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anti-national - Page 959

  • OTAN + égorgeurs musulmans : même combat !

    Dans la cacophonie européenne ambiante, la religion droit de l’hommiste se taille un franc succès lorsqu’il s’agit de s’apitoyer sur des images de tueries sanglantes en provenance de pays des mille et une nuit.

    Concernant le Proche-Orient, l’ONU avertit : « toute action devra recevoir l’aval du Conseil de Sécurité » et son secrétaire général, Ban Ki Moon demande du temps « afin que les inspecteurs puissent terminer leur travail à Damas » pour établir les faits. De son côté, la Maison Blanche répète qu’elle ne cherche pas à destituer Bachar al Assad par une offensive militaire en Syrie et qu’elle « agira avec les alliés »…par des frappes « ciblées » ?

    L’Histoire nous a enseigné que les anglo-américains sont passés orfèvres en matière de bombardements :
    *12-15 février 1945 à Dresde plus de 8.000 bombes explosives et 600.000 bombes incendiaires ont conduit 135.000 civils au royaume des cieux.
    *9-10 mars 1945 à Tokyo l’opération « Typhon de feu » fit 200.000 morts grâce au largage de 700.000 bombes M.29 (napalm).
    *Le 6 août 1945, Hiroshima fut rayée de la carte et l’on dénombra 180.000 victimes.
    *Le 9 août suivant 90.000 habitants de Nagasaki subirent le même sort.
    *Durant la guerre du Viêt-Nam entre 1964 et 1975, des centaines de milliers de victimes furent anéanties par le fer, par le feu et par les produits chimiques, dont il reste encore des séquelles aujourd’hui.
    *23 mars 1999, c’est au tour de Belgrade de connaître les bombardements des avions de l’OTAN, dans l’opération « Force alliée », avec des milliers de victimes innocentes, tout au long des 25.000 sorties aériennes. La destruction de l’Ambassade de Chine conduira l’OTAN à s’excuser…de cette bavure.
    *N’oublions pas les bombardements en Afghanistan depuis 2002, ni les deux guerres en Irak (1992 et 2003) déclarées sous de fallacieux prétextes avec une mise en scène pitoyable (armes de destruction massive, 4ème armée du monde, etc., etc.,.).
    *En mars 2011, par une vague résolution de l’ONU, destinée à protéger la population civile de Benghazi, les forces de l’OTAN -encore elles- aiguillonnées par les déclarations incendiaires de Nicolas Sarközy, bombardent la Libye, étendent la guerre à tout le pays et obtiennent in fine le lynchage de Mouammar Kadhafi le 20 octobre 2011.

    On assiste depuis des mois à une désinformation généralisée concernant les conflits et les manipulations des médias à propos des « révolutions de Jasmin », le « Printemps arabe » ou le bourbier du Proche Orient, afin de faire gober à Margot l’inverse de la réalité.
    Et il est étrange que les yankees (et aussi leurs alliés du Golfe) s’obstinent à vouloir détruire les régimes qui existaient, quand on constate les résultats a posteriori en Tunisie, en Libye, en Egypte, et très certainement en Irak et en Afghanistan, sans parler du Kosovo….
    Les marchands de canons et les gnomes de Wall Street ont encore de beaux jours devant eux, grâce au chaos organisé par le Nouvel Ordre Mondial !

    Pieter KERSTENS.

    http://fr.altermedia.info/guerre/otan-egorgeurs-musulmans-meme-combat_50570.html

  • Le rôle d’Israël dans l’annonce de l’attaque contre la Syrie

    (Réseau Voltaire) - Selon le site internet du magazine Foreign Policy du 28 août 2013, la NSA aurait intercepté les communications entre le chef de l’unité syrienne des armes chimiques et un haut responsable du ministère syrien de la Défense. Ce dernier était paniqué après l’attaque chimique ayant coûté la vie à 1 429 personnes [1].

    Cette information, largement diffusée par la presse atlantiste, a contribué à accroître la certitude affichée par les États occidentaux en la culpabilité de la Syrie.

    Pourtant, la source de l’intoxication n’est pas états-unienne : la veille, 27 août, la chaîne de télévision Jewish News One annonçait que les interceptions avait été réalisées par Tsahal [2].

