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anti-national - Page 745

  • ON REGARDE BARCELONE… ET ON OUBLIE SAINT-DENIS !

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    1 lance-roquettes anti-char, 3 pains d’explosif, 2 fusils à pompe, des munitions de 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, des gyrophares et des gilets pare-balles.

    C’était jeudi dernier, le 17 août, le jour où le fascisme islamiste a frappé sur les Ramblas de Barcelone et à Cambrils, monopolisant totalement l’attention et les médias.

    L’horreur une fois encore, la folie criminelle, la guerre civilisationnelle, mais surtout les images qui font vendre, l’immédiateté des reportages qui n’en sont pas, « l’information en continu » qui ne s’attache qu’au spectaculaire, à l’émotion qui fouaille les ventres et les cœurs mais se garde bien de parler à la tête.

    En réalité, dans ces moments de pseudo-communion, l’information n’existe simplement plus. La réflexion encore moins. Ça évite d’établir entre les faits des liens qu’on pourrait juger « dérangeants ». Ainsi a-t-on passé sous silence ou presque la saisie qui a eu lieu ce jeudi 17 août à Saint-Denis, en banlieue parisienne, dans la cité Jacques-Duclos qu’on dit gangrenée par le trafic de drogue, en omettant que celui-ci est aussi le terreau où prospèrent les islamo-délinquants.

    Ont donc été saisis, nous dit Le Parisien : un lance-roquettes antichar et trois pains d’explosif tolite, deux fusils à pompe, des munitions de calibre 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, de l’argent liquide, des gyrophares de police et des gilets pare-balles. Deux hommes de 30 et 40 ans ont été mis en examen et écroués pour trafic d’armes et de stupéfiants.

    Le bailleur, Plaine Commune Habitat, qui gère cette cité (et plus de 18.000 logements sur le département), écrit dans un communiqué avoir « à maintes reprises » alerté la préfecture sur « la situation grave » de cette cité, loin d’être un cas isolé à Saint-Denis. L’un de ses gardiens, récemment embauché, a été entendu dans cette affaire et l’on rappellera qu’un camion en provenance d’Espagne et transportant 500 kg de cannabis avait été intercepté par les douanes en novembre dernier alors qu’il entrait dans un local municipal de Saint-Denis…

    On peut, certes, se rassurer en feignant de croire que crime organisé et terrorisme sont des univers distincts, mais tout démontre le contraire. Nos terroristes « français » sont, sans exception aucune, des individus passés par la délinquance et le banditisme, et les jeunes qui se radicalisent en prison n’y sont pas arrivés en se trompant de porte avec les cours du soir.

    L’arsenal saisi jeudi n’était peut-être destiné qu’à attaquer des fourgons blindés ou faire exploser des guichets bancaires, mais rien n’est moins sûr. Et même dans cette hypothèse, on sait que l’argent des trafics finance le terrorisme de par le monde.

    Saint-Denis, l’une de ces cités radieuses de la France communiste d’après-guerre, est aujourd’hui un véritable abcès, un membre gangrené de la République française. C’est là que s’est achevée la cavale de Chakib Akrouh et d’Abdelhamid Abaaoud après les tueries des terrasses et du Bataclan en novembre 2015. Là où Salah Abdeslam, l’organisateur et dernier survivant du commando, avait déposé ses troupes à l’entrée du Stade de France.

    Un Salah Abdeslam qui conserve son mutisme face à la justice et dont le retour dans l’actualité n’intéresse curieusement pas les médias français, à l’exception du journal Ouest-France qui a rapporté l’information publiée par le quotidien hongrois Magyar Idök. On savait, à ce jour, qu’Abdeslam avait rapatrié depuis Budapest les trois auteurs de la tuerie du Bataclan qui arrivaient de Syrie. On apprend, aujourd’hui, qu’il aurait en fait rapatrié treize personnes en tout, des terroristes « infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants ». Mais le plus gênant, qui explique sans doute ce silence pudique des médias, c’est que « le réseau pourrait aussi avoir profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants : Salah Abdeslam a séjourné à deux reprises dans l’appartement d’un membre d’une organisation humanitaire ».

