culture et histoire - Page 653
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La tragédie d'un Tsar
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ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma
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Conseils de Lecture - Hiver 2020
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Union Royaliste Provençale/Cercle Pierre Debray - Toulon...
Union Royaliste Provençale : L'Action française Toulon vous invite à son Cercle Pierre Debray dont le thème sera "La politique naturelle" animé par François Davin fondateur et blogmestre de lafautearousseau le Mercredi 22 Janvier à 20h00.
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La Petite Histoire : Bayard, le grand sauveur de Mézières
Parmi les hauts faits de gloire du célèbre chevalier Bayard, le siège de Mézières fait partie des plus héroïques. En 1521, alors que les troupes de Charles Quint pénètrent dans le Nord de la France, Bayard est chargé d’empêcher la prise de la citadelle de Mézières. Une mission aussi risquée que désespérée, que le chevalier sans peur et sans reproche va mener avec courage et intelligence. À 1.000 contre 35.000, il parvient, à l’aide d’une ruse dont lui seul à le secret, à faire lever le siège et stopper l’invasion de la France.
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-bayard-le-grand-sauveur-de-mezieres
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« No Society » : le constat implacable de Christophe Guilluy
L’édition en format poche de No Society – La fin de la classe moyenne occidentale, enrichie d’un avant-propos consacré au phénomène des Gilets jaunes, est l’une des lectures les plus indispensables du moment. Le géographe Christophe Guilluy y propose une forme de synthèse de ses analyses, bien moins manichéennes que ne le voudraient ses détracteurs.
Cet ouvrage constitue sans conteste l’un des livres de chevet de tout responsable « populiste » ayant à cœur d’offrir une perspective politique victorieuse au « Bloc populaire ».Partant de la fameuse formule de Margaret Thatcher en octobre 1987, « There is no society », qui entendait ainsi justifier le bien fondé de ses réformes libérales, Christophe Guilluy déroule une analyse que l’on pourrait résumer en quelques points saillants :
– Ce message libéral donc par essence apolitique, porté par une vision mondialiste devenue idéologie, dont la portée s’est accélérée après la chute du Mur de Berlin et la disparition du bloc soviétique, a été entendu par l’ensemble des classes dominantes occidentales.
– Sa conséquence immédiate ? La « grande sécession du monde d’en haut »d’avec ses peuples et ses pays originels, qu’avait analysé dès 1995 Christopher Lasch dans La Révolte des élites et la trahison de la démocratie(Champs Flammarion, 2010) et que rappelle très bien le président de TV Libertés Philippe Milliau dans son message du nouvel an 2020.
– Les conséquences concrètes que nous subissons aujourd’hui, après trente ans de nouvelle « trahison des élites », sont l’abandon du bien commun et l’avènement du chaos de la « société relative » caractéristiques des pays occidentaux – « la réalité d’une société désormais travaillée par des tensions ethno-raciales qui rappellent en tout point celles de la société américaine ».
– « La rupture du lien, y compris conflictuel, entre le haut et le bas, nous a fait basculer dans l’a-société. No more society.» Le sacrifice volontaire, sur l’autel de la mondialisation, des classes moyennes autrefois matrices des sociétés occidentales, a débouché sur la prolétarisation, l’atomisation et finalement la désespérance du « bloc central » constitué du peuple au travail – l’échec du mouvement des Gilets jaunes ne pouvant qu’accentuer cette désespérance sociale, avec des risques évidents pour le maintien de toute « paix civile ». -
L'Indochine française sous La botte nippone
Les Kempeïtaï, police auxiliaire japonaise, similaire à la Gestapo, furent responsables de nombres d'atrocités.
Le coup de force japonais du 9 mars 1945 en Indochine est une page méconnue. Elle éclaire pourtant notre Histoire à plus d'un titre. Témoin du martyre vécu par notre peuple en Extrême-Orient, sous le joug japonais, cet épisode permet de mieux comprendre le passage éclair à un autre conflit la guerre d'Indochine.