    De son côté, une source militaire syrienne a confirmé, antérieurement à l’attaque, la présence d’officiers de Tsahal à Douma (zone contrôlée par la Brigade de l’islam) d’où les deux obus contenant des produits chimiques (mais pas nécessairement des gaz de combat) ont été tirés.

    L’emballement occidental est ensuite le fait de quelques individus liés à Israël, sous l’impulsion du ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius.

    [1] « Exclusive : US Spies say intercepted calls prove Syria army used nerve gas », Foreign Policy, 28 août 2013.

    [2] « Tsahal indique que [le] gouvernement syrien est responsable », Jewish One, 27 août 2013.

    http://www.voltairenet.org/article179982.html

  • La police ne fait rien contre les supplétifs d'extrême-gauche du gouvernement

    Plusieurs veilleurs, qui s'étaient fait agresser physiquement lors de la veillée de la veille Coueron et qui ont porté plainte ont reconnu le lendemain à Nantes leurs agresseurs. Ils ont naturellement demandé aux forces de l'ordre de les arrêter.

    Réponse : "C'est impossible, sinon il y aurait des émeutes contre le commissariat."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Peines de probation : L’indécence d’État

    Taubira entend donner ses lettres de noblesse au laxisme – Chronique de Philippe Bilger.
    Le président de la République, certes, ne fait pas honte à ceux qui l’ont élu à cause de son comportement personnel et de sa pratique du pouvoir. Le fond de sa politique, c’est autre chose ! Le Premier ministre ne cesse de rappeler, tant l’inverse est éclatant, que la seule ligne du gouvernement est de vouloir instaurer une justice à la fois ferme et efficace (France 2). Mais, quand on a pris acte de cette dignité présidentielle et de cet affichage de rigueur, il y a le reste. Tout le reste.
    Ce rapprochement ne regarde que moi mais je n’ai pu m’empêcher de relier ces derniers jours les reniements à répétition faussement habiles de Manuel Valls, le délire des jeunes socialistes éperdus devant Christiane Taubira, le triomphe de celle-ci à La Rochelle, l’annonce de la peine de probation et la mort héroïque, à 61 ans, de Jacques Blondel à la suite d’un vol à main armée à Marignane, dans un bar-tabac, par deux jeunes malfaiteurs dont l’un a tué celui qui avait eu le courage d’intervenir (Le JDD, Le Parisien, Le Figaro).
    Une indécence déchirante et scandaleuse entre la réalité d’une société et ses tragédies au quotidien d’une part et de l’autre les jeux politiciens, le laxisme auquel l’idéologie de Christiane Taubira prétend donner ses lettres de noblesse et les applaudissements frénétiques de militants aveuglés.
    Il est évident que le garde des Sceaux n’est pas coupable de chaque transgression délictuelle et /ou criminelle. Elle n’est pas embusquée derrière chaque acte odieux, chaque sauvagerie, chaque dysfonctionnement judiciaire mais le climat qu’elle crée par sa politique ou plutôt son absence oralement somptueuse de politique – attendons le 30 août – ne manque pas d’avoir une incidence sur l’inventivité sombre de notre société et de certains de ses membres, tant la faiblesse proclamée, théorisée et approuvée au plus haut niveau facilite la libération des pulsions délétères de citoyens qui s’accommodent fort bien d’une France qui se laisse aller, qui laisse aller.
    Comment en effet ne pas s’émouvoir de l’unique préoccupation de la ministre qui est de réduire la surpopulation carcérale au risque, démontré chaque jour, d’amplifier l’insécurité ? Comment les transgresseurs d’aujourd’hui ou de demain, qui ne sont pas tous obtus et engendrés par la désinsertion sociale, seraient-ils retenus d’accomplir le pire quand seule la prison est dénoncée, et ses conséquences néfastes réelles ou fantasmées, mais jamais son utilité et sa triste nécessité affirmées ?
    Le problème crucial, en ces temps où, quoi qu’on pense des statistiques, la délinquance et la criminalité ne baissent pas impose non pas d’éviter coûte que coûte l’enfermement à ceux qui le méritent mais au contraire de mettre fin à la scandaleuse inexécution d’au moins 100 000 peines. Si on tient à s’apitoyer avec efficacité, il s’agit au moins en même temps de composer avec cette surpopulation – qui est une donnée incontestable – en tentant par diverses modalités d’y remédier, tout en assurant la sauvegarde des personnes et des biens. La surpopulation ne démontre pas qu’il y a trop de condamnés mais qu’il n’y a pas assez de prisons. Et qu’on me fasse la grâce de ne pas prendre une telle pensée pour une sévérité maladive mais pour un constat lucide.