    Mais, chut ! En France, on ne critique pas les ONG.

    http://www.bvoltaire.fr/on-regarde-barcelone-on-oublie-saint-denis/

  • Le terrorisme low cost et saisonnier

    Bernard Plouvier

    Tout raisonnement sur le terrorisme djihadiste actuel en Europe doit partir de deux points fondamentaux : le coran et la pomme pourrie.

    Le coran est un livre de haine et d’appel au meurtre des « infidèles » (soit : tout ce qui n’adore pas le dénommé allah) et des apostats de la religion mahométane. Que l’on ne vienne pas nous leurrer avec une équivalence djihâd = perfectionnement de soi-même : c’est une fantaisie de soufi ! Le coran est d’une clarté aveuglante, dans un nombre effarant de sourates : le djihâd, c’est tuer tous ceux qui ne veulent pas adorer allah.

    La pomme pourrie qui contamine tout un panier de beaux fruits, ce n’est pas une théorie, mais une réalité que tout apprenti récoltant et stockeur de fruits connaît bien. Appliquée au terrorisme, cette contamination explique bien des choses.

    Dans un milieu de jeunes mahométans transplantés ou nés en Europe occidentale ou scandinave, l’on se rend très vite compte que seule une minorité de jeunes noirs, maghrébins ou moyen-orientaux vont triompher dans leurs études et obtenir un travail rémunérateur, intéressant et gratifiant. La majorité de ceux-ci ne pourra que végéter dans la médiocrité, pratiquant de petits boulots ingrats, vivre de la charité publique (les allocations diverses), à moins de se lancer dans divers trafics (vente de drogue ou d’armes, vol et rackett, prostitution et proxénétisme).

    Pour certains parmi ces ratés sociaux ou ces jeunes programmés pour devenir les rebuts de la société européenne, il existe un pari (assez proche du pari pascalien dans sa finalité) : se lancer dans le terrorisme. D’abord pour connaître les joies intimes de la conspiration en petit groupe uni par le même but, celles de la prise de risque et, par-dessus tout, celles de nuire à des « nantis », à des êtres plus doués, mieux adaptés. Enfin et surtout, l’obtention à tout coup du paradis : effectivement, le coran promet le paradis d’allah à tout muslim (fidèle) mourant pour assurer la propagation de l’islam. À quoi bon vivre honnêtement et prosaïquement s’il est aussi simple d’obtenir une éternité de délices surnaturels.

    Pour tuer du pékin qui se rend à son travail, fait ses courses, jouit de vacances bien méritées ou de festivités saisonnières, il ne faut guère déployer beaucoup d’imagination ni investir des sommes folles. Les commanditaires et auteurs des attentats du 11 septembre 2001 à New York voulaient frapper de stupeur l’opinion publique planétaire. Ils ont réussi, mais la réalisation coûta cher et les retombées pour les mahométans d’Afrique, du Proche-Orient et du Moyen-Orient furent détestables.

    Le terrorisme des sociopathes agglutinés dans les quartiers mahométans des cités européennes est, à terme, beaucoup plus rentable et à bien moindre coût. Voler un camion ou n’importe quel véhicule assez lourd pour tuer un maximum de promeneurs dans une course au sein d’une foule est à la portée de n’importe quel groupuscule de voyous de banlieue.

    De même, s’il est quasiment impossible à un Européen autochtone d’acheter une arme pour protéger sa famille, il est très simple à un mahométan de se procurer un AK-47 ou un Uzi, avec l’argent volé, racketté ou provenant d’un trafic. Au pire, un candidat djihadiste besogneux peut se rabattre sur quelques couteaux à lame en céramique.

    Investissement modeste, voire minime, et résultat assuré : les attentats perpétrés en Europe depuis 2014 font généralement une ou plusieurs dizaines de tués et une ou deux centaines de blessés… c’est presque aussi rentable en nombre de victimes que l’envoi de quelques bombardiers sur une cible choisie et c’est infiniment moins coûteux.

