien populaire. Nous le notions déjà avec la mise en place il y a quelques mois  d’un  decodex hébergé par Le Monde et financé par le « Fonds Google »,  créant l’amalgame et la confusion,   lançant des anathèmes et des avertissements contre les sites dissidents. Nous citions alors Laurent Berruyer qui, sur son blogue Les Crises, tirait un premier bilan de ce decodex : « le  service de vérification des faits (du Monde) ne pouvait qu’aboutir à sa transformation insidieuse en une sorte de Ministère de la Vérité qui prétend dire le Vrai.» Dans les faits «une Police de la pensée, car toute autorité prétendant dire le Vrai ne peut accepter de voir son autorité remise en question, dans le cas où des personnes persistent volontairement dans l’erreur. Un tel Pouvoir constitué est donc toujours tenté d’abuser de ses prérogatives. »

    Cette prise en main par la Commission européenne avec le soutien servile de gouvernements communiant dans la même frousse et les mêmes obsessions n’est pas pour nous surprendre. Cette dérive orwellienne ira en s’intensifiant si les Européens se laissent museler sans broncher. A terme, toute idée qui ne sera pas strictement conforme à la pensée mondialiste pourrait être considérée comme illégale, toute information contraire à la doxa multiculturalisteprogressiste pourrait être taxée… de fausse information appelant à la haine. D’ores et déjà le  fait notamment de défendre les identités nationales, le  modèle familial,  nos valeurs civilisationnelles helléno-chrétiennes vous entraîne de facto dans le camp des parias, des mauvais citoyens à rééduquer.  Nous avons pour cela en France une déjà abondante législation dite antiraciste et dernièrement encore a été créé un délit d’entrave numérique  à l’IVG…

    Bruno Gollnisch a tiré la sonnette d’alarme sur la nouvelle offensive en cours contre la liberté d’expression qui vise principalement le camp national, la mouvance patriotique, à empêcher tout sursaut vital,  à briser les défenses immunitaires du peuple français. Il pense que le Front National doit rester en pointe dans ce combat pour nos libertés françaises, conviction qu’il continue d’illustrer au sein des instances frontistes. Le grand écrivain indien Rabindranath Tagore écrivait certes avec raison qu’« on ne s’attire que des ennuis à vouloir ouvrir les yeux de qui ne veut pas voir ». Mais si le FN a longtemps prêché dans le désert,  ce n’est plus le cas aujourd’hui, ses constats sur les menaces multiformes pesant sur notre avenir sont aujourd’hui assez largement partagés. Français qui sentent, qui ressentent plus ou moins clairement la grande vérité de cette sentence de  Chateaubriand : « quand la liberté a disparu, il reste un pays, mais il n’y a plus de patrie. »

    https://gollnisch.com/2017/09/04/liberte-a-disparu/