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Qui cherche à discerner les grandes lignes d’intelligibilité des forces de la Révolution actuellement en œuvre dans le monde, en Europe et en France, peut en repérer aisément deux principales. L’une concerne la personne humaine : il s’agit de « déconstruire les stéréotypes de genre », de chosifier l’embryon, de promouvoir l’avortement et l’eugénisme, le « droit au suicide »,...
... « l’assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité », de « créer une nouvelle civilisation », bref de nier la nature humaine dans ce qu’elle a de plus sacré à rebours de l’anthropologie la mieux établie. L’autre grand axe est d’ordre géopolitique et correspond au mondialisme, c’est-à-dire la remise en cause du droit des États à avoir leur identité, leur indépendance et leur modèle politique propre.
Au regard de ces deux grandes manouvres de déconstruction de la société humaine on mesure combien l’idée nationale qui sous-tend notre projet politique peut constituer la réponse la plus pertinente. A condition, bien sûr, d’entendre par nation non point l’amalgame indifférencié d’individus-électeurs, mais cette famille de familles qui est la reconnaissance de tous les corps sociaux où vit et s’épanouit la personne humaine. [...]
Après le mouvement social de 2013 contre le pseudo-mariage homosexuel, alors que la droite d’argent croule sous les scandales et que le socialisme est en déroute, il est temps de jeter les fondations d’une organisation de droite authentique, en mesure de répondre aux attentes des Français.
Afin de s’acheminer vers la constitution d’une organisation en mesure de réunir les énergies se qui se reconnaissent dans une droite véritable, nous devons tout d’abord faire l’unité autour de principes clairs.
C’est pourquoi, le programme de l’université d’été de Dextra intitulée cette année « Reprendre le pouvoir » s’attachera à rappeler les fondements, les références et les expériences de la vraie droite. L’organisation en projet – ébauchée pendant cette université d’été – devra lier indissolublement les thèmes fédérateurs et fondateurs de toute droite véritable :
- la défense de la nation française et de sa souveraineté, de son indépendance, de son influence et de sa puissance dans le concert des nations,
- la préservation de notre identité française et de nos patries charnelle,
- le rétablissement des libertés locales,
- la défense de la propriété et des libertés économiques ordonnées au Bien commun,
- l’instauration de la justice sociale,
- la promotion de la famille et de la vie,
- la préservation de notre patrimoine culturel et environemental dans une écologie humaine,
- la défense des hommes face à la tyrannie de l’argent, des idéologies, et de la machine.
Dextra propose à ceux qui veulent agir en politique de se former aux meilleures sources de la droite, préalable indispensable à l’action.
L’université d’été de Dextra est un moment de convivialité d’amitié et de camaraderie, où une jeunesse animée d’une même conviction va pouvoir se retrouver loin des soucis quotidiens de la modernité, afin d’échanger, de se former et de tisser des liens durables.
L’université d’été de Dextra se déroulera du 24 au 31 août, dans le prestigieux château de Lignières, où nous sommes aimablement accueillis par S.A.R. le prince Sixte-Henri de Bourbon Parme.
L’arrivée des participants aura lieu à partir de 17h le dimanche 24 août, et elle prendra fin, l’après-midi du dimanche 31 août.
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Tarif : 130€ pour l’ensemble du camp (hébergement et nourriture compris)
Ouvert au 16 – 35 ans
Château de Lignières (18160), Berry, France
Pour toutes les informations complémentaires, le programme, le lieu : http://udt.dextra.fr/
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La question financière ne doit pas être préjudiciable à votre venue, n’hésitez pas à nous contacter
Céline interviewé en 1958 expliquait que la foi était le moteur d'une civilisation, c'est cette foi qui permet à un pays de rebondir, de se renouveler et éventuellement de se régénérer. La France, ce vieux pays dont la langue est devenue si lourde, si laborieuse et si mal maitrisée par sa jeunesse, serait-elle en passe de sombrer ?
