culture et histoire - Page 657
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Les thuriféraires du Mondialisme N° 1 : EGYPTE/DAJJAL
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Maurice Allais, pour une économie politique européenne
L’économie humaniste
Intervention de Frédéric Valentin à la VIIIe Université d'été de Synergies Européennes, Groppelo di Gavirate (29 juillet / 2 août 2000)
• I – Conception de la science économique
• II – L’économie de marchés
• III – La dynamique monétaire
• IV – Assomption de l’Europe
Né en 1911 (mort le 9 oct. 2010), prix Nobel en 1988, Maurice Allais a publié sur les problèmes de l’Europe, ces dernières années, plusieurs ouvrages destinés à un vaste public. En 1991, avec “l’Europe face à son avenir ”, il posait très clairement le problème des européens : leur tâche dans cette fin de siècle, c’est de réaliser la Communauté culturelle, politique et économique qui constitue la condition de leur épanouissement dans le XXIe siècle. Il montre inlassablement les extravagances et incohérences des conceptions de la Commission européenne qui emploie systématiquement la méthode autoritaire. On lui doit aussi une clarification des conditions de la réussite d’une monnaie commune.
Depuis ces premiers travaux, en 1943, M. Allais donne des leçons de clarté, de lucidité et de courage. Aussi, après une présentation de sa conception de la science économique, nous exposerons brièvement le cadre qu’il a élaboré, l’économie de marchés, et les difficultés que provoque la théorie monétaire dominante, dont les profiteurs sont essentiellement les oligarchies financières. De là, nous montrerons les projets d’amélioration de la construction européenne à laquelle le maître se consacre désormais.
I - CONCEPTION DE LA SCIENCE ÉCONOMIQUE
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L'ile d'Avalon - Le Cycle Arthurien
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La Pensée unique exige la soumission
La Pensée unique exige la soumission ; c’est elle qui dit ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas ; et gare à ceux qui ne comprenne pas que « le crime de penser n’entraîne pas la mort. Le crime de penser est la mort » comme Georges Orwel l’a écrit dans 1984.
Pourtant, la Pensée unique telle que nous la subissons n’est pas Big Brother, personnage de fiction de ce roman prophétique, même si elle en a l’apparence : « Big Brother est infaillible et tout-puissant. Tout succès, toute réalisation, toute victoire, toute découverte scientifique, toute connaissance, toute sagesse, tout bonheur, toute vertu, sont considérés comme émanant directement de sa direction et de son inspiration. »
Car la Pensée unique, ce n’est pas une ou plusieurs idées figées dans le marbre. La pensée unique, c’est celle qu’il faut avoir à une période ponctuelle sous peine d’hérésie.
Être sulfureux est davantage la conséquence, non de certaines idées jugées à tort ou à raison provocatrices, fausses ou dépassées que de ne pas avoir celles imposées par la Pensée unique, celles de l’ère du temps… et de ne pas en changer aussi rapidement qu’elle l’exige.
Introduction au livre Le Dictionnaire sulfureux de Philippe Randa, éditions Synthèse nationale, 170 pages, 23 euros. Pour le commander, cliquez ici
Vous pouvez aussi commander ces deux ouvrages à Synthèse nationale 9, rue Parrot CS 72809 75012 Paris (chèque à l'ordre de Synthèse nationale).
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Parution des “Ecrits de Résistance, 1940-1943”, d’Albert Guérin ( fevr 2019 )
Le 22 juin 1940, Albert Guérin, son frère Prosper et d’anciens combattants français ont créé à Buenos Aires (Argentine), répondant à l’appel du général de Gaulle, le premier comité France Libre, et sans doute le plus actif, d’Amérique : contre-propagande (trois bulletins, mensuel ou hebdomadaires, dont l’un, Pour la France Libre, de très grande qualité), liens amicaux et de combat avec des écrivains français résistants (Bernanos, Caillois) ou argentins, hostiles au IIIe Reich (les sœurs Ocampo, Bioy Caceres), collecte de fonds pour acheter des armes et pour la France Libre de Londres, envoi de volontaires pour combattre dans les Forces Navales de la France Libre ou dans les armées de la France Libre.L’œuvre accomplie a été exceptionnelle : elle a valu à Albert Guérin d’être condamné par le tribunal militaire de Gannat en avril 1941 à 15 ans de bagne et à être déchu de la nationalité française, mais à être fait en octobre de la même année Compagnon de la Libération.Son œuvre oubliée a été exhumée et publiée en un volume sous le titre : Ecrits de Résistance 1940-1943 aux Editions Transhumances (Hautes-Alpes, département dont la famille Guérin était originaire). Le site de cette petite maison d’édition est accessible ici : www.transhumances.com/. -
Le nouveau numéro du "Chêne", le journal du MNR
Le nouveau numéro du chêne : pour le consulter cliquez ici
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Loches (37) : « Comment vivait-on l’hiver au Moyen-Âge dans la Cité Royale ? »
Insolite, la visite thématique organisée ce mois de décembre à la Cité royale propose une incursion dans le quotidien des seigneurs, mais aussi des paysans, à la période des grands froids et des fêtes. Que faisait-on en hiver au Moyen Âge ? Le froid paralysait-il toute activité ? Comment faisait-on pour lutter contre le froid ? Quelles festivités étaient organisées ?
