culture et histoire - Page 726
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[RADIO THERMOPYLES] Sécession, Reconquête et Optimisme Héroïque
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Conférence géopolitique d'Éric Zemmour, invité du Multipolar World Institute de Bruxelles
Alexandre del Valle recevait Éric Zemmour sur le thème de « l’Europe et le retour des Nations ». au Multipolar World Institute de Bruxelles.
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Journal du chaos
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Dijon (21) : découverte de pièces de monnaie « rarissimes » datant du Moyen Âge
C’est un véritable trésor, qui a été exhumé en janvier dernier : un dépôt métallique consistant en une série de 34 monnaies, dont 10 en or, le reste en argent. Il était contenu dans une petite boîte modeste en bronze dont quelques vestiges subsistent. Il a été trouvé à l’occasion d’un diagnostic archéologique réalisé avant la construction d’un immeuble. Les monnaies seront présentées à Dijon le 15 juin, lors des Journées nationales de l’archéologie. Et, à terme, elles seront exposées au musée archéologique de Dijon.[…] Ce dépôt est d’un grand intérêt numismatique. […] Les monnaies présentent une certaine homogénéité. Chronologiquement, leur année d’émission les place dans la deuxième moitié du XVe siècle. La plus ancienne est une monnaie en or du Brabant (actuelle Belgique), émise entre 1432 et 1467. La plus récente est une monnaie en or d’Innocent VIII, Pape de 1484 à 1492.
« À cette époque, le roi de France Charles VIII, avait interdit les monnaies étrangères dont il espérait récupérer le métal précieux pour financer ses guerres, rappelle Stéphane Alix. Toutes ces pièces, fabriquées en argent pur ou présentant un taux d’or très élevé, avaient donc été cachées pour leur valeur métallique. »
La plupart semblent avoir très peu circulé. La majorité de ces pièces a été émise hors de Bourgogne, dans les états du Saint-Empire (Brabant, duché de Savoie, Palatinat) et les principautés italiennes (Milan, États pontificaux, Ferrare, Venise). Une seule pièce du royaume de France a été identifiée (Louis XI). On retrouve une grande proportion de monnaies italiennes, en particulier des pièces lourdes appelées testons, en argent milanais des Sforza.
Ces monnaies témoignent souvent, en particulier chez les princes italiens, d’une forte personnalisation de l’iconographie, héritée pour partie des codes de l’Empire romain. Ce renouveau iconographique participe des styles de la Renaissance italienne. Il s’agit également souvent de pièces lourdes, qui montrent la puissance de ces seigneurs et leur volonté d’en faire des monnaies de référence. […]
L’ensemble constitue également un précieux témoignage sur la fréquentation du lieu à la fin du XVe siècle. L’origine des monnaies, la relative richesse du lot – peut-être des économies familiales réalisées petit à petit, sur une période d’une quinzaine d’années – renvoient à la sphère sociale marchande, au monde du négoce européen. Les lieux d’émission couvrent des territoires qui jouent un rôle moteur dans le commerce européen de l’époque ou qui sont en connexion avec le monde bourguignon (Brabant, Italie du Nord).
Le pendentif associé au dépôt évoque, lui, la sphère privée du couple. Caractéristique des médaillons de mariage de la fin du Moyen Âge, il arbore les monogrammes V et C réunis par une cordelière en or. À l’image des nombreux bijoux reproduits sur les portraits de l’époque, il comprenait sans doute une perle suspendue. Plus modeste que les parures affichées dans les cours princières ou ducales, ce monogramme montre un glissement de l’usage depuis la noblesse vers une frange moins prestigieuse de l’aristocratie ou de la bourgeoisie aisée.
« Les circonstances précises du dépôt demeurent incertaines, mais cette poignée de monnaies reflète cette fin de siècle à Dijon », estime Stéphane Alix. C’est en effet l’époque de la chute de Charles le Téméraire, de l’annexion du duché de Bourgogne et de l’arrivée des troupes du roi de France dans les murs de Dijon alors que, par-delà les Alpes, se fait entendre le bruit des guerres d’Italie.
