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culture et histoire - Page 728

  • Le nouveau numéro du Chêne, le journal du MNR

    1018600308.jpgDame comme il faut reconstruire la France
    Au sommaire de ce numéro :

    Editorial : Il faut reconstruire Notre-Dame comme il faut reconstruire la France.

    • Actualité, communiqués de presse.
    • Pour une Europe puissante.
    • Baisser les dépenses publiques pour diminuer les impôts et garder l’euro !
    • La PMA ou la mort du Père.
    • Un peu d'économie et de fiscalité pour les Nuls.
    • Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...
    • Vie du mouvement.
    • Des appels au racisme meurtrier, ça existe en France macronienne.

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  • Les Lansquenets d'Europe vous attendent fin juillet dans les Bouches-du-Rhône avec Gabriele Adinolfi

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  • Agir en conformité avec la nature profonde du politique

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    Ligne Droite cliquez ici

    Parmi les causes qui expliquent la crise du politique dans notre pays, il y a sans conteste la méconnaissance de la nature profonde du politique. Une méconnaissance qui touche, et c’est bien normal, la population tout entière, mais qui affecte aussi, plus curieusement, ceux qui s’engagent en politique, qu’ils soient simples adhérents ou élus. Ligne droite estime donc nécessaire que les militants de la droite nouvelle soient initiés à ce qui fait la spécificité du politique et donc à sa nature profonde.

    La définition du politique : garantir le bien commun de la cité

    Le terme de politique est construit à partir de polis, le mot grec qui désignait la cité État. Aussi le politique est-il l’art et la pratique du gouvernement des sociétés humaines. Il a pour but de garantir leur survie et de faire prévaloir l’intérêt général, c’est-à-dire plus globalement d’œuvrer au bien commun. Aujourd’hui en France cet objectif est largement perdu de vue car  les intérêts privés liés aux minorités comme au marché prennent le pas sur l’intérêt public. Une situation qui résulte de l’individualisme radical sécrété par l’idéologie libérale/libertaire du Système et dans laquelle, les individus étant seuls à exister, le bien commun disparaît, le politique s’efface et le chaos s’installe.

    Les fondements du politique : un peuple, une terre, une loi

    Le politique n’a en effet pas  sa place partout. Pour qu’il y ait politique, il faut que trois conditions soient réunies. Un peuple d’abord, car l’homme est par nature un être social et, à ce titre, il est voué à vivre en société. «Hors de la cité, l’homme est une bête ou un dieu», disait Aristote. Aussi doit-il vivre avec ses semblables au sein d’un peuple, c’est-à-dire d’une collectivité homogène de personnes ayant une histoire commune et la volonté de la prolonger dans le temps.

    Mais il faut aussi une terre, car c’est en fonction du sol qu’il a conquis et dont il a hérité qu’un peuple s’organise, vit et se développe. Tant il est vrai que la civilisation qu’il construit dépend largement des liens qu’il établit avec sa terre.

    Enfin, une loi, car attaché à son sol, le peuple définit les règles qui lui permettent de vivre le plus harmonieusement possible en garantissant, au-delà des modes et des circonstances, les conditions de sa survie.

    Sans ces trois impératifs, il n’est pas de politique possible. Un peuple sans terre ou une terre sans loi ou encore une terre sans peuple, constituent autant de configurations d’où la dimension politique est exclue. Aussi est-il essentiel que la France conserve ces trois fondements. Car si demain, en raison de l’idéologie mondialiste du Système, notre pays n’était plus qu’un hexagone où vivraient des individus étrangers les uns aux autres, il ne pourrait plus connaître les bienfaits de la régulation politique. Aussi, en ignorant les fondements du politique, le Système qui nous dirige risque-t-il de faire sombrer la France dans le chaos.

    La nature du politique : le commandement et l’obéissance

    Le politique est par ailleurs défini par l’impératif du commandement et de l’obéissance. Deux notions qui peuvent paraître aujourd’hui brutales et déconnectées des sociétés contemporaines. Et, pourtant, dans tous les régimes, que l’organisation institutionnelle soit autoritaire ou démocratique, le politique passe par le commandement. C’est-à-dire par une relation hiérarchique à travers laquelle une volonté particulière exerce sa puissance sur les autres. Et loin d’être une forme d’autoritarisme d’un autre âge, cette réalité d’ordre politique s’avère à la fois nécessaire et bénéfique car c’est par la puissance de cette volonté propre au commandement que se forme l’unité politique d’une nation. En ce sens la puissance est positive puisqu’elle unifie et ordonne. Aussi est-il essentiel que celui qui exerce le commandement dispose de la puissance car, quelle que soit la source de sa légitimité, c’est elle qui lui permet d’agir, de rassembler, de mettre en ordre et de créer une harmonie.

