Jacques Bompard s’est opposé au texte sur le délit d’entrave à l’avortement cet après-midi en Séance :
par Michel Janva
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Jacques Bompard s’est opposé au texte sur le délit d’entrave à l’avortement cet après-midi en Séance :
par Michel Janva
Le député FN décoiffe les féministes gauchistes à l'Assemblée. Marion Maréchal Le Pen a a évoqué publiquement son ascendance jeudi matin dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, en plein débat sur l'extension du délit d'entrave à l'IVG :
"Vous avez devant vous un 'accident' qui se vit bien et qui préfère aujourd'hui être devant vous, à vous dire vos vérités, plutôt que d'avoir été avortée."
Elle rappelle ainsi les informations publiées en 2013 par le journal L'Express, qui révélait que son père biologique est le journaliste Roger Auque et non pas Samuel Maréchal, qui l'a reconnue quand elle avait deux ans.
"La réalité c'est que vous êtes des féministes ringardes. Les dinosaures politiques d'un temps 'soixante-huitard' révolu (...) Vous êtes la honte du combat des femmes, obsédées par la couleur du cartable (...) Complètement à côté de la plaque."
Lundi 23 janvier, le cardinal Timothy Dolan, archevêque de New York et chef du Comité pour les affaires « pro vie » de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, a salué le décret signé par le nouveau président Donald Trump le même jour afin de retirer des « impôts des contribuables les fonds accordés aux ONG internationales qui promeuvent ou pratiquent des avortements à l’étranger (souvent en violation des lois du pays d’accueil même) ».
« Il s’agit d’un pas bienvenu vers le rétablissement et le renforcement de politiques fédérales importantes qui respectent le plus fondamental des Droits de l’homme, le droit à la vie –, de même que le consensus de longue date et bi partisan contre l’obligation faite aux Américains de participer à l’acte violent d’avorter ».
Par ailleurs, l'annuelle March for Life aura lieu vendredi 27 janvier à Washington. Donald Trump a mandaté sa conseillère spéciale, Kellyanne Conway, pour l'y représenter. Son ancienne directrice de campagne figure parmi les principaux invités à intervenir à la tribune, aux côtés du cardinal Timoty Dolan.
Quand on pense que, dimanche dernier à Paris, il n'y avait ni un évêque ni un député pour marcher contre l'avortement...
Enfin 3e sujet, mais certainement le plus important, Donald Trump révélera la semaine prochaine le nom de son candidat pour occuper le neuvième siège de magistrat à la Cour suprême. La plus haute instance judiciaire des Etats-Unis fonctionne depuis près d'un an, suite au décès du conservateur Antonin Scalia, avec 8 juges, dont 3 réellement conservateurs, 3 réellement progressistes et un, classé conservateur mais qui a tendance à se rallier à la gauche. Barack Obama n'était pas parvenu à imposer son candidat et c'est heureux.
Donald Trump a précisé :
"Nous avons des candidats exceptionnels et nous choisirons un juge de la Cour suprême vraiment extraordinaire". "Je suis pro-life et les juges seront pro-life"
La Cour suprême est appelée à trancher sur des dossiers très sensibles : avortement, dénaturation du mariage,... Ses juges sont nommés à vie par le président. Ils doivent être confirmés par un vote du Sénat.
Le nouveau président républicain a indiqué qu'il disposait d'une liste de 20 candidats possibles. Pendant la campagne, il avait publié une première liste de 11 candidats potentiels. Parmi eux figuraient
Notons que l'une des juges de gauche, Ruth Bader Ginsburg, qui avait effectué une sortie anti-Trump durant la campagne, alors qu'elle est soumise au devoir de réserve, est âgée de 83 ans...
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Lu dans Famille Chrétienne :
"Année après année, le succès rencontré par la « Marche pour la vie » ne faiblit pas et la flamme se transmet.
