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culture et histoire - Page 1332

  • Frédéric Lordon : Valeur travail, capitalisme et angle Alpha

    À travers une vidéo exploratoire de la pensée de Frédéric Lordon, Usul nous offre l’occasion de revenir sur la « valeur travail » omniprésente dans les discours politiques et sur les conflits d’intérêts qui séparent travailleurs et patrons.

    Avez-vous déjà entendu parler de l’angle Alpha ? Cette théorie développée par M. Lordon décrit l’angle Alpha comme étant l’écart entre le désir maître (celui de l’employeur) qui a enrôlé des puissances d’agir (les employés) au service des objectifs de l’entreprise et les désirs de ces mêmes employés.

    Il en résulte un écart de volontés, une zone d’incertitude, cause de dissonance pour le travailleur. Compliqué ? L’angle alpha, c’est un peu votre personnalité dissidente, votre faculté à dire « non » lorsque vous ne désirez pas étouffer vos désirs personnels au profit de désirs autres que les vôtres, le plus souvent à des fins marchandes.

    Moins politique que philosophique, cette vidéo d’Usul tente, grâce aux thèses de Frédéric Lordon, de nous montrer de quelle manière les grandes entreprises nous saisissent, nous investissent et nous façonnent. Pour se faire, Usul analyse les propos tenus lors d’une émission tournée il y a quelques années alors que Frédéric Lordon était l’invité de Judith Bernard, venu pour parler du travail et du capitalisme d’un point de vue Spinoziste.

    http://fortune.fdesouche.com/386031-frederic-lordon-valeur-travail-capitalisme-et-angle-alpha#more-386031

  • La pédagogie Montessori

    France 2 s’est intéressé à la pédagogie Montessori :

    Michel Janva

  • "Les monarchies offrent un regard différent sur le mode de gouvernement."

    " Les monarchies offrent un regard différent sur le mode de gouvernement. En Europe, les citoyens sont de plus en plus méfiants à l’égard du politique qui apparaît comme un monde tourné sur lui-même, sclérosé. La monarchie est le symbole de la continuité de la nation et du pouvoir. Elle joue un rôle rassurant en période de crise, comme en Belgique où pendant deux ans, le pays a été sans gouvernement. Elle peut incarner la résistance, comme en Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale, ou être un relais vers la naissance de la démocratie comme en Espagne en 1975. La monarchie est un atout : elle offre un niveau supplémentaire d’organisation constitutionnelle qui permet un rapport plus serein au pouvoir. " (source DNA / photo Europe1)

    M. Vincent Meylan, Chef du service Royautés à Point de vue,

     

    dans Les dernières nouvelles d’Alsace

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-monarchies-offrent-un-regard

  • Références et thèmes des droites radicales au XXe siècle (Europe/Amériques)

    dir., Références et thèmes des droites radicales au XXe siècle (Europe/Amériques), Peter Lang, Bern, Berlin, Bruxelles, Frankfurt am Main, New York, Oxford, Wien, 2015, 368 p.
    Présentation de l’éditeur : Après avoir abordé les droites radicales européennes et américaines au vingtième siècle sous l’angle des doctrinaires, des vulgarisateurs et des passeurs puis analysé l’internationalisation de leurs supports et de leurs vecteurs, l’objet de ce troisième volume du projet de recherche IDREA (Internationalisation des droites radicales – Europe/Amériques) a été d’étudier le caractère fédérateur d’un certain nombre de références et de thèmes.
    Réunissant une douzaine de chercheurs français, européens, comme américains du Nord et du Sud, issus de différentes disciplines, l’ouvrage s’attache à privilégier la mise en exergue de références et de thèmes transversaux au sein des droites radicales européennes et américaines depuis les lendemains du second conflit mondial.
    Cinq entrées sont proposées : Figures de chefs, Mémoire(s) et histoire(s) des régimes et des combats perdus, Antisémitisme et anticapitalisme, Conservatisme, radicalités et anticommunisme, L’Occident en questions.

    L'ouvrage

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    Sommaire
    – Olivier Dard : Présentation générale
    – Francis Balace : La pourpre où dorment nos chefs morts …
    – Christoph Brüll : Léon Degrelle comme référence des droites radicales allemandes après 1945
    – Miguel Angel Perfecto : La mémoire imposée du franquisme. Le mythe de José Antonio Primo de Rivera et l’école nationale-catholique
    – Pauline Picco : Les référents politiques et intellectuels de l’extrême droite italienne : un panthéon mythique (1950-1970)
    – Nicolas Lebourg/Jonathan Preda : Le front de l’Est et l’extrême droite radicale française: propagande collaborationniste, lieu de mémoire et fabrique idéologique
    – Ana Isabel Sardinha Desvignes : L’Empire colonial portugais et ses mythologies : du sébastianisme messianique au lusotrpicalisme
    – Humberto Cucchetti : Droites radicales et péronisme : un mélange de traditions anticapitalistes?
    – Valérie Igounet : Le négationnisme : l’expression d’un nouvel antisémitisme contemporain, international et protéiforme (1948-2013)
    – Michel Grunewald : Merkur (1947-1952)
    – Romain Huret : Aux origines du conservatisme contemporain aux EtatsUnis. Classes moyennes, mobilisations antifiscales et défense des valeurs américaines (1945-1964)
    – Michel Bock/Hugues Théorêt : Le communisme et la guerre froide dans le Canada français d’après-guerre
    – Riccardo Marchi : La défense de l’Occident : la dernière tranchée pour l’extrême droite européenne des années de guerre froide
    – Olivier Dard : De la « Défense de l’Occident » à l’« Occident comme déclin ».

    http://tempspresents.com/2015/06/06/references-et-themes-des-droites-radicales-au-xxe-siecle-europeameriques/

  • Jure Georges Vujic présente son livre "Nous n'attendrons plus les barbares", publié aux éditions Kontre Kulture


  • Quand l’université « pour tous » tente de se rebeller

    Comme chaque année à la même époque, une université téméraire se croyant plus maligne que les autres vient de se faire flinguer à bout portant alors qu’elle s’apprêtait à franchir en douce le mur du nivellement par le bas.

    Cette fois, c’est Rennes I que les Vopos d’une association étudiante ont prise pour cible : dans l’improbable famille « Pourtous », on connaît bien le mariage, l’enfant, la France, mais n’oublions pas, c’est de saison, l’université.

    La faculté de droit vient, en effet, de mettre sur pied un « parcours d’excellence » dont elle entend réserver l’accès à quelques candidats ayant obtenu de bons résultats au bac et passé avec succès un examen créé à cet effet, afin d’en faire un cursus bien visible pour les employeurs.

    Des employeurs ? Après l’université ? Et pourquoi pas aussi un boulot, tant qu’on y est ? L’université française – à l’exception de quelques filières sélectives, se maintenant avec une adresse de funambule, certains évitant soigneusement les mots qui fâchent pour parler « d’orientation active » – est complètement dépréciée. Elle est, le plus souvent, le pis-aller sur APB (admission post-bac), qu’il faut bien cocher parce qu’on y est obligé, parce que si ça se trouve, et on en sera désespéré, toutes les prépas nous auront blackboulés.

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