    La crise du politique qui affecte aujourd’hui notre pays s’explique largement par l’effacement de ce principe. Limités dans leur pouvoir par les médias, les juges, les eurocrates et la super classe mondiale, les dirigeants de la France manquent de puissance pour assurer leurs fonctions politiques. Dès lors, l’unité de la nation se fissure et le désordre apparaît. Un désordre d’autant plus marqué que, dans le même temps, le principe d’obéissance se trouve lui aussi affaibli.

    Or, le politique exige l’obéissance. Une obéissance qui ne s’apparente nullement à une soumission ou à un rapport d’inférieur à supérieur. Car il n’y a rien d’arbitraire dans cette relation mais seulement l’acceptation des règles et obligations qui s’imposent à tous dans l’intérêt commun. Là encore, la crise du politique conduit à une remise en cause de ce principe d’obéissance, lequel sera d’ailleurs d’autant moins observé que le commandement ne sera plus respecté.

    Le champ du politique : le public et le privé

    Le domaine du politique est de plus caractérisé par la bonne articulation entre la sphère privée et la sphère publique. La première concerne l’individu dans ses relations avec ses semblables, qu’elles soient d’ordre familial, économique, associatif ou autre. Quant à la seconde, elle relève de tout ce qui concerne la sécurité, l’ordre et l’harmonie de la collectivité, c’est-à-dire la poursuite du bien commun.

    Le politique, qui est en charge de la sphère publique et d’elle seule, doit donc veiller à la séparation des deux sphères. Car si le domaine du politique se trouve occupé par des éléments illégitimes ou si, au contraire, le politique interfère dans ce qui n’est pas de son ressort, si donc il y a interpénétration des deux sphères, le politique se trouve dénaturé et le désordre s’installe.

    C’est là encore ce que l’on observe dans la France d’aujourd’hui avec un État qui envahit la sphère privée, s’occupant de régenter de A à Z la vie quotidienne des Français pendant que, de l’autre côté, des fonctionnaires, des financiers ou des journalistes s’immiscent dans les affaires publiques pour dicter leur loi à nos dirigeants. Une dénaturation du politique qui est l’une des causes majeures du déclin de notre pays.

    L’essence du politique : l’ami et l’ennemi

    Le politique est enfin d’essence conflictuelle. Son rôle est de traiter les antagonismes et de trancher les conflits. Aussi la notion d’ennemi est-elle indissolublement liée au politique. Encore faut-il dans ce domaine établir une distinction fondamentale entre deux catégories d’ennemis. Une distinction que les Romains avaient consacrée par l’usage de deux mots différents : inimicus et hostis. L’inimicus est l’ennemi privé, celui que l’on peut se faire dans sa vie personnelle et auquel on voue souvent des sentiments aussi passionnels qu’irrationnels. L’hostis désigne de son côté l’ennemi collectif, celui qui menace la nation, ses intérêts ou ses ressortissants. Il s’impose quant à lui pour des raisons objectives et c’est bien sûr de ce type d’adversaire que traite le politique.

    Car le politique se distingue avant tout comme l’activité humaine régie par les relations conflictuelles entre amis et ennemis. Si la morale est le domaine du bien et du mal, l’art celui du beau et du laid, le politique est par excellence le domaine de l’ami et de l’ennemi.

    Là encore, cette notion peut paraître dure et brutale mais elle doit cependant être nuancée car, si le critère spécifique du politique tient à sa nature polémique, le but du politique n’est pas de susciter des hostilités mais de vaincre l’ennemi pour faire régner la concorde et l’harmonie. Pour autant, il importe d’être lucide et de savoir désigner son ennemi car, si on ne le fait pas, lui le fera et se placera dès lors en position de supériorité.

    De même, il est impératif de ne pas mélanger morale et politique. Car, à vouloir appliquer les règles de la morale au domaine politique, on abandonne celles qui sont spécifiques du politique et on multiplie les erreurs. Et, là encore, de telles erreurs sont régulièrement commises par les dirigeants de notre pays. N’est-ce pas en effet au nom de la morale qu’ils imposent aux Français d’accueillir toujours plus de migrants, alors que les règles du politique devraient au contraire les conduire à les en préserver pour sauvegarder l’identité et l’intégrité de notre peuple ?

    On le voit, la plupart des graves problèmes que connaît notre nation sont dus à une méconnaissance de l’essence même du politique. C’est donc aussi en réhabilitant le politique au sens noble du terme que la droite nouvelle pourra assurer le redressement de notre nation et de notre civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/16/agir-en-conformite-avec-la-nature-profonde-du-politique-6151374.html

  • À la recherche de l’ancêtre commun de Sapiens et Néandertal : Heidelberg disqualifié ?

