anti-national - Page 923
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La gauche récolte ce qu’elle a semé [Vidéo]
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Entre Bonnets Rouges et policiers, bientôt la « coagulation » ?
Manuel Valls a du souci à se faire, lui qui craint la « coagulation » des mécontents. Des policiers ont manifesté il y a quelques heures en scandant des slogans qui faisaient référence aux Bonnets Rouges et à la fronde générale anti-Hollande.
En fin d’après-midi, ce sont les policiers qui ont manifesté devant l’Assemblée nationale à l’appel du syndicat Alliance. Après des manifestations à Ajaccio et à Marseille le 5 novembre dernier, voici la police sous les fenêtres des députés ! Les policiers dénoncent leurs conditions de travail :
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L’ETAT SOCIALISTE INTERDIT LE RASSEMBLEMENT DU PDF A AMIENS
COMMUNIQUE DE PRESSE DU PARTI DE LA FRANCE :
La répression et les interdictions du pouvoir socialiste contre les patriotes français prennent une dimension de plus en plus inquiétante et totalitaire.
Après des dissolutions arbitraires et injustifiées et des méthodes d’interpellation dignes des anciennes démocraties populaires de l’Est lors de différentes manifestations de rue, un arrêté du préfet de la Somme en date du 7 novembre interdit le rassemblement prévu par le Parti de la France le 16 novembre à Amiens-Nord contre l’islamisation de la France. Cette soumission du représentant de l’État aux islamistes et aux bandes ethniques qui ont fait de ce quartier une zone de non-droit est révélatrice de l’esprit de collaboration et d’abandon du pouvoir socialiste.
Alors que, l’organisation révolutionnaire et djihadiste des Frères musulmans a été autorisée à manifester à Paris, par deux fois au mois de juillet, les patriotes français sont dans leur propre pays interdits de manifestation.
Les motifs invoqués sont sidérants puisque, selon le préfet de la Somme, affirmer notre droit à rester maître chez nous constitue « une provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personne en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
Cerise sur le gâteau, le représentant de l’État socialiste, avoue qu’il est absolument incapable de maintenir l’ordre dans un quartier où « des fonctionnaires de police ont essuyé des tirs à l’arme de chasse. »
Cet aveu caractérisé d’impuissance à maintenir l’ordre à Amiens-Nord, doublé d’une volonté politique de museler les défenseurs de la France des terroirs et des clochers, s’inscrit dans la tradition socialiste de destruction de l’identité française.
Le Parti de la France appelle ses militants et ses sympathisants à ne pas braver l’arrêté préfectoral afin de ne pas prendre le risque d’encourir les persécutions policières et judiciaires annoncées et de ne pas donner à Manuel Valls le motif pour dissoudre notre mouvement.
D’autres initiatives, sous d’autres formes, seront prises afin de poursuivre notre action de résistance nationale et européenne contre l’islamisation et la colonisation de la France et de l’Europe.
