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anti-national - Page 924

  • Ce gouver­nement a un vrai problème avec la famille

    D'Aymeric Pourbaix dans Famille chrétienne :

    "[...] [C]e gouver­nement a décidément un problème avec la famille : en donnant à la jeune fille, et à elle seule, la possibilité de revenir en France après avoir légalement expulsé le reste de sa famille en situation irrégulière, le chef de l’État a déclenché une tornade politique aussi soudaine que dévastatrice.

    Cette affaire est également très révélatrice de l’absence de véritable réflexion de fond sur l’immigration, au-delà des bons sentiments qui, à eux seuls, ne peuvent constituer une politique. C’est d’ailleurs cette articulation fine entre la nécessité d’un accueil humain et le droit d’un État à encadrer, voire à ­limiter, ­l’immigration, qui constitue les recommandations de l’Église en la matière. En 1976, Valéry Giscard d’Estaing avait promu le regroupement familial pour les immigrés venus travailler en France dans les années 50 et 60. Depuis, la situation économique a changé, conduisant récemment le ministre de l’Intérieur à remettre en cause ce principe, du fait notamment de la pression démographique en Afrique.

    Avec cette nouvelle affaire, c’est dés­ormais le « dégroupement familial » qui vient d’être inventé par l’exécutif. Comme l’a souligné un éditorialiste de gauche, ce cas largement médiatisé a soudain transformé les Français en « apprentis juges aux affaires familiales », obligés de trancher « dans la chair d’une famille ». Au final, une telle maladresse n’est pas si étonnante. Elle n’est que l’aboutis­se­ment d’une idéologie qui s’est efforcée pendant des années d’ignorer, et même de saper, les fondements de ce qu’est ­vraiment la famille.

    Coïncidence du calendrier, les ­députés ont adopté jeudi 17 octobre la baisse du quotient familial, qui alourdira un peu plus les budgets des ménages. Le même jour, la ministre en charge a affirmé vouloir promouvoir « les » familles, pour éviter d’avoir à ­renforcer ce qui, de tout temps, a été le pilier de la société, à savoir « la » famille, ­composée d’un père, d’une mère et des enfants. Dans son futur projet de loi, Dominique Bertinotti entend notamment défendre la notion de prémajorité, qui ruinera un peu plus l’autorité des parents sur leurs enfants adolescents. On ne saurait trop recommander au chef de l’État de s’inspirer de cette autorité paternelle tant décriée pour ­rétablir la sienne."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • [Paris] 20 octobre 2013 : L’Action française manifeste contre la christianophobie

    "France, Jeunesse, Contre-révolution !"

    Dimanche 20 octobre, une centaine de militants parisiens d’Action Française ont manifesté contre l’antichristianisme, rejoins par quelques 300 sympathisants à mesure que le cortège évoluait dans les rues de la capitale. De l’avis général, le cortège d’Action Française était le plus réussi : nombreux participants, nombreux slogans, nombreux drapeaux et beaucoup d’énergie.

     

    "Chassons le Grand Orient du gouvernement !"

    L’Action Française n’est pourtant pas un mouvement confessionnel, notre pensée est catholique, la plupart de nos membres sont catholiques mais nous ne pouvons enlever la France, donc le combat nationaliste et royaliste, à nos compatriotes qui ne sont pas croyants ou qui croient autrement. Comprenez-le bien, étions tous présents dimanche, croyants ou non. Il s’agit de s’ériger contre les attaques de l’Etat et de la nomenklatura, bafouant notre héritage chrétien. Car un français, quel qu’il soit, est au minimum culturellement catholique et retirer cette partie chrétienne du français équivaudrait à retirer le surnaturel de notre société et de notre Histoire.

    "La république est anti-catholique !" Aperçu du cortège d’AF.