    Les scientifiques qui enquêtent sur les origines des humains ont réalisé d’immenses progrès grâce à l’amélioration récente des techniques d’analyse de l’ADN ancien. Une nouvelle étude se repose sur une méthode alternative pour remonter dans le temps: l’analyse de dents humaines fossilisées.

    L’étude, publiée mercredi dans la revue Science Advances, fait remonter à une date plus ancienne que le consensus scientifique actuel l’âge du dernier ancêtre commun d’Homo sapiens (notre espèce) et des néandertaliens, soit 800.000 ans au lieu de 400.000 à 600.000 ans.

    […]

    La conséquence immédiate de ces travaux est qu’ils élimineraient l’homme d’Heidelberg (Homo heidelbergensis) comme l’ancêtre commun tant recherché.

    Suite sur LaLibre.be

    http://www.fdesouche.com/1207229-1207229

  • Passé-Présent n°239 : Charles Quint, défenseur de la chrétienté

    A l’occasion du 500è anniversaire de l’élection impériale de Charles Quint (1500-1558), Philippe Conrad brosse les contours de la vie de ce prince flamand, petit-fils de Charles le Téméraire, qui, face à la poussée de l’empire ottoman en Europe, parvint à reconstituer par sa volonté d’action l’unité de la chrétienté.

    Anne Sicard achève le récit de la vie de la Duchesse de Montpensier, dite La Grande Mademoiselle (1627-1693). Son rôle au cours de la Fronde, son exil, son mariage secret, ses obsèques grandioses.

    Philippe Conrad reçoit le Professeur Yves Morel pour son ouvrage : La vraie pensée d’Augustin Cochin, préfacé par Jean Tulard (Ed. Via Romana – 342 p. – 24 €).
    Monarchiste, catholique, historien contre-révolutionnaire, Augustin Cochin (1876-1916) n’appartint cependant à aucune organisation politique. Solitaire, contesté pour son interprétation de la Révolution française où il révéla les mécanismes de prise de pouvoir par les sociétés de pensée, il fut longtemps marginalisé avant d’être redécouvert par François Furet.
    Yves Morel revisite la pensée de Cochin et nous parle également des rapports qu’il entretenait avec Hippolyte Taine, l’Action française ou la Franc-maçonnerie.

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n239-charles-quint-defenseur-de-la-chretiente

  • Procès, Europe, Notre-Dame: 80 minutes de Nitroglycérine avec Jérôme Bourbon

  • Roland Hélie : « Les Français sont prêts à remettre en cause le système. »

  • La Petite Histoire : Pourquoi la colonisation est une entreprise de gauche !

    Après avoir remis les choses au clair au sujet du prétendu « pillage » des colonies par la France, La petite Histoire revient sur un autre grand tabou, à savoir le rapport entre la gauche et la colonisation. En effet, si aujourd’hui cette thématique est accolée à la droite ou à l’extrême-droite, la colonisation a bien été initiée et portée à bout de bras par la gauche républicaine, de Jules Ferry à Léon Blum en passant par Jean Jaurès et Léon Gambetta. Retour sur un autre mythe intouchable.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-pourquoi-la-colonisation-est-une-entreprise-de-gauche

  • Festival de hargne

    cinema.jpgLe rituel est bien rôdé, bien établi, il ne souffre pas d’exception. Le traditionnel festival de hargne contre l’opposition nationale qui se tient toujours en période électorale s’étale  dans les gros médias à quelques jours du scrutin européen. Nous assistons à une avalanche d’articles et autres reportages pour expliquer à quel point les députés FN puis RN sont non seulement des filous qui détournent l’argent de l’Europe (le feuilleton de l’affaire dite des assistants parlementaires a  débuté sous l’ère Hollande-Taubira-Schulz) mais en plus des nuls, des tocards, des feignants, des schizophrènes incapables même de voter les textes qui vont dans leur sens… Certes,  tirer à boulets rouges sur le RN c’est aussi essayer de sauver la candidate Nathalie Loiseau qui désespère même ses amis, lesquels ne cachent pas en privé et/ou en off leur consternation. Il y a fort à faire pour aider la candidate du parti macroniste qui a aussi reçu le soutien de vieux chevaux de retour comme Alain Juppé, Pierre Méhaignerie, Françoise Grossetête (vice-présidente du PPE), Daniel Cohn-Bendit ou  Jean-Pierre Raffarin. Ceci explique peut-être cela…

    A quelques heures du débat qui l’opposera ce soir sur BFMTV à Jordan Bardella, la tête de liste controversée de l’attelage LREM/MoDem,/Agir/Les Radicaux tape toujours sur le même clou. Elle se drape dans son rôle de représentante officielle des lobbies progressistes, d’ultra de la collaboration atlanto-bruxelloise. Interrogée par Le Monde, Mme Loiseau a rappelé que sa priorité était de combattre les défenseurs de l’Europe des patries, des identités et des  souverainetés nationales (ce qu’elle qualifie comme E. Macron et tous les bien-pensants sous le terme d’extrême-droite). Une sale engeance nationale  qu’elle désigne comme les «représentants de Vladimir Poutine au Parlement européen » … une attaque neuve, transgressive et originale !