Aidez-nous à mener cette bataille de civilisation pour la défense de nos libertés et de notre identité. Rejoignez le Parti de la France !Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, élections, France et politique française, lobby 0 commentaire -
Manifestation de La Manif Pour Tous à Nantes le 23 novembre
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Il a dénoncé Cahuzac, il doit être condamné
Le régime gouverne mal mais il se défend bien en voulant museler les opposants. Olivier Thérondel, enquêteur de la cellule Tracfin (chargée de traquer les circuits financiers) avait dénoncé sur le site Médiapart les côtés occultes du rapatriement des fonds de Jérôme Cahuzac. Il doit répondre de ces fuites aujourd’hui devant un tribunal. Il explique comment le pouvoir a tenté de masquer les opérations de l'ex-ministre socialiste :
"Je suis, à l’origine, contrôleur des douanes, et je travaillais depuis 2004 au sein de la cellule Tracfin, sur toutes sortes de dossiers, financements occultes, blanchiments…
[...] Le 2 avril, Jérôme Cahuzac démissionne. Il indique à sa banque qu’il va rapatrier les fonds de Singapour. Or, nous, le 5 avril, nous recevons de sa banque une télédéclaration de soupçons. Je suis le premier à recevoir ces éléments. Je me renseigne sur les virements, je vois que d’autres personnes apparaissent, bref, je fais mon travail. Et la même banque envoie des compléments de déclarations au fur et à mesure des virements qui arrivent de Singapour. [...] C’est à partir de là qu’on va me demander de ne plus ajouter les noms des personnes qui sont citées par la banque. Et dès que les informations arrivaient, mon directeur masquait le nom de Cahuzac. Ce qui fait que lors des saisies informatiques, à chaque fois, on recréait une fiche au nom de Cahuzac, puisque la précédente avait été maquillée ! Maquiller les noms, cela veut dire qu’on va empêcher à toute personne susceptible d’enquêter de faire son travail, comme un juge, par exemple. Moi, je trouve cela assez malsain et en tout cas, pas très légal. Par ailleurs, je constatais que les informations que j’avais récupérées, n’étaient pas «orientées». Normalement, dans les 24 heures, on procède à un suivi, on enquête sur ces informations. Là, stand-by. Dans le même temps, rien ni personne dans la presse n’indique que Cahuzac a rapatrié son argent. Sur BFM, il est interviewé mais n’en parle pas. Une chose aussi est étrange : la commission d’enquête parlementaire s’est arrêtée le 2 avril. Elle n’a donc pas pu avoir connaissance de ce retour des fonds depuis Singapour.
[...] J’ai reçu un courrier où on m’indique que mon habilitation du service Tracfin m’a été retirée «Des faits ont été portés à ma connaissance. Ils me paraissent porter une atteinte grave au bon fonctionnement du service et être incompatibles avec les fonctions que vous y exercez», m’écrit le directeur. Depuis, j’ai été réaffecté à mon service d’origine, les Douanes. On ne m’a pas fait de cadeau. Mon avocat n’a pas encore toutes les pièces du dossier. J’ai subi des perquisitions, des réquisitions à ma banque… J’estime avoir fait mon devoir de lanceur d’alerte et je veux que ce statut me soit reconnu. Je n’ai pas divulgué d’éléments qui puissent nuire à l’enquête. Je risque de perdre mon emploi dans la fonction publique. Mais j’irai devant la Cour européenne s’il le faut."
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Le naturalisé Valls insulte les Français de souche !
Un lecteur de Cours-la-ville nous
fait part de son indignation :
Tous nos amis ont sûrement apprécié la déclaration de Valls : « l’extrême-droite n’aime pas la France ».
Ce petit maître n’a jamais dû entendre parler de René Fonck et de sa Croix de guerre à 28 palmes, ni de Franchet d’Espèrey ou de Scapini, aveugle de guerre, ni de Vallat qui avait laissé une jambe sur le champ de bataille, etc.
Combien de gars qui conchiaient la république et aimaient la France sont restés sur le carreau en 14-18 ? Et dire que les grands-pères de Valls n’ont dû entendre parler de Verdun que par la Vanguardia de Barcelone ou par la presse italienne ! Il faudrait aussi lui causer de Salan ou de Chateau-Jobert (onze citations, dix palmes). Ou lui rappeler que les Croix de Feu avaient 500 000 membres en 36 quand Blum a dissous le mouvement comme « fasciste » – et que pour être membre, il fallait être ancien combattant de l’avant ou blessé cité pour action d’éclat… Vraiment dommage que personne de chez nous n’ait accès aux grands médias pour clore le bec des types de ce genre !
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Vous trouvez ça drôle ?
