La vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.
On a tort de se prendre le chou : la vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.
Donc, les Françaises, cette année, ont fait moins de bébés : la natalité a baissé de 2,75 % sur les neuf premiers mois de l’année, ce qui constitue, paraît-il, le chiffre le plus bas depuis 1999. Là, je glisse une petite parenthèse : si les chiffres étaient bas en 1999, c’est parce que les Français ont majoritairement sauté en marche, réservant leurs gamètes pour le passage à l’an 2000… À corréler sans doute avec le boom sur la vente de préservatifs, mais c’est une donnée qui n’intéresse pas nos statisticiens.
anti-national - Page 822
-
C’est dit : moins de bébés = plus d’immigrés
-
Totem et tabou
Manuel Valls répondait hier à l’invitation des étudiants de Sciences Po Paris pour débattre sur le thème de «la réforme». Le Premier ministre n’a pas occulté des discussions une vieille promesse de la gauche, celle du droit de vote des immigrés, déjà contenue dans la programme de François Mitterrand et qui figurait aussi en bonne place dans celui de François Hollande. Le Monde a rapporté le sentiment de M. Valls sur cette question: «cette réforme ne peut pas se faire faute d’une majorité qualifiée, mais elle n’est plus une priorité car le vrai sujet est de renouer avec la naturalisation, ajoutant qu’il est convaincu qu’elle ne sera pas proposée à la prochaine présidentielle. Il ne faut pas courir derrière des totems… ». M Valls qui connait la charge hautement symbolique de ce totem qu’est le droit de vote des immigrés (et son rejet par nos compatriotes), est en effet un adepte affiché de la naturalisation. Un moyen pratique pour escamoter la réalité de la poursuite de l’immigration de peuplement en fabriquant des Français de papier. Avec certainement aussi l’espoir que ses nouveaux citoyens manifestent dans les urnes leur reconnaissance à la gauche…Le Premier ministre s’était d’ores et déjà officiellement réjoui, en début d’année dernière, de la hausse de 14% (de juin 2012 à juillet 2013) du nombre des naturalisations…
Dans ce contexte d’immigration massive, la France, qui s’honore du taux de fécondité le plus important de l’UE, a enregistré un tassement très sensible des naissances. Lors des neuf premiers mois de l’année 2015, au 30 septembre, ce sont 16000 bébés qui manquent à l’appel en France métropolitaine, soit une baisse de 2,75%, par rapport à la même période en 2014. Une chute qui ramènerait le niveau des naissances à celui de 1999. « Dans un pays où le taux de fécondité triomphant est souvent le dernier indicateur du bonheur de vivre en France, la perspective de passer en dessous du symbolique deux enfants par femme ne manquera pas de faire frémir » est-il écrit dans Le parisien.
Dans les faits, nous savons bien, mais nous touchons là aussi à un tabou, que cette relative bonne santé de la démographie française, qui permet cependant tout juste d’assurer le renouvellement des générations, est artificiellement portée par le taux de fécondité des femmes originaires du continent africain. Depuis le décret du 29 avril 1976 autorisant le regroupement familial, jamais remis en cause par l’alternance droite-gauche au pouvoir, c’est bien à une entreprise d’effacement du peuple premier français, plus ou moins délibéré, à laquelle nous assistons.
Outre l’absence d’une politique d’accueil de la vie, de mesures alternatives à l’avortement (200 000 IVG pratiquées tous les ans) il n’y a pas en France, depuis les années 60, malgré ce qui est affirmé ici ou là, une volonté nataliste visant à encourager une démographie autochtone. Les familles sont au contraire attaquées, tapées au portefeuille comme on le voit notamment avec la réduction des allocations familiales pour les couples qui travaillent, l’abaissement du quotient familial…
Face à une Europe vieillissante, désarmée par les dogmes mondialistes, dont les peuples sont sciemment dévirilisés, privés des repères, des valeurs qui ont fait la force et la gloire de notre civilisation, invités à communier dans la culpabilité et la haine de soi, la croissance vertigineuse des populations, notamment musulmanes, sur le continent africain, et dans de très nombreux pays asiatiques, est un défi démographique, géopolitique majeur.
