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anti-national - Page 925

  • Touche pas à nos fêtes chrétiennes ! Pétition à signer

     

    Lettre de Daniel Hamiche

    Madame, Monsieur,

    Le gouvernement actuel de la France a été manifestement surpris par la vigueur du christianisme français qu’il pensait sans doute agonisant.

    Il semble désormais souhaiter le réveil de la trop fameuse "guerre des deux France", en multipliant les agressions antichrétiennes.

    Dernière agression en date : Mme Dounia Bouzar, récemment nommée par le Premier ministre, souhaite que deux fêtes chrétiennes soient remplacées par la fête juive de Yom Kippour et la fête musulmane de l’Aïd. Nous ne pouvons pas laisser faire cela : nier les racines chrétiennes de notre pays ne peut qu’aggraver l’inquiétante crise morale et spirituelle que la France traverse. Un pays sans mémoire est un pays sans avenir et, comme le disait le général de Gaulle, si l’Etat est laïc, la France est chrétienne.

    Pour le moment, cette "proposition" n’est qu’une initiative privée. Mais il y a fort à parier que ce soit un coup d’essai médiatique pour "tester" les résistances. Si nous restons passifs, nous pouvons être certains que, non seulement cette "suggestion" deviendra rapidement réalité, mais qu’elle sera vite aggravée. On risque d’en arriver rapidement aux délires iconoclastes de la Terreur, visant à éradiquer tout rappel de la présence chrétienne dans l’histoire de France, qu’il s’agisse de "laïcisation du calendrier" (refus de compter les années à partir de la naissance du Christ) ou de "laïcisation des paysages" (destruction des églises de nos villages)... Il faut donc donner un coup d’arrêt à ce processus funeste, tant qu’il en est encore temps.

    C’est pourquoi j’ai pris l’initiative d’une pétition au Premier ministre réclamant un rejet clair et net de cette agression antichrétienne.

    Pour qu’elle soit efficace, nous devons absolument être des milliers à dire notre refus de ce laïcisme sectaire.

    Alors signez vite et faites signer cette lettre, dont voici le texte :

    Monsieur le Premier ministre,

    Mme Dounia Bouzar, que vous venez de nommer à l’Observatoire de la laïcité, vient de "proposer" de remplacer deux fêtes chrétiennes par la fête juive de Yom Kippour et la fête musulmane de l’Aïd.

    Nous notons d’abord que les instances représentant la communauté juive n’ont jamais posé une telle revendication, ce qui laisse à penser que la communauté juive pourrait être instrumentalisée dans cette affaire par Mme Bouzar.

    Mais, surtout, nous constatons, comme toutes les personnes connaissant un tant soit peu l’histoire de notre pays, que, selon le mot fameux du Général de Gaulle, si l’Etat est laïc, la France est chrétienne.

    Violer la société pour en faire un espace religieusement neutre est parfaitement absurde. A moins que vous n’ayez aussi pour projet de raser toutes les églises de village qui offensent sans doute la laïcité, selon les canons de Mme Bouzar.

    Nous pouvons certes comprendre que l’Etat souhaite proposer des jours fériés aux différentes religions existant dans notre société. Mais, dans ce cas, pourquoi discriminer les bouddhistes, les hindouistes, et les fidèles de toutes les autres religions ?

    D’ailleurs, il existe bien des jours fériés religieusement neutres. La France compte 11 jours fériés, dont 6 seulement ont un rapport avec la religion chrétienne - encore que le lundi de Pentecôte ne soit plus qu’un "demi jour férié", puisqu’une importante partie de la population active travaille ce jour-là. Le 1er janvier, le 1er mai, le 8 mai, le 14 juillet et le 11 novembre n’ont aucune connotation religieuse. Si votre gouvernement souhaite remplacer des jours fériés par les fêtes de Yom Kippour et de l’Aïd, il peut fort bien utiliser ces jours religieusement neutres. Mais comment ne pas voir dans la proposition de Mme Bouzar un nouvel acte d’agression antichrétienne ?

    Nous tenons donc à vous dire solennellement que, pour nous, chrétiens de France, une telle réforme serait une déclaration de guerre, non pas seulement au christianisme, mais aussi à l’être historique de la France. Pourtant, les Français qui ont voté pour votre majorité n’ont certainement pas voté pour que vous rallumiez la trop fameuse "guerre des deux France".

    Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir dissiper au plus vite nos inquiétudes.

