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anti-national - Page 921

  • « EuroGendFor » – l’armée privée de l’UE, prête au départ pour la Grèce



    Il y a des articles après lecture desquels le lecteur se dit : « Ce n’est pas possible, je m’informe régulièrement et je pense être au courant des actualités la plupart du temps, pourquoi je ne sais rien de cela ? » Le présent article est un tel article. Ceux qui pensent qu’il s’agit dans le contexte d’Euro-Gend-For d’un terme lié à la notion anglaise « gender » ­– définition artificielle et très à la mode du « genre », du « sexe social » – se trompent.

    Le nom est un morceau de magnificence issu du pouvoir d’innovation intellectuelle des Français : au lieu d’une troupe de l’UE de malfrats violents à la Rambo, ou des Bodyguards à la paie de Goldman-Sachs selon le modèle Blackwater, est née une armée privée dénommée « Force de gendarmerie européenne » (FGE). Les Allemands du camp d’Angela Merkel pourraient ainsi détourner sur les Français le « mécontentement » que l’Europe de l’euro, prétendument si amoureuse de la liberté, déclenche dans les pays où elle intervient. Mais cette mascarade se terminera au plus tard à l’arrivée en Grèce.

    Cela fermente en Espagne, les protestations publiques augmentent de jour en jour. Tandis que les Allemands recommandent aux Méditerranéens de se lever plus tôt, de prendre moins de vacances et de travailler plus, la colère du peuple grec se décharge dans les rues du pays. Cela fermente et bouillonne partout, les hommes craignent des situations semblables à des guerres civiles déclenchées par la crise dans toute l’Europe. On s’en rend compte au bureau central de l’Union européenne, et depuis longtemps, l’on a pris des mesures correspondantes.

    On prépare maintenant pour la première fois l’engagement de l’armée privée de l’UE qui s’apprête à partir pour la Grèce. A peine un Européen connaît cette unité secrète qui répond au nom d’« EuroGendFor ». Le quartier général de cette unité d’intervention spéciale de 3000 hommes se trouve à Vicence en Italie. L’ancienne ministre française de la Défense Alliot-Marie a initié la fondation de cette troupe, après des troubles de plus en plus fréquents sous formes de batailles de rue et de pillages suscités par des adolescents musulmans immigrés en France. « EuroGendFor » est à la fois police, police judiciaire, armée et services secrets. Les compétences de cette unité sont pratiquement illimitées. Elle doit, en coopération étroite avec les militaires européens, garantir la « sécurité en territoires de crise européens ». Sa tâche consiste surtout à réprimer des révoltes. De plus en plus d’Etats membres de l’UE adhèrent à « EuroGendFor ».

    La suite sur Comité Valmy
    http://www.comite-valmy.org/spip.php?article2445

  • Droit du sol, droit du sang ? par Louis-Joseph Delanglade

    Il a peut-être la fibre littéraire mais historique pas du tout : ce samedi 26, dans sa revue de presse de 8h30 sur France Inter, M. Levaï oppose au droit du sang « notre bon vieux droit du sol révolutionnaire et républicain ». Faux, bien entendu. Qu’on le date de 1515 (arrêt du Parlement de Paris) ou même de 1315 (édit de Louis X le Hutin), le jus soli existe en droit français, sous l’Ancien Régime – même si la notion de nationalité est postérieure. Le Code civil l’abolit au profit du jus sanguinis en 1804 et il faudra attendre 1889 pour que se manifeste la prétendue « générosité » d’une République surtout soucieuse de se pourvoir en soldats. Cela dit, le droit du sol est effectivement aujourd’hui un des grands marqueurs de la gauche idéologique, qui y voit le meilleur moyen de subvertir à terme la nation française.

    Ne pas confondre droit du sol et naturalisation. M. Ory, historien et universitaire, choisit de proposer à notre admiration et à notre reconnaissance, dans son « Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France », 1112 figures, toutes remarquables. Il précise « que nous sommes depuis deux siècles une vieille terre d’immigration et que toute cette immigration a réellement enrichi la France ». On peut contester la première proposition : la France, au sens que donne M. Ory à ce mot, est une terre d’immigration depuis toujours et nombre d’étrangers de qualité sont venus l’enrichir au cours des siècles précédant la Révolution. Quant à la seconde proposition, on peut se demander si ces étrangers, devenus français par choix, n’ont pas au fond restitué à leur nouvelle « patrie », en devenant ce qu’ils sont devenus, ce qu’ils avaient d’abord reçu d’elle.