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Notre capacité à nier le danger devient spectaculaire
De Paul-Marie Coûteaux dans La Nef :
Quiconque s’est un jour penché sur l’Histoire ne peut qu’être frappé par la capacité des hommes à s’aveugler devant les dangers collectifs qui les menacent, et les plus immédiats. On pense à l’espèce d’obstination avec laquelle les Français (et les Anglais) refusèrent de voir, au long des années trente, la montée du péril allemand – péril pourtant annoncé dès les premières victoires d’Hitler (près de 38 % aux élections de juillet 1932), et d’autant plus évident que son effrayant programme Mein Kampf avait été publié en 1925. Rares furent ceux qui s’alarmèrent – l’Action française dès 1930, ou le futur Pie XII qui, bien en vain, écrivait en 1929 : « C’est un homme à enjamber des cadavres et à fouler aux pieds tout ce qui est en travers de son chemin. » L’aveuglement des Européens fut si constant que, en 1939 encore, alors qu’Hitler violait les accords de Munich signés six mois plus tôt en envahissant la Bohême et la Moravie, le Premier britannique, Neville Chamberlain, répugnant à s’entendre avec Staline, n’accepta son offre d’alliance qu’après des mois de tergiversations, envoyant des plénipotentiaires par le bateau le plus lent qu’il avait trouvé : en août, las d’attendre, Staline finit par accepter l’offre d’alliance de Ribbentrop et signa le traité qui ouvrit à Hitler l’invasion de la Pologne, plongeant l’Europe dans les ténèbres que l’on sait.
Aveuglements
Ces aveuglements sont fréquents dans l’Histoire : les Français du XVIIIe siècle dénigrèrent le « renversement d’alliance » au profit de l’Autriche contre l’empire prussien naissant (ce fut l’une des causes de la Révolution, et de l’impopularité de « l’Autrichienne »), mais la suite prouva que c’était bien la Prusse qui était dangereuse. De même, quand Caton l’Ancien, effrayé par la prospérité de Carthage, achevait tous ses discours par le fameux « Delenda est Carthago », on raillait son entêtement de vieillard, alors même que la cité punique violait les traités de paix et attaquait Massinissa. Et qui ne se souvient des arguties des Byzantins qui, assiégés par les Turcs, n’en poursuivaient pas moins les querelles théologiques qui les séparaient sans cesse davantage de Rome et des royaumes d’Occident, seuls capables de les défendre ? « Discussions byzantines » : on en fit un proverbe, il ne servit d’aucune leçon. Comme me le dit un jour un de mes maîtres de jeunesse, Jacques Ellul : « Au début, les peuples commencent par aimer leurs envahisseurs ; quand ils se réveillent, il est souvent trop tard. » Bien des Français aimaient l’Allemagne, comme ils aimèrent, derrière leurs « philosophes », la jeune Prusse, les Romains la magnifique Carthage, comme les Byzantins, avant qu’ils ne la renversent, avaient conclu de multiples accords avec les Turcs…
De même aujourd’hui, on ne veut pas voir avec quelle constance, l’islamisme fait la guerre aux chrétiens dans le monde entier […] Notre capacité à nier le danger devient spectaculaire : la chute de l’État islamique est fréquemment mise en relation avec la diminution des attentats pour conclure fièrement que la menace islamique régresse. C’est méconnaître (mais comment les connaître, quand tout est caché ?) les énormes progrès que font dans le monde entier les réseaux islamistes, dont les effectifs auraient au mieux triplé depuis deux ans, dont les « trésors de guerre » (reconvertis souvent en placements boursiers) deviennent si imposants qu’ils constituent l’une des plus grandes puissances financières du monde, dont les réserves en armes de plus en plus lourdes, des massifs d’Afghanistan aux forêts d’Afrique centrale, ne cessent de croître : méconnaître en un mot que le péril, loin d’être écarté parce que les stratégies changent, est plus grave d’année en année.