    Dans cette attente, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier ministre, l’expression de notre très haute considération et de notre vigilante attention.

    Cliquez ici pour signer la pétition et envoyer cette lettre.

    Daniel Hamiche

    Directeur de l’Observatoire de la christianophobie

    PS : Pour lire, diffuser, signer et faire signer notre lettre, vous pouvez soit vous rendre sur notre site, soit sur notre page Facebook.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Touche-pas-a-nos-fetes-chretiennes

  • Les quatre maux de la Défense

    Alors que la passion partisane égare un certain nombre de commentateurs, sur ce blog et ailleurs, qui préfèrent leur frénésie à l'analyse complexe des faits, tentons de voir ce qui ne va pas dans la Défense. Il me semble possible de lister quatre problèmes majeurs : la masse salariale, Louvois, l'entraînement des forces, les exportations. 

    1) La masse salariale du ministère de la Défense augmente alors que les effectifs diminuent. On peut discuter du niveau de cette hausse et de ses causes, mais le fait est là. C'est évidemment un problème structurel considérable. Tout l'édifice construit depuis la professionnalisation de 1996 - et renforcé par la loi de programmation de 2008 - reposait sur l'idée suivante : moins d'hommes mais mieux équipés. Il y a aujourd'hui beaucoup moins d'hommes, mais cette réduction n'a pas permis de dégager des crédits pour financer les équipements. Le gouvernement précédent a été généreux avec les personnels de la Défense en termes de soldes, traitements et primes de départ. La masse salariale globale a donc augmenté. Le ministère du Budget, comme la Cour des comptes, ont à juste titre fait grise mine.   

    On se retrouve aujourd'hui avec des armées et un ministère qu'il faut "repyramider", c'est-à-dire où il faut réduire le poids des catégories supérieures par rapport aux subalternes. Chacun voit bien de quoi il s'agit : combien de colonels font des tâches qui ne sont pas de leur niveau ?  Ce repyramidage  est à la fois compliqué et douloureux. Compliqué ? Prenons l'exemple d'une frégate : l'équipage a été réduit mais il fait appel à des personnels plus qualifiés, donc mieux payés. Douloureux ? C'est le blocage des avancements, naturellement très mal vécu par les intéressés.

    2) Louvois. Pas besoin de faire un dessin : il ne se passe pas une semaine sans que des situations ubuesques soient rapportées, en ce qui concerne le versement des soldes. Parmi les témoignages que je reçois, en voici un qui résume le problème : " Jeune retraité de l'armée de terre et rayé des contrôles depuis le 1er mai dernier, j'ai eu la joie de découvrir dans ma boite à lettres un courrier de mon ancienne administration. J'ai été étonné, j'ai reconnu l'envoi caractéristique des bulletins de solde. Et c'était bien un bulletin de solde. J'ai été soldé pour le mois de septembre de... roulement de tambour : 1 centime d'euro !"

    Entre les impayés et les trop-perçus (ces derniers étant apparemment supérieurs aux premiers), les relations compliquées avec le fisc, les bricolages de garnison pour trouver des solutions (des bons d'achat dans des grandes surfaces ! Allez réinscrire cela dans la comptabilité publique...), la situation est lamentable. C'est un véritable scandale national, dont on ne voit pas l'issue. S'il avait touché une autre population que les militaires (ou les petites entreprises victimes des défaillances du système de paiement Chorus), le pays aurait été secoué par des vagues de protestation. Je  laisse imaginer aux usagers quotidiens du chemin de fer les conséquences sur la circulation des trains d'un tel fiasco à la SNCF...
    Jean-Dominique Merchet - La suite ici

  • Le PCD s'insurge contre les Gay Games

    Charles-Henri Jamin, Président du Parti Chrétien-Démocrate s’insurge contre le projet d'organisation de GayGames en 2018 à Paris :

    « Dans une tradition multiséculaire, les jeux olympiques sont porteurs de valeurs universelles liées au goût de l'effort et à la fraternité. Aucune déclinaison communautariste ne peut se justifier autrement que par une manipulation de l’esprit du sport et des Jeux Olympiques au profit de revendications qui n'ont rien à voir. Indéniablement, l’organisation des GayGames constitue une promotion de lobbies gays et lesbiens qui utilisent à des fins militantes la beauté et la notoriété d'un rendez-vous sportif qui appartient au patrimoine mondial. Le Parti Chrétien-Démocrate appelle les Français, et plus spécialement les Parisiens, qui financeraient sur leurs impôts, cette manifestation en 2018, si Paris était retenu comme ville d'accueil, à résister là aussi à une dérive inacceptable »

    Et devinez qui est le président d’honneur de l’organisation française ? Pierre Bergé. Encore lui. Et le parrain : le grand couturier et militant LGBT Jean-Paul Gaultier.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Les Sentinelles face aux mairies

    Demain matin le Conseil constitutionnel examinera la question de la liberté de conscience des maires face à la loi Taubira.

