anti-national - Page 93
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Sur Sud Radio, Thaïs Descufon / Stella Kamnga : « Génération Identitaire : une dissolution contestable ? ».
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Sur Boulevard Voltaire, Nicolas Dupont-Aignan : "Non au vote par anticipation!".
La liberté guide nos pas !
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NEW HOLD-UP + Le film Partie 2
Merci aux réalisateurs et acteurs pour leur travail exceptionnel.
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2021/02/22/new-hold-up-le-film-partie-2-6299239.html
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Réinitialisation : le plan des hommes de Davos
La crise du Covid est l’occasion, pour les élites, de dévoiler leurs idées pour le « monde d’après ». Ainsi Klaus Schwab, l’initiateur des grands sommets tenus à Davos, envisage le grand Reset » (la grande réinitialisation en Français). Objectif : « repenser » notre système économique et social à la lumière d’une société globale.
Pour mieux comprendre le Grand Reset, il faut d’abord partir des thèses défendues dans le milieu « globaliste », c’est-à-dire dans les écrits et propositions de ceux qui sont à l’origine des grands sommets internationaux, comme le Forum de Davos, qui a lieu chaque année en Suisse depuis 1971. On peut les résumer.
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Marion Maréchal et Jordan Bardella censurés par Facebook pour avoir défendu Génération identitaire
Au lendemain de la manifestation contre la dissolution de Génération identitaire, Jordan Bardella et Marion Maréchal se sont fait censurés par Facebook. En cause : des publications abordant justement le cas Génération identitaire. Un sujet qui semble interdit sur Facebook.
L’année 2021 devrait décidément être marquée par des discussions sérieuses autour des pouvoirs que sont arrogés les GAFAM (Google - Amazon - Facebook - Apple - Microsoft) depuis quelques années. Il y a quelques semaines encore, les polémiques autour du bannissement de Donald Trump de tous les réseaux sociaux secouaient l’Amérique. Dans la foulée, les GAFAM décidaient même d’empêcher purement et simplement l’accès au réseau conservateur Parler.
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Assassinat de Pau : le Soudanais était entré illégalement en France quand Manuel Valls était Premier ministre
Manuel Valls, qui était Premier ministre lorsque que cet immigré a pénétré illégalement en France en 2015, a enfin réagi. Mais pas pour faire son mea culpa, ni pour dire que la protection des frontières n’était pas sa priorité pas plus que pour Gérald Darmanin :
C’est un déchaînement de violence qui s’est produit, vendredi 19 février vers 11 heures, dans un centre d’accueil de la ville de Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques. « Un migrant soudanais de 38 ans est accusé de lui avoir porté une dizaine de coups de couteau« , (…) Ce migrant, entré en France en 2015, a d’abord eu l’autorisation de rester sur le territoire par la justice administrative. En 2017, il est sous le coup de deux condamnations pour des faits de violence, pour lesquelles il se voit dans l’obligation de quitter le territoire
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Un réseau de mariages blancs franco-maghrébins démantelé dans les Ardennes, chaque union rapportait 23.000 euros
Six personnes ont été mises en examen vendredi 19 février pour « organisation frauduleuse de mariages en vue de frauder la nationalité, aide aux séjours irréguliers d’étrangers, faux, usage de faux en bande organisée », rapporte France Bleu Champagne-Ardennes, informée par le parquet de Charleville-Mézières.
88 unions célébrées depuis 10 ans
Deux femmes seraient à la tête de ce réseau organisant des mariages pour que l’un des deux époux obtienne un titre de séjour, voire, à plus ou moins brève échéance, la nationalité française.
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De Trappes à Marseille, l’école sous l’emprise islamique
Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue
Le professeur de philosophie Didier Lemaire à Trappes dit avoir subi des menaces de la part de musulmans après la décapitation de Samuel Paty. Il a même bénéficié de moyens policiers pour assurer sa sécurité. Avant lui, d’autres avaient déjà alerté sur le risque que faisait planer l’islam dans le milieu scolaire. Il y avait eu dès 2004 le rapport Obin, en 2017 le livre de Jean-François Chemain, Tarek – Une chance pour la France ?, mais aussi le livre de Bernard Ravet : Principal de collège ou imam de la République, sur lequel nous allons revenir pour Polémia.
Bernard Ravet était le principal d’un collège marseillais situé dans un quartier peuplé en majorité par des extra-Européens musulmans. Il attendra d’être à la retraite pour écrire son livre, abandonné par sa hiérarchie face aux problèmes que pose l’islam dans son établissement scolaire ; il n’ose pas dire ce qu’il s’y passe de peur d’être amalgamé au Front national. Le premier changement est l’arrivée du fait religieux islamique dans les années 2000. La part des musulmans est allée croissant, passant de 50 % de pratiquants en 2000 à plus de 90 % en 2013 selon ses estimations. Il voit aussi l’arrivée du voile, des adolescentes se couvrent la tête dès la sortie du collège alors même que leurs mères ne portent pas de voile.
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Médiapart : « Parfois, les mineurs [non accompagnés] sont envoyés par leur famille et sont chargés de lui fournir un revenu complémentaire »
Lors de ses deux rotations en 2021, du 11 au 25 janvier, puis du 2 au 7 février, l’Ocean Viking a recueilli 254 mineurs non accompagnés, soit près du tiers des personnes secourues. Certains fuient la dictature de leur pays, la pauvreté ou un mariage forcé, d’autres aspirent à la mobilité. Ils embarquent seuls à bord de canots pneumatiques dans l’espoir d’une vie meilleure.
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Radicalisés à l’université, mais aussi au collège ou au lycée, par Iris Bridier.
« Ce qu’on appelle l’islamo-gauchisme fait des ravages », déclarait Jean-Michel Blanquer, sur Europe 1, en octobre dernier. « Il fait des ravages à l’université, il fait des ravages quand l’UNEF [Union nationale des étudiants de France] cède à ce type de chose. » Bien consciente de ce phénomène, Frédérique Vidal avait demandé une enquête au CNRS.
Mais elle est vite accusée de « police de la pensée » par la députée (LFI) Bénédicte Taurine ou de « polémique stérile » par la Conférence des présidents d’université. Pour le CNRS, « l’islamo-gauchisme, slogan politique utilisé dans le débat public, ne correspond à aucune réalité scientifique ». Finalement, le ministre de l’Enseignement supérieur sera recadré par Emmanuel Macron mercredi, à l’issue du Conseil des ministres. Il n’y aura donc pas d’enquête, le débat est clos.