Il y a pire : notre refus collectif de voir et nommer le danger fait commettre aux dirigeants des pays de civilisation chrétienne des erreurs stratégiques stupéfiantes : oui, la France, sur ordre de MM. Sarkozy et Juppé, puis Hollande et Fabius, a bel et bien fourni des armes à des « rebelles syriens » qui étaient en réalité des conscrits du djihad ; oui l’UE continue à accorder à la Turquie de substantiels « crédits de pré-adhésion », les négociations d’adhésion n’étant toujours pas suspendues malgré les innombrables provocations d’Erdogan qui vient d’obtenir que l’Allemagne naturalise les familles polygames et invoque ouvertement la grandeur de l’Empire ottoman, lequel soumit pourtant une partie de l’Europe à un joug atroce. Oui, M. Trump se trompe d’adversaire en choisissant pour ennemi prioritaire et obsessionnel l’Iran, alors que les foyers islamistes sont en Turquie et dans les pays du Golfe, avec lesquels nous entretenons les meilleurs rapports, ses menaces de déclencher l’apocalypse sur l’ancienne Perse ne faisant que jeter de l’huile sur le feu islamiste. À moins que ce ne soit son but…
https://www.lesalonbeige.fr/notre-capacite-a-nier-le-danger-devient-spectaculaire/
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Le chanteur Christoff BZH va bientôt sortir un nouvel album CD
Christoff, guitariste et chanteur politiquement incorrect qui avait donné un concert lors de la 11e journée de Synthèse nationale en octobre 2017, a annoncé aujourd’hui qu’il donnait une suite à son premier album l’armée du silence, un album professionnel et sans concession que nous conseillons à tous nos lecteurs. Cet album s’intitulera au crépuscule des braves.
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Pour le découvrir, voici un de ses clips :
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Ils ont fait et défait le Second Empire
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SAMEDI 12 ET DIMANCHE 13 OCTOBRE 2019, À RUNGIS : 13e JOURNÉES DE SYNTHÈSE NATIONALE
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Revue de presse : À l'automne 1944, Français et troupes américaines au bord de l'affrontement
Source Le Point cliquez ici
Trois mois après le jour J, les Normands n'en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.
Jean-Pierre Beuve, correspondant du Point à Caen
« Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C'est une véritable terreur qui sème l'épouvante. L'exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».
À l'automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ?
Une fois libérés, la presqu'île du Cotentin et son port sont devenus une gigantesque base logistique. Sur les quais, un millier d'officiers et marins américains assurent, avec les dockers français, le débarquement quotidien de 10 000 tonnes de véhicules, munitions, nourriture. Le 29 septembre 1944, 1 318 camions GMC en partance de Cherbourg acheminent vers les troupes alliées du front 8 000 tonnes de matériel. Sur les premiers kilomètres de la « Red Ball Highway Express », la route du front, défilent hôpitaux, dépôts, aérodromes, camps de repos, chaînes de réparation pour tanks et camions.
Les entrepôts du Cotentin mobilisent des militaires en nombre : les 430 000 habitants du département de la Manche cohabitent avec 120 000 soldats américains, dont 50 000 Afro-Américains. D'emblée, la cohabitation, qui s'est prolongée jusqu'en 1946, ne s'annonce pas facile : « L'enthousiasme des Normands pour les forces anglo-américaines risque de s'inverser proportionnellement à la durée de notre séjour en Normandie », prévient dès l'été 1944 la 1re armée américaine.