    Contre ce terrorisme simple, mais efficace, bon marché pour les assassins, et qui se répète de façon épidémique en période festive et aux dates symboliques, il n’est qu’une seule mesure radicale : refouler vers les terres d’islam ces mahométans dont l’Europe n’a que faire.

    Si les Européens occidentaux sont trop mollassons, trop corrompus pour assurer le renouvellement endogène de leurs Nations, supprimons le droit à l’avortement de complaisance et importons des Européens de l’est… des vrais, en se souvenant qu’un Rom ne sera jamais un Roumain ou un Bulgare, même s’il est porteur d’un passeport qui l’affirme.

    L’islam djihadiste est à l’évidence une religion de haine meurtrière. Ulémas, mollahs et autres bons apôtres nous assurent que le véritable islam ne l’est pas. La lecture du coran infirme absolument ces belles paroles. Il faut imposer la lecture du coran aux Européens pour qu’ils comprennent enfin la dangerosité extrême de ce culte barbare, médiéval, misonéiste et sanguinaire.      

  • L'alliance qui unit extrême-gauche et islamistes

    Dénoncée par Alexandre Del Valle sur Atlantico :

    "Le "Calife" de l'Etat Islamique, Abu-Bakr al-Bagdadhi, avait déclaré en 2014 que l'Etat islamique s'étendrait jusqu'à Rome, indiquant par là une volonté de convertir le monde entier à l'Islam. Face à l'accumulation des attentats en Europe, l'Occident n'aurait-il pas intérêt à réaffirmer son identité chrétienne, en termes culturels et civilisationnels, afin de décourager l'adversaire, et de lui signifier l'impossibilité de la tâche qu'il se donne ?

    Il faut remonter pour comprendre cela à l'alliance qui unit extrême-gauche, politiquement correct et islamistes. Ce sont cette extrême-gauche et ce politiquement correct que l'on peut globalement définir comme les plus hostiles à la civilisation judéo-chrétienne ont laissé prospérer sur le sol occidental les forces islamistes parce qu'elles avaient un même ennemi : l'Occident. Votre question d'une certaine façon induit la réponse : si l'Occident arrivait à vaincre le totalitarisme rouge, l'idéologie communiste et tiers-mondiste qui continue à diaboliser la société occidentale et à valoriser tout ce qui ne l'est pas – l'extrême gauche ayant toujours été l'allié des forces qui détestent notre civilisation – nous aurions plus de facilité à gérer notre sécurité. Nous aurions plus de facilité à contrôler les flux migratoires, les juges pourraient plus facilement appliquer les lois, les politiques ne seraient pas systématiquement traités de racistes ou de fascistes lorsqu'ils veulent défendre leur civilisation. On se rappelle sur ce point du cas Guéant, diabolisé parce qu'il avait osé parler du choc des civilisations pour exprimer l'opposition de l'Occident et de l'Islam. [...]

    On voit bien que ce qui nous empêche aujourd'hui de lutter contre le totalitarisme islamique, c'est l'influence dans nos rangs du totalitarisme rouge qui contrôle les médias, le système universitaire et une partie du système judiciaire. Il agit comme une force qui empêche de lutter contre l'ennemi islamiste et de préserver nos valeurs. La dernière revue créée par Daech s'appelle Rumia, qui symbolise l'objectif très important pour les islamistes de conquérir un jour la chrétienté. Il faut évidemment reconquérir Al Andalus, la perle de l'ancien califat perdue au profit des rois très catholiques, mais aussi prendre Rome et c'est un élément très important de la propagande de Daech et de nombreux islamistes : selon un hadith– une parole attribuée à Mahomet qui a valeur de texte sacré - très souvent cité par des islamistes, y compris les non-terroristes tel Qardawi des Frères Musulmans, après Constantinople, Rome sera prise et l'Europe sera islamisée.