    Pour soutenir les élus qui ne veulent pas célébrer de simulacre de mariage, les Sentinelles sont appelées à prendre leur poste à partir de ce soir et demain toute la journée devant toutes les mairies de France.

    Pour veiller comme Sentinelle, aucun signe distinctif, ni pancarte, ni vêtement avec logo, ni drapeaux et être espacés les uns des autres par 3 mètres. On reste le temps que l'on veut face au bâtiment et on garde le silence.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Les raisons d’un échec, les moyens d’une victoire

    manifpourtous

    L’homme de droite est content : il a eu « son mai 68 ». Au-delà de la position réactive d’une répétition en miroir et du contentement de soi, qu’en est-il aujourd’hui ?

    On a souhaité l’abrogation de la loi Taubira. On a mis plus d’un million de Français dans la rue, par trois fois. Quand ces Français ont gagné les Champs-Élysées, on les a retenus, on les a sagement renvoyés chez eux. Certains ont fait preuve de courage, se sont retrouvés en garde à vue, n’ont rien lâché. On a rationalisé a posteriori, on a parlé de transgression non violente. En ce début d’octobre, il est temps de dresser un bilan.

    Celui-ci est clair : c’est un échec. Un échec, car la loi Taubira n’a pas été abrogée. Un échec, car le gouvernement a refusé d’entendre une partie non négligeable du peuple. Le pouvoir avait pourtant reculé lors de l’affaire du CPE ; qu’a-t-il manqué ici ? Nous avons voulu la fin, mais non les moyens.

    De bonnes choses ont eu lieu : une prise de conscience ; des rapprochements féconds entre une jeunesse catholique conservatrice et une frange plus révolutionnaire ; un élargissement du discours dont le Printemps français et les Veilleurs ont été les fers de lance.

    Romain Lasserre - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Entretien avec Magnus Martel auteur de Plaidoyer pour l’armée française

     Entretien avec Magnus Martel auteur de Plaidoyer pour l’armée française

    « Si les militaires sont courageux physiquement, ils sont le plus souvent intellectuellement lâches. Ils ont oublié qu’ils effectuaient un véritable sacerdoce au service d’une terre et d’un peuple et non d’un gouvernement faussement élu par le jeu biaisé du parlementarisme »

    Pourquoi si peu de militaires osent-ils dénoncer la situation actuelle de l’Armée ? À cause de leur devoir de réserve ? Parce que, pour certains, ils appartiennent à la « Grande muette » comme on appelait l’armée dans le passé ?
    Cela reste un mystère. Y compris pour votre serviteur. Pourtant, je peux vous assurer que chaque jour que Dieu fait, ça râle dans les popotes militaires. Le problème essentiel réside, à mon sens, dans le fait que si les militaires sont courageux physiquement, ils ont oublié qu’ils effectuaient un véritable sacerdoce au service d’une terre et d’un peuple et non d’un gouvernement faussement élu par le jeu biaisé du parlementarisme. Ceci étant, ce devoir de réserve est plus que jamais imposé par des politiciens qui redoutent les forces armées et l’on constate tristement d’ailleurs que la parole est beaucoup moins libre aujourd’hui qu’elle l’était dans les années 1930. La « Grande muette » conserve plus que jamais son appellation.
    Les opérations auxquelles notre armée participe activement (Afghanistan, Mali, etc.) ne prouvent-elles pas qu’elle est tout à fait opérationnelle ? En tout cas pour un certain type de missions ?
    Opérationnelle pour quoi ? Par rapport à quoi ? Cela dépend avant tout de la nature de l’adversaire. À quelle armée digne de ce nom l’armée française a-t-elle été confrontée depuis la chute de l’URSS ? Quant à l’engagement en Afghanistan, une terre sur laquelle la France n’avait pas à mettre les pieds, plus de dix ans après, l’opération est loin de constituer un succès. Lors de l’embuscade de la vallée d’Uzbeen à l’été 2008, c’était la première fois depuis très longtemps que notre armée perdait autant de soldats en si peu de temps ! Tout porte à croire d’ailleurs qu’une fois les forces de la coalition otanienne parties, le pays replongera dans le chaos. Et c’est bien là le plus malheureux : songer que des hommes sont tombés ou ont été définitivement meurtris pour rien. Alors, bien sûr, il arrive que notre armée, à force de système D, de volonté et de ténacité fasse de véritables miracles. Comme au cours de l’opération Serval au Mali. Mais sérieusement, quel ennemi avions-nous face à nous ? Un adversaire certes déterminé, mais très loin de disposer de capacités militaires équivalentes aux nôtres, dans un pays permettant difficilement de se mettre à l’abri des vues et des coups de la troisième dimension. Au final, il est même permis de penser que cette victoire éclair aura nui à notre armée en donnant à penser à l’opinion comme au politique que nos forces étaient suffisamment opérationnelles comme ça et qu’il était encore possible de gratter dans les effectifs.
    Votre livre est très alarmiste… Les progrès de l’armement ne peuvent-ils suppléer à la réduction des effectifs humains ?