Outre la joie qui se dégageait de cette 11e édition de la « Marche pour la vie », en cet après-midi du 22 janvier, on ne pouvait qu’être frappé par sa jeunesse. Volontaires, intervenants mais surtout manifestants : énormément d’enfants, d’adolescents, de lycéens, d’étudiants, de jeunes familles, parmi les dizaines de milliers de manifestants (50 000 selon les organisateurs) qui défilaient entre la place Denfert-Rochereau et la place Vauban. On aurait pu imaginer que, douze ans après sa première édition en 2005, et alors que celle de 2016 avait dû être annulée pour des raisons de sécurité liées au terrorisme, le rendez-vous annuel du mouvement « pro-vie » français allait s’essouffler, et finir par ne rassembler que quelques « vieux nostalgiques » arc-boutés sur des « combats d’un autre temps ». Or il n’en est rien : quarante-deux après la loi Veil, les opposants à l’avortement et à sa banalisation continuent de battre le pavé dans des proportions tout sauf symboliques, portés par un enthousiasme et un dynamisme qui ne peuvent laisser personne indifférent, surtout s’agissant d’un sujet si grave. Comment expliquer un tel succès ?
La première raison réside dans la démographie des militants pro-vie et la transmission qui est en train de se faire, d’une génération à l’autre. « Ceux qui se sont battus il y a quarante ans, résume Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, n’ont pas fait beaucoup d’enfants, alors que les pro-vie, eux, en ont fait beaucoup. » « Par conséquent, explique-t-il, je n’ai pas d’inquiétude pour l’avenir de la défense de la vie et je comprends que les féministes, elles, en aient ». Beaucoup des familles présentes à la Marche pour la vie viennent chaque année avec leurs enfants. Ceux-ci se marient, ont des enfants à leur tour… et la flamme se transmet, de plus belle et fois deux, trois, quatre…
Longtemps considérée avec une extrême prudence par l’épiscopat français, la « Marche pour la vie » tend de plus en plus à être considérée comme une activité « normale » dans l’Église de France. Plus de vingt évêques ont ainsi exprimé leur soutien à la Marche de cette année, annoncée à l’avance par nombre de paroisses ou sites diocésains. Sans encourager explicitement les catholiques à y participer, la Conférence des évêques de France a elle-même publié discrètement sur son site à la veille de l’événement une interview sur ce sujet de Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen et premier évêque à s’être rendu à la « Marche » en 2010. « On est encore loin des États-Unis, explique Nicolas Sévillia, porte-parole de la Marche pour la vie. Mais l’appel a été bien relayé », estime-t-il. Il faudra sans doute encore du temps pour que les diocèses français et les paroisses encouragent de manière unanime les fidèles à participer à ce genre d’activités. Un soutien explicite dont on sait pourtant combien il peut être décisif pour la réussite d’une action de ce type, comme l’a montré l’expérience de la Manif pour tous.
« L’organisation de la Marche pour la vie s’est renouvelée, rajeunie », explique Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune. À côté d’associations « historiques » comme cette Fondation ou Choisir la Vie, une nouvelle génération d’associations a rejoint cette année activement le collectif, comme les Éveilleurs d’espérance, les Survivants ou encore l’Avant-garde. « Nous avons voulu aborder le tabou de l’avortement d’une manière nouvelle, explique Émile Duport, responsable des Survivants et autre porte-parole de la Marche pour la vie. Nous parlons en notre nom propre, avec des slogans comme ”mon corps m’appartient et n’a jamais appartenu à ma mère“. Et des méthodes qui sont celles de la génération web ». Signe de ces évolutions, la campagne de communication « IVG tous concernés » lancée le 12 janvier dernier dans Le Figaro, Valeurs actuelles et Famille chrétienne, qui a fait beaucoup parler d’elle (...)
Mesures banalisant l’avortement, proposition de loi sur le délit d’entrave, émergence du thème de l’IVG dans la précampagne présidentielle… C’est aussi l’actualité politique qui peut expliquer le succès de cette mobilisation, à la veille du passage en commission mixte paritaire de la proposition de loi sur le délit d’entrave et à quatre mois de l’élection présidentielle. Il n’en demeure pas moins qu’au-delà de ces éléments conjoncturels semble durablement transmis à toute une génération qui a l’avenir devant elle cette conviction exprimée par le professeur Lejeune : « La qualité d’une civilisation se mesure au respect qu’elle porte aux plus faibles de ses membres »."
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Marine Le Pen lance un cri d’alerte sur la natalité en France et accuse les gouvernements successifs d’avoir abandonné la famille. Elle annonce qu’elle renforcera considérablement l’action de l’Etat en faveur de la politique familiale et la réservera aux seuls Français. Selon l’Insee, la France voit ses naissances et son indice de fécondité baisser en 2016 […]
Discours de Benoît Sévillia à la Marche pour la vie, pour les Eveilleurs d'Espérance