    On comprend bien que les 1112 de M. Ory n’ont rien à voir avec ces centaines de milliers, ces millions de « nouveaux » Français ou en attente de l’être. Quand l’immigration devient invasion, le problème est d’abord quantitatif : à (faire) croire coûte que coûte qu’un pays de cinquante millions d’habitants peut digérer un apport de quinze millions de personnes en trente ans, c’est le pays lui-même que l’on met en danger de mort. D’autant que ces « étrangers » sont, dans leur majorité, inintégrables et inassimilables, en raison de leur appartenance à une (des) communautés ethno-culturelle(s) bien trop éloignées de nous, appartenance que trop peu remettent en cause, les moyens modernes de communication leur permettant de conserver le contact avec leurs pays d’origine, lesquels, du coup, restent leurs vrais pays et celui de leurs enfants nés en France et bénéficiant du droit du sol. Immigration, naturalisation, droit du sol : la boucle est bouclée.

    Sans doute est-il encore possible de contrer le « grand remplacement » dénoncé par M. Camus. S’impose évidemment le réaménagement des modalités d’application du droit du sol (pour tous, pas seulement pour les enfants de clandestins, comme le réclame le très politicien M. Copé). Mais cela ne suffirait pas. Il faudra aussi viser le tarissement, à titre conservatoire, de toute immigration de masse, régulière ou clandestine. Il faudra, enfin, procéder à un examen critique des apports démographiques « extérieurs » de la période post-coloniale.
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2013/10/27/droit-du-sol-droit-du-sang-par-louis-joseph-delanglade-52067.html

  • De 900 à 2300 mosquées en France

    Samedi 26 octobre, « On n’est pas couché », France 2 (via Minute)

    Alain Finkielkraut déclare :

    « En 1983, il y avait 900 lieux de culte musulman en France. Aujourd’hui, il y en a 2300. En Seine-Saint-Denis, il y a aujourd’hui 145 lieux de culte musulman contre 117 lieux de culte catholique. Pour un pays islamophobe, la performance est intéressante. Pendant ce temps-là, dans tous les pays de l’arc arabo-musulman, les chrétiens sont contraints à fuir et les églises sont attaquées ou détruites! »

    Michel Janva

  • Alain Finkielkraut fait peur au parti remplaciste au pouvoir !

    Jean Birnbaum, dans Le Monde, accuse Alain Finkielkraut d’avoir été « contaminé » par votre pensée… Le philosophe va-t-il rejoindre le cercle des « excommuniés » ?

    J’espère bien que non. Il est difficile d’excommunier un homme qui a des centaines de milliers de lecteurs. Ce serait les excommunier eux aussi. Ce serait aussi ridicule que de continuer à appeler d’extrême droite un parti qui a pour lui vingt, trente ou quarante pour cent des électeurs. Finkielkraut, avec son intelligence, son courage, son talent, ses origines (et je ne pense pas seulement à son origine culturelle mais à son origine idéologique aussi bien, à son itinéraire), est merveilleusement précieux pour les patriotes parce qu’avec lui les remplacistes, en face, peuvent difficilement faire leur coup habituel du ventre encore fécond et des heures les plus sombres. Les Français se disent à juste titre que si un homme comme lui voit ce qu’il voit et dit ce qu’il dit, c’est qu’il doit bien y avoir quelque chose à voir et à dire, malgré ce qu’affirment quotidiennement Le Monde, France 2, France Culture, Le Nouvel Observateur et les neuf dixièmes des organes de presse, qui estiment, en accord avec la sociologie de cour, qu’il ne se passe rien, que le Grand Remplacement est un pur fantasme, né de l’imagination malade de ce pauvre Camus, le mauvais Camus.
    LIRE LA SUITE ICI http://www.bvoltaire.fr/renaudcamus/alain-finkielkraut-fait-peur-au-parti-remplaciste-au-pouvoir,39790

  • Vers la grande Turquie

    Minute rapporte que, en visite au Kosovo le 23 octobre, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé :

    « Le Kosovo c’est la Turquie, et la Turquie c’est le Kosovo. Nous sommes tous les enfants du même pays, forts et unis comme des frères. Nous partageons la même histoire et la même civilisation. »