C’est hier que le MRAP a officiellement porté plainte, une première pour un ministre de gauche, contre Manuel Valls, coupable aux yeux de cette officine antiraciste d’obédience communiste d’avoir enfoncé une porte ouverte en déclarant que les populations Roms ont vocation à rentrer en Bulgarie et en Roumanie. Et ce, précisait le ministre de l’Intérieur, parce qu’elles «ont des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en confrontation». Les habitants des quartiers pluriels pourraient certes en soumettre d’autres à M. Valls…
Coïncidence (?) des dates, c’était hier aussi qu’à l’ initiative des parlementaires socialistes du courant dit de La Gauche forte, était organisé dans la soirée un débat à l’Assemblée consacré aux « réponses que la gauche doit apporter face à la montée du FN», en présence de Manuel Valls et du ministre de la Justice Christiane Taubira. Ces deux là se sont embrassés chaleureusement, ostensiblement, pour manifester symboliquement l’unité du gouvernement face à l’adversité.
En fait des réponses à apporter à la montée du FN, rien n’a filtré puisque ce n’était pas tant le but de ce débat bidon que d’essayer une nouvelle fois de ressouder les rangs contre le péril frontiste, de faire peur dans les chaumières. La formule est toujours peu ou prou la même: faire croire que la République est menacée par les factieux, pratiquer l’amalgame entre l’extrême droite et le Front National.
Comme il l’avait fait lors de l’université d‘été du PS, M. Valls a attaqué nommément ses deux têtes de turcs, l’humoriste Dieudonné et l’essayiste Alain Soral –ça ne mange pas de pain- et a enchaîné les formules toutes faites, appelé la gauche « à se ressaisir face au racisme.»
« Quand on siffle le président de la République et que les sifflets viennent de l’extrême droite, il faut que la gauche se ressaisisse, il faut que les républicains s’unissent et disent ça suffit ». Autre pensée forte du ministre de l’Intérieur : la réponse face à l’extrême droite, c’est « l’efficacité » de la politique. «Vous croyez que nous n’agissons pas ensemble avec Christiane Taubira ? (…). Vous croyez que nous nous laissons impressionner par ceux qui veulent nous opposer ? ». On reste pantois devant la fulgurance et l’intelligence du propos …
Certes, dans l’enfilage de perles, Mme Taubira n ’a pas été en reste en demandant « aux voix de la France (de) couvrir » celles du racisme et en affirmant : « Nous devons rappeler que la gauche a su construire des réponses de progrès » (sic) . Formidable…
Bien sûr l’affaire du moment était la Une volontairement provocatrice de l’hebdomadaire Minute consacrée au garde des sceaux, « Maligne comme un singe Taubira retrouve la banane », dont on peut en effet ne pas goûter « la finesse » et les clins d’oeil à l’actualité récente, mais qui a déchaîné une tempête assez ahurissante. L’unanimisme des indignations n’est en fait pas tellement pour surprendre chez les mutins de panurge (dixit Philippe Murray) de la caste politico-médiatique, dont le grégarisme ne se dément pas.
Manuel Valls a affirmé que le gouvernement étudiait « les moyens d’agir contre la diffusion » de Minute ; le ministre de la Santé, Marisol Touraine, y a une « incitation à la haine raciale »; Jean-Marc Ayrault a saisi le procureur de la République de Paris en portant à sa connaissance « ces faits susceptibles de constituer l’infraction d’injure publique à caractère racial»; le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, a dénoncé une « ignoble Une » ; l’UEJF et SOS racisme ont annoncé des dépôts de plainte…
« Ils n’ont donc pas de limites. C’est même à ça qu’on les reconnaît. Pas une #Minute à perdre. Les nazes en cage », a affirmé Jean-Luc Mélenchon avec sa mesure légendaire dans un tweet. Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux a appelé la société à faire « rempart contre ces extrémismes » et au nom de l’UMP, le député filloniste Eric Ciotti a dénoncé « une dérive ».