Auteur du livre La Normandie américaine, fruit de nombreux témoignages et d'archives dépouillés aux États-Unis, l'historien Stéphane Lamache, 52 ans, met en relief le choc entre le Nouveau Monde et la vieille Europe : « D'un côté, de jeunes Américains très sûrs d'eux-mêmes, dotés en masse de matériels modernes tant en véhicules qu'en moyens de transmissions déjà miniaturisés. Une Amérique au top de son histoire. En face, des familles normandes évoquant Maupassant avec paysans en sabots, maisons au sol en terre battue et chevaux tirant des charrues. Après quatre ans d'occupation et le choc des bombardements, les Normands ont perdu leurs repères. »
La Libération a été payée au prix du sang et des destructions massives dans la Manche, 4 000 morts civils, le double de blessés, 10 000 maisons rasées, 50 000 autres endommagées, 130 000 sinistrés qui n'ont plus rien. « Après ce cataclysme, les Normands n'aspirent qu'à être débarrassés de la guerre. Les Américains visent la victoire finale sans plus se préoccuper des états d'âme des habitants », note Stéphane Lamache. Les graines du divorce sont semées.
Les premières blessures relèvent de l'amour-propre. Les GI, qui organisent des bals sous tente avec plancher, mettent en place des tournées en GMC pour amener les jeunes femmes sous leurs guinguettes. Mais pas ou peu de place pour les jeunes Normands. Le stade de Cherbourg devient un enjeu. Au terme de quatre mois de négociations, les mardi et jeudi sont réservés aux footballeurs cherbourgeois. Un mardi de mai 1945, une violente bagarre éclate entre joueurs de base-ball américains, campant sur place, et footballeurs qui réclament les lieux. La Presse cherbourgeoise compare les libérateurs avec les occupants précédents : « On ne peut pas dire que les relations [avec les Allemands] étaient cordiales mais elles furent correctes. »
À la rentrée scolaire 1945, l'état-major allié (le Shaef pour Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force) annonce vouloir maintenir dans plusieurs écoles des détachements de la Military Police, qui y sont installés depuis la Libération : « Maintenant que nous sommes en paix, nous ne pouvons pas tolérer que les militaires aient le pas sur la population civile », tonne le maire de Cherbourg, René Schmitt.
Accidents et agressions
Suivent les querelles financières et matérielles. Fin août 1944, les Américains emploient 7 000 travailleurs civils pour 75 francs par jour et une ration militaire. « Avec 100 francs, les Allemands payaient mieux » constatent les ouvriers. L'Organisation Todt, chargée de construire le mur de l'Atlantique, n'avait pas lésiné sur les moyens. Rapidement, les Français seront remplacés par des prisonniers de guerre allemands…
Les stocks américains suscitent des convoitises. Trop. Le 6 août 1944, treize dockers sont arrêtés pour le vol de 984 paquets de cigarettes et 188 savonnettes. Sanction : de quinze jours à un mois de prison. Dérober un jerrycan d'essence vaut quatre mois de prison. Le marché noir de l'Occupation continue : « On peut faire fortune aux dépens des Américains », souligne Stéphane Lamache.
Ces multiples agaceries réciproques auraient pu rester sans conséquence sans les bruyantes rafales tirées en l'air par des soldats ivres, mais surtout les morts accidentelles. Bien que les routes militaires soient interdites aux civils, on ne compte plus les victimes des camions américains : un enfant de 8 ans tué le 27 août 1944, une mère de famille le 11 septembre, un cycliste le 30 septembre, pour ne citer qu'eux. Autant d'accidents soigneusement rapportés par La Presse cherbourgeoise plus discrète à propos des violences et agressions par les troupes américaines. Du moins jusqu'à son « très sérieux avertissement » du 17 octobre 1944 sur les pillages, viols et assassinats. Le général français, Alphonse Juin, transmet l'article au général Eisenhower avec ce commentaire : « C'est le sentiment de tous les habitants de la Manche et de la Normandie au contact des Américains. » Mais il n'y aura pas de grand déballage.