Le site Algérie Focus notait ainsi le 2 novembre que «la plus grande menace qui risque de mettre en péril l’avenir de l’Algérie» n’est pas « la succession difficile d’Abdelaziz Bouteflika» mais «plutôt la bombe démographique », « explique Roland Lombardi, consultant indépendant, analyste et chercheur associé à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman d’Aix-Marseille Université (IREMAM).
« Celle-ci pourrait avoir des conséquences dramatiques, prévient-il. En 2014, il y a eu 1 million de naissance. En 2025, la population algérienne dépassera les 50 millions d’habitants et 70 % d’entre eux seront en âge de travailler. Qu’en sera-t-il alors de la rente pétrolière et de l’économie algérienne sans des réformes de fond si nécessaires ?, s’interroge le chercheur français qui prévient d’ores et déjà les autorités algériennes : «La demande (et la colère ?) sociale risque alors d’exploser».
«Et une Algérie déstabilisée serait catastrophique pour la région mais aussi pour la France. Comme dans les années 1990, il y aura inévitablement des répercussions sur notre territoire et surtout, nous risquons d’être alors confrontés au même scénario que nous connaissons actuellement avec les milliers de migrants qui traversent chaque jour la Méditerranée…mais puissance dix !».
La question est cruciale : les Français, nos voisins européens sauront-ils confier demain la barre de leur pays à des dirigeants patriotes courageux, lucides, aux mains fermes, animés par la hauteur de vue nécessaire, conditions indispensables pour échapper aux périls qui menacent de submersion notre vieille Europe ?
Bruno Gollnisch l’a dit et répété, les cénacles bruxellois, les officines mondialistes, mais aussi une classe politicienne française devenue incapable de ressentir un lien charnel avec notre pays et notre peuple, tablent sur la poursuite de l’immigration de peuplement. Ils entendent ainsi enrayer le déclin démographique et atténuer les effets sociaux et économiques du vieillissement de la population européenne. C’est là une politique suicidaire et de courte vue, puisque ce type remède achèvera le malade…à moins que cela ne soit le but poursuivi.
Nous citions dernièrement Jean-Yves Le Gallou sur les vraies raisons de la diabolisation de l’opposition nationale. A la lumière de ce que nous venons d’exposer, et dans la perspectives des joutes électorales présentes et à venir, il n’est pas inutile de rappeler ses propos: «contrairement à ce que pense l’immense majorité des commentateurs, la diabolisation est moins la conséquence d’erreurs, d’imprudences ou de maladresses que la volonté systématique du Système. »
«Quiconque veut lutter contre l’immigration est qualifié d’extrême droite et diabolisé partout en Europe. D’ailleurs le premier homme politique qui ait subi ce traitement médiatique et politique n’est pas Jean-Marie Le Pen. C’est un Anglais, Enoch Powell, ancien d’Oxford, helléniste, qui n’a jamais commis le moindre dérapage, mais qui a dénoncé dès 1968, dans un discours à Birmingham, les dangers de l’immigration. De sa part, ce n’était pas une erreur, encore moins une faute. C’était un acte de courage qui lui a coûté sa réputation et sa carrière politique. La question de l’immigration est bien le nœud de la diabolisation ». Et la réponse à celle-ci la condition de notre avenir.
http://gollnisch.com/2015/11/04/totem-et-tabou/ -
Toute sa vie, Christiane Taubira a détesté la nation, l'Etat et l'autorité
Henri Guaino à propos de Christiane Taubira :
"Elle a le droit d'avoir son idéologie, mais pour venir me donner des leçons après sur les institutions de la République et sur le sens de l'Etat, c'est un peu fort (...)
Toute sa vie, elle a détesté la nation, détesté l'Etat, détesté l'autorité. Regardez sa vie de militante, elle ne s'en est jamais cachée. Elle a un passé, elle a une idéologie. Elle a d'ailleurs milité pour l'indépendance de la Guyane, pardonnez-moi, ce n'était pas un amour immodéré pour la France"
Au moins, c'est dit!
