
Par Gérard LECLERC
« Voici la troisième rubrique de Gérard Leclerc sur « Le legs de l’Action française ». Elle nous explique comment les deux évènements du Ralliement des catholiques à la République et ensuite celui de l’Affaire Dreyfus, ont suscité le basculement de nationalistes vers la proposition monarchique, mais aussi du royalisme vers le nationalisme. Charles Maurras en fut la cheville ouvrière.
Découvrons la fondation de notre Action française qui perdure depuis 120 ans. Ne nous trompons pas ; il ne s’agit pas de nous complaire dans les origines de notre mouvement-école, mais au contraire d’utiliser ce passé pour que l’Action française reste une pensée vivante pour mieux répondre aux défis d’une société démocratique de plus en plus déshumanisante.
Ceux qui voudront allez plus loin dans la compréhension de la violence polémique au temps de l’Affaire Dreyfus, peuvent lire les articles de Maurras publiés dans la Gazette de France et mise en annexe du maitre ouvrage de Pierre Boutang : Maurras, la Destinée et l’œuvre, Plon, 1984 ; La Différence, 1993. (ndlr, P Lallement) »
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