    Ce qui me semble vicier fondamentalement la mansuétude doctrinaire de la garde des Sceaux est le soupçon absurde, implicitement ou explicitement exprimé, qu’une pluralité de possibles, en face des infractions de toutes sortes, est à la disposition des magistrats qui pourraient choisir à tout coup les solutions non carcérales sans offenser l’intérêt social ni sous-estimer la dangerosité de certains parcours de rupture et de violence.
    Cette approche si peu fondée est d’autant plus aberrante que notre système judiciaire, gauche et droite confondues, a poussé jusqu’à ses extrêmes limites, voire ses limites insupportables, l’exigence de la répression, notamment avec le recours carcéral, et sa négation immédiate avec les aménagements. Christiane Taubira n’est pas l’initiatrice de cette contradiction entre la fermeté de la décision pénale et, sans attendre, l’indulgence de son exécution. Rachida Dati, le 28 juillet 2008, avait déjà évoqué la prison hors les murs avant de faire voter la loi pénitentiaire, par certains côtés burlesque, du 24 novembre 2009 qui permettait de désavouer sur-le-champ les jugements des tribunaux correctionnels.
    La différence considérable entre l’une et l’autre de ces gardes des Sceaux est que la première agissait avec un empirisme dévastateur et sans souci de logique tandis que la seconde se pique de doctrine, de philosophie et de dogmatisme. Dati improvisait avec désinvolture tandis que Taubira prend sans cesse l’air important pour faire illusion. Le flou désordonné puis le flou pédant maintenant.
    Maintenant – quelle gloire d’annoncer cela à La Rochelle devant des militants en manque de vraie gauche compassionnelle, abstraite et absolument pas opératoire ! -, Christiane Taubira sort de l’imagination de ses services influencés et de sa Commission du consensus gouvernée, la peine de probation. Comme si elle faisait un cadeau à la société.
    Pour les infractions punies par 5 ans d’emprisonnement au maximum, le tribunal correctionnel pourra ajouter à sa panoplie la peine de probation excluant la prison et prévoyant un encadrement et un soutien pour le prévenu laissé en liberté parmi nous.
    Cette sanction, outre qu’elle va encombrer une palette répressive déjà fournie et largement suffisante pour des juges capables d’appréhender la complexité des situations et des mis en cause, la nature de leur profil judiciaire – notamment le sursis avec mise à l’épreuve du même registre -, va obérer encore davantage, sur le plan des moyens humains et matériels, la pénurie des services de l’application des peines.
Celle de probation doit être vraiment inadaptée et impraticable puisque la gauche judiciaire, représentée médiatiquement par Le Monde, en dépit de son inconditionnalité pour la ministre et de son hostilité pour son collègue de l’Intérieur, n’a pas hésité à l’apprécier déjà négativement. C’est dire !
    Pour finir, penchons-nous sur le jeune destin – 18 ans – de l’un des deux malfaiteurs, l’autre étant toujours recherché, impliqué dans le vol à main armée et directement ou indirectement dans le meurtre de Jacques Blondel. On a appris qu’il avait été condamné pour une douzaine de délits, notamment pour des vols avec dégradation ou effraction, et à trois reprises par des juges pour enfants. Lors de la perpétration du “braquage”, il exécutait une sanction de quatre mois avec sursis probatoire (quasiment la peine de probation !) et avait répondu à la plupart des convocations. Ce contrôle et cette surveillance avaient été aisément compatibles, pour lui, avec l’acte criminel commis avec un jeune inconnu dans l’intervalle de son apparente normalité (nouvelobs.com).
    La peine de probation, si elle est adoptée, aura-t-elle cet effet nul et lamentable sur la sécurité de tous et la sauvegarde des commerces ? A force de vouloir éviter la prison même quand elle est nécessaire, va-t-on laisser les citoyens à la discrétion de la seule bonne volonté de tel ou tel, penchant du bon côté ou acharné à récidiver gravement ?
    Je ne veux pas voir se multiplier les victimes, les héros comme Jacques Blondel. Dans une démocratie exemplaire, les caractères d’élite et de courage, les civismes admirables renforcent l’action persévérante et efficace de l’État.
    Ils ne s’y substituent pas.
    Philippe Bilger
    Le Causeur. Fr
    27/08/2013 http://www.polemia.com/peines-de-probation-lindecence-detat/