    Il est alarmiste parce que la situation l’exige. Les progrès de l’armement sont nécessaires, mais ils ne suffisent pas. L’Allemagne hitlérienne l’a appris à ses dépends. En outre, plus les armements sont sophistiqués, plus ils sont coûteux et moins nous pouvons nous en offrir. Songez qu’au train où vont les choses, notre pays ne disposera bientôt pratiquement plus de régiments de chars de combat dotés de Leclerc. Or, la conservation d’un spectre le plus large possible d’armements et de capacités militaires est une absolue nécessité pour un pays qui entend compter sur la scène internationale. Au final, et quelle que soit la qualité de notre armement, il sera toujours nécessaire de déployer du fantassin pour contrôler le terrain. Pour autant, il convient de ne pas tomber dans l’excès inverse en sacrifiant la technologie au nombre. Il est tout de même assez navrant de voir un général, ancien directeur de l’École de guerre, militer pour une sortie de notre pays de la dissuasion nucléaire, au motif que cela permettrait de réaliser des économies au bénéfice des forces conventionnelles.
    Qu’apporte de nouveau votre livre ? Apportez-vous des révélations gênantes pour nos dirigeants de ces vingt ou trente dernières années ? Y a-t-il un gouvernement qui a été plus « néfaste » qu’un autre ?
    L’incontestable nouveauté, c’est que je ne me contente pas de dénoncer, mais de proposer des solutions pour enrayer ce déclin. Aujourd’hui, comme d’autres dans la vie civile, je milite clairement pour un rétablissement de la conscription, seule à même de réaliser de substantielles économies tout en inculquant aux jeunes Français des valeurs en même temps qu’un véritable esprit de défense. Les dirigeants de ces trente dernières années se sont comportés de façon absolument lamentable envers notre pays. Il n’y a cependant pas eu un gouvernement plus néfaste qu’un autre. Tous l’ont été ! Tous ont apporté leur pierre à la lapidation de notre dernier véritable outil de souveraineté. Tous ont trahi et tous seront jugés et, je l’espère, définitivement condamnés par l’Histoire.

    Propos recueillis par Fabrice Dutilleul

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EFlpAAkkppIgdkmJnf.shtml

    note :

    Plaidoyer pour l’armée française, Magnus Martel, Éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 294 pages, 29 euros.

  • "Arrêtons de dorloter l’intégrisme" : l'article de Nadia Alexan, professeur québecoise retraitée d’origine égyptienne

    Elle intervient dans la presse alors que le gouvernement québecois propse une charte de laïcité pour préserver la paix sociale : 

    "Pourquoi j’appuie la Charte des valeurs québécoises, que je préfère appeler Charte de la citoyenneté ? Je suis d’origine égyptienne. Tout le temps que j’ai vécu en Égypte, où j’ai grandi et suis allée à l’école et à l’université dans les années soixante, je n’ai jamais vu une seule femme voilée. Qu’est-il arrivé depuis ce temps pour que le voile soit si répandu ? L’islam politique propagé par les pétrodollars de l’Arabie saoudite, du Qatar et des Émirats arabes unis a envahi non seulement le Moyen-Orient, où il n’arrête pas de réclamer le retour strict de la charia, mais aussi l’Occident, où il mène une campagne très énergique pour conquérir la civilisation des Lumières et ramener la gloire du califat du VIe siècle.