    "Son discours, Erdogan l’a prononcé à Prizren (Sud-Kosovo) où plusieurs dizaines de milliers de personnes étaient venues écouter le leader turc. Leur leader? Car la ville compte la plus forte communauté turque du Kosovo (le Parti démocratique turc du Kosovo-KDTP compte même des élus dans l’assemblée locale) et la Turquie y a financé plusieurs mosquées. Une journée de congés exceptionnels avait été décrétée pour l’événement et la ville était entièrement pavoisée aux couleurs rouge et blanche… du drapeau turc. Derrière un Kosovo indépendant s’inscrivant dans le projet d’une Grande Albanie, cette Grande Albanie ne serait-elle qu’une partie… d’une Grande Turquie ?"
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/10/vers-la-grande-turquie.html

  • Urgence de l’insurrection.

    Cela ressemblait à du théâtre de Boulevard : deux personnages sympathiques mais ô combien désespérants buvaient café et jus d’orange dans un service bourgeois au milieu d’une scène passablement cossue. Ludovine de La Rochère et Albéric Dumont voulaient apeurer le ministre de l’Intérieur : attention un mouvement dont ils ont sabordé la force militante pourraient un jour où l’autre redevenir une force populaire et contestataire digne des heures les plus émeutières de l’Histoire. Les attaché parlementaires socialistes, désormais réduits au rang de twittos incongrus, ont du bien se gausser alors qu’il n’est jamais utile de laisser ses adversaires aiguiser leur ironie. Les deux avaient oublié qu’en France, le pays réel n’a la parole que dans l’insurrection, c’est à dire dans la violence d’une conviction qui sait se contenir par l’action, par l’engagement et finalement par la rue.

    Insurgez vous.

    Les paysans bretons sont donc allés de leur amabilité contre la réforme de l’éco-taxe, une réaction bientôt dépeinte comme un nouvel attentat contre le pacte républicain, ce fameux pacte signé par des fantômes et pendu à l’orgueil des vestales atrabilaires du politiquement inepte. Les signes s’accumulent pour montrer combien le peuple Français ne supporte plus son humiliation : à force de soudoyer son identité, de nier ses femmes et ses couples, d’asservir sa civilisation et maintenant de briser sa vie, le vacarme des affrontements ne fera plus que gronder. Les sachants eux mêmes se penchent sur la question : la bien-pensance l’explique par la radicalisation, le syndicats des intérêts bancaires par le code du travail, et les autres par les remous d’une identité qui cesserait d’hiberner. Ces représentations si elles s’essaient parfois à la consistance, n’en oublient pas moins que la France est un pays d’énergies, c’est à dire d’élans locaux, sentimentaux, nationaux, communautaires, individuels et que le silence de ces élans conduit invariablement à la névrose anomique ou belliciste.

    Ces élans sont viciés, nous ne le sentons que trop bien : les volages comme les romantiques ne trouvent plus leur satiété, les familles au lieu de se désunir, se dispersent, s’éparpillent, s’éconduisent, les représentants du peuple insupportent le pays réel, en somme, nous pleurons devant une société qui sent et qui sait que ses solidarités naturelles touchent au soir de leur survie. La communauté nationale n’existe tout simplement plus et ce constat devrait éveiller les plus grandes peurs comme le savait Charles Maurras qui disait dans Mes idées politiques : « La nation est le plus vaste des cercles communautaires qui soient, au temporel, solides et complets. Brisez-le, et vous dénudez l’individu. Il perdra toute sa défense, tous ses appuis, tous ses concours. » Et le même Maurras d’affirmer combien l’individu est lésé quand on lui ôte son soutien naturel : » Si la nation disparaissait, les plus riches et les plus hautes communications de l’Univers seraient compromises, il faudrait prendre en pitié l’asservissement de l’individu, isolé et perdu dans une métaphysique de droits verbaux. La nation rend au citoyen le même service que le syndicat au producteur, elle est l’organe de leurs droits réels« ( Pour un jeune français.)

    C’est la déliquescence des droits réels qui doit appeler à l’insurrection quotidienne, attentive. C’est en effet la France qui l’emporte quand les affiches Gleeden passent des murs aux poubelles, quand le bon sens est défendu face aux intérêts, aux castes, c’est la France qui gagne quand un parent se lève pour protéger ses enfants de la théorie du genre, c’est la France qui l’emporte quand l’étudiant vient puiser aux sources de sa conscience politique dans l’étude et la promotion de sa conviction, c’est la France qui l’emporte quand la souffrance sociale vient se confronter aux protections bourgeoises des incompétents solfériniens. L’insurrection grandit un peuple quand elle est la saine expression d’une incompatibilité entre ses racines, son souffle et les cadres d’un monde projeté dans l’orbite d’un mercantilisme atlantique et d’un communautarisme libéral, l’insurrection devient même son hygiène, le préservatif aux plaisirs d’une commisération bourgeoise trop vite brandie pour excuser l’apathie.