  • Les Veilleurs à Paris samedi soir : nouvelle provocation de Manuel Valls

    Bras de fer entre les « veilleurs » et la Préfecture

    Partis le 11 août de Rochefort, les marcheurs appellent à un rassemblement final samedi soir place de la Concorde. L’État s’y oppose.

    La mise en garde de la préfecture de police de Paris ne semble pas avoir découragé les « veilleurs » qui doivent achever samedi à Paris leur marche à la rencontre des Français, entamée le 11 août à Rochefort (Charente-Maritime). Les participants de ce mouvement né en marge de la contestation contre le mariage homosexuel sont plus que jamais déterminés à se rassembler avec ceux qui les rejoindront sur l’esplanade de la Défense, samedi à 17 h 30, pour relier la place de la Concorde. Ils organiseront là, en plein cœur de Paris, une veillée sur le thème « mémoire et espérance », à partir de 21 h 30. « Nous prévoyons de rester toute la nuit sur place, comme ce qui s’est fait sur l’esplanade des Invalides », détaille l’un des « veilleurs », qui confie attendre « beaucoup plus qu’un millier de personnes ». Au programme, lectures dans le calme de textes de Confucius à Bernanos en passant par Victor Hugo, comme cela s’est fait lors des veillées précédentes. À Nantes, mercredi soir, ils étaient trois cents.

    Emprunter les Champs-Élysées

    Mercredi, la préfecture de police de Paris a indiqué que « le cortège ne pourra pas emprunter le trajet envisagé et que la veillée ne pourra pas avoir lieu dans les conditions projetées ». Le trajet prévu pour relier la Défense à la Concorde passe en effet par l’avenue de la Grande-Armée et surtout les Champs-Élysées. Lors de la dernière Manif pour tous contre le mariage gay, le 26 mai, la célèbre artère parisienne avait été interdite aux manifestants, entraînant une polémique puis des incidents en marge de la manifestation le jour J. « C’est un axe symbolique mais ce choix n’a rien à voir avec les événements de la dernière manifestation », lance l’un des participants à la marche.

    Jeudi, les « veilleurs » ont indiqué qu’ils maintenaient leur projet. « Les “veilleurs” attirent l’attention de chacun sur le fait qu’ils ne constituent pas une manifestation : leurs rassemblements n’entravent pas la circulation et ne présentent aucun slogan ni aucun signe distinctif », ont-ils précisé.

    Les « veilleurs » défendent la liberté de se réunir librement

    De son côté, la Préfecture a indiqué que des contacts avec les « veilleurs » avaient eu lieu jeudi. « Lors de ces échanges, la Préfecture de police a rappelé aux “veilleurs” qu’elle n’était bien sûr pas opposée au principe de la marche et de la veillée dans la capitale samedi soir mais qu’elle souhaitait que leurs modalités soient étudiées conjointement, sur un autre itinéraire et dans des conditions compatibles avec les exigences de l’ordre public et dans le respect du cadre légal, y compris pour la propre sécurité des “veilleurs”. » Et de poursuivre qu’elle souhaitait que les contacts se poursuivent en ce sens. Du côté des « veilleurs », on ne souhaite pas communiquer sur ces discussions.

    Sur le fond, les « veilleurs » défendent la liberté de se réunir librement et pacifiquement sur la voie publique, dénonçant « l’arbitraire du contrôle des forces de l’ordre lors de rassemblements ». Et s’attendent en tout état de cause à une présence policière. « En cas de demande de dispersion, l’un d’entre nous prendra la parole pour demander qui veut rester et nous ferons un vote. La consigne sera alors de rester en tailleur, dans une attitude silencieuse, paisible et non violente à écouter les textes. S’il y a des interpellations, nous nous laisserons faire et nous constaterons ensuite », lâche un « veilleur ». En juin dernier, 52 d’entre eux avaient été interpellés place de la République.