[…] À l’aide de différentes anecdotes, d’histoires de pénuries de bois et de grandes foires pour se procurer les fourrures, les médiateurs culturels vont déconstruire les idées préconçues du public à propos de l’hiver et des fêtes de fin d’année au Moyen Âge. […] Cette visite s’inscrit dans le cadre de Noël au pays des châteaux, avec ceux d’Amboise, Azay-le-Rideau, Chenonceau, Chinon, Langeais, et Villandry. D’une durée d’environ une heure, elle s’adresse à tous : habitués du lieu ou ceux qui le découvrent pour la première fois.
Céline Cefber-Mandard, médiatrice culturelle, explique : « Quand on pense à l’hiver au 13e ou 14e siècle, on a souvent cette image d’un hiver morne, plat, sans activité. Ce qui n’est pas vrai, au contraire, on dédiait ces temps au nettoyage des outils, à l’alimentation des réserves, aux comptes… À ce qui ne pouvait pas être fait en été, mais était tout autant nécessaire. Et puisque le quotidien est abordé, les fêtes aussi, avec un petit retour sur l’héritage païen, le véritable lien entre les fêtes religieuses et l’intervention des Romains sur lesquels reposent les bases de Noël. On faisait beaucoup de jeux, les échecs par exemple, mais aussi d’extérieur », évoque Céline Cefber-Mandard. […]
http://www.fdesouche.com/1312271-loches-37-comment-vivait-on-lhiver-au-moyen-age-dans-la-cite-royale
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Notre confrère et ami canadien "Le Harfang" vient de publier un article sur le livre "Pour une 3e voie solidariste" de Georges Feltin-Tracol
Source cliquez ici
Le dernier ouvrage de Georges Feltin-Tracol, Pour la troisième voie solidariste, est un ouvrage de fond réunissant divers articles offrant des exemples concrets et réels d’alternatives au faux dilemme du libéralisme versus marxisme. Facile à lire et surtout à comprendre, l’auteur, que nous avions interrogé pour le Harfang cet été, est un penseur libre qui refuse les étiquettes et cherche réellement une voie tierce nous permettant de se sortir du marasme actuel.
Car il faut le dire, le marxisme a échoué – personne ne le niera – et le libéralisme est également en faillite, comme nous le prouve constamment l’actualité économique. Endettement, délocalisations, crises à répétition, effritement des classes moyennes, voilà le bilan sombre du régime où nous sommes, qui ne risque pas de se réformer tout seul avec l’arrivée de la robotisation et de l’automatisation à grande échelle.
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“Qu’est-ce que la droite, qu’est-ce que la gauche ?”, par Rodolfo Casadei
Arnaud Imatz, Droite, gauche : pour sortir de l’équivoque
« La droite catholique ne perd pas une occasion de se montrer xénophobe et islamophobe ». « Ce Pape est de gauche, il a cité la Bonino et Napolitano parmi les grands de l’Italie d’aujourd’hui ! ». Pendant qu’intellectuels et politiques de toutes orientations proclament que la division de la droite et de la gauche est obsolète, qui pour se plaindre de l’homologation permanente, qui pour proposer des troisièmes voies, dans le monde catholique reviennent à la mode les dénigrations croisées à base de catégories empruntées à la politique. La saison des accusations réciproques de « fondamentalisme » et de « modernisme » étant passée rapidement, trop difficiles à soutenir dans une discussion sur les réseaux sociaux de la part de supporters qui pour leur propre formation intellectuelle ne vont pas au-delà de quelques blogs et de quelques revues, l’on est revenu rapidement aux deux catégories politiques qui pendant ce temps sont devenues des catégories métaphysiques. De fait, on entend parler « d’hommes de droite » ou de « femmes de gauche » comme si l’on parlait de caractéristiques non seulement politiques mais culturelles et anthropologiques des individus, et même des choses. Comme l’ironisait Giorgio Gaber il y a plus de vingt ans, « une jolie petite soupe est de droite/un bon pot-au-feu est toujours de gauche. Le concert dans le stade est de gauche/les prix sont un peu de droite ».
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2 JANVIER 1492 : L'EUROPE LIBÉRÉE DE L'ISLAM
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de la fin de la Reconquista (Reconquête) en Espagne avec la reprise aux musulmans de la ville de Grenade, le 2 janvier 1492, par les troupes d'Isabelle Ière de Castille et de Ferdinand II d'Aragon, et la reddition du sultan Mohammed XII de Grenade ou Boabdil (Abû Abdil-lah), dernier roi musulman de la dynastie nasride d'al-Andalus.
Cette victoire met fin à 781 ans d'occupation musulmane en Espagne, depuis l'invasion en 711. La Reconquista quant à elle, avait commencé par la victoire des troupes du royaume des Asturies, lors de la bataille de Covadonga en 722.
L'unité de la péninsule est désormais complète, à l'exception du Portugal.
L'exploit vaut à Isabelle Ière de Castille et à Ferdinand II d'Aragon de recevoir du pape Alexandre VI Borgia, le titre émérite de "Rois Catholiques".
Aujourd'hui comme hier, la reconquête continue pour chasser de notre terre d'Europe, les envahisseurs venus des terres musulmanes !