En l’espèce, la réaction la plus maline et politique est bien celle de Christiane Taubira «qui a fait savoir qu’elle n’engagera pas d’action juridique contre Minute. Réagir d’une manière ou d’une autre, c’est faire augmenter les ventes de l’hebdomadaire de 10%, explique l’entourage de Christiane Taubira au Lab (blog d’Europe 1), se disant convaincu que l‘hebdomadaire a élaboré sa une en s’entourant des conseils d’un avocat. »
« Si des associations veulent le monter en sauce, c’est leur problème (…) Nous trouvons que c’est indécent, il y a plein d’autres problèmes dans ce pays, a réagi de son côté la porte-parole de Minute, Hélène Valette. Nous assumons cette Une, c’est satirique, personne ne s’offusque des Unes de Charlie Hebdo. »
Dont certaines furent en effet particulièrement gratinées se rappelle Bruno Gollnisch, preuves à l’appui, y compris sur le terrain du racisme (de l’humour ?) supposé. Ajoutons que tout ce beau monde préfère aussi ne pas entendre les toutes dernières critiques adressées par Dieudonné, via une vidéo diffusée sur internet, à Mme Taubira. Propos autrement plus carabinés que les formules de Minute, mais il est vrai que sa couleur de peau similaire à celle du garde des sceaux le protège ici de l’accusation de racisme.
On peut aussi difficilement reprocher à la présidente du FN comme à Bruno Gollnisch d’être racistes -« Je suis heureuse de me faire cracher dessus chaque semaine par Minute quand je vois ce que c’est devenu » a twitté hier Marine .
Jamais le FN n’a attaqué quiconque du fait de sa couleur de peau, de ses origines ethniques ou religieuses. Le FN combat l’immigration pas les immigrés, des programmes politiques, des idées qu’il juge erronés, néfastes, jamais un individu en tant que tel, sachant qu’une personne par ailleurs n’est pas entièrement réductible aux idées qu’elle professe.
Bruno Gollnisch le réaffirmait dans un entretien accordé au site La voix de la Russie que nous mettrons en ligne demain sur ce blog, « Nous ne sommes pas des racistes ou des xénophobes mais nous considérons que ceux qui viennent en France pour bénéficier de notre système social, doivent s’adapter à la culture française (…). »
« Nous aimons bien sûr la France poursuit le député européen frontiste et je ne peux pas dire que monsieur Ayrault déteste la France. Il est prisonnier d’un système mondialiste qui veut le brassage universel des individus, des marchandises et des capitaux. Ce système globaliste détruit les nations, les solidarités familiales et les particularités des peuples et, par conséquent, déracine des êtres humains. Je crois que le Front National est le meilleur défenseur de l’identité française et de tous les peuples. Nous n’avons pas l’intention de partir en guerre contre personne, nous voulons tout simplement rester maîtres chez nous. » Est-ce trop demandé ?
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PMA, GPA et marchandisation de l’être humain : la « lettre aux élus » adressée à 40.000 élus locaux
novembre 2013
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire » (George ORWELL)
Madame, Monsieur le Maire,
Dans la « Lettre aux Elus » du 5/11/12, nous attirions votre attention sur les risques immenses que ferait courir tant à la société, qu’aux enfants qui pourraient être adoptés, une loi qui ouvrirait à deux personnes de même sexe le droit au mariage ainsi qu’à l’adoption d’enfants.
Malgré les résultats défavorables de sondages, malgré une opposition inouïe qui s’est notamment traduite par des manifestations d’une ampleur sans précédent depuis les années soixante, une loi aux termes de laquelle des duos homosexuels peuvent être déclarés « mariés » par un officier d’état-civil, a été promulguée le 18 mai dernier. La France devient ainsi le 14ème état sur les 138 que compte la planète à avoir promulgué une telle loi.
Dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, est inscrit le principe selon lequel « la loi est l’expression de la volonté générale »1. Jamais un tel principe n’aura été à tel point vidé de son sens : en effet, les personnes qui réclamaient une telle loi ainsi que celles qui pourront désormais s’en prévaloir, ne représentent – de l’aveu même de certaines associations d’homosexuels – qu’une infime partie de la population française.