    Non messieurs du pays légal, vous ne pouvez plus appliquer le "deux-poids deux-mesures" en vous offusquant lorsqu’une synagogue ou une mosquée est vandalisée tout en restant muets voire dédaigneux lorsqu’une église est profanée. Vous ne pouvez plus cautionner une politique locale avantageuse à outrance vis à vis de certains cultes, surement dans une démarche clientéliste, tout en cautionnant la démolition d’églises, faute de moyens mis en œuvre pour les restaurer. Non messieurs du pays légal, vous ne pouvez nous enlever Sainte Geneviève qui protégea la capitale, ce grand Roi Saint Louis, Sainte Jeanne d’Arc héroïne de la nation et tant d’autres figures françaises de la chrétienté qui procèdent du caractère catholique de l’Histoire de France. Non messieurs du pays légal, vous ne pouvez mépriser impunément la religion des français ou diluer notre pays dans des croyances très fraîchement importées et minoritaire à des fins électoralistes.

    "Bergé, nos ventres ne sont pas à louer !"

    Croyants ou non, nous étions tous, camarades et amis, présents dimanche contre l’antichristianisme et derrière la banderole d’Action française !

    Antoine Desonay Secrétaire Général des étudiants d’AF

    Plus de photos :
    - Reportage de Nouvel Arbitre http://nouvelarbitre.com/reportage-...
    - Reportage Citizen Side http://www.citizenside.com/fr/photo...

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paris-20-octobre-2013-L-Action

  • Jouons avec notre gouvernement, Léonarda, la Manif pour tous et la France orange mécanique

    Aujourd’hui, un petit jeu : de la cohérence s’est cachée dans ces trois affaires, retrouvez-la. 
    1. D’un côté, nous avons la clause de conscience des maires qui est refusée : la loi c’est la loi, il n’y a pas à transiger avec ça. De l’autre, nous avons l’affaire Léonarda : la loi est ignoble, qui permet de virer de pauvres jeunes filles de France, il faut donc la violer. La loi, pas la jeune fille.
    2. D’un côté, nous avons des centaines de milliers de manifestants, qui descendent régulièrement dans la rue pendant plus de 6 mois, prenant sur leurs jours de repos pour montrer leur inquiétude. De l’autre, nous avons des lycéens qui descendent dans la rue trois jours de suite, à la veille des vacances, puis plus rien. Qui est entendu jusqu’à l’Élysée ?
    3. D’un côté, nous avons une affaire de jalousie qui se finit par deux claques : l’ex de maman Léonarda est venu se venger de la séparation qu’il a subie il y a 25 ans. La France en conclut que Léonarda n’est pas en sécurité au Kosovo, et qu’il faut donc vraiment la faire revenir. De l’autre côté, nous avons un bouquin qui prouve qu’on n’est plus en sécurité nulle part en France. Blackout total, accusations de racisme, voire de nazisme. La sécurité des Français n’est rien à côté de celle de Léonarda.
    Réponses : dans l’affaire 1, la cohérence se cache… euh, ben en fait je la trouve plus. Dans la 2, elle se trouve dans… ah ben merde, c’est pas vrai, elle s’est barrée cette conne… Et dans la 3, je… hum. 
    Désolé pour ce petit incident technique. La prochaine fois je ferai plutôt un jeu des 7 erreurs…

    Source  http://www.oragesdacier.info/2013/10/jouons-avec-notre-gouvernement-leonarda.html

  • Tollé après l'ouverture d'un nouveau chapitre d'adhésion de la Turquie à l'UE

    La présidence lituanienne de l'Union européenne a annoncé ce matin l'ouverture d'un nouveau chapitre dans les négociations d'adhésion avec la Turquie. Il s'agit du chapitre de la politique régionale. Ce sera le 14e sur 35. (Un seul a été conclu)

    Charles-Henri Jamin, Président du Parti Chrétien-Démocrate, réagit vivement :