Ségrégation
Les autorités américaines se disent « émues des crimes dont se rendent coupables les militaires de couleur (sic) » et répliquent dans le même journal en déclarant la « guerre à l'alcool pour enrayer la criminalité ». Une façon aussi de dénoncer le comportement mercantile des Normands qui vendent de l'eau-de-vie et l'inefficacité des pouvoirs publics français. Premières mesures : le couvre-feu est ramené à 22 heures puis 18 heures ; la vente d'alcool aux soldats est interdite. Un café de Carentan qui enfreint l'interdiction est fermé six mois.
En réponse aux exactions touchant les femmes, la justice militaire américaine frappe fort : le 23 novembre, trois GI sont condamnés à mort pour le viol de deux victimes en juillet 1944, près de Cherbourg. En août sont recensés dix-huit viols. Selon la gendarmerie, on en dénombre trente-cinq en septembre et sept en octobre. Dans les campagnes, plus aucune femme ne veut aller traire les vaches seule le soir dans les champs.
Auteur de Les Manchois dans la tourmente 1939-1945, l'historien Michel Boivin a recensé 206 viols d'origine américaine. Selon la Military Police, « 80 à 85 % des crimes graves (viol, meurtre) ont été commis par des troupes de couleur ». L'armée américaine des années 1940 est, à l'image du pays, ségrégationniste. À Cherbourg, on compte deux foyers de la Croix-Rouge : un pour les soldats blancs, un pour les noirs. Dans sa recherche de criminels, la police militaire s'est-elle montrée plus compréhensive pour les premiers que pour les seconds ? Les soldats de couleur cantonnés à la logistique ont stationné de longs mois dans le Cotentin, territoire étroit, alors que les combattants n'y ont que transité. La gendarmerie locale avait recommandé l'ouverture de maisons closes, les autorités américaines s'y sont opposées.
Les alliés de 1944 s'apprêtent à fêter le 75e anniversaire du Débarquement et ses scènes d'allégresse. Ne serait-il pas temps d'évoquer des épisodes plus sombres ?
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PARUTION PROCHAINE DU N°51 (PRINTEMPS 2019) DE LA REVUE "SYNTHÈSE NATIONALE"
Sortie le 5 juin 2019
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N°51, PRINTEMPS 2019
ÉDITORIAL Roland Hélie cliquez ici
LE POUVOIR DU VIDE Patrick Parment
LA FRANCE EN MARCHE VERS UNE DICTATURE NÉO-CONSERVATRICE Arnaud Raffard de Brienne
MACRON AUX ORDRES DU CRIF Basile Tomé
MOBILISATION POUR LE BASTION SOCIAL Roland Hélie
RETOUR DE L’HOMOPHOBIE Philippe Randa
DU FIASCO AU CHAOS Pieter Kerstens
QUELLE EUROPE ? Patrick Parment
L’EUROPE DU DR MERLIN Docteur Merlin
L’OTAN CONTRE LES PEUPLES Lucien cerise
L’EUROPE ET L’AFRIQUE Rencontre avec Kakou Ernest Tigori
RENCONTRE AVEC JEAN RASPAIL Recueilli par Clotaire de La Rue et Klara Von Kustniz
LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
BILAL OU LES BRIGANDES Thierry Decruzy
GUILLAUME FAYE VISIONNAIRE Jean-Claude Rolinat
QUI EST DONC ALPHONSE DE CHATEAUBRIANT ? Aristide Leucate
LIVRES ET AUTEURS Georges Feltin-Tracol et Daniel Cologne
LES EXPOS VISITÉES PAR Scipion de Salm
LA CHRONIQUE DE CHE Charles-Henri d’Elloy
THEUZ ET LA RECONQUÊTE CULTURELLE
LA VIE DE L’ASSOCIATION SYNTHÈSE NATIONALE Guirec Sèvres
110 pages, 12 euros (+ 5 euros de port)