Comme l’a démontré sur le terrain du droit et de l’éthique le philosophe Thibaud COLLIN, dans son ouvrage intitulé « Les lendemains du mariage gay »2, « l’ouverture du mariage civil aux personnes de même sexe serait un choix garanti par l’Etat de bafouer les droits de certains enfants ».
Cette ouverture est désormais chose faite et les différents promoteurs de cette transgression inouïe ne s’arrêteront pas en si bon chemin…
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La ficelle de l’antiracisme était trop grosse
Lu dans Minute :
"Je n’ai jamais été scout. Taubira non plus, à en juger par sa difficulté à allumer un feu, préparé, il est vrai, avec de pauvres brindilles et un pétard mouillé. En guise de « brindilles », elle a utilisé une candidate du Front national aux municipales à Rethel (Ardennes) qui l’avait comparée à un singe et une gamine qui, à Angers, l’a traitée de guenon en brandissant une peau de banane, peut-être avec le secret espoir qu’elle glisserait dessus, comme dans une BD de Boule et Bill… Horreur! Les cheveux de madame le ministre s’en sont dressés sur sa tête, sons sens politique aigu s’est réveillé comme jamais et des frémissements de bonheur courroucé lui ont couru le long de l’échine jusqu’au crou pion. « Ils » avaient osé! Ne restait qu’à ressortir le vieux pétard mouillé de l’antiracisme pour allumer une affaire d’Etat à partir de ces non-événements.
Qui sème le vent récolte la tempête: les attaques contre Taubira, si malencontreuses soient-elles dans leur formulation, s’expliquent principalement par la détestation qu’elle s’est attirée en travaillant à légaliser le « mariage » entre personnes de même sexe. Mais l’occasion est belle de ressortir des cartons la sempiternelle accusation de racisme pour intimider ses adversaires et remobiliser le gogo bobo. « Cela renvoie évidemment à ses parents, au cadre familial, à l’éducation », a déclaré dans « Libération » le garde des Sceaux à propos de la fillette qui l’a injuriée. Les journalistes embrayent: les responsables, ce sont toujours les parents! Voilà qui va sûrement faire plaisir à Marisol Touraine, dont le fils est en prison pour avoir braqué une femme à son domicile, et à Laurent Fabius, dont le fils Thomas connaît lui aussi quelques démêlés avec la justice…
Au fait, dans quelle mesure l’éducation dispensée par Christiane elle-même n’explique-t-elle pas qu’un jour de 1996, son fils Lamine ait lui-même été trouvé en possession de menus objets dérobés au cours d’émeutes à Cayenne? Voilà une réputation laminée! La ficelle de l’antiracisme était-elle trop grosse? La manipulation n’a d’abord pas fonctionné. Dame Tautau s’en est plainte lors d’un entretien accordé le 5 novembre à « Libération »: « Les réactions n’ont pas été à la mesure […] Ce qui m’étonne le plus, c’est qu’il n’y a pas eu de belle et haute voix qui se soit levée pour alerter sur la dérive de la société française. » La grande et belle voix n’a pas tardé à répondre: du haut de l’Elysée, Flanflan-la-Tulipe en personne a condamné l’hydre raciste, ce qui n’avait plus été fait depuis au moins le mois de juin dernier – une éternité! [...]"
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Le pouvoir tente de faire taire David Van Hemelryck
David Van Hemelryck, le pilote de l'aéronef à la bannière "Hollande démission", a été déféré ce midi et sera présenté ultérieurement à un magistrat. Il est poursuivi pour organisation de manifestation non déclarée.
Les trois autres personnes interpellées hier sur les Champs-Elysées ont vu leur garde à vue prolongée de 24 heures. Elles sont poursuivies pour violence volontaire sur agent de la force publique.
La persécution politique, avec la complicité de la police, se poursuit.