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anti-national - Page 822

  • IVG : l’autre dossier tabou

    L’avortement est un sujet dont il est impossible de débattre. Ce qui tend d’ailleurs à démontrer qu’il s’agit de tout sauf d’un acte banal.

    La question de l’avortement est un sujet dont il est impossible de débattre. Ce qui tend, d’ailleurs, à démontrer qu’il s’agit de tout sauf d’un acte banal.

    Pour ses partisans, c’est un droit absolu : celui des femmes à disposer de leur corps. Ils ne peuvent même plus concevoir que d’autres soient d’un avis opposé dont l’expression est inacceptable. Or, force est de reconnaître que les associations pro-vie tiennent un discours qui tient en deux idées fortes : défense de la vie, respect des personnes.

    Mais lorsque l’idéologie prime sur le réel, les idéologues mettent en place tous les moyens utiles pour empêcher leurs adversaires d’exister. C’est le sinistre « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » dont on connaît les résultats depuis la Terreur. Et, en la matière, nos idéologues ne font pas dans la dentelle.

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  • Burkini, terrorisme et invasion, même combat – Par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Le ”burkini”, néologisme issu de ”burqa” et de ”bikini”, est donc un vêtement intégral pour les bains de mer des femmes musulmanes immigrées. Il est curieusement apparu sur les plages françaises du midi après la vague d’attentats musulmans (arrêtons de dire ”islamistes”) de l’été 2016. Ce n’est pas une coïncidence. (1)

    François d’Orcival a formulé l’analyse la plus lucide : « l’offensive des burkinis a commencé dès le lendemain de l’assassinat du père Jacques Hamel et moins de deux semaines après la tuerie de Nice. Qu’est–ce–que cela veut dire ? Ceci : si vous, Français mécréants, ne voulez pas être victimes de la barbarie, alors respectez la susceptibilité des musulmans, acceptez-les tels qu’ils veulent être, avec leurs coutumes et leurs pratiques, leurs tenues vestimentaires et règles alimentaires, oubliez votre satanée laïcité républicaine, méfiez–vous… » (Valeurs actuelles, 25–31/08/2016)

    Le Conseil d’État, agent objectif de l’islamisation

    Le Conseil d’État a donc invalidé la décision de maires de la Côte d’Azur d’interdire le burkini sur les plages. Au nom de la ”liberté” et des Droits de l’homme. Les partisans du djihad se frottent les mains. Selon le Conseil d’État, interdire le ”burkini ” est « une atteinte grave aux libertés fondamentales ».

    La Ligue des droits de l’homme (LDH) et le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), qui est un groupe de pression musulman radical d’islamisation agressive, sont à l’origine de la saisine du Conseil d’État. La LDH est dans son rôle traditionnel de déconstruction de l’identité française et européenne. (2) Le CCIF est le chef d’orchestre de l’affaire des burkinis. Cette association, proche des Frères musulmans, « envenime les situations, imposant sa grille de lecture d’une France raciste et antimusulmane » explique Mohamed Louizi, ancien membre des Frères musulmans qu’il a quittés. Le but offensif du CCIF, qui ne cesse de dénoncer la ”stigmatisation” dont seraient victimes les musulmans, est de faire abroger les lois sur le voile à l’école et sur la burqa, ainsi que de faire appliquer progressivement la loi coranique, la charia, en France.

    Interdire le burkini, comme d’ailleurs le voile noir intégral, reviendrait, selon l’opinion des New York Times et Washington Post, à commettre un attentat intolérable contre les libertés individuelles. Le Monde et Libération étaient évidemment sur la même ligne. Le Conseil d’État a suivi cette opinion. Qu’on ne raconte pas qu’il a légiféré selon le droit. Il a légiféré selon l’idéologie ; cette idéologie immigrationniste et islamophile qui vise la destruction du peuple français autochtone comme de ses voisins européens.

    L’ONU est une organisation qui a toujours été favorable à l’invasion migratoire de l’Europe et a toujours défendu les pays arabo-musulmans contre Israël. Son Haut-Commissariat a dénoncé les arrêtés municipaux anti burkini, les qualifiant de « réaction stupide ». La complicité avec l’invasion et l’islamisation de l’Europe est, là encore, évidente.

    Sous des arguties juridiques – absence de troubles à l’ordre public du fait du port du burkini et restriction illégale de la liberté de se vêtir – le Conseil d’ État, en cassant la décision du tribunal administratif de valider l’interdiction municipale de ce burkini, confirme ses positions idéologiques pro–islamisation et pro-immigration. Il est, tout comme bien d’autres institutions judiciaires ou constitutionnelles françaises et européenne, un agent objectif de l’invasion migratoire et de l’islamisation. Un des conseillers d’État cosignataires de l’arrêt, M. Thierry Tuot, est connu pour des positions militantes délirantes pro-immigration et islamophiles. Le Conseil d’État a été dans cette affaire l’ennemi du peuple français, au nom duquel il juge pourtant.

    Le Conseil d’État a donné un signe fort aux djihadistes : au nom des Droits de l’homme, vous avez le droit de nous envahir, d’occuper de plus en plus notre espace public et nous n’avons pas le droit de vous en empêcher.

    La stratégie de l’affaire du burkini : l’intimidation provocatrice

    Le diable se cache dans les détails. D’apparence insignifiante, l’affaire du burkini est de même nature que les revendications du voile partiel ou intégral, des menus halals, des salles de prière dans les lieux de travail, etc. En réalité, au même titre que les attentats ils font partie du djihad, cette guerre de conquête que mènent les musulmans.