Les dernières expériences sociétales qui l'ont traversées ont provoqué quelques soubressauts, mais le peuple semble plus que jamais dormant, abruti oserais-je dire par quantité d'addictions chimiques et comportementales. Le million de personnes qui s'était levé contre le mariage gay, une fois passé sous les fourches caudines de l'appareil politico médiatique s'est transformé en quelques milliers d'individus isolés, mécontents mais désorganisés. Bien sûr, plus récemment certains sont allés voter pour Marine Le Pen aux dernières élections européennes mais cela n'a rien changé à leurs misérables vies, leur pouvoir d'achat est toujours en berne, l'immigration n'est toujours pas maitrisée, l'insécurité augmente à l'instar des dépenses sociales et d'assurance maladie. Tout est fait pour que le pays réel ne se réveille pas, le pays est pris dans un carcan institutionnel imaginé par Jean Monnet dont il est impossible de se libéré par le vote. Au delà des institutions, les discours lénifiants des politiques, les dogmes du libéralisme financier martelés à longueur de journée ad nauseam sur les ondes des radios et sur les écrans de télévision sont autant de garde-fous destinés à empêcher ce réveil du peuple. Celui-ci ne devra à aucun moment se révolter contre cette oligarchie qui vit sur son dos et à ses dépends, c'est le plan des Attali, BHL et consorts.
Alors, comment ce statu quo peut-il un jour changer ? Seule la foi peut permettre à un peuple de se soulever contre l'injustice et lui donner assez de force pour renverser l'ordre établi. A notre époque ce ne sera sans doute pas une foi religieuse, le temps est trop lourd et trop peu spirituel, non ce sera donc forcément une volonté collective de ne pas disparaître, un réflexe de survie issu du cerveau reptilien puisque tout le reste aura été lentement anesthésié par les mensonges de la propagande. Car, pendant que les Français sont tout occupés à boucler leurs fins de mois, le grand remplacement, lui, devient une réalité. Les villes sont devenues des lieux improbables, invivables où une minorités de bobos libéraux libertaires font la fête, et encore de moins en moins, pendant que leurs petits esclaves sont happés dans la fourmilière ou la toile de l'araignée, c'est au choix. Ceux qui souhaitent un vrai changement cherchent désespérément un chef, sans doute un réflexe conditionné, reliquat inconscient d'un messianisme pourtant aujourd'hui réprouvé, forcément réactionnaire face à l'expansion inexorable du marché dans toutes les sphères entourant l'homme moderne.
Mais d'où viendra le salut ? Ce dont on peut être certain, c'est qu'il viendra d'où on l'attend le moins, là où les mailles de la matrice sont le plus relâchées, là où le matraquage médiatique et le ronron des bien pensants ne peut sévir. Il faudra aller au delà des apparences, percer le voile de blabla qui occulte au quidam l'essentiel de son être. Peut-être que nos contemporains trouveront un jour cette porte dans leur inconscient qui les mènera vers cette rencontre avec les archétypes issus de notre civilisation tels que C.G. Jung les a définis. Peut-être auront ils le courage de surmonter leur lâcheté malgré leur avilissement de consommateurs de pornographie, s'extirpant un instant du bruit des machines et s'affranchissant enfin des diverses substances psychotropes et narcotiques qui gangrènent leurs organismes d'hommes modernes. En attendant, ce monde sera toujours de plus en plus laid et ennuyeux, s'écroulant à l'infini sur lui-même, tel un trou noir, jusqu'au silence enfin et puis plus rien.
Céline interviewé en 1958 expliquait que la foi était le moteur d'une civilisation, c'est cette foi qui permet à un pays de rebondir, de se renouveler et éventuellement de se régénérer. La France, ce vieux pays dont la langue est devenue si lourde, si laborieuse et si mal maitrisée par sa jeunesse, serait-elle en passe de sombrer ?
Les dernières expériences sociétales qui l'ont traversées ont provoqué quelques soubressauts, mais le peuple semble plus que jamais dormant, abruti oserais-je dire par quantité d'addictions chimiques et comportementales. Le million de personnes qui s'était levé contre le mariage gay, une fois passé sous les fourches caudines de l'appareil politico médiatique s'est transformé en quelques milliers d'individus isolés, mécontents mais désorganisés. Bien sûr, plus récemment certains sont allés voter pour Marine Le Pen aux dernières élections européennes mais cela n'a rien changé à leurs misérables vies, leur pouvoir d'achat est toujours en berne, l'immigration n'est toujours pas maitrisée, l'insécurité augmente à l'instar des dépenses sociales et d'assurance maladie. Tout est fait pour que le pays réel ne se réveille pas, le pays est pris dans un carcan institutionnel imaginé par Jean Monnet dont il est impossible de se libéré par le vote. Au delà des institutions, les discours lénifiants des politiques, les dogmes du libéralisme financier martelés à longueur de journée ad nauseam sur les ondes des radios et sur les écrans de télévision sont autant de garde-fous destinés à empêcher ce réveil du peuple. Celui-ci ne devra à aucun moment se révolter contre cette oligarchie qui vit sur son dos et à ses dépends, c'est le plan des Attali, BHL et consorts.