    «Je réaffirme haut et fort l’opposition du Parti Chrétien-Démocrate à l’intégration de ce pays dans l’espace communautaire. L’Europe doit rassembler les peuples et nations de civilisation judeo-chrétienne présents sur le continent européen. Telles étaient la volonté des pères fondateurs et le choix du drapeau européen. Alors que la construction européenne est en crise, il convient de lui redonner du sens. Seule une alliance fondée sur une civilisation commune pourra y contribuer. Souhaiter l’élargissement de l’Union sur de seules considérations économiques aboutirait à dissoudre le lien historique et anthropologique de l’Europe. Il y a là une ligne de principe à ne pas franchir. Par ailleurs, et ce de manière conjoncturelle, la Turquie ne reconnait toujours pas Chypre, pays membre de l’Union, ainsi que sa responsabilité dans le génocide arménien. Le Parti Chrétien-Démocrate appelle les Français à s’opposer fermement contre l’intégration de la Turquie à l’Union Européenne ».

    Yannick Moreau, Député UMP de la Vendée, dénonce :

    "Les technocrates de la Commission européenne tentent une nouvelle fois d’imposer leur vision de l’Europe, une Europe sans cohérence ni racines. Mais si l’Europe se construit sans les peuples, elle court à sa perte. « Est-il vraiment raisonnable et prioritaire en ces temps perturbés de vouloir intégrer dans notre communauté un pays qui possède des frontières avec la SYRIE, l’IRAK et l’IRAN ? » La réponse est évidemment NON. La nécessaire coopération entre la TURQUIE et l’Union Européenne passe par la conclusion d’accords privilégiés respectant les particularités de chacun plutôt que par la volonté de fondre les identités respectives dans un magmainforme."

    Pour Véronique Besse, député MPF, cette décision de rouvrir les négociations avec la Turquie est « inacceptable pour trois raisons :

    • La Turquie n’est pas en Europe ; ni géographiquement, ni culturellement.
    • La Turquie ne remplit pas les conditions d’adhésion à l’Union européenne.
    • La France n’en a pas les moyens.
    En 2013, la candidature de la Turquie a encore coûté 165 millions d’euros aux contribuables français. Dans le contexte économique actuel, et compte tenu de la dette croissante de notre pays, les Français attendent du Gouvernement qu’il s’occupe d’abord de leurs préoccupations ».

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Rapport Estrela : un coup d’arrêt pour les partisans de l’idéologie du genre

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    "Après avoir appelé ses sympathisants à se mobiliser contre la proposition de résolution du Parlement européen en faveur du gender et de la PMA pour les couples de femmes et les célibataires, La Manif Pour Tous se félicite de l’issue du renvoi en commission de ce texte scandaleux. « C’est inespéré. Aucun observateur ne s’ y attendait. C’est un coup d’arrêt voire un recul pour les partisans de l’idéologie du genre et de la filiation bidon. Nous remercions vivement tous nos sympathisants et tous ceux qui se sont mobilisés. Le résultat est là : c’est une grande victoire » se réjouit Ludovine de la Rochère.

    Cette proposition de résolution prévoyait en effet l’enseignement du Gender à l’école et réduisait les parents à être de simples « protagonistes » de l’éducation sexuelle de leurs propres enfants. Sous couvert de bons sentiments et au nom du principe de non-discrimination, cette proposition de résolution entendait également promouvoir « la procréation pour tous. » En permettant « aux femmes célibataires et lesbiennes de bénéficier de traitements de fertilité et de services de procréation médicalement assistée », ce texte conduisait à institutionnaliser la fabrication d’enfant délibérément privé d’un père.