    Cette idée est très présente dans toute la logique de l'islamisme mondial : on voit donc bien qu'il ne s'agit pas de cas de terroristes isolés mais que cela découle d'un mouvement mondial de néo-impérialiste. C'est un combat civilisaitionnel, et puisqu'il est pensé tel quel et que cette guerre est livrée non seulement par des terroristes mais aussi grâce à l'appui d'États tel l'Arabie Saoudite, le Pakistan ou d'association comme les Frères Musulmans. Face à une agression qui est le résultat d'un projet de révolution civilisationnelle revanchard, la réponse ne sera pas par la guerre mais la défense et le refus du vide. Le vide que nous produisons aujourd'hui dans la détestation de notre propre religion et de notre propre identité et est le meilleur allié des islamistes. Il nous manque aujourd'hui un projet civilisationnel comme. Nous devons mener cette politique des civilisations. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’aluminium, un poison légal dans les vaccins ?

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    Que devient l’aluminium présent dans les vaccins ?

  • Espagne : les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes»

    L'enquête avance rapidement et la police découvre que l'attentat à Barcelone devait être bien plus sanglant si les terroristes étaient parvenus à leurs fins :

    "La cellule terroriste semblait envisager un scénario plus sanglant encore. Les complices ont d'abord tenté de fabriquer au moins une bombe à l'aide de plusieurs bouteilles de propane et d'explosifs artisanaux dans une maison d'Alcanar, une ville à une cinquantaine de kilomètres au sud de Barcelone. Mercredi soir, cette habitation avait été soufflée par une explosion, d'abord attribuée à une fuite de gaz, faisant un mort et sept blessés. Vendredi, le chef de la police, Josep Lluis Trapero a confirmé que «les auteurs préparaient depuis quelque temps dans ce bâtiment d'Alcanar les attentats de Barcelone». «C'était un groupe dont nous ignorons le nombre exact (…). Beaucoup sont identifiés». De son côté, un magistrat de l'Audience nationale, le parquet, Javier Zaragoza, a assuré que les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes» mais constituaient un «réseau structuré».

    [...] Si les Mossos d'Esquadra, la police de Catalogne, ont confirmé détenir quatre personnes «en lien avec les attentats», au moins trois autres étaient en fuite selon une fiche de recherche diffusée vendredi. La police a d'abord longuement cherché le chauffeur de la camionnette blanche utilisée sur les Ramblas. De sources officieuses, l'homme est identifié comme Moussa O., un Marocain de 17 ans. Il aurait en fait trouvé la mort avec quatre complices dans une fusillade avec la police à Cambrils, selon la presse espagnole. Le jeune homme, résidant légal en Espagne, se serait radicalisé ces dernières années. Sur un réseau social, il avait ainsi fait part de son intention de «tuer les infidèles pour ne laisser que les bons musulmans».

    Selon les derniers éléments de l'enquête, il se serait enfui des lieux en prenant le conducteur d'une voiture en otage. Une demi-heure après l'attentat des Ramblas, cette Ford Focus a forcé un barrage à la sortie est de la capitale catalane, renversant un sergent. Elle devait être retrouvée, deux kilomètres plus loin, son chauffeur mort au volant, tué de plusieurs coups de couteau. Considéré dans un premier temps comme un suspect potentiel, cet homme, qui n'avait pas été identifié vendredi après-midi, était désormais plutôt vu comme la quinzième victime du tueur.

    Les deux autres fuyards ont, pour leur part, été identifiés jeudi dans la soirée. Il s'agirait des conducteurs d'une seconde camionnette, une Fiat, louée en même temps que celle abandonnée sur les Ramblas. Ce van, longuement traqué, a été retrouvé sur le parking d'un fast-food de Vic, une commune située à une cinquantaine de kilomètres au nord de Barcelone. À l'intérieur, les Mossos ont découvert la carte d'identité d'un certain Younès A., un Marocain de 22 ans. Ce dernier pourrait être accompagné d'un autre individu, Mohamed H., 20 ans. Les deux hommes habitaient les environs de Ripoll. Le ministre français de l'Intérieur, Gérard Collomb, a tout de même ordonné vendredi le renforcement des contrôles à la frontière franco-espagnole. Le dernier homme recherché est un Marocain, Saïd A, 18 ans.