    Ce qui frappe en fait dans la campagne de Mme Loiseau c’est la vétusté, la pauvreté des arguments recyclés  déjà depuis des années: une bribe de BHL par là, un morceau d’édito du Guardian , de l’Obs ou du New York Times par ci, quelques vieux restes de formules désuètes empruntées à Jacques Delors ou à Hillary Clinton pour lier le tout… Comme c’est affligeant et comme cela en dit long sur le niveau (ou le désarroi) des communicants macronistes ! Ce sont les mêmes, peut-être, qui lui ont soufflé de dire, lors son passage au Grand Jury RTL dimanche dernier que si elle était opposée à l’entrée de la Turquie dans l’UE c’est parce que… «la Turquie de Erdogan est populiste» ! Le fait que ce grand pays musulman soit culturellement, ethniquement, géographiquement non européen n’est donc pas une cause première et nécessaire aux yeux de Mme Loiseau… A ce degré de politiquement correct et d’à plat-ventrisme progressistes on touche vraiment le fond.

    En ce début de festival de Cannes, la hargne du camp du Bien s’est aussi déchaînée contre Alain Delon, à l’occasion,  rapportait Le Figaro de la remise d’une Palme d’or d’honneur  dimanche prochain pour l’ensemble de sa carrière. A l’initiative de Margherita B.,  «18.000 internautes, pour la plupart venus du monde anglo-saxon, États-Unis, Royaume-Uni et Australie, mais aussi de France et de Belgique, ont signé le texte en quelques heures»,  «contre cet hommage rendu au plus grand acteur Français…». Une pétition «pour dénoncer (l’) homophobie, (la) misogynie et (le) racisme» attribués à l’acteur, «l’accointance d’Alain Delon avec Jean-Marie Le Pen», accusé «de s’être «aligné avec le Front National, raciste et antisémite et d’avoir clamé qu’être homosexuel est «contre-nature». «Si la pétition a été attribuée à l’association américaine Women and Hollywood dans les médias, sa fondatrice Melissa Silverstein affirme ne pas en être à l’origine, bien qu’elle défende la même position. »

    «Alain Delon a le droit de penser ce qu’il pense, a répliqué Thierry Frémaux, le délégué général en charge de la sélection cannoise, lundi, regrettant également que ce qu’Alain Delon a dit ici et là soit globalisé» (sic). «Il invite ses détracteurs à faire la part des contradictions d’une existence, (…) en l’occurrence, d’un homme qui est parti très tôt à la guerre et qui est d’une autre génération». Des propos confus qui, à dire vrai, note Bruno Gollnisch,  ne veulent pas dire grand chose mais qui traduisent bien l’embarras de la grande famille du cinéma qui concentre toutes les tares et les diktats idéologiques de nos sociétés occidentales… quand elle n’en est pas elle même  le vecteur.

     Le Figaro relève encore que «L’essayiste et chroniqueur Éric Naulleau a identifié (dans cette affaire) un retour du maccarthysme et la chasse aux sorcières, qui sévissaient aux États-Unis dans les années 1950 contre les Américains soupçonnés de communisme.»

    Macarthysme contre un acteur auquel il est reproché son patriotisme et l’affirmation de sa préférence hétérosexuelle en des termes un peu rudes ? Certainement, mais surtout confusion bien dans l’air du temps ou les inquisiteurs néo-puritains confondent sciemment l’homme et son oeuvre au nom de leurs critères moraux. En quoi les idées, la vision du monde, les valeurs de Delon l’homme privé, retranchent quoi que ce soit ou contamine le talent, le charisme hors-norme de Delon l’homme de cinéma à qui l’on rend hommage? A ce compte-là,  faut-il épurer des cinémathèques ou des bibliothèques les cinéastes et les écrivains racistes? Pasolini ou Gide pour cause de pédophilie? Drieu au regard  de ses sympathies nazies ou Aragon du fait de son stalinisme ? Là aussi, l’opposition nationale ne s’était pas trompée quand elle mettait en garde, il y a plus de vingt ans déjà, contre l’avènement sur nos rivages de ce totalitarisme soft ou mou en provenance des milieux progressistes américains. Nous y sommes et il n’est guère étonnant que ces sectaires-là combattent aussi  farouchement le RN

    https://gollnisch.com/2019/05/15/festival-de-hargne/