    La défense de la ”laïcité” a été invoquée pour interdire le burkini ou le voile intégral. Mais en réalité, cela va bien plus loin que la laïcité ou le respect de l’égalité hommes-femmes. Il s’agit d’un défi lancé à notre identité. La multiplication dans l’espace public de femmes instrumentalisées, voilées dans les rues ou en ”burkini” sur les plages, relève d’un défi ethnique, d’une stratégie d’intimidation : s’afficher comme envahisseurs et occupants à travers une démonstration vestimentaire. D’ailleurs, on remarquera que les hommes font de même : Maghrébins et Africains s’exhibent de plus en plus dans des tenues ”traditionnelles” arabes ou sub-sahariennes. Ce n’est pas innocent.

    Cette ”opération burkini”, évidemment concoctée par les réseaux arabo-musulmans, dont au premier chef le CCIF, est une provocation pure ; car auparavant, les musulmanes voilées et pudibondes (sur ordre de leurs maris) ne fréquentaient pas les plages, et, pour les autres se baignaient en maillot.

    Les incidents de Corse, impliquant le burkini comme prétexte, sont le résultat d’agressions des Maghrébins, avec tentative de privatisation d’une plage, symbole de conquête territoriale avec violences racistes contre des Corses. L’offensive se pare toujours d’une posture défensive. L’agresseur se prétend victime, le raciste antiraciste.

    Il s’agit à la fois d’une menace et d’un test. Pour évaluer notre niveau de résistance. Provocation : comme pour le voile et la burqa, le message est : on est là, de plus en plus nombreux, visibles dans l’espace public. Le Conseil d’État ayant invalidé les arrêts anti–burkini, sa décision a été comprise comme une victoire : ”vous pouvez faire ce que vous voulez, on a peur de vous et on se réfugie derrière le prétexte des Droits de l‘homme et de la liberté”. L’envahisseur éclate de rire.

    Valérie Pécresse, présidente (LR) de la région Île–de–France a réagi : « ce n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, mais un projet politique, un projet de contre–société ». Elle évoque des « pratiques communautaires radicales ». Bonne analyse, mais il faut aller plus loin : l’affaire, en apparence anodine du burkini, participe d’un projet de guerre et d’invasion. Le message des envahisseurs est : ”chez vous, nous sommes chez nous et vous serez de moins en moins chez vous”. Mitterrand, ce collabo invétéré, (du vichysme au socialo–immigrationnisme) avait déclaré : « ils sont chez eux chez nous ». Les dirigeants français, surtout de gauche, ont toujours eu cette fibre pathologique de collaboration suicidaire avec les envahisseurs.

    Les musulmans font cette provocation afin de susciter une réponse répressive et d’obtenir à la fin une victoire, comme celle que leur a offerte sur un plateau les magistrats du Conseil d’État.

    Se revendiquer, s’afficher, intimider, montrer son omniprésence, faire sentir un processus d’invasion ethnique dans des domaines toujours nouveaux, tel est le rôle dévolu à cette stratégie du burkini.

    Le coup du burkini est très habile – et pervers – de la part des arabo-musulmans. Effectivement, ces femmes qui se baignent dans la mer complètement couvertes ne menacent pas la sécurité et, finalement, au nom de la liberté, cette provocation est un piège.

    Personne, par exemple, ne pourrait empêcher quelqu’un de se baigner habillé en costume cravate dans la mer – au nom de la liberté.

    Mais il est stupide, et très désagréable, franchement, de se baigner tout habillé. Ce qui prouve que les femmes musulmanes qui le font (sur ordre évidemment, puisqu’elles sont soumises) n’accomplissent ce geste que dans une visée de provocation et de défi, et non pas par soudain désir de batifoler dans l’eau salée.

    Les Droits de l’homme contre le peuple, instruments de l’invasion

    L’idéologie/religion séculière des Droits de l’homme – qui est un dévoiement de la déclaration des Droits de l’homme et du citoyen– mène à l’impuissance collective, à la paralysie du politique, et s’avère être l’instrument de ceux qui veulent détruire le germen des peuples européens au profit des envahisseurs. Antidémocratique, cette idéologie entérine le gouvernement dictatorial des juges ; notamment ceux de la Cour de Strasbourg. Les Droits de l’homme sont une aubaine pour les terroristes et les voyous musulmans. Le professeur Jean–Louis Harouel, dans son récent essai Les Droits de l’homme contre le peuple (Desclée de Brouwer), remarque que « la très vertueuse religion séculière des droits de l’homme trace aux Européens le devoir de disparaître en souriant pour faire place à d’autres peuples et d’autres civilisations ». Il précise : « l’application des droits individuels, jadis conçus pour protéger un peuple contre les excès d’autorité de ses gouvernants, devient dangereuse pour ce peuple quand se déversent sur son territoire d’autres peuples, surtout dans un climat de guerre entre civilisations ». Ces Droits de l’homme « exposent chaque peuple européen à voir des membres d’un autre peuple s’installer massivement chez lui ». On le voit avec la ”crise des migrants”, véritable invasion organisée des peuples européens sans leur consentement. Les immigrés, majoritairement musulmans, utilisent cette « religion séculière de nature millénariste obsédée par la non–discrimination », avec la complicité des institutions collaboratrices, dont la magistrature et le Conseil d’État, afin de « mettre à profit ces droits pour travailler à le détruire (le peuple de souche hôte malgré lui), pour faire prévaloir leur mode de vie et leurs valeurs, au détriment de ceux du pays d’accueil » ; et même si, paradoxe dialectique, leur culture musulmane est totalement contraire aux droits de l’homme : sexisme, discriminations, totalitarisme liberticide, etc.