    Les enquêteurs, très prudents, n'ont pas confirmé d'éventuels liens, ni entre les fuyards, ni avec les personnes arrêtées. Seule certitude, l'une d'elles est Driss O., le frère de Moussa O. C'est avec les papiers de ce jeune homme que la camionnette des Ramblas a été louée. Ce Marocain de 28 ans, a été interpellé vendredi soir à Ripoll, la petite ville à cent kilomètres au nord de Barcelone où il habite. Aux policiers, l'homme a affirmé s'être fait voler ses papiers quelques jours auparavant. Il n'avait cependant pas porté plainte. Driss O., s'il n'était pas connu pour des faits en liens avec le terrorisme, était fiché après avoir effectué un mois de détention préventive en 2012 dans le cadre d'une affaire d'agression sexuelle. Le second suspect placé en garde à vue est un proche de Driss O. Ce Marocain de 30 ans a été interpellé, vendredi à l'aube, également à Ripoll. Le troisième, est également un résident de cette cité. Des perquisitions étaient en cours vendredi après-midi dans une demeure de la ville.

    Le dernier djihadiste incarcéré a été appréhendé à Alcanar. Selon la police, il s'agit d'un citoyen espagnol né à Melilla, une enclave espagnole en plein Maroc. Cet homme, âgé d'une vingtaine d'années, serait l'un des blessés de la maison d'Alcanar. Il aurait lui aussi loué une camionnette.

    Les policiers se concentraient en parallèle sur les cinq terroristes tués dans la foulée de l'équipée sauvage de Cambrils. Ils avaient tout d'abord lancé leur Audi A3 noire, dans les rues entourant le port de cette station balnéaire très fréquentée. La voiture avait ensuite pris la fuite, plein sud, avant d'être bloquée à un barrage de police. Les terroristes, dont certains étaient équipés de fausses ceintures explosives, sont alors sortis de la voiture pour attaquer les forces de l'ordre avec des armes blanches. Ils ont été tous abattus. Trois d'entre deux ont été identifiés. Le caractère visiblement improvisé de cette dernière attaque renforce l'hypothèse des enquêteurs. Dans leur refuge d'Alcanar, les complices souhaitaient sans doute mettre au point une ou deux bombes de forte puissance. Ils voulaient ensuite les placer dans les camionnettes louées et envoyer ces engins piégés à Barcelone. Josep Lluis Trapero a affirmé que «les terroristes souhaitaient déclencher des bombes». «L'explosion de la maison d'Alcanar a sans doute permis de l'éviter». «Ils se sont alors rabattus sur un plan B de manière désespérée.» Un plan B qui a fait 14 victimes."

    Michel Janva

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  • BARCELONE : QUE LES COUPABLES (LES VRAIS) SOIENT ENFIN DÉVOILÉS

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    Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone : c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir.

    L’ennemi vient encore de frapper à Barcelone, où l’on compte, au moment d’écrire ces lignes, 13 morts et environ 80 blessés, dont certains très graves. Le moment est venu de dévoiler enfin les coupables – les vrais.

    Et les vrais coupables, les coupables premiers, ne sont ni l’Arabe né à Marseille (un certain Driss Oukabir, déjà arrêté), ni les deux autres tués par la police, ni tout le reste de complices… et de commanditaires. Eux ne sont rien d’autre, finalement, que l’ennemi. Et avec l’ennemi qui vous déclare la guerre, les culpabilités n’ont strictement rien à voir. Les prêchi-prêcha de la moralité non plus. Les cierges qui seront bientôt allumés et les peluches qui seront déposées par les Bisounours de toujours, encore moins. Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone, c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir : l’empêcher de le faire, l’abattre avant qu’il n’y parvienne, voilà notre devoir le plus simple, le plus élémentaire. Un point, c’est tout.