    La Manif Pour Tous rappelle qu’en France, la PMA (Procréation Médicalement Assistée) est un acte médical réservé aux couples hétérosexuels qui se trouvent face à une infertilité médicalement constatée ou risquant de transmettre une maladie grave à l'enfant ou sa mère. « Notre mobilisation et celle d’innombrables citoyens européens a permis d’éviter l’adoption ce matin de cette proposition de résolution. C’est une victoire pour les droits des enfants, pour la justice et pour la solidarité » déclare Ludovine de la Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. « Nous restons bien évidemment extrêmement vigilants puisque ce texte n’est pas définitivement enterré. Il a en effet été renvoyé en Commission. Nous allons donc maintenir la pression » poursuit-elle."

    Michel Janva

  • Manifestation à Strasbourg contre la résolution pro-mort du Parlement européen

    C'était cet après-midi :

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    Michel Janva

  • "Mariage homosexuel" : rafraîchissons la mémoire de Jean-François Copé

    Dans un passé pas si lointain, Jean-François Copé prenait position contre le "mariage" homosexuel, et pas uniquement contre l'adoption, la PMA et la GPA, comme il l'a prétendu hier, lors de l'émission "Des paroles et des actes" :

    "Je n'ai jamais eu d'opposition d'aucune sorte à l'idée du mariage homosexuel. (...) Je n’ai, comme personne parmi les Français, pas d’objection de fond contre le mariage homosexuel ».

    Quelques citations parmi d'autres, qui pourraient lui raffraîchir la mémoire :

    • Interview accordée à L'Union le 12 septembre 2012 :

    "A titre personnel, je ne suis pas favorable au mariage et à l'adoption pour les couples homosexuels. Je pense que c'est un débat difficile où les points de vue sont parfois extrêmement tranchés. Je souhaite que ce débat puisse se faire dans le respect mutuel des différentes opinions. Quant au référendum, par nature, je ne suis jamais hostile à ce qui peut permettre d'avoir un débat constructif avec les Français."

    • Sur notre blog, le 18 octobre 2012, réponse de Jean-François Copé à des lecteurs :

    "Pour ma part je suis opposé au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels. Comme l’avait dit Nicolas Sarkozy pendant la campagne, je pense que le mariage est un cadre destiné à donner une protection aux enfants. Il est intrinsèquement lié à la famille et s’organise autour d’un modèle composé d’un père et d’une mère. Il faut pleinement respecter les familles homoparentales qui existent. Mais cela n’implique pas de changer notre modèle de famille hétérosexuelle."

    "Premier point, je voudrais vous dire que je mettrai tout ce que je peux de convictions pour convaincre que cette loi va faire, vraiment... terriblement, de destabilisations dans la société (sic). Si elle devait l'être [votée], à titre personnel, je ne les célèbrerai pas, je délèguerai à tel ou tel de mes adjoints pour le faire. Mais je veux vous dire une chose : elle n'est pas votée à l'heure où je vous parle. Les Français sont en train seulement maintenant de réaliser qu'on est en train de modifer le code civil pour être parent A et parent B. C'est un changement majeur. Et les Français, croyez-moi, quand ils vont réaliser, ils vont pas beaucoup aimer."

    • Meeting à Nancy le 2 décembre, repris par un communiqué le 14 décembre 2012 

    "Parmi les sujets inquiétants que le gouvernement met aujourd’hui sur la table, il y a la question du mariage et de l’adoption pour les couples de même sexe. Le gouvernement refuse un débat national sur cette question cruciale qui concerne pourtant tous les Français et fragilise les fondements mêmes de la famille. Il est donc de notre devoir de permettre aux Français de s’exprimer tout de suite sur cette question, de leur rendre le débat confisqué par la gauche.
    C’est pourquoi, je vous invite à participer en masse à la grande manifestation nationale du 13 janvier à Paris."

    "Mais mon objection plus fondamentale est d’une autre nature. Que ce soit dans le cadre du mariage ou hors du cadre du mariage, il existe un socle commun du droit français : la filiation est d’abord biologique. Dans le mariage ou en dehors, vous ne pouvez déclarer une filiation que si vous êtes effectivement le père ou la mère de l’enfant. (...)