-
Que de mensonges sur les destinataires des armements us en Syrie !
Entre les mains de qui donc ont atterri la cinquantaine de tonnes d’armes et de munitions américaines larguées par avion, et les centaines d’antichar TOW dépêchés par d’autres voies.
Une question légitime sachant que la plupart des milices en Syrie combattent soit avec Daesh, soit avec le front al-Nosra, toutes deux émanation de la nébuleuse wahhabite takfiriste Al-Qaïda.
Une question dont la réponse peut paraitre difficile car les protagonistes concernés, les envoyeurs, lui donnent des réponses contradictoires, voire mensongères.
FSD ou Coalaition arabe
Curieusement, depuis la nouvelle du largage, de nouvelles milices ont vu le jour. Celle qui revient le plus souvent est la coalition des Forces de la Syrie démocratique (FSD).
La chaine satellitaire pro saoudienne al-Arabiyyat a fait état qu’elle était la destinataire des armements américains largués dimanche dernier.
Justement, ce jour-là, les dirigeants militaires de cette pseudo-coalition se sont manifestés.
Elle serait formée de quelque 13 factions, kurdes, syriaques et arabes.
Une source informée a assuré pour al-Akhbar que ce sont les unités kurdes qui en constituent la colonne vertébrale, et qu’elles ont décidé de faire participer dans ses rangs des groupuscules arabes pour lui donner un caractère syrien et alléger les pressions que les Turcs pourraient exercer sur les USA.
Déclaration qui va dans le même sens que les propos du porte-parole du Pentagone Peter Cook qui a supposé qu'une partie des munitions larguées dans la province syrienne d'Hassaké aurait pu tomber entre les mains des Kurdes combattant Daesh.
Un peu de tout
Dans les noms de ces milices publiés par le journal libanais al-Akhbar, elle comporte un peu de tout : la milice kurde Unités de protection du peuple (kurde), celle du Conseil militaire syriaque et de la Brigade des Seljukides. Elles semblent être destinées à représenter les minorités syriennes. Et il y a aussi celle baptisée Unités de la protection de la femme, censée représenter les femmes syriennes (faut-il supposer).
Sont également cités Chams al-Chamal (soleil du nord), Souwwar Raqqa (les révolutionnaires de Raqqa), Brigade de la libération, Bataillon-99. Des milices inconnues ou sans assise et qui devraient a fortiori servir à remplir la liste.
Quatre autres milices ont également été signalées séparément ce dimanche-là : Forces Sanadid, Bourkane al-Fourat (Volcan de l’Euphrate), Rassemblement des brigades al-Jazira, et l’Armée des révolutionnaires (qui comprend le front des Kurdes, le bataillon 99, les Opérations spéciales 455, Ahrar alZawiya, Bataillon Sultan Selim, Brigade des martyr d’Atareb, ).
Coalition arabe à composante kurde
Or dans sa réunion de jeudi, FSD est sortie avec une autre version de la distribution de ses milices, rendant compte de la présence d’une formation qui s’appelle la Coalition arabe syrienne. Il s’avère que celle-ci rassemble les quatres milices précitées et où la composante kurde est importante: dans l’Armée des révolutionnaires, et dans les Brigades d’al-Jazira au moins.
On ne comprend pas comment se fait il qu’elle soit arabe.
Le contenu du communiqué fondateur qui a indiqué comme objectif des FSD de combattre les forces qui sont l’ennemi du peuple syrien et à leur tête Daesh et de remercier la coalition internationale et à sa tête les États-Unis, n’explique pas assez les raisons de ce remaniement des milices.
il faut croire que les avertissements kurdes peuvent le faire. En effet, au lendemain du largage des armements us, Ankara a haussé le ton, mettant en garde aussi bien les Américains que les Russes contre toute tentative d’armer les Kurdes.
C’est au lendemain de ces avertissements que la Coalition arabe syrienne a vu le jour, dans les déclarations des dirigeants américains .