    Le Figaro      http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-Veilleurs-a-Paris-samedi-soir

  • Meeting "Le Printemps des libertés" à Lyon le 31 août

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    Après un mois d’accalmie sur le front de la contestation au mariage gay, ses opposants organisent un meeting de rentrée dans le centre-ville de Lyon.

    Le gouvernement pensait avoir tourné la page et cloué définitivement le bec aux adversaires du mariage gay, mais il s’avère qu’après un printemps brûlant l’automne s’annonce également très chaud.

    Alors que l’incarcération de Nicolas B est encore dans toutes les têtes, plusieurs organisations battent le rappel de leurs troupes pour un meeting qui se déroulera samedi 31 août 2013 sur la place Carnot.

    Avec apéro pour tous à la clé.

    Le Printemps des libértés donne RDV samedi 31 août à 16h30, place Carnot 

  • Veilleurs : Nous irons bien de la Défense à la Concorde samedi

    RDV comme prévu ce samedi 31 aoûtà 17h30 à la Défense et à 21h30 place de la Concorde pour l'arrivée de la Marche. Venez comme vous êtes, sans signe ou vêtement distinctif, en simple veilleur.

    "Nous sommes dans un État de droit, je me déplace librement dans notre pays. Ce n'est pas une manifestation. J'estime n'avoir besoin de l'autorisation de personne pour lire des textes de Camus ou Bernanos dans la rue. Nous ne troublons en aucun cas l'ordre public, nous sommes sur la chaussée, simplement sur les places publiques. Samedi nous irons sur le parvis de la Défense et la place de la Concorde comme prévu."

    "Nous rappelons la résolution 1947 du 27 juin 2013 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe qui rappelle à la France que "la liberté de réunion et d'association, y compris lors de manifestations non organisées et non autorisées, est un droit essentiel dans une démocratie, garanti par l'article 11 de la convention européenne des droits de l'homme" et que "des manifestations se déroulent souvent de façon non organisée, dont les participants se coordonnent entre eux au moyen des médias sociaux".

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    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les 1er résultats d'enquête de l'ONU indiquent que ce sont les rebelles qui ont utilisé du gaz sarin

  • Démographie : Les chiffres trompeurs (arc 2002)

    774 800 naissances en 2001 pour combien d'enfants français ? Les chiffres publiés par l'Insee sont ceux de la natalité en France et non de la natalité française. Une différence de taille qui relativise les déclarations triomphalistes du gouvernement.
    Peut-on établir une corrélation entre la hausse de la natalité et l'augmentation vertigineuse de l'immigration ? En regardant de plus près les statistiques, la concordance entre les deux phénomènes semble évidente. La remontée des naissances qui étaient descendues sous la barre des 725 000 en 1997 a été constante durant les cinq années suivantes. Une inversion de tendance se produisant concomitamment au retour de la gauche socialo-communiste au pouvoir et à l'entrée en vigueur des nouvelles lois laxistes sur l'immigration : réforme du code de la nationalité, assouplissement des critères de régularisation, facilité d'octroi du droit d'asile ... « Il n'y a donc hélas pas lieu de se féliciter d'un plus grand nombre de naissances ces deux dernières années et de la hausse de la fécondité : ce phénomène est dû à la hausse de l'immigration » déplore Jean-Marie Le Pen. « Ces statistiques n'indiquent ainsi qu'une progressive substitution de population. » En effet, si les chiffres publiés par l'Insee ravissent les immigrationnistes forcenés, ils assombrissent un peu plus l'avenir d'une nation rongée par le communautarisme.
    Cette tendance à la hausse concerne les naissances et les mariages (8 % des nouveaux mariés sont étrangers alors qu'officiellement 6 % de la population est de nationalité étrangère) mais également les acquisitions de nationalité française. Avec 150 000 nouveaux « Français de papiers », la France enregistre une hausse de 2 % par rapport à l'année précédente atteignant un chiffre jamais atteint depuis plusieurs décennies. Gommés des statistiques recensant la population de nationalité étrangère par le biais de la désastreuse loi Chevènement adoptée en 1998, les centaines de milliers d'étrangers sont ces nouveaux «Français» qui ont largement contribué à doper l'indice de fécondité et faussé par conséquent les chiffres de la démographie.
    Avec un excédent «naturel» de 246 800 personnes et un solde migratoire net de 60 000 personnes, la France compte en 2002 300 000 habitants supplémentaires et certainement plus de «Français de papiers» que de « Français de souche » ...
    ED Français d'abord ! - 2e quinzaine février 2002