    Les envahisseurs se repaissent de nos faiblesses, de nos lâchetés, des collaborations perverses de nos élites masochistes et nihilistes, de nos peurs et de leur impunité. Ils ne reculeront, ne reflueront que le jour où sera répudiée l’idéologie des Droits de l’homme. Le jour où, plutôt que des accommodements, des utopies d’ ”intégration” ou d’ ”assimilation” et de ”vivre ensemble” sera entendu et appliqué le souhait de la majorité du peuple de souche : on n’entre plus et pour ceux qui sont entrés, voici la sortie.

    Duplicité des musulmans et des gauchistes

    Remarquons que Manuel Valls a approuvé (au nom de la ”République”, de la ”laïcité” et surtout de la défense des droits des femmes) les interdictions du burkini par les mairies concernées, contre l’avis du Conseil d’État. Dans son gouvernement, Najat Vallaud–Belkacem, probablement soutenue par le glauque François Hollande, les a contestées. Incroyable rupture et désobéissance au sein d’un gouvernement. Ce désaccord est clairement ethnique. La militante ministre de l’Education nationale, qui est d’origine arabo-musulmane, s’emploie partout et surtout à l’école à défranciser, islamiser, arabiser, africaniser. Avec son sourire désarmant, elle fait son petit djihad soft.

    On remarquera aussi, face à toutes ces manifestations musulmanes de discrimination et d’infériorisation des femmes (coupables d’attirer les hommes si elles ne cachent pas leur corps) le silence complet des mouvements féministes de gauche, LGBT et autres. Leur militantisme gaucho–féministe s’arrête là où commence leur adoration xénophile pour l’immigré musulman et l‘islam, même si ce dernier est homophobe et misogyne par nature. Terrifiante contradiction à laquelle n’échappe pas Najat Vallaud–Belkacem : d’un côté elle introduit à l’école la théorie du genre qui nie les différences sexuées au nom de l ‘égalité hommes–femmes, de l’autre, elle s’oppose à l’interdiction du burkini, ce symbole de l’oppression des femmes ! En réalité, cette incohérence idéologique apparente s’explique par le fait que cette ministre d’origine maghrébine, est une militante offensive à la fois de l’affaiblissement du socle culturel français et de l’implantation invasive de ses coreligionnaires.

    La duplicité, la ruse et le mensonge sont des spécialités de qui l’on sait. Déclarations du président du CFCM (Conseil français du culte musulman), Anouar Kbibech, soulagé par la décision du Conseil d’État d’annuler les interdictions du burkini : « Il y a eu un sentiment général de stigmatisation (mot clé de la langue de bois) voire d’humiliation des musulmans de France, notamment après ce qui s’est passé pour deux femmes musulmanes sur les plages de Cannes et de Nice ». (Elles ont été verbalisées par la police municipale.) Bien que ses coreligionnaire les violent en permanence, il prétend défendre « la solidité des principes et des valeurs de la République ». Utiliser les Droits de l’homme et les principes républicains contre la France pour l’envahir est une constante. « Nous utilisons vos droits de l’homme pour vous envahir», a prévenu une revue musulmane proche de Dae’ch.

    Kbibech a précisé : « Ne nous trompons pas de priorité. Ce qui a tué sur la plage de Nice, c’est le terrorisme et non le burkini ». Terrorisme, mot valise pour ne pas désigner la réalité, le djihad musulman criminel. Autre mensonge du même personnage : « les musulmans de France ont toujours été respectueux des lois et des valeurs de la République ». Ah bon ? Plus c’est gros, plus ça passe…

    Islam de France tolérant et laïc : sinistre gag

    Le problème n’est pas l’assimilation, l’intégration, ni composer avec un ”islam de France”, utopie d’intellectuels hors sol. Impasse totale, ça ne marchera jamais. La création d’une ”Fondation pour l’islam de France”, dirigée par le dinosaure Chevènement, politicien en phase finale, débouchera sur un fiasco complet.

    Non seulement les burkinis vont maintenant se répandre sur les plages et dans les piscines, mais bientôt les Françaises de souche seront-elles interdites de bikini et de maillot de bain dans certains endroits à forte population immigrée, harcelées par des musulman(e)s jouant aux pudibond(e)s choqués ? Cette hypothèse n’est nullement impossible : récemment dans un jardin public, une jeune fille française qui se faisait bronzer en maillot de bain a été agressée et frappée par des femmes arabes voilées qui se considéraient déjà en territoire conquis. La charia risque de s’imposer progressivement, de fait, zone par zone, par la loi du nombre de l’invasion migratoire arabo–afro–musulmane.

    Faut-il une loi pour passer par dessus la tête du Conseil d’État comme le demandent la droite LR et le FN ? Mais elle se heurterait au barrage du Conseil constitutionnel et de la Cour européenne des Droits de l’homme, où siègent les juges collaborateurs et acteurs de l’invasion de l’Europe. Le burkini est donc définitivement autorisé. C’est un signal et un symptôme de plus, symbolique et médiatique.

    En soi, c’est cependant un problème secondaire, l’essentiel, pour aller à la source causale, étant l’arrêt total de l’immigration, la ”remigration” (retour au pays) et la désislamisation ; non pas sous la forme de la construction ridicule et utopique d’un ”islam laïc et tolérant”, – contradiction dans les termes et oxymore (3) – mais de la réduction de la population musulmane, par départs massifs, sous quelque forme que ce soit.