Mensonges us et mensonges saoudiens
"Les munitions larguées depuis des avions cargo C-17 ont été reçues par des groupes arabes, dont les chefs ont été soigneusement vérifiés. Ces groupes font partie de la +Coalition arabe syrienne+ qui mène des combats dans le nord-est de la Syrie où se trouve le bastion de l'EI", a annoncé à RIA Novosti un représentant du service de presse du Pentagone sans mentionner les peshmergas (combattants kurdes).
On se sait qui des reponsables américains faut-il croire.
Concernant les TOW, on constate la même approche mensongère de la part de l’Arabie saoudite qui les envoie avec le feu vert américain.
« Les bénéficiaires seront l’Armée de la conquête, l’Armée syrienne libre et le Front Sud, mais pas Al Nosra (= Al-Qaïda) ni l’Etat Islamique (Daesh) », a dit un responsable saoudien pour la BBC sous le couvert de l'anonymat. (Source RT)
Or la milice du front al-Nosra combat aussi bien dans l’armée de la conquête dont l’appellation arabe est Jaïch al-Fateh que dans le front du sud.
Alors que l'Armée syrienne libre, n'existe presque plus. la preuve, elle n'a même pas été signalée dans la coalition FSD.
Une fois les mensonges décortiqués, il devient certes facile de deviner qui sont les destinataires des armements américains en Syrie !
source : Al manar :: lien
http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuVEAEpVplOGvZZfm.shtml
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, géopolitique, international, islamisme, lobby 0 commentaire -
Guerre en Syrie : l’autre propagande
La majorité des commentaires journalistiques sur la guerre en Syrie s’accompagne de doigts pointés sur des cartes permettant, paraît-il, de se faire une idée précise sur la situation des combats. Des cartes faussées, selon le docteur et chercheur associé à l’université d’Aix-Marseille, Olivier Hanne.
Généralement, les zones contrôlées par le régime de Damas sont en rouge, celles de Dae’ch en noir (forcément), les espaces kurdes en violet, et enfin les zones rebelles en jaune. On nous propose ainsi une géographie militaire et politique à peu près claire. Les nombreuses critiques formulées contre les frappes aériennes russes des 30 septembre et 1er octobre s’inspiraient de ces mêmes cartes montrant, de toute évidence, que les Russes avaient ciblé des zones rebelles et non les espaces de Dae’ch.
En réalité, cette cartographie courante n’a qu’une seule source : l’Institute for the Study of War (ISW), un think tank américain fondé en 2007 visant, sous couvert d’études stratégiques objectives et argumentées, à fournir des éléments justificatifs à la diplomatie militaire américaine.
C’est ce même institut qui, dans ses cartes d’implantation de l’État islamique (EI), présente généralement les territoires concernés sous trois appellations : “zones sous contrôle de l’EI”, réduites à de minces fils comme ceux d’une toile d’araignée ; “zones d’attaques récurrentes de l’EI” et “zones de soutien de l’EI”. Or, personne d’autre que Dae’ch n’a d’autorité sur ces deux derniers espaces. Ces “zones de soutien” sont plus qu’un réservoir de terres à conquérir, elles sont de facto les territoires de Dae’ch. Les réduire à de simples lignes le long des axes n’a aucun sens, puisque les espaces interstitiels ne relèvent ni de Bagdad ni de Damas, mais seulement du califat. Ce faisant, l’ISW minimise l’influence réelle de Dae’ch.
Concernant la guerre en Syrie, cette cartographie fautive ignore totalement la réalité : chaque katiba (groupe combattant), chaque village et même chaque individu, obéit à plusieurs allégeances à la fois et à plusieurs intérêts. Sur le terrain, les djihadistes ferment les yeux sur leur idéologie et se font payer pour laisser passer du matériel ou des gens, même armés. Des soldats de l’armée syrienne passent d’un camp à l’autre pour protéger leur famille, sans être des fidèles du régime ni du parti Baas. Enfin, les fameuses zones “jaunes”, où les rebelles sont tous mis sous une même étiquette par l’ISW, correspondent à des nébuleuses infinies de djihadistes, de mercenaires, parfois liés à Jabhat al-Nosra, parfois à des milices formées par l’armée américaine ayant aussitôt [....]