    Or, ce n’est pas de combattre l’ennemi, c’est de l’accueillir qu’il s’agit pour les véritables coupables de notre déroute. Ce Carles Puigdemont, par exemple, président sécessionniste de la Generalitat de Catalunya (Généralité de Catalogne) qui, lorsque le sang des tués et des blessés est encore tout frais sur les Ramblas de Barcelone, a eu l’outrecuidance de déclarer, après avoir essuyé une larme : « La Catalogne a toujours été terre de paix et d’accueil. Nous ne permettrons pas qu’ils nous empêchent de l’être toujours. »

    Non seulement ils accueillent l’ennemi les bras ouverts, mais voilà que lorsque celui-ci frappe, ils osent encore insister sur leur complicité coupable. Pas la moindre mise en question, pas l’ombre d’une interrogation sur l’impossibilité de la société « multiculturelle » qu’ils ont eu le rêve fou de vouloir bâtir. Et le bâtir en faisant majoritairement appel, en Catalogne, à l’immigration arabe et musulmane, de préférence aux immigrés provenant de l’Amérique espagnole, qui ont, eux, le tort de parler la langue que les séparatistes haïssent et qu’ils voudraient voir disparaître de leur territoire. (C’est, d’ailleurs, peine perdue, car la plupart des « nouveaux Catalans » venus remplacer les anciens finissent, malgré les aides considérables qui leur sont allouées, par apprendre l’espagnol. Que voulez-vous ! Six millions de personnes en Catalogne, face aux 500 millions parlant l’espagnol de par le monde, ça fait quand même une petite différence !)

    C’est pour que les populations visées par les actes de guerre continuent à les considérer comme de simples attentats qu’il faut certes condamner, mais qui ne devraient nous faire tomber ni dans l’islamophobie ni dans le rejet de la fraternité multiculturelle, c’est pour cela que les autorités ont lancé ce soir des appels (inutiles, au demeurant) pour qu’on évite de faire circuler les images les plus frappantes de la tuerie. Mais les images ont circulé et circuleront. La censure n’a jamais empêché la vérité d’éclore ni les peuples de se révolter pour retrouver leur liberté et leur identité bafouées.

     Écrivain et journaliste espagnol El Manifiesto
  • Les immigrés de la Porte de la Chapelle, relogés secrètement dans le XVe arrondissement

    Philippe Goujon, le maire du XVe arrondissement, n'était pas au courant :

     "J’ai appris fortuitement qu’un camp de 500 migrants allait s’installer sur mon arrondissement, sur un site universitaire. Un camp avec des tentes de la Croix Rouge comme en Syrie ou au Liban ! Le préfet de région m’a dit qu’il n’avait pas trouvé d’autres sites en Île-de-France".

    Ce camp, installé rue Lacretelle, près de la porte de Versailles, a été mis en place pour désengorger celui de la porte de la Chapelle, dans le nord de la capitale.

    Ce matin, vendredi 18 août, près de 350 policiers ont évacué dans une trentaine de bus le millier de migrants qui stationnaient à la Chapelle. La veille, des ouvriers de chantiers installaient les toilettes dans le nouveau camp du XVe arrondissement.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Charlottesville : à qui profite le crime ?

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    Philippe Randa EuroLibertés cliquez ici

    Heureusement que la droite dite extrême existe ! Sinon, de quoi les médias parleraient-ils en cette période terriblement démunie d’actualité croustillante ?

    Samedi 12 août, à Charlottesville en Virginie d’Amérique, la « bête immonde » – telle que la plupart des médias politiquement correctes ont prises l’habitude de présenter tous ceux qui n’ont pas l’heur de leur plaire – avait appelé à un rassemblement pour protester contre le projet de retrait d’une statue du général confédéré Robert Lee.

    Héros des armées du Sud lors de la Guerre de Sécession, celui-ci est présenté – ô surprise ! – comme un défenseur de l’esclavagisme par les extrémistes de gauche, soit les « antiFas » qui, selon la définition qu’en donne l’encyclopédie Wikipédia, rassemblent skinheads communistes, trotskistes, communistes libertaires, autonomes, on en passe et des plus sympathiques encore.

