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culture et histoire - Page 584

  • Sur Sacr TV, chroniques de la Monarchie populaire - La Révolution Communale - 1.

    Nous ne sommes pas la afin d'idéaliser une époque qui comportait ses scandales et notre ami Marion Sigaut à travers ses dénonciations de l'hopital général et des jansénistes a sortis des archives les vérités lumineuses éteignant celles des "lumières"... On peut toujours donner une interprétation tendancieuse aux évènements historiques mais il reste les faits, les documents d’archive, les édits, les actes notariés, les dossiers des jurandes et droits coutumiers, les guildes et libertés régionales à découvrir dans les greniers, mairies ou églises, comme dormant quelquefois chez des particuliers…

    Ces faits représentent l’honneur de la mémoire du passé comme du respect de nos anciens, qui de la haut n’apprécient pas que l’on dénature leur histoire…

    Nous allons tenter d’apporter quelques lumières sur la vie de nos ancêtres qui, et vous le comprendrez aisément en écoutant, n’est pas enseigné dans nos écoles, la ripoublique n’y survivrait pas !

    La révolution communale, l'humanisme et le caractère populaire des rois de France.


  • Hervé Ryssen « Dans tous les films, le salaud de service est un homme blanc »

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    Nous avons interrogé l'essayiste Hervé Ryssen sur la dimension souvent planétarienne et militante du cinéma (tant américain qu'européen) Un puissant outil de sidération des masses (depuis la naissance du 7e Art - cf. Eisenstein, Jean Renoir, Leni Riefenstahl et bien d'autres).

    propos recueillis par le CREA

    Hervé Ryssen, vous avez souvent analysé le cinéma. Dans différents chapitres de vos livres, vous montrez comment Hollywood travaille à détruire la société européenne...

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  • La Petite Histoire : Napoléon était-il esclavagiste ?

    En plein délire mémoriel Black Lives Matter, des statues de l’Empereur Napoléon ont récemment été attaquées, vandalisées à la peinture rouge. La raison ? Napoléon a rétabli l’esclavage en 1802… provoquant ainsi 200 ans plus tard la colère de certains. Pourquoi le Premier consul a-t-il fait ce choix ? Dans quel contexte ? Quelles en ont été les conséquences réelles ? Et surtout, ces militants savent-ils que l’Empereur a également aboli la traite des noirs en 1815 ? C’est l’objet de cet épisode qui se propose, comme toujours, de remettre les choses en perspective afin d’éviter la surenchère idéologique et les interprétations faussées de l’Histoire pour des raisons bassements politiques.


    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-napoleon-etait-il-esclavagiste

  • Martin de Tours, fondateur de l’identité chrétienne de la France

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    En juillet 2010 se tenait la XIXe université d’été de Renaissance catholique, ayant pour thème l’identité nationale.

    À l’occasion des 10 ans de cet événement, Boulevard Voltaire publie durant l’été, avec l’autorisation de Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique, des extraits des actes du colloque dont le sujet demeure plus que jamais d’actualité.

    Aujourd’hui, l’intervention de l’historienne Anne Bernet, auteur de Saint Martin, l’apôtre des Gaules, publié en 1997.

    Une grande figure ayant contribué à la christianisation de la Gaule au IVe siècle, saint Martin, évêque de Tours Martin, symbole de l’évangélisation de notre pays, a unifié la Gaule autour du catholicisme. Ses miracles ont fait sa popularité. Martin, dont les Wisigoths ont occupé la ville sainte et le tombeau, a créé ainsi parmi les populations restées catholiques un esprit de résistance qui a conduit à tout faire pour délivrer les lieux.
    Une croisade avant l’heure, en quelque sorte ! […]

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  • Bainville : cet historien fut un prophète

    Une biographie ressuscite la figure de Jacques Bainville. Dès 1920, cet historien annonça l’enchaînement des événements qui mèneraient à la Seconde Guerre mondiale. Sa méthode est-elle toujours valable ? La politique étrangère doit-elle considérer l’histoire comme un champ d’expérience ?

    A Paris, les piétons qui sortent du métro à la station Solférino débouchent sur la place Jacques-Bainville. Mais combien sont-ils à qui ce nom dit quelque chose ? En 1920, Bainville publiait les Conséquences politiques de la paix. Réponse au Britannique Keynes lequel, après la Première Guerre mondiale, attendait de la reprise du commerce une normalisation avec l’Allemagne , ce livre visionnaire disséquait le traité de Versailles : « Devant quoi la France, au sortir de la grande joie de sa victoire, risque-t-elle de se réveiller ? Devant une république allemande, une république sociale nationale supérieurement organisée. Elle sera productrice et expansionniste. » En moins de deux cents pages, Bainville esquissait le scénario qui se déroulerait quinze ans plus tard : réarmement allemand, annexion de l’Autriche, crise des Sudètes, pacte germano-soviétique, invasion de la Pologne. Avec une plus grande longueur d’avance, il prévoyait même l’éclatement de la Tchécoslovaquie et de la Yougoslavie.