Alors, comment ce statu quo peut-il un jour changer ? Seule la foi peut permettre à un peuple de se soulever contre l'injustice et lui donner assez de force pour renverser l'ordre établi. A notre époque ce ne sera sans doute pas une foi religieuse, le temps est trop lourd et trop peu spirituel, non ce sera donc forcément une volonté collective de ne pas disparaître, un réflexe de survie issu du cerveau reptilien puisque tout le reste aura été lentement anesthésié par les mensonges de la propagande. Car, pendant que les Français sont tout occupés à boucler leurs fins de mois, le grand remplacement, lui, devient une réalité. Les villes sont devenues des lieux improbables, invivables où une minorités de bobos libéraux libertaires font la fête, et encore de moins en moins, pendant que leurs petits esclaves sont happés dans la fourmilière ou la toile de l'araignée, c'est au choix. Ceux qui souhaitent un vrai changement cherchent désespérément un chef, sans doute un réflexe conditionné, reliquat inconscient d'un messianisme pourtant aujourd'hui réprouvé, forcément réactionnaire face à l'expansion inexorable du marché dans toutes les sphères entourant l'homme moderne.
Mais d'où viendra le salut ? Ce dont on peut être certain, c'est qu'il viendra d'où on l'attend le moins, là où les mailles de la matrice sont le plus relâchées, là où le matraquage médiatique et le ronron des bien pensants ne peut sévir. Il faudra aller au delà des apparences, percer le voile de blabla qui occulte au quidam l'essentiel de son être. Peut-être que nos contemporains trouveront un jour cette porte dans leur inconscient qui les mènera vers cette rencontre avec les archétypes issus de notre civilisation tels que C.G. Jung les a définis. Peut-être auront ils le courage de surmonter leur lâcheté malgré leur avilissement de consommateurs de pornographie, s'extirpant un instant du bruit des machines et s'affranchissant enfin des diverses substances psychotropes et narcotiques qui gangrènent leurs organismes d'hommes modernes. En attendant, ce monde sera toujours de plus en plus laid et ennuyeux, s'écroulant à l'infini sur lui-même, tel un trou noir, jusqu'au silence enfin et puis plus rien.
Libre Journal des lycéens du 28 mai 2014 : “Avant-garde et réseau de militants résolument tournés vers l'avenir”
Pascal Lassalle recevait Arnaud de Robert, porte-parole du Mouvement d'action sociale (MAS), et Gérard Vaudan, responsable de l'ONG Solidarité populaire. Thème : “Avant-garde et réseau de militants résolument tournés vers l'avenir”.
Ce Samedi, nous voilà arrivés aux portes du bonheur. Ce soir c'est Le concert que nous attendions tous avec Bronson, espoir de la scène alternative Romaine (pour leur première prestation Parisienne) et le grand retour, après 12 ans d'absence, d' In Memoriam, groupe phare de la scène RIF des années90.
Malgré une pluie battante, dans la file d'attente qui ne cesse d'augmenter, la chaleur monte et notre enthousiasme aussi. Puis les portes s'ouvrent, dès l'entrée nous sommes mis dans l'ambiance, In Memo fait les ultimes réglages sonores, Bronson se prépare aussi. Ça y est, la sono est prête. Les moins chanceux sont encore dehors, d'autres encore plongés dans la cohue du vestiaire alors que Bronson monte sur scène nous offrant leurs premiers riffs punk rock et que les premiers pogos sont lancés dans une salle déjà pleine.
Bronson nous propose un set impeccable au style maîtrisé qui n' a rien à envier aux plus grands noms de la scène. Les poseurs ricains comme Blink 182, ou Offspring n'ont plus qu'à ranger les guitares!!
Leurs morceaux les plus entraînants et les plus connus comme "La nostra storia","Lo spirito di Roma", ou encore "Sei solo" sont repris en cœur, le pogo bat son plein et « l'arène » se remplit de plus en plus. Le public est chauffé a blanc, le bonheur se lit sur les visages, Bronson donne le ton de la soirée en envoyant du très gros son.