    Guillaume Larrivé, porte parole de LR, a déclaré, à propos de l’affaire du burkini : « les islamistes veulent faire reculer la République ; c’est la République qui doit faire reculer les islamistes ». Mauvaise formulation. Il faut en finir avec ces mentions répétitives de ”République”, faiblardes et purement idéologiques. Car il s’agit plutôt de la Nation, de la France, et d’autres pays voisins, au sens charnel et ethnique. Assez aussi avec ce terme ”islamiste”, alors qu’il s’agit de l’islam arabe coranique authentique. Il aurait fallu dire – mais la droite molle en est incapable – que ”l’islam afro-arabe veut faire reculer la Nation française mais que c’est elle qui doit le faire reculer ”. Quand on a peur de désigner l’ennemi et de se définir soi-même sans complexe, on perd.

    Vers l’affrontement inévitable

    Deux Américains, l’historien Bernard Lewis, auteur de l’essai Le Pouvoir et la Foi. Questions d’islam en Europe et au Moyen –Orient et le journaliste Christopher Caldwell, auteur de Réflexions sur une révolution européenne, ont pronostiqué, que pour des raisons d’immigration massive et de différence démographique de natalité, plusieurs pays d’Europe de l’Ouest, dont la France, deviendront en majorité musulmans avant le milieu du XXIe siècle. Ils ajoutent que pourrait se réaliser ainsi la conquête de l’Europe, un objectif constant de l’islam – arabe ou ottoman– depuis le haut Moyen–Âge. Et il ne s’agit pas uniquement d’un changement civilisationnel et religieux (comme à la fin de l’Antiquité) mais, fait absolument nouveau, d’un changement anthropologique, d’un remplacement de peuple.

    Car le plus grave de tout, j’allais dire pire que les attentats terroristes, c’est évidemment l’invasion migratoire (à 90% musulmane) maghrébine, africaine, moyen–orientale, qui détruit l’existence et l’avenir des peuples européens, qui signe leur disparition et qui est encouragée par les dirigeants français, allemands, européens, soit idiots naïfs, soit plus souvent traîtres nihilistes et collaborateurs. Depuis un an, 1,5 millions de migrants illégaux sont entrés en Europe, sans compter les entrées légales. Sans expulsions. Et ça continue. Pour que le déversement s’arrête et s’inverse, il ne faut pas compter sur les politiciens actuels des partis au pouvoir (pas pour très longtemps…) mais sur des événements sismiques qui sont inévitables et qui vont bouleverser toute la donne.

    1. Ce ”burkini” a été conçu en Australie par une Libanaise musulmane pour ses coreligionnaires.

    2. Le CCIF, tout comme le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) sont des associations de combat ethnique, qui visent moins à défendre leurs communautés, qu’à combattre l’identité française de souche dans un but invasif, en prétextant toutes deux être victimes d’un racisme bidon. Or le CRAN, avec son intitulé, est la seule institution racialiste avouée à être autorisée. Ce scandale n’a jamais été relevé.

    3. Que dirait-on d’un nazisme philosémite, d’un catholicisme athée, d’un libéralisme collectiviste

    http://fr.novopress.info/200820/burkini-terrorisme-et-invasion-meme-combat-par-guillaume-faye/#more-200820

  • Snowden : Un traître à sa Nation pire qu’un terroriste ou…?

    Du 10 décembre 2012 au 8 janvier 2013, 70,3 millions d’enregistrements de données téléphoniques des Français ainsi que 200 millions de SMS par jour dans le monde, de manière non ciblée ont été effectués par la NSA.

    Tandis que  Amnesty International et l’American Civil Liberties Union réclame  le pardon d’Obama pour Snowden, le congrès américain publie un rapport sur deux ans d’enquête.

    Snowden a causé d’énormes dégâts à la sécurité nationale et la grande majorité des documents qu’il a volé n’avait rien à voir avec des programmes ayant une incidence sur la vie privée des utilisateurs. Ils concernaient plutôt des programmes militaires, de défense ou du renseignement avec un grand intérêt pour les adversaires de l’Amérique…

    http://intelligence.house.gov/uploadedfiles/hpsci_snowden_review_-_unclass_summary_-_final.pdf

    Notre raie publique, dirigée par les plus incapables, avait refusé l’asile politique à Edward Snowden en 2013. Préférant accueillir, des millions de lâches qui fuyant  leurs pays, venus imposer leurs guerre chez nous.

    Pourtant, ce lanceur d’alerte avait mis à la lumière, l’espionnage industriel de l’U.E. par nos « amis (sic) américains. 

    52 milliards par an de budget pour l’espionnage américain 

    Écoutes des téléphones, des mails,  messageries Facebook, ( En une seule journée en 2012, la NSA a par exemple intercepté 444 743 listes de contacts courriels de comptes Yahoo, 82 857 de comptes Facebook, 33 697 de comptes Gmail, et 22 881 d’autres fournisseurs internet, comme mentionné dans un document de l’agence divulgué par le journal. Extrapolés sur une année, ces chiffres correspondraient à la collecte de 250 millions de listes de carnets de contacts par an, grâce à des interceptions directement sur les câbles internationaux qui composent l’internet) mais ainsi et surtout toutes les connections internet, via des portes d’entrées laissé volontairement par les éditeurs de logiciels pour le FBI et la NSA.

