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culture et histoire - Page 662

  • Nos racines

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    Le sujet est à la foi central aujourd’hui et il est casse-gueule. Que dire sur les racines que tout le monde ne sache déjà. Dans cet article, je relève le défi de parler de manière nouvelle de quelque chose que tout le monde croit connaître. Je le fais… avec la philosophe  Simone Weil !

    Alors que le multiculturalisme semble l'emporter partout, alors que notre avenir semble être de vivre dans une société formée de communautés différentes, étanches les unes par rapport aux autres, comme en Angleterre ou comme aux États-Unis, alors que dans ce contexte multiculturel, le racisme risque de devenir de plus en plus violent entre les communautés disjointes, alors que l’amitié politique semble ne tenir plus que du mythe, nous devons nous interroger, nous autres Français, sur nos racines, c'est-à-dire sur ce qui nous fait Français, sur ce que nous possédons en commun comme français.

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  • Bonne surprise pour Noël : l'émission "Synthèse" avec Jean-Gilles Malliarakis sur Radio Libertés est désormais télévisée

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  • Passé-Présent n°262 : La résistance acharnée des Finlandais face à l’Armée rouge


    La guerre russo-finlandaise (hiver 1939-1940)

    Cet épisode de la seconde guerre mondiale nous est retracé par Philippe Conrad. Il y a tout juste 80 ans, un incident provoqué par les Soviétiques sert de prétexte à la rupture des relations diplomatiques avec le voisin finlandais. Une guerre de 104 jours s’engage alors entre la petite Finlande (150 000 hommes, peu d’artillerie, pas de blindés) et l’ogre russe.
    Malgré une suprématie écrasante de son armée, les divisions soviétiques perdront 200 000 hommes, 1 600 chars, 500 avions et subiront des revers en raison du froid, de l’impraticabilité des routes et du terrain difficile où l’engagement des chars devenait inutile dans un univers forestier.
    A l’issue du conflit, et tout en concédant des bases à la Russie, la Finlande du Maréchal Mannerheim préservera son indépendance et évitera l’annexion.

    Un Rétais méconnu : Nicolas Baudin (1757-1803)

    Anne Sicard poursuit ses évocations de personnalités singulières et nous présente aujourd’hui un marin, explorateur et naturaliste français : Nicolas Baudin.
    Ce navigateur qui avait, dès sa jeunesse, réussi à développer une manière de transport maritime assurant la survie des plantes, sera à l’origine d’un des plus grands voyages scientifiques de l’Histoire, car il renverra en France des collections vivantes depuis l’Australie – où son nom demeure – tout en cartographiant, pour la première fois, cet immense territoire océanien.

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n262-la-resistance-acharnee-des-finlandais-face-a-larmee-rouge

  • La Petite Histoire : Castillon, le triomphe de l’artillerie française


    La bataille de Castillon, le 17 juillet 1453, marque sur le plan militaire la fin de la guerre de Cent Ans. Pour les Français, après l’épopée de Jeanne d’Arc et la victoire de Formigny en Normandie, c’est la consécration. Mais surtout, outre le fait d’avoir enfin bouté l’Anglois hors de Guyenne, et hors de France, cette bataille marque la fin de la suprématie des archers longs, tant redoutés, et le triomphe d’une innovation technologique décisive : l’artillerie de campagne des frères Bureau.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-castillon-le-triomphe-de-lartillerie-francaise

  • “Le flambeau de l’Analogie – Notes sur Joseph de Maistre et Gérard de Nerval” par Luc-Olivier d’Algange

    Il existe dans la tradition française un fort courant songeur, surnaturaliste, mystique et prophétique qui, loin de soustraire à notre entendement quelque clarté que ce soit en éprouve les véritables puissances d’embrasement et de transfiguration. Comment ne pas entendre l’œuvre de Racine comme l’épanouissement d’un Songe mélodieux et terrible ? Comment ne pas reconnaître dans les pensées de Pascal la persistante présence des abysses ? S’il est une constante dans la littérature française, elle est bien dans la coïncidence de la métaphysique et de la poésie, dans l’accord de la Doctrine et du Chant et dans l’audace à requérir contre la banalité des apparences le jugement d’une « expérience-limite » où la claire raison, en s’éprouvant à ce qui la fonde et la menace, ouvre à la pensée l’empire des illuminations et des correspondances.

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  • Recension de « La France djihadiste » d’Alexandre Mendel, par Jean-Gérard Lapacherie

    La-France-djihadiste-190x300.jpgAlexandre Mendel, La France djihadiste. Document. « En ce moment à 15 minutes de chez vous ». Préface de Thibault de Montbrial, Ring, 21016, 20 €

    Alexandre Mendel est « reporter ». Le nom reporter est emprunté à l’anglais (« celui qui recueille des informations pour les publier dans un journal »), lequel l’a emprunté à l’ancien français, langue dans laquelle le verbe reporter avait pour sens, aux XIIe et XIIIe siècles, « porter témoignage de ou sur… » ou « rapporter » (des paroles ou ce que l’on a vu). Même si le mot est anglais (en français, il devrait s’écrire reporteur), l’activité qu’il désigne s’enracine dans la longue histoire de la France et de sa langue. Cette activité a été illustrée au XXe siècle par des journalistes, tels Albert Londres ou Joseph Kessel, ou par des écrivains qui se sont illustrés dans le reportage, tels Georges Bernanos, André Gide ou Albert Camus, pour ne citer que ces trois noms. Elle est ou elle a été l’honneur du journalisme, honneur hélas perdu et depuis longtemps jeté aux oubliettes, les journalistes actuels préférant le mol oreiller des enfants de chœur qui, « précédant les processions », comme dirait Albert Londres, « plongent la main dans une corbeille de pétales de roses », qu’ils répandent dans leurs écrits et discours. En bref, manger dans la main des dominants et des puissants est plus rémunérateur que de porter des faits à la connaissance des citoyens désireux d’être éclairés. Albert Londres résume ainsi son activité : « Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie » : bagnes, colonisation, exactions, comme Kessel a porté sa plume dans la plaie de la traite par de bons musulmans de malheureux noirs qu’ils ont réduits à l’esclavage – et cela en 1930 ! – (lire Marchés d’esclaves), comme Gide la sienne dans l’exploitation coloniale ou le communisme, Bernanos dans l’assassinat d’innocents en Espagne au nom du Christ, Camus dans la misère des indigènes cherchant dans les poubelles des quartiers repus d’Alger de quoi ne pas mourir de faim.

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