La suite sur Valeurs Actuelles
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Guerre-en-Syrie-l-autre-propagande
-
La majorité des Allemands ne veut plus aucun réfugié supplémentaire
La majorité des Allemands ne veut plus aucun réfugié supplémentaire
Tendance claire dans la crise des réfugiés : deux tiers des Allemands ne croient plus à la promesse de Merkel que « Nous allons réussir ».
Ils ne sont plus qu’un sur cinq à croire que l’Allemagne peut encore accueillir d’autres demandeurs d’asile. Les partis de l’Union perdent les faveurs des électeurs.
Face à la hausse du nombre de réfugiés en Allemagne, la volonté de la population de les accueillir s’évanouit. Selon une enquête représentative de l’institut de sondage YouGov, 56% des citoyens allemands considèrent que le nombre de demandeurs d’asile est trop élevé. Mi-septembre, 46% des sondés étaient de cet avis. A l’inverse, ils ne sont plus que 19% à penser que l’Allemagne peut encore accueillir des demandeurs d’asile. Auparavant, ils étaient 28%.
Selon cette enquête, un tiers seulement des citoyens (32%) partagent aujourd’hui l’opinion de la chancelière fédérale Angela Merkel (CDU), qui a affirmé à plusieurs reprises, en considérant le nombre élevé de réfugiés mais aussi leur accueil et leur soutien matériel : « Nous allons réussir ». Début septembre, ils étaient encore 43%. 64% des sondés pensent désormais que cette affirmation est infondée.
« La perte de confiance affaiblit l’Union »
Selon un autre sondage, les partis de l’Union perdent également les faveurs des électeurs. D’après le « Meinungstrend » de l’institut INSA, dont la Bild-Zeitung rend compte mercredi, la CDU et la CSU atteignent leur point le plus bas depuis l‘élection au Bundestag de 2013. Si l’on votait dimanche, les partis de l’Union atteindraient 38%. C’est un point de moins que la semaine précédente. Lors de l’élection, CDU et CSU avaient rassemblé ensemble 41,5% des voix. Le patron d’INSA, Hermann Bunkert, a déclaré au journal : « Avec sa politique des réfugiés, la chancelière perd la confiance. Cette perte de confiance affaiblit l’Union. »
Le SPD, désormais à 24,5%, les Verts à 10% et l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) à 6,5% gagnent chacun un point. Die Linke perd un point et atteint 9%. Le FDP stagne à 5%. Pour ce sondage « Meinungstrend » de l’institut INSA, 2190 électeurs ont été interrogés entre le 9 et le 12 octobre 2015.
Frankfurter Allgemeine Zeitung
14/10/2015Source : Frankfurter Allgemeine Zeitung (14/10/2015)
Titre original : Mehrheit will keine weiteren Flüchtlinge
Traduction : F.S.
http://www.polemia.com/la-majorite-des-allemands-ne-veut-plus-aucun-refugie-supplementaire/
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, Europe et Union européenne, immigration, lobby 0 commentaire -
Irreal politik
Real politik : être contre. Tel est l’un des principaux critères du bien-penser. Il s’accompagne d’ordinaire de la condamnation de la politique gaullienne. Par une fine dialectique, le refus hautain de la real politik se fit au nom de la réalité qui convenait à la classe dirigeante : celle d’une France toute petite, qui avait vécu « au-dessus de ses moyens ».
Valéry Giscard d’Estaing lança cette thématique ; elle fut reprise par une gauche qui voulait recycler son internationalisme et son pacifisme dans l’Europe des traités. La gent socialiste broda sur « l’Etat modeste », les droits de l’homme, le droit d’ingérence humanitaire contre « l’égoïsme national » – sans oublier « l’Europe qui doit parler d’une seule voix ». C’est cet assemblage de sous-produits idéologiques qui tient lieu de doctrine dans les relations avec l’étranger. L’oligarchie française s’est imprégnée de la religiosité étatsunienne, de la « guerre morale » du Bien contre le Mal, en vue de la démocratie par l’économie de marché. L’échec est total : les conséquences de l’irreal politik ont été cent fois pires que les froids compromis de la real politik.