    Non seulement les logiciels nous écoutent, mais également le matériel physique (routeurs réseau etc), ceci à une échelle mondiale. Le , le journal brésilien O Globo révèle que la NSA a surveillé les communications téléphoniques et électroniques de nombreuses entreprises et particuliers au cours de la dernière décennie (2,3 milliards d’appels téléphoniques et d’emails interceptés en janvier 2013 rien que pour le Brésil).

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  • Un ministre coupable de délit d’entrave à l’enfantement

    De Raphaëlle Lespinas dans l'Homme Nouveau :

    6a00d83451619c69e201bb093cf2ad970d-250wi.jpg"[...] Tout a commencé le 27 janvier 1993, lorsque la loi a institué le « délit d’entrave à l’IVG » qui consiste à empêcher une IVG en perturbant l’accès aux établissements concernés, ou en exerçant des menaces sur le personnel ou les femmes venant avorter. Le délit a ensuite été élargi le 4 août 2014 aux actes d'intimidation à l'égard de femmes venues s'informer sur l’avortement dans un hôpital, ou tout autre centre d'information.

    Mais depuis 2013 déjà, le gouvernement avait lancé son propre site Internet d’information pour contrer le sitewww.ivg.net, conçu par des militants pro-vie pour expliquer aux femmes qu’avorter n’est pas un acte anodin et qu’il peut avoir des conséquences physiques et psychologiques douloureuses. Très consulté et bien référencé dans les moteurs de recherche, www.ivg.net exaspère le gouvernement. Une colère qui ne cesse de croître depuis la création de www.afterbaiz.com, un site pour les jeunes, qui traite de l’amour, de l’affectivité, de la sexualité mais également de l’avortement.

    Liberté de choix?

    Et de fait, porté par des militants pro-vie, il ne présente pas l’avortement comme la seule solution à une grossesse non désirée.Ivg.net et afterbaiz.com sont deux sites où n’est pas demandée une seule fois l’abrogation de la loi Veil, où jamais il n’est dit que l’avortement est un crime, deux sites qui mettent en avant la liberté de choix Ce serait bien insuffisant pour des moralistes chevronnés, c’est déjà beaucoup trop pour Laurence Rossignol.« Être hostile à l’IVG c’est la liberté d’opinion, mais tromper des jeunes filles, c’est un délit », a-t-elle déclaré le 17 septembre dernier. La liberté d’opinion des uns s’arrête là où commence celle du ministre pour lequel oser proférer que l’IVG n’est pas anodin et qu’il n’est pas la seule solution possible est une tromperie.

    [...] On attend donc que Laurence Rossignol attaque en justice l’institut de sondage Opinion Way dont une étude de 2013 révélait que 85 % des femmes déclarent avoir ressenti une souffrance au moment de l’IVG médicamenteuse, y compris une souffrance morale pour 82 % d’entre elles.

    Finalement, le délit d’entrave numérique, c’est tout un programme… dont la première étape consisterait à refondre le Larousse, qui définit ainsi le fait d’entraver : « Empêcher quelqu'un d'agir, une action de se réaliser, ou constituer un obstacle. » Mais comment un texte publié sur Internet, et que personne n’est forcé d’aller lire, constitue-t-il un « obstacle » à l’IVG ? Peut-être que la femme a si peu de volonté propre que le seul fait de lire un conseil ou une injonction la détermine à agir en ce sens…

    Deux questions demeurent :

    – Les personnes qui font le choix d’accoucher sous X puis de confier leur enfant à l’adoption sont-ils des gens faibles d’esprit et manipulables, de mauvais citoyens ?

    – Serait-il possible de créer un « délit d’entrave numérique à l’enfantement » pour des sites d’information sur l’IVG tels que celui du gouvernement, qui nient le syndrome post-avortement dont se plaignent pourtant de très nombreuses femmes et qui ne présentent aucune alternative à l’avortement ?"

    Michel Janva

  • Manuel de bioéthique : la Fondation Jérôme Lejeune attaque les diffamations en justice

    Mme Danièle Gaudry, membre du Planning familial, a prétendu sur France Info que le manuel bioéthique de la Fondation Jérôme Lejeune comporte des « contre vérités scientifiques », et l’a qualifié de « manuel de manipulation de la jeunesse ».

    6a00d83451619c69e201b7c89998da970b-200wi.pngPar ailleurs Mme Laurence Rossignol, ministre des familles de l’enfance et du droit des femmes, a dénoncé dans Libération ce « document de propagande ».

    Face à ces déclarations injustes, relevant de la diffamation, la Fondation Jérôme Lejeune décide d’aller devant la justice.

    Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune précise :

    « Ce manuel a été élaboré avec des  experts français et internationaux : médecin, chercheur, juriste, bioéthicien, philosophe. Il vise à présenter les différents enjeux bioéthiques de notre époque, par exemple la recherche sur l’embryon, l’euthanasie, le don d’organe. Dans cette perspective, le manuel vise à présenter la réalité de l’avortement, pour éclairer les consciences, sans juger les personnes.

    Publié il y a dix ans, plusieurs fois réactualisé pour prendre en compte les évolutions législatives et les changements sociétaux, il n’a jamais fait l’objet de contestations.

    Depuis l’origine il a remporté un grand succès (environ 500 000 exemplaires), et a été traduit en plusieurs langues. La Fondation Jérôme Lejeune se félicite qu’il puisse être distribué dans des établissements scolaires qui partagent comme valeur la défense de la vie. »

    Pour le commander, cliquez ici

    Michel Janva

  • « Mais qui sont les assassins de l’école ? » de Carole Barjon

    Carole Barjon, journaliste à L’Obs, est partie à la recherche des grands nuisibles qui ont démantelé l’Éducation nationale. Et elle en donne les noms !