    Ceux-ci n’entendaient pas laisser faire ceux-là : d’où des violences inévitables, des dizaines de blessés et même un mort parmi les contre-manifestants…

    Sautant sur cette macabre opportunité, les médias ont aussitôt titrés à l’unisson sur « les manifestations d’extrême droite qui ont dégénéré » (Le Monde), « la Marche raciste » (Libération), « les groupuscules de l’extrême droite américaine » (Le Parisien), etc.

    Personne ne fait toutefois remarquer que cette manifestation était parfaitement légale et autorisée (elle n’a été interdite qu’à partir des premiers incidents et avant la proclamation de l’état d’urgence) et que ces violences à l’évidence déplorables ne se seraient sans doute pas produites sans la présence de contre-manifestants dont les slogans ne sont guère moins haineux que ceux qu’ils entendent dénoncer chez les défenseurs de la mémoire du général Lee…

    Le président Trump ne s’y est visiblement pas trompé en renvoyant les deux camps dos à dos…

    Si les « antiFas » avaient respectés le droit de manifestation et la liberté d’expression, il n’y aurait pas eu plusieurs dizaines de blessés et un mort à Charlottesville… À moins que cela n’ait été, au contraire, le but recherché ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Macron-Défense : l’affaire Villiers n’est pas qu’une question de chiffres

    Par Roland Hureaux

    229464004.jpgAu delà des chiffres et des budgets, Roland Hureaux se livre ici [Causeur - 16.08] à une fine et exacte analyse du rapport personnel de l'actuel président de la République avec nos Armées. Rappelons que Roland Hureaux fut l'un des participants au colloque d'Action française du 7 mai 2016, à Paris, « Je suis royaliste, pourquoi pas vous ? »    LFAR

    Pour beaucoup, le différend qui a opposé le président Macron au général Pierre De Villiers, chef d’état-major des armées, pourrait être ramené à une question de chiffres, ce qui serait après tout normal s’agissant d’un président issu de I’Inspection des finances. Mais une telle approche serait bien réductrice.

    Question de chiffres : Macron avait promis dans son programme électoral de remonter le budget de la Défense à 2 % du PIB. Une promesse qu’avaient d’ailleurs faite aussi Marine le Pen et François Fillon. Comment Emmanuel Macron, adepte inconditionnel de l’OTAN, aurait-il pu proposer autre chose que le minimum que cette organisation a fixé et qui a été rappelé récemment par le président Trump. Mais 2%, c’est beaucoup, environ 44 milliards ; à un budget actuel de 32 milliards, il faudrait donc en ajouter 12.

    Autre chiffre, le déficit autorisé par l’Union européenne : 3 % du même PIB, soit 66 milliards qui sont déjà une tolérance, assortie de la promesse française de le ramener à zéro, jamais respectée par le gouvernement Hollande (dont Macron était le ministre des Finances). Ce n’est pas en effet en accumulant des déficits (et donc avec un supplément d’endettement de 3 % l’an) que l’on réduira une dette qui atteint aujourd’hui les 100 % du PIB. Il reste qu’Emmanuel Macron, qui a voulu entrer en fanfare sur la scène européenne, et pour qui les consignes de Bruxelles, comme les souhaits de Berlin,  sont la Loi et les prophètes, veut à tout prix, pour assurer sa crédibilité, redescendre à ce niveau. Il lui manque pour cela 8 milliards. L’habitude de Bercy dans ce cas-là est de ponctionner les ministères régaliens, à commencer par la Défense à qui, au lieu d’accorder 12 milliards, on demande 850 millions tout en gelant 2,7 milliards.

    Cette logique n’explique pas seule que le mécontentement des armées justement exprimé par leur chef d’état-major en commission de la Défense soit devenu une affaire d’Etat.

    Au-delà des chiffres, le choc des cultures

    On est surpris du degré de mépris dont le président Macron fait l’objet sur la toile dans de nombreux  textes, anonymes ou pas, issus de la communauté militaire. Nicolas Sarkozy et François Hollande, que les militaires n’aimaient pas beaucoup, n’ont jamais essuyé pareille hostilité. Et surtout pas moins de trois mois après leur prise de fonction.