Après l’opposition à la croisade américaine en Irak clairement exprimée par Jacques Chirac et Dominique de Villepin en 2003, les gouvernements français n’ont plus rien empêché et ont fini par tout admettre. Le dénigrement de la Russie est une activité officielle. Après avoir stupidement participé à la « guerre morale » pour le Kosovo, la France n’a plus eu de politique dans les Balkans livrés aux potentats locaux, aux proconsuls occidentaux et à la corruption endémique. Nous venons d’abandonner l’Afghanistan à son épouvantable sort. Avec l’Arabie saoudite et le Qatar, les principes moraux et démocratiques ont été sacrifiés sans l’ombre d’un scrupule à des accords commerciaux rentables et à des pactes infâmes dont les historiens nous livreront le détail. En Syrie, François Hollande et Laurent Fabius ont levé l’étendard de la lutte contre le despotisme et fourni des armes au Front al-Nosra, succursale d’Al-Qaida, contre le dictateur de Damas. Lorsque le projet de frappes sur Damas a été bloqué par le vote du Congrès des Etats-Unis, des interrogations majeures auraient dû surgir. Tel n’a pas été le cas. L’aviation française bombarde Daech en Irak de manière supplétive et sans effets marquants. Nous décidons de bombardements en Syrie, au mépris du droit international, tout en continuant de militer pour le départ de Bachar el-Assad ; François Hollande ne voit pas que les Etats-Unis vont s’entendre avec la Russie et s’accommoder du régime syrien faute de solution alternative. [.....]
La suite sur le blog de Bertrand Renouvin
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, géopolitique, international, lobby 0 commentaire -
Brest : manif contre la mosquée salafiste, l’extrême-gauche soutient l’imam
Les mouvements ADSAV (parti du peuple breton) et Résistance républicaineont manifesté samedi pour exiger la fermeture de la mosquée salafiste Sunna. Face à eux, les « antifas », soutiens objectifs de l’imam intégriste.
Près de 300 personnes (150, selon la police), mobilisés par les mouvements ADSAV(parti du peuple breton) et Résistance républicaine se sont réunis au cri de « on est chez nous » et de la Marseillaise pour exiger la fermeture de la mosquée Sunna. Celle-ci est dirigée par l’imam Rachid Abou Houdeyfa. Pur représentant du salafisme, cet imam prêche naturellement pour le voile islamique, la soumission de la femme et le caractère incompatible de la Charia avec les lois de la république. L’imam en question a récemment défrayé la chronique avec la diffusion d’un se ses prêches auprès des enfants, portant sur la musique
« Allah n’aime pas la musique parce que c’est le diable qui l’aime », ajoutant que « ceux qui chantent, le prophète dit qu’ils seront engloutis sous la terre, transformés en singes ou en porcs ».Nous assistons à un endoctrinement des enfants, comme dans des sectes, le préfet et le procureur doivent réagir !
a affirmé lors d’une prise de parole Ronan Le Gall, porte-parole d’ADSAV. Interrogé le 30 septembre sur l’antenne de France Bleu Breizh Izel, Anouar Kbibech, nouveau président du Conseil français du culte musulman, avait jugé « ahurissant » le fait de tenir de tels propos devant des enfants, ajoutant que cette affaire « posait la question de l’habilitation des imams en France ».
Fidèles à leurs réflexes pavloviens, les mouvements d’extrême-gauche ont organisé une contre-manifestation rassemblant quelques dizaines de personnes (une centaine selon la police). Exercice toujours délicat pour eux de s’opposer à « l’extrême-droite » sans pour autant paraître cautionner les salafistes, ils disent « ne pas cautionner les propos de l’imam », mais se positionner « contre l’instrumentalisation raciste et islamophobe qui en est faite ». De fait, par leur refus de condamner et combattre l’obscurantisme islamique (alors qu’au nom de la « laïcité », ils combattent avec virulence toute expression catholique dans l’espace public) ils jouent les idiots utiles de l’islamisation.