     Assassins-de-lEcole.jpgMais qui sont les assassins de l’école ? (Robert Laffont) se demande Carole Barjon. Rassurons tout de suite le lecteur : à cette question l’auteur répond en alignant nommément tous ceux qui, depuis quarante ans, ont empilé réforme sur réforme, affirmations hasardeuses sur certitudes accablantes afin que nos enfants, comme le prédisait Marc Le Bris en 2004, ne sachent plus lire ni compter.

    Et pas même « vivre ensemble », cette tarte à la crème de ces faux pédagogues que sont les pédagogistes, au pouvoir Rue de grenelle – et sans interruption – depuis que René Haby a institué le collège unique. Non. Juste le vide.

    L’insoutenable légèreté des bonnes intentions

    « Un crime », dit Carole Barjon. Oui : les assassins dont elle brosse brillamment le portrait sont des tueurs en série qui ont bousillé déjà deux générations, et qui comptent bien sur l’actuelle réforme du collège, si on la laissait prospérer, pour en flinguer une troisième.

    Carole Barjon se présente, dès les premières pages où elle raconte sa stupéfaction devant les déclarations des maîtres de ses enfants, comme un Candide égaré au pays des idéologues. Mais les secrets les mieux gardés finissent par filtrer. François Bayrou a eu beau « enterrer promptement », pour ne pas « insulter » les instituteurs, le rapport sur l’illettrisme qui, déjà en 1996, expliquait que « 15 à 20 % d’élèves de chaque génération ne maîtrisent pas la lecture à l’entrée au collège », ça a fini par se savoir – à force de recevoir des mails illisibles, des demandes d’emploi phonétiques, et de constater que des journalistes, même d’un grand quotidien de référence, bousculaient l’orthographe. Il ne s’agissait pas pourtant d’incriminer les individus, mais les méthodes prônées par les IUFM, qui d’innocents stagiaires faisaient, malgré eux, des instituteurs – heureusement camouflés en « professeurs des écoles ».

    Carole Barjon n’instruit pas le dossier, a priori, à charge. Elle a cherché à comprendre ce qui avait bien pu pousser des militants de gauche, « inspirés à l’origine par les meilleures intentions du monde », sincèrement épris du bien-être des classes laborieuses, à « compromettre l’apprentissage de la langue française », mais aussi à « aggraver les inégalités – à instituer de fait un système qui avilit encore davantage ceux qui n’avaient aucun bagage et privilégie davantage les « héritiers », objets de leur suspicion. À instaurer, dit le philosophe Marcel Gauchet qu’elle cite fréquemment et avec bonheur, une vraie « fracture éducative ». Comme elle le dit fort bien, « ceux qui voulaient rendre l’école moins inégalitaire en sont arrivés à la rendre plus injuste ».

    Les grands nuisibles

    Parmi les insectes rongeurs, il y a des institutions prises en vrac – l’inspection générale, par exemple, dont Chevènement confiait déjà à Sophie Coignard il y a cinq ans : « Quand j’étais ministre de l’Éducation nationale, j’ai tout de suite vu que la moitié des inspecteurs généraux étaient à pendre, et l’autre à fusiller. » Je ne suis pas si catégorique – j’en ai connu, comme Pascal Charvet ou Anne Armand, qui tâchaient de protéger les enseignants entrés en résistance contre les bonnes intentions mortelles des ministères successifs. Mais le fait est que l’inspection générale de Katherine Weinland, d’Anne Vibert valait son pesant d’arsenic, comme le disait jadis madame de Rambouillet.

    Puis il y a l’essaim des prédateurs connus. Christian Forestier, « l’insubmersible », chouchou de tous les régimes, qui, sous Bayrou-Lang et encore aujourd’hui, « a appuyé le mouvement pédagogique, cautionné les nouvelles règles d’enseignement de la lecture à l’école primaire et du français au collège ». Le voici à la fois conseiller occulte des ministres de gauche et président du conseil scientifique de la Fondation pour l’école, émanation du très libéral Institut Montaigne : de l’art et de la manière de garder toujours deux fers au feu. À lui le mérite d’avoir empêché Gilles de Robien de promouvoir dès 2006 la méthode alpha-syllabique.

    En cela, il a été puissamment aidé de Roland Goigoux qui, du bout des dents, consent à admettre que oui, peut-être, « on » a été trop catégorique en matière de méthode à départ global… Goigoux, le deus ex machinade l’enseignement de la (mauvaise) lecture. L’homme à qui une génération entière, nourrie de Ratus et deCrocolivre, doit de ne lire jamais qu’avec ses pieds – et comme un pied. Viviane Bouysse, autre inspectrice générale, « impératrice du primaire », a puissamment épaulé – et encore aujourd’hui – ces deux idéologies inspirées par les théories fumeuses de Jean Foucambert et de sa méthode « idéo-visuelle ». Ou d’Éveline Charmeux, le gourou hystérique des dyslexies provoquées.

    M le Maudit

    Sans oublier l’homme par qui le scandale est vraiment arrivé – Lionel Jospin et sa loi de juillet 1989, bel anniversaire ! L’homme qui a mis l’élève au centre du système et le « constructivisme » (l’élève construit seul son propre savoir) sur un piédestal. L’homme qui a inventé les IUFM, sur les conseils de l’ineffable Philippe Meirieu – « M le Maudit », s’amuse Carole Barjon –, qui préconisait d’apprendre à lire dans les notices d’appareils ménagers (Carole Barjon a retrouvé la trace exacte de cette monstrueuse proposition) parce qu’il faut « partir de ce qui intéresse les masses » : jamais le mépris du peuple dans la bouche d’un homme de gauche ne s’est exprimé avec une telle pureté.