    La suite sur Nouvel Arbitre

    Charles de Meyer

    Rédacteur en chef de Nouvel Arbitre et responsable de la section économie, vous pouvez suivre Charles sur Twitter.
    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Urgence-de-l-insurrection

  • Communautarisme LGBT au sein de la police et de la gendarmerie

    La revue professionnelle « L’Essor de la gendarmerie » relève que la gendarmerie pourrait être confrontée à une situation inattendue : « peut-être plus rapidement qu’on ne l’imagine (…), des couples de deux gendarmes masculins ou de deux gendarmes féminins ».

    Il existe d’ailleurs un site de rencontres, « Deltagay », destiné aux militaires, gendarmes, policiers, CRS et pompiers homosexuels, preuve que le communautarisme est sans limite.

    Et, depuis, 2001, il existe une association de policiers et gendarmes homosexuels dénommée FLAG en référence au « Rainbow Flag », drapeau homosexuel. Cette association – qui participe à la gay pride – est à l’origine de la fondation en 2004 à Amsterdam de l’ « European Gaycop Network », réseau européen de policiers et gendarmes homosexuels, bisexuels et transsexuels, qui est devenu ensuite l’ « European Gay Police Association ».

    Pour la petite histoire, FLAG tenait ses permanences au « Banana Café », bar homosexuel parisien fréquenté régulièrement par Frigide Barjot qui en portait le blouson durant toutes les conférences de presse de La Manif Pour Tous…

    Au fait, il serait intéressant de connaître l’affectation de ces gendarmes, policiers et CRS homosexuels durant les manifestations contre la loi Taubira et d’évaluer leur éventuel zèle à appliquer quelques ordres « musclés » de Manuel Valls…

    lire la suite sur http://medias-presse.info/communautarisme-lgbt-au-sein-de-la-police-et-de-la-gendarmerie/

  • Mariage pour tous : premier divorce entre un couple de même sexe

    INFO FRANCETV INFO. Six mois après l'adoption de la loi ouvrant le mariage aux couples homosexuels, un premier divorce entre deux femmes va être prononcé à Paris. Lire la suite »

  • Désintox : le directeur d'Angersmag est chargé de mission pour la mairie PS

    Communiqué de LMPT 49 :

    "Une information circule selon laquelle une jeune fille aurait eu à l'égard de Mme Christiane Taubira, Ministre de la Justice, des paroles insultantes. Cet acte isolé n'est pas représentatif de la mobilisation pacifique des angevins. Éminemment attachés au respect de toutes les personnes, comme ils l'ont démontré depuis près d'un an lors de tous leurs rassemblements, les responsables de La Manif Pour tous 49 condamnent fermement de tels propos contraires à la charte publique et officielle de La Manif Pour tous. S'ils en avaient été directement témoins, ils auraient bien entendu réagit immédiatement et empêchant la tenue de tels propos."

    La question est de savoir si cette injure a été réellement prononcée. Il est permis d'en douter sérieusement. Ce fait a été relaté par Yannick Sourisseau, chargé de mission pour la mairie socialiste d’Angers et directeur du journal AngersMag, le seul papier à en avoir parlé… Témoin objectif, impartial et irréprochable ?...

    L’information est relayée sur le blog de Jean-Yves Lignel, journaliste au Courrier de l’Ouest qui relate:

    « Mon ami Yannick est passé parmi eux. Il a vu une jeune fille d’une dizaine d’années qui agitait une peau de banane. Et la gamine criait : « C’est pour qui la banane ? C’est pour la guenon ! ». »

    Le même journaliste publiait juste avant un panégyrique du Garde des Sceaux très objectif:

    « je n’aurai pas le temps ; pas le temps de vous dire toute l’admiration que j’ai pour vous. Réelle, sincère. »

    Pensez-vous que si un journaliste avait vu une telle scène, il ne se serait pas jeté sur son smartphone pour l’enregistrer, la diffuser et décrédibiliser la Manif Pour Tous ? Pas une seule preuve, pas une photo...

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/