Les deux rassemblements se sont retrouvés face-à-face dans une ambiance tendue, échangeant slogans et insultes, mais un cordon de CRS et de policiers a empêché tout contact entre les groupes opposés.
Résistance républicaine et Adsav prennent la parole "contre l'islamiste radical" pic.twitter.com/UsRcA7Qqni
— AnneCécileJuillet✏️ (@AnneCeJuillet) 10 Octobre 2015
Brest : première manif française contre une mosquée salafiste:http://t.co/1xTQPzVVTe via @1ripostelaique
— jeanjejean (@jeanjejean83) October 10, 2015
@numquam_desiste Contre-manif à Brest: les muzz n'ont même pas besoin de se déranger: leurs toutous gauchistes idiots-utiles sont à l'appel
— Le manant de base (@Lemanantdebase) October 10, 2015
#Brestselon police 150 manif. anti-mosquée et 100aine d'extrême gauche. Les cortèges sont dispersés. Vidéo 2 à 12h :pic.twitter.com/iwv6TQKLud
— Bleu Breizh Izel (@Francebleubzh)October 10, 2015
-
Propagande sur l'avortement : Choisir la vie contre-attaque
Virginie Mercier, responsable de la communication de l’association, a répondu à Anne Isabeth dans Présent à propos de la dernière campagne pro-avortement lancée par le gouvernement :
"Ce qui nous a frappés est la déshumanistation totale des visuels. Vous avez remarqué que l’on ne voit aucun visage ? Pas un seul visage de femme, alors que le gouvernement revendique se battre pour le droit des femmes. On ne voit que des bouts de peau tatouée « mon corps, mon choix, mon droit ». Un tatouage n’est rien en comparaison de cette cicatrice qu’est l’avortement. Et, bien évidemment, l’enfant est absent de ce visuel. La campagne ne parle que de droit, de liberté. Passant sous silence la liberté de ces enfants à naître, niant la réalité de l’avortement, réalité physique et psychologique.
Que comptez-vous faire ?
Nous avons choisi de répliquer en lançant notre propre campagne de visuels. Mais celle-ci montrera des visages d’enfants avec cette phrase : « Ma liberté de vivre, mon corps, mon choix. » Et puis, nous continuons de dénoncer l’acharnement idéologique – parce que c’en est un ! – du gouvernement à promouvoir toujours plus l’avortement, face à un nombre d’avortements qui ne baisse pas. Aujourd’hui, le site du gouvernement ne donne pas accès à la réalité objective de l’avortement. [...]
Quand aura lieu la prochaine Marche pour la vie ?
Le 24 janvier prochain à Paris. Nous l’axerons sur la vérité de ce qu’est l’avortement. Plusieurs femmes, qui ont avorté et le regrettent, viendront donner leur témoignage. Il y aura aussi beaucoup de médecins. Venez nombreux. Et venez nous aider : nous aurons besoin de bénévoles pour la sécurité et la logistique le jour de la Marche."
-
"Tuer mon enfant, c'est mon droit"
Marisol Touraine, ministre de la Santé et du meurtre légal de l'enfant à naître, a annoncé le lancement d’un numéro de téléphone pour informer « de manière objective » les femmes sur l'interruption volontaire de grossesse.
Yves Daoudal rappelle que c'est un mensonge :
"ce n’est déjà pas objectif de parler d’interruption de grossesse. C’est un mensonge patent, puisque ce qui est interrompu peut être repris, alors que l’avortement est définitif, et définitivement un meurtre."
Et avorter n'est pas « un droit depuis un peu plus de 40 ans ». En 1975, l’avortement était seulement dépénalisé.
Soyons objectifs comme le demande le ministre : plutôt que d'écrire "L'IVG c'est mon droit", écrivons : "Tuer mon enfant, c'est mon droit". Ou à la place de "Mon corps m'appartient", écrivons : "la vie et la mort de mon enfant m'appartiennent".