Les Invalides sont le temple de la mémoire française. Sur le flanc ouest de l'église des soldats, la discrète chapelle de la Vierge est ornée d'une plaque blanche. Elle rappelle depuis 2015 un martyre trop souvent oublié :
« Guerre du Pacifique
Seconde Guerre mondiale
À la mémoire des combattants des Forces armées françaises et de la Résistance d'Indochine morts pour la France de 1940 à 1945.
Aux milliers de civils français et amis indochinois morts ou disparus suite à l'attaque nippone du 9 mars 1945.
Aux 2650 combattants morts le 9 mars 1945.
Ils apportèrent aux Alliés jusqu'à la capitulation japonaise le 15 août 1945 leur part de sacrifice et de gloire »
On croit parfois que la guerre s'est terminée en mai 45. Mais ce conflit a continué sous d'autres latitudes. Entre la délivrance de la Métropole et le 2 septembre 45, des Français ont subi une barbarie aussi inouïe que passée sous silence. Guillaume Zeller n'est pas homme à se satisfaire des trous de mémoire. Il a publié de beaux livres chez Tallandier, retraçant le destin tragique d'écorchés vifs de l'Histoire : Oran, 5 juillet 1962. Un massacre oublié (2012), ou encore La baraque des prêtres Dachau, 1938-1945 (2015). Il publie cette année Les cages de la Kempeitaï les Français sous la terreur japonaise. Cette tragédie qu'il raconte est aussi un drame familial ses grands-parents ont été détenus par les Japonais à Phnom-Penh.
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JEUDI 16 JANVIER, JEAN-FRANÇOIS TOUZÉ, DÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DU PDF, INVITÉ DE L'ÉMISSION (TÉLÉVISÉE) "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
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Désinformation sur la colonisation : Quand Arte se surpasse...
Communiqué de Bernard Lugan cliquez iciLa chaîne Arte vient de se surpasser dans le commerce de l’insupportable escroquerie historique qu’est la « légende noire » de la colonisation. Or, le bilan colonial ne pourra jamais être fait avec des invectives, des raccourcis, des manipulations et des mensonges.Regardons la réalité bien en face : la colonisation ne fut qu’une brève parenthèse dans la longue histoire de l’Afrique. Jusque dans les années 1880, et cela à l’exception de l’Algérie, du Cap de Bonne Espérance et de quelques comptoirs littoraux, les Européens s’étaient en effet tenus à l’écart du continent africain. Le mouvement des indépendances ayant débuté durant la décennie 1950, le XXe siècle a donc connu à la fois la colonisation et la décolonisation.Quel bilan honnête est-il possible de faire de cette brève période qui ne fut qu’un éclair dans la longue histoire de l’Afrique ? Mes arguments sont connus car je les expose depuis plusieurs décennies dans mes livres, notamment dans Osons dire la vérité à l’Afrique. J’en résume une partie dans ce communiqué.1) Les aspects positifs de la colonisation pour les AfricainsLa colonisation apporta la paixDurant un demi-siècle, les Africains apprirent à ne plus avoir peur du village voisin ou des razzias esclavagistes. Pour les peuples dominés ou menacés, ce fut une véritable libération.Dans toute l’Afrique australe, les peuples furent libérés de l’expansionnisme des Zulu, dans tout le Sahel, les sédentaires furent libérés de la tenaille prédatrice Touareg-Peul, dans la région tchadienne, les sédentaires furent débarrassés des razzias arabo-musulmanes, dans l’immense Nigeria, la prédation nordiste ne s’exerça plus aux dépens des Ibo et des Yoruba, cependant que dans l’actuelle Centrafrique, les raids à esclaves venus du Soudan cessèrent etc. -
Royalistes : Formation et militantisme : Bordeaux, Strasbourg, Toulouse...