    Ce courant salafiste mine les gains faits par des féministes courageuses, comme les Égyptiennes Hoda Sharaawi et Nawal el Saadawi, qui se sont battues pour faire avancer les droits des femmes et les sortir de l’emprise de la religion. Les musulmanes portant le voile qui se prétendent féministes trahissent le combat mené par ces femmes héroïques, qui se sont débarrassées du voile, symbole de la soumission au patriarcat.

    Il n’y a rien, ni dans la culture ni dans le Coran, qui oblige la femme musulmane à porter le voile. […] Le voile n’est pas un bout de tissu anodin, comme on le prétend. Bien au contraire, il véhicule le prosélytisme d’un islam fanatique et totalitaire. La plupart des musulmanes de Montréal ne portent pas le voile. Sont-elles moins pieuses pour autant ?

    Ce voile symbolise la soumission de la femme aux diktats d’un patriarcat qui n’aime ni la modernisation ni l’émancipation des femmes. Ce voile témoigne de la barbarie de l’excision, imposée aux femmes en Égypte et ailleurs, du mariage forcé des fillettes à l’âge de neuf ans, de la lapidation, de la polygamie, des fatwas, de l’interdiction de la liberté d’expression, et j’en passe. Ce voile cache le mépris des hommes qui traitent les femmes comme des biens à posséder. Je pense que les hommes sont des lâches pour ainsi mettre le fardeau religieux sur la tête des femmes.

    [Certains se rangent] du mauvais côté de l’histoire [en affirmant] que l’interdiction du port du voile dans la fonction publique exclurait les femmes. Je pense que c’est le contraire qui se produit. Les femmes voilées s’excluent elles-mêmes ; en portant le voile de l’aliénation, elles montrent qu’elles ne veulent pas s’intégrer. De plus, elles font peur aux dirigeants par leurs demandes d’accommodements religieux, de prière pendant les heures de travail et de congés supplémentaires" (suite).

    Lahire

  • Pétition en ligne de 40 millions d’automobilistes contre les nouvelles mesures démagogiques du gouvernement

    -  Je suis un automobiliste raisonnable et responsable et…
    - Je dis « Non » à davantage de restrictions.
    - Je dis « Non » à des décisions prises arbitrairement par le Gouvernement.

  • Samedi 26 octobre : faire face à la désinformation publicitaire avec Polémia !

    Samedi 26 octobre : faire face à la désinformation publicitaire avec Polémia !

    Il est difficile pour un urbain contemporain, coupé de la nature, de reconnaître un arbre à ses feuilles ; enfantin pour lui, en revanche, de reconnaître le logo d’une marque, tant est grande la pression publicitaire.


    Des écrans allumés partout : dans les maisons, les bars, les restaurants, les transports. 2% de la richesse produite consacrée au conditionnement de l’opinion par la publicité. Et la mise des neurosciences au service de la manipulation mentale.

    La manne financière apportée par la publicité aux médias, instrument de leur soumission : source de vie quand elle arrive, annonciatrice de leur mort quand elle disparaît.

    Tout cela dans un double but : le conditionnement à l’acte d’achat compulsif, le conditionnement au politiquement correct.

    Voilà ce que décortiquera Polémia lors de sa Sixième Journée de la réinformation du 26 octobre à Paris. Avec des propositions pour se libérer et libérer l’esprit des Français de la tyrannie publicitaire.

    Polémia

    Programme et inscription (polemia1@gmail.com) : [Sixième Journée de la réinformation]

    Samedi 26 octobre : faire face à la désinformation publicitaire avec Polémia !

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de

  • Lampedusa : châtier les coupables. Les vrais.

    Lampedusa, tragédie de l’immigration clandestine. Jeudi, plus de 130 Érythréens et Somaliens sont morts – dont des petits enfants —, près de deux cents sont aussi portés disparus dans le naufrage d’un rafiot transportant à son bord près de 600 personnes.

    Qui pourrait rester indifférent ? Rome a décrété vendredi un deuil national, le pape évoque « une journée de pleurs », et les autorités de cette île sicilienne, promue porte d’entrée illégale privilégiée vers l’Occident, retournent leur impuissance contre l’Europe tout entière.

    On s’émeut, on se scandalise et, à raison, on veut trouver des responsables. Et comme d’habitude, les doigts se pointent un à un vers le bouc émissaire universel, l’alpha et l’oméga de tous les péchés de ce monde : l’Europe occidentale. [...]

    Gabrielle Cluzel - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Lampedusa-chatier-les-coupables