A la demande de fans survoltés, nos camarades Italiens reprennent "Come il vento" d'Intolleranza repris en coeur par des centaines de voix, la chaleur est intense, les poings se tendent vers le ciel. L'osmose est profonde entre les musiciens et le public, et c'est sous un tonnerre d'applaudissements, leur nom scandé par les centaines de personnes présentes que Bronson s’apprête à laisser la place à In Memoriam après nous avoir offert une prestation exceptionnelle qui a totalement conquis le public.
Après une courte pause qui nous semble interminablement longue, la musique résonne enfin de nouveau. Les premiers accords de "Paris Belgrade" retentissent alors que de derrière les fumées s'élevant sur le devant de la scène se dessine l'arrivée du groupe. C'est masque à gaz sur le visage que les chanteurs commencent la chanson. On se croirait presque à Belgrade, le risque de bombe en moins, quoique …. Le Nato go home est scandé avec un immense ferveur, les corps se bousculent dans le pogo, la chanson se finit, le ton de la soirée se confirme. Ce soir ça va être le feu dans la salle !!
In Memo enchaîne, "Compagnon de Route", "Résiste", tout le monde chante en cœur, personne n'a oublié les paroles. Toutes générations confondues, c'est la même satisfaction qui se lit sur les visages de les découvrir pour les plus jeunes, de les revoir sur scène pour les autres. Alors qu'ils entament "Das Kapital", la musique s'arrête et Xavier au micro nous annonce qu'une alerte à la bombe (anonyme bien sûr c'est tellement plus simple et courageux) oblige à évacuer la salle. Chacun obéit, plus ou moins vite, plus ou moins de bon cœur, quelques slogans fleurissent à l'intention des responsables présumés de cette mauvaise blague et nous voilà, plus de 800 personnes dans la rue.
L'attente est longue, les visages se crispent et l'importante présence policière aux abords ne contribue pas à calmer la tension, bien au contraire. L'abus de boisson pour certains, la bêtise congénitale pour d'autres, les éternelles disputes inutiles vont créer l'incident … Une bagarre partie de rien prend de l'ampleur. Malgré les appels au calme, la non intervention de beaucoup, les difficiles tentatives de séparation d'autres, certains se sentent pousser des ailes et c'est bien difficilement et très progressivement que la situation se calmera. Heureusement, l'alerte est levée et tout le monde est chaleureusement invité à rentrer dans la salle. Le concert peut reprendre à la satisfaction générale. La soirée est loin d'être finie !
In Memoriam reprend les premiers morceaux joués, tout le monde chante, les esprits se calment et l'ambiance revient. Les titres se succèdent anciens ou nouveaux, "l'Armée des Ombres" remporte un franc succès, la ferveur augmente, la salle résonne, le plancher tremble sous les pogos endiablés. Quelques titres chantés en acoustique dont le nouveau "20 ans" permettent aux chanteurs, aux musiciens et à nous aussi de souffler un peu. La transition avec la suite du concert est faite par le lancement de "Michael Collins" immédiatement repris en cœur.
En pleine forme, In Memoriam nous offre le meilleur et prouve à ceux qui en doutaient qu'après une longue absence ils n'ont rien perdu de leur talent. La musique est quasi parfaite et la présence sur scène exceptionnelle ! La fatigue, le quotidien, le monde gris qui nous entoure, tout est oublié ! Le groupe et son public sont dans un seul et même élan d’enthousiasme total et profondément sincère. Le temps passe, trop vite, et malheureusement vient le moment de la fin du concert. La première tentative est ratée, mais en est ce vraiment une ? Le concert reprend et le public hurle son désir d'entendre "A jamais Idéaliste". C'est bientôt chose faite, c'est la fête, les paroles chantées à pleins poumons sont un défi à notre époque triste et terne. La meilleur preuve que rien n'est perdu, qu'au contraire tout est à gagner et que tout reste à construire !
Mais les meilleures choses ont une fin, deuxième tentative, la musique s'arrête, nous scandons en coeur et en alternance le nom d'In Memoriam et celui de Sébastien, tout le monde espère la reprise avec cette chanson si lourde de sens … Pari gagné, et c'est dans une totale communion entre le groupe et son public que cet hommage à notre camarade vient clore cette exceptionnelle prestation. Bronson et In Memoriam ont mis le feu, ravi les présents, donné le meilleur d'eux-mêmes et offert à tous un concert d'anthologie qui restera à jamais gravé dans nos mémoires et nos cœurs !!!