    Bien sûr, il a existé des civilisations presque aussi tolérantes que la nôtre à l’égard de l’homosexualité. Mais elles n’acceptaient pas le mariage entre personnes du même sexe car aucune n’a cherché à nier l’altérité des sexes dans l’origine de la filiation. C’est cela qui est universel.

    Prenez l’exemple de la Rome antique, si tolérante à l’homosexualité. Comme le rappelle le grand historien Paul Veyne, on se gardait bien d’y confondre l’ordre des relations sentimentales ou sexuelles et celui des rapports conjugaux.

    C’est bien la question posée par le projet de loi. Souhaitons-nous modifier ce principe essentiel du mariage qui lui donne son sens depuis toujours : fonder la filiation sur la différence des sexes ? C’est ce sujet-là qui est au cœur de tous nos débats. (...)"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Algérie : la repentance sélective, ça suffit !

    Dans les villes de gauche comme Strasbourg, on a remis une couche ces jours-ci sur la prétendue « nécessaire repentance » de la France envers l’Algérie. La capitale européenne inaugurait à son tour une place du 17 octobre 1961, en hommage aux Algériens morts lors de la manifestation organisée ce même jour par le FLN à Paris.

    À l’époque, la gauche ne s’en était guère émue, embarrassée par le contexte de la guerre d’Algérie et le souvenir peu glorieux de Guy Mollet qui y avait envoyé le contingent. Dans Le Monde du 19 octobre 1961, Jacques Fauvet se fendit même d’un éditorial remettant les pendules à l’heure. Un constat prémonitoire, quand on le relit à la lumière de ce qui se passe aujourd’hui dans le monde musulman : « Le FLN ne manquera pas d’exploiter les sanglants incidents de Paris [...]. Pourtant il en porte la responsabilité puisque, ici et là, c’est le terrorisme musulman qui est à l’origine de ces drames ! » [...]

    José Meidinger - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Algerie-la-repentance-selective-ca

  • Jean-François Copé favorable au mariage pour tous : réaction immédiate de la Manif pour tous

    On ne badine pas avec le Mariage.

    Lettre ouverte de Ludovine de la Rochère :

    "Monsieur le Président,

    Sur le plateau de France 2, lors de l’émission « Des paroles et des actes »  du 10 octobre dernier vous avez déclaré, je vous cite : « Je n’ai jamais eu d’opposition d’aucune sorte à l’idée du mariage homosexuel ».

    Devant l’étonnement des journalistes présents qui vous interrogeaient, vous avez ajouté, et je vous cite à nouveau : « Pour le mariage, je n’ai, comme personne parmi les Français, d’objection de fond contre le mariage homosexuel ».

    Voilà bien un reniement en bonne et due forme dont je prends acte, tout comme les millions de Français qui, tout au long du débat sur l’adoption de la loi Taubira, ont explicitement manifesté contre le principe même de ce « mariage ».

    C’est votre parfaite liberté de vous déjuger ainsi aujourd’hui. Tout comme c’est la nôtre de dire qu’il est bien difficile d’accorder sa confiance à un haut responsable politique qui peut ainsi radicalement changer de position sans autre raison apparente que de vouloir plaire à une infime minorité de personnes au prix, de facto, de son propre électorat.

    Parce que nous sommes attachés aux valeurs du mariage, nous donnons du prix à ce qui lui est indissociable : la fidélité et le respect des engagements pris.

    Vous comprendrez dès lors que sans un rappel précis, sincère et explicite de votre plein engagement à nos côtés « contre le mariage pour tous » et contre la loi Taubira, les millions de manifestants, citoyens électeurs, sauront se souvenir de ce reniement le moment venu.

    Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma considération distinguée".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/10/jean-fran%C3%A7ois-cop%C3%A9-favorable-au-mariage-pour-tous-r%C3%A9action-imm%C3%A9diate-de-la-manif-pour-tous.html