    Et il y a encore le cas des deux Alain – Alain Boissinot et Alain Viala. Le premier, inspecteur général, caution « pédago » chez Bayrou, indégommable depuis, a recruté le second, alors professeur de littérature du XVIIe siècle à Paris-III (il venait de publier Racine, la stratégie du caméléon, dont on se demandera toujours si c’était un ouvrage de dramaturgie ou le début d’une autobiographie). Ensemble, ils ont modifié en profondeur l’enseignement du français, appliquant à la lettre les consignes héritées (si je puis dire) de Bourdieu, le gourou à distance de tous ces idéologues coupés du réel.

    Comme le dit très bien l’ancien recteur Alain Morvan, interviewé par l’auteur, « on a remplacé une culture élitaire par une culture anti-élitaire qui est franchement élitiste ». Les programmes de français du collège ont été rédigés par un émule de Meirieu – Jean-Michel Zakhartchouk. Déjà retraité, jamais retraité.

    J’allais oublier François Dubet, le sociologue de service, « le vrai penseur organique du ministère de l’Éducation », dit encore Marcel Gauchet. L’homme des IUFM et de la loi Jospin, du socle commun qui a abaissé sous le niveau de la mer le seuil d’exigence, et des « compétences » conformes aux diktats de Bruxelles. Carton plein. Pour lui, « les contenus du collège devaient être adaptés à « ce que doit savoir le plus faible des élèves quand il en sort »,  expliquait cet augure en 2001. Mission accomplie.

    Tous insubmersibles, parce que « les ministres passent, les pédagos restent », dit Carole Barjon avec perspicacité. Aujourd’hui sont encore au pouvoir Florence Robine (à la tête de la DGESCO) et Michel Lussault, concepteur des nouveaux programmes, l’homme qui n’aime ni la nation ni les Lumières, et qui change en cet automne tous les programmes de tous les niveaux à la fois.

    Même Denis Paget, qui a contribué aux travaux de cette commission d’apocalypse, a murmuré à Barjon que c’était « une première et une folie ». Même Jack Lang, que l’on croyait proche du pouvoir en place, lui a affirmé que c’était « un pur scandale ».

    Un enfant scolarisé aujourd’hui bénéficie, rien qu’en primaire, de 630 heures de français de moins qu’un enfant des années 1960.

    Retenez bien tous ces noms : un vrai gouvernement de salut public, comme en 1793, serait bien avisé de leur demander des comptes. Parce que ce n’est pas seulement l’école qu’ils ont assassinée, c’est la France – et cela s’appelle de la haute trahison. Quant à celles et ceux qui se sont opposés à eux depuis trente ans… Tous réacs ! Fachos, même !

    De pseudo-z’intellectuels sans doute.

    S’appuyant sur les travaux incontestables de l’association Sauver les lettres, Carole Barjon explique, niveau par niveau, qu’un enfant scolarisé aujourd’hui bénéficie, rien qu’en primaire, de 630 heures de français de moins qu’un enfant des années 1960. Presque deux ans ! Quand il sort aujourd’hui de CM2, l’écolier français a eu autant d’heures de français que son homologue de CE2 en 1968.

    Ils ont tiré sur la République !

    Alors oui, il faut impérativement réécrire les programmes du primaire, rallonger la semaine – passée de 30 à 24 heures de cours – et consacrer la moitié des cours à faire du français, de façon systématique et répétitive – ce n’est pas une offense, ce n’est pas une injure, c’est nécessaire pour créer un réflexe qui persistera tout au fil de la vie, et que l’on pourra transférer, par exemple, dans un apprentissage décent des langues étrangères. Comment, s’indigne Carole Barjon, un collégien peut-il comprendre qu’un adjectif épithète anglais ne s’accorde pas quand il ignore qu’en français c’est le contraire ? Il faut faire de la grammaire de façon méthodique, de la « grammaire de phrase », et non cette « grammaire de texte » où au hasard on picore pour expliquer tel fait grammatical non connecté aux autres. Il faut faire des dictées, encore et encore, et ne pas se contenter, comme le dit avec naïveté ou cynisme telle conseillère de Vallaud-Belkacem, d’un effet d’annonce « pour le grand public ».

    Mais, surtout, il faut se méfier d’une chose, comme le souligne pertinemment Carole Barjon :à démanteler l’école de la République, on a ruiné le modèle jacobin, de façon à mettre en place la possibilité d’une école décentralisée, dépendante des initiatives locales, une école à deux, trois, dix vitesses en fonction de vos revenus et des impératifs communautaires. Oui, ces « assassins » n’ont pas seulement cherché à tuer l’école : ils ont tiré sur la République, sur les savoirs, sur la laïcité, et ont fabriqué la génération intenable qui cherche, dans un jusqu’au-boutisme d’adolescents perpétuels, à combler le vide creusé dans leurs caboches par les grands fossoyeurs dont Carole Barjon tire magistralement le portrait.

    Jean-Paul Brighelli 24/09/2016

    Mais qui sont les assassins de l’école ?, Carole Barjon, Laffont, 24/09/2016, 234 pages.

    Jean-Paul Brighelli est ancien élève de l’Ecole normale supérieure de Saint Cloud, agrégé de lettres modernes, enseignant et essayiste et fut révélé au grand public lors de la parution de La Fabrique du crétin.