  • Portrait du pilote de l'ULM "Hollande démission"

    Lu dans Le Figaro :

    "Comme la plupart de ces nouveaux militants, il n'avait jamais manifesté avant le grand rassemblement du 24 mars 2013 contre le mariage pour les couples de même sexe ; ne s'était jamais engagé en politique. Agé d'une trentaine d'années, brillant - il est diplômé de polytechnique et d'une grande école de commerce -, c'est pourtant un idéaliste. La meilleure partie de sa vie, raconte-t-il: l'armée, quelques mois en Côte d'Ivoire où, après la fin de la guerre civile, il a travaillé auprès d'organismes de désarmement. «J'avais l'impression d'être utile, comme maintenant.»

    Il a fallu les gaz des CRS et quelques heures en garde à vue pour que tout change: le jeune entrepreneur est devenu l'un des plus ardents militants contre le mariage pour tous. Avec les amis qu'il a rencontrés sur le pavé, les idées fourmillent: le «Camping pour tous»: un sit-in devant le Sénat, 70 gardes à vue, c'est eux. Puis, le 14 juillet, nouvelle provocation: ils achètent 150 sifflets pour que le Président soit copieusement hué lors de son passage sur les Champs-Elysées. Ça marche un peu trop bien… La police le repère. En essayant de lui arracher sa caméra, les agents lui cassent un pouce, dit-il. David Van Hemelryck a quelque chose du paysan breton: calme et têtu comme une mule. Il est vexé et ne va pas s'arrêter là. L'idée de la banderole naît ce jour-là. «Nous voulions dépasser le cadre de l'engagement contre la loi Taubira, inciter les gens à se mobiliser contre ce Président impopulaire et incompétent» explique Agnès Berthéol, une mère de famille qui s'est mobilisée à temps plein pour le succès de l'opération.

    En quelques jours, le jeune homme et son équipe de choc, une dizaine de bénévoles ultraconnectés, vont monter l'opération. Soit: obtenir le brevet nécessaire pour piloter un ULM, fabriquer la banderole, acheter un avion… Sans le sou, il se fait prêter près de 30 000 € par des amis. Le vendredi 9 août, il achète sa machine, le lendemain il survole sa première plage. On a jasé sur les serviettes de plage au passage de la banderole: c'est drôle, c'est stupide, laissez-nous bronzer en paix… David Van Hemerlyck et ses amis ont obtenu ce qu'ils voulaient: réveiller les dormeurs. Sur la route, il y a eu quelques contrariétés: de l'eau mystérieusement introduite dans le réservoir, un pneu crevé, une sortie de piste, les multiples contrôles de police, des difficultés pour trouver un aérodrome où atterrir qui remettent chaque jour toute l'intendance en question. Mais les vents contraires semblent renforcer sa détermination.

    Car David Van Hemelryck n'est pas aussi seul qu'il en a l'air. Arrive bientôt derrière lui une adorable petite famille, boucles blondes et robes à fleurs. Des sympathisants qui l'ont hébergé pour la nuit. Ils sont comme ces dizaines d'anonymes qui se sont relayés pour accueillir le jeune pilote épuisé, le nourrir, laver ses vêtements, lui fournir de l'essence et le raccompagner le lendemain matin. Depuis son départ de Pau, il a ainsi remonté tout le littoral ouest aux commandes de son petit avion, banderole déployée: quarante heures de vol, 2 800 kilomètres parcourus, 12 étapes. La plaisanterie potache s'est transformée en un marathon harassant…"

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