    On peut faire la part des maladresses du nouveau président, de son absence de sensibilité militaire : même s’il fanfaronne ici ou là au milieu des troupes, il est le premier président à n’avoir pas fait de service militaire. La génération X-Y !

    Il faut cependant aller plus profond. La personnalité d’Emmanuel Macron rebute bien des gens, surtout dans les armées. Il porte avec lui un air de légèreté qui n’est pas vraiment le genre de la maison. Depuis la République romaine et sans doute avant, le chef militaire, confronté chaque jour à la mort, réalité ultime, est un homme grave. C’est cette gravitas, signe d’une maturité accomplie, que les militaires attendent du chef de l’Etat qui est aussi le chef des armées. Le moins qu’on puisse dire est que le nouveau président a, en la matière, des progrès à faire. Beaucoup, dans le grand public, ont été par exemple choqués par sa visite à Oradour-sur-Glane où il multipliait de tous côtés les poignées de main à la Chirac semblant confondre ce lieu de mémoire tragique avec un comice agricole.

    Sans doute sa vie privée n’appartient-elle qu’à lui. Mais pour exercer l’autorité, il faut donner le sentiment d’une personnalité accomplie. Or Jacques Lacan nous l’a enseigné, c’est la résolution du complexe d’Œdipe qui ouvre douloureusement le sujet au monde réel. Nous ne dirons pas qu’Emmanuel Macron ne l’a pas résolu. Mais en politique, seules les apparences comptent.

    Militaires contre idéologues

    Il y a plus : sur presque tous les sujets, Emmanuel Macron a fait campagne sur les marqueurs idéologiques qui, depuis 15 ans, définissent ce qui est politiquement correct :  Europe, libre-échange, dépassement de la nation (la France étant accusée par lui de « crime »), mépris des considérations   culturelles et ethniques par l’ouverture à l’immigration, antiracisme, non-discrimination, hyper-écologie, théorie du genre, vaccins à tout va, etc. Sur aucun sujet Macron n’a pris la moindre distance par rapport à la doxa dominante. Il s’est bien gardé aussi de désavouer celles qui ravagent des secteurs comme l’Education nationale (méthode globale) ou la justice (culture de l’excuse). Non pas parce que cela plaisait à ses électeurs, bien au contraire. Mais parce que cela plaisait à ces prescripteurs essentiels que sont les gens de médias, largement inféodés à l’idéologie.

    Presque tous les ministères ont aujourd’hui la leur, qui suscite généralement l’ire de populations pas toujours conscientes de ce qui leur arrive: l’Intérieur veut à toutes forces supprimer 30 000 petites communes, l’équipement veut interdire toute construction hors des périmètres déjà construits, quelles que soient les traditions locales, la Santé veut fonctionnariser la médecine libérale etc. Le ministère de la Défense n’est pas entièrement exempt de telles idéologies (qui ne sont généralement pas beaucoup plus que des idées simplistes jamais remises en cause), mais seulement en manière d’organisation, où les civils ont leur mot à dire : ainsi les bases de défense, répondant à la culture du regroupement, ont mis plus de désordre qu’elles n’ont fait d’économies. Mais dans l’ensemble le ministère de la Défense demeure relativement préservé de l’idéologie. La raison : les engagements opérationnels multiples dans lesquels nos armées sont impliquées permettent un retour d’expérience constant, ce qui n’est pas le cas dans la plupart des administrations civiles. « Quand le canon tonne, les cons se taisent », dit un vieux dicton militaire. Les idéologues aussi, l’idéologie ayant pour caractère de faire perdre le sens du réel, éminemment nécessaire au combat.

    Il semble que l’idéologie et le déficit œdipien aillent ensemble. C’est l’immaturité qui explique le succès des idéologies, particulièrement dans une classe intellectuelle ou médiatique plus à l’abri que le peuple du contact direct avec le réel, parfois si dur. Sur ce chapitre, Emmanuel Macron est bien un enfant du siècle.  

    est essayiste.
  • CORRUPTION INOUÏE DE L’ÉDUCATION NATIONAL par Claire COLOMBI