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  • L'œuvre de Soljénitsyne, témoignage sur l'Union soviétique et le peuple russe 4/4

    La Roue Rouge (1972-2009), vaste œuvre inachevée, a pour ambition de constituer une vaste fresque historique du basculement de la Russie de la monarchie tsariste à la dictature bolchevique, monde radicalement nouveau, somme toute en très peu de temps. Les dirigeants politiques connus parfois oubliés, comme les libéraux russes et une masse d'inconnus parmi lesquels le lecteur parfois se perd constituent la trame complexe de l'ouvrage. L'auteur s'est livré pour l'écriture de ce roman historique à un effort consciencieux de documentation; s'il a commis des erreurs de détails relevés par des spécialistes -, le sens général semble juste.

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  • Sur Sacr TV, nos raisons pour la Monarchie - 3.


    Contrairement à ce que l’on nous fait souvent croire, la république n’est pas le meilleur des systèmes de gouvernement. Il n’existe pas à vrai dire de système politique parfait, et la Monarchie ne fait pas exception. Mais dans son imperfection, la Monarchie offre bien plus de possibilité que la république actuelle. Il ne sert à rien non plus d’envisager une sixième ou septième voire huitième république, car lorsque l’on fait le bilan des cinq premières depuis 1792, force est de constater que la faiblesse, l'absence de continuité et l’instabilité sont des symptômes inhérent à ce système. Ce qui explique l’état actuel de notre pays en a peine deux siècles. Une république forte, stable et durable ne serait qu’une république singeant la monarchie. Et pour ainsi dire ça ne serait même plus une république car comme nous l'avons dit c'est la faiblesse, l’absence de continuité et l'instabilité qui constituent les caractéristiques principales d’une république.

    C’est ce que le Norvégien diplomate et homme d’Etat Fridtjof Nansen avait compris, lorsqu’il répondit à un journaliste français sur le choix de ses compatriotes pour la Royauté, et non la République en 1905, après leur séparation du royaume de Suède :

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  • Sur Sacr TV, nos raisons pour la Monarchie - 2.


    Il est indispensable de consacrer clairement le droit d’initiative comme en Suisse. Le peuple n’est pas la source du pouvoir, il n’a pas le pouvoir, mais il doit avoir du pouvoir, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui.

    - Compétence très large de la population dans les affaires communale, comme en Suisse.

    - Compétence large, mais contrôlée par le gouvernement et le parlement, dans les affaires provinciales…

    - Compétence réelle, mais plus limitée, dans les affaires nationales. Le « droit d’initiative » doit être reconnu largement comme en Suisse par la réunion d’un certain nombre de milliers de signatures.

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  • L'œuvre de Soljénitsyne, témoignage sur l'Union soviétique et le peuple russe 3/4

    Les femmes, théoriquement rigoureusement séparées des hommes, mais souvent enfermées dans des camps-jumeaux, ont été victimes systématiquement des violences que l'on imagine de la part des gardiens et des détenus de droits communs - très doués pour franchir tous les murs ou grillages possibles, non pour s'évader, mais pour satisfaire leurs bas instincts -. Dans le camp même des hommes, de nombreux pervers gardiens ou détenus de droits communs, s'attaquent aussi couramment aux adolescents. Paradoxalement une grossesse, phénomène fréquent dans ces circonstances, constitue une garantie de quelques mois de calme relatif, donc de survie pour ces détenues. Les bébés, lorsqu'ils survivent, sont enlevés aux mères de manière quasiment systématique.

    Les "politiques" soit la très grande majorités des internés, presque tous innocents - ou pour les plus "coupables" auteurs d'une plaisanterie ou d'une parole d'humeur contre le régime -, sont les victimes permanentes, soumises à un travail intensif, et elles meurent massivement. La vertu individuelle, celle consistant à avoir un caractère sérieux et travailleur, conduit rapidement à la mort. L'auteur le démontre par les rations : celle, disciplinaire, très réduite, de celui qui refuse de travailler, conduit au final bien plus lentement à la mort que celle double du travailleur méritant, qui meurt d'épuisement inévitablement en quelques jours, quelques semaines au plus.

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  • L'œuvre de Soljénitsyne, témoignage sur l'Union soviétique et le peuple russe 2/4

    Dès l'automne 1945, et a fortiori les années suivantes, Soljénitsyne finit par se sentir beaucoup plus proche des détenus allemands et même japonais, dont il ne parle pourtant absolument pas la langue, soldats captifs déportés massivement dans les camps, au motif collectif de « crimes de guerre » contre l'URSS. Ce prétexte s'avère particulièrement absurde pour les Nippons capturés lors de l'invasion russe de la Mandchourie en août 1945, qui n'avaient jamais envahi l'URSS lors du Second Conflit Mondial. Après 1945, le nombre de détenus atteint vraisemblablement un pic, car ils sont chargés de reconstruire l'URSS. Les camps sont alimentés par des rafles collectives, sans guère de tri, en Europe occupée par l'URSS, ce qui amène, outre des masses d'Allemands, civils ou militaires, des curiosités, tels des prisonniers de guerre français ou même américains vite nostalgiques de leur captivité allemande. Il loue l'honnêteté des Allemands incapables de comprendre que dans le régime soviétique, en théorie de propriété collective, en pratique tout le monde vole tout le monde; ils écrivaient très souvent en mauvais russe des lettres de dénonciation contre les chefs de chantiers qui détournaient massivement les biens de l’État à des fins privées, et ce sans aucun profit dans la délation, par pur sens du devoir, révoltés qu'ils étaient par de telles pratiques.

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