    Source : Le Point

    http://www.polemia.com/mais-qui-sont-les-assassins-de-lecole-de-carole-barjon/

  • Civitas défend les habitants d'Allex contre l'invasion migratoire

  • La Région Pays de la Loire a encore financé le Pass contraception

    La majorité Les Républicains des Pays de la Loire, présidée par Bruno Retailleau, a attribué une nouvelle subvention de 80 000 euros pour le Pass contraception, qui avait déjà reçu 28 000 euros au mois de juillet dernier.Sans oublier les 98 000 euros que la majorité a versé au Planning familial en avril 2016. Avec un chiffre constant du nombre d’avortement chaque année en France, de l’ordre de 200 000, le FN pose la question de l’efficacité de ces actions s’adressant à des mineurs, en dehors de l’autorité parentale.

    La Région a-t-elle l’intention de subventionner aussi des associations qui proposent un logement, un soutien matériel et des alternatives sociales à l’avortement, pour les jeunes femmes qui souhaitent garder leurs enfants, mais qui n’en ont pas les moyens financiers ? 

    Infolettre vidéo du groupe Front national-Rassemblement Bleu Marine au conseil régional des Pays de la Loire de septembre 2016 :

    Michel Janva

  • Laurence Rossignol veut-elle censurer Simone Veil ?

    Le billet publié par Thibaud Collin sur son blog est intéressant à double titre, par son contenu d'abord mais aussi car il permet de se replonger dans la Loi n° 75-17 du 17 janvier 1975 relative à l'interruption volontaire de la grossesse (dit loi Veil) ainsi que dans le discours prononcé par Simone Veil le 26 novembre 1974. C'est édifiant de voir à quel point la situation a empiré. Il est urgent que le gouvernement censure ce discours et en fasse disparaître les traces sur internet tellement il est en contradiction avec le totalitarisme mortifère des partisans de l'avortement :

    6a00d83451619c69e201bb093c880d970d-320wi.jpg"La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu'en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi" [Article n°1 de la loi]

    Voici quelques extraits du discours de Simone Veil qui ...pourraient presque désormais justifier sa présence à la prochaine Marche pour la Vie :

    "Je le dis avec toute ma conviction :l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? (...)

    C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame.. C’est pourquoi, si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler et,autant que possible, en dissuader la femme (...)

    Le deuxième absent dans ce projet pour beaucoup d’entre vous sans doute, c’est le père. La décision de l’interruption de grossesse ne devrait pas, chacun le ressent, être entreprise par la femme seule, mais aussi par son mari ou son compagnon. Je souhaite, pour ma part, que dans les faits il en soit toujours ainsi (...)

    Enfin, le troisième absent, n’est-ce pas cette promesse de vie que porte en elle la femme ? Je me refuse à entrer dans les discussions scientifiques et philosophiques dont les auditions de la commission ont montré qu’elles posaient un problème insoluble. Plus personne ne contexte maintenant que, sur un plan strictement médical, l’embryon porte en lui définitivement toutes les virtualités de l’être humain qu’il deviendra (...)

    Tout en évitant d’instituer une procédure qui puisse la détourner d’y avoir recours, le projet prévoit donc diverses consultations qui doivent la conduire à mesurer toute la gravité de la décision qu’elle se propose de prendre (...) Cette tâche de dissuasion et de conseil revient au corps médical de façon privilégiée (...)

    Il va sans dire que nous souhaitons que ces consultations soient le plus diversifiées possible et que, notamment, les organismes qui se sont spécialisés pour aider les jeunes femmes en difficulté puissent continuer à les accueillir et à leur apporter l’aide qui les incite à renoncer à leur projet (...)

    Ensuite, l’interruption de grossesse ne peut être pratiquée que par un médecin (...) Mais il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer (...)

    Si l’on s’en tient aux principes généraux de la Sécurité sociale,l’interruption de grossesse, lorsqu’elle n’est pas thérapeutique, n’a pas à être prise en charge. Faut-il faire exception à ce principe ? Nous ne le pensons pas, car il nous a paru nécessaire de souligner la gravité d’un acte qui doit rester exceptionnel (...) Ce qu’il faut aussi, c’est bien marquer la différence entre la contraception qui, lorsque les femmes ne désirent pas un enfant, doit être encouragée par tous les moyens et dont le remboursement par la Sécurité sociale vient d’être décidé, etl’avortement que la société tolère mais qu’elle ne saurait ni prendre en charge ni encourager (...)

    Rares sont les femmes qui ne désirent pas d’enfant ; la maternité fait partie de l’accomplissement de leur vie et celles qui n’ont pas connu ce bonheur en souffrent profondément (...)

    Si la loi est générale et donc abstraite, elle est faite pour s’appliquer à des situations individuelles souvent angoissantes ; que si elle n’interdit plus,elle ne crée aucun droit à l’avortement (...)

    Il est vrai que personne ne peut éprouver une satisfaction profonde à défendre un tel texte (...) : personne n’a jamais contesté, et le ministre de la Santé moins que quiconque, que l’avortement soit un échec quand il n’est pas un drame (...)"

    Philippe Carhon

  • Grâce à Laurence Rossignol, on parle de l'avortement à la télévision

    Sur BFM TV :

     

    VIDEO: Laure, militante pro-vie d'http://ivg.net  réagit au projet du gvt de s'attaquer aux sites anti-@MichelJanva

     
     

    VIDEO : Les sites anti- sont de plus en plus populaires et arrivent en tête des résultats de recherche. @MichelJanva

     

    Michel Janva