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culture et histoire - Page 824

  • Mondialisation et Monarchie française. Partie 1 : La France face à la mondialisation contemporaine.

    Dans ce débat permanent que j'entretiens avec nombre de lecteurs, d'amis ou de curieux de la chose publique, sur la Monarchie et ses possibilités, ses caractères et ses limites, de nombreuses questions tournent autour du rapport à la mondialisation, comme celle d'un de mes jeunes interlocuteurs, Rony D., qui m'interroge : « Comment la monarchie, et particulièrement aujourd'hui où la mondialisation tend à confondre les cultures, peut-elle être crédible ? ». La question n'est pas inutile, loin de là, car la mondialisation apparaît désormais comme notre cadre de vie, influençant nos comportements économiques et de consommation, et, au-delà, nos manières de sentir, de penser et, donc, d'agir. Il semble difficile de lui échapper ou, du moins, de ne pas être affectée par elle, d'une manière ou d'une autre, surtout en ces temps de communication rapide et de connections électroniques multiples...

    La mondialisation n'est pas neutre et ne l'a jamais été, et sans doute est-ce encore plus vrai dans le domaine dit culturel (métapolitique, diraient certains) que dans tous les autres : le fait de disposer d'un savoir, non pas universel mais mondialisé, en quelques clics sur un ordinateur ou un téléphone, semble « aplatir » la planète et nous relier à tous ses points, sinon à tous ses coins... La publicité, d'ailleurs, reproduit ce « monde » imposé en niant les frontières culturelles ou en les folklorisant, ce qui est, en fait, une forme de muséification et non de valorisation de celles-ci : la culture mondialisée est le dépassement de toutes les cultures collectives enracinées, au nom d'un multiculturalisme qui, en définitive, est le désarmement des cultures réelles. Culture mondialisée contre cultures enracinées d'un lieu et d'un peuple ou d'une communauté, pourrait-on résumer : les tristes prédictions de Claude Lévi-Strauss, qui annonçait ce processus et cette finalité de ce que l'on pouvait encore qualifier « d'occidentalisation » dans la seconde moitié du vingtième siècle, se réalisent par et dans la mondialisation contemporaine. Est-ce si étonnant quand on se rappelle que l'histoire du monde n'est souvent rien d'autre que le rapport de forces permanent, qui laisse peu de place aux faibles ou aux perdants, et engage leur processus d'évanouissement ou de dissolution (voire d'extermination) dans le « monde gagnant », qu'il soit empire ou « gouvernance » : « Vae victis ! », proclamait Brennos au jour de sa conquête (temporaire) de Rome, et sa formule vengeresse résonnera longtemps aux oreilles des habitants de la cité de Romulus, et, quand lui s'en contentera, les Romains engageront un véritable combat culturel pour accompagner leurs propres conquêtes, et ce sera la romanisation, ancêtre de la mondialisation... Et les Celtes y perdront leurs habitudes, leurs traditions, mais aussi leur indépendance première et leur civilisation s'effacera, sauf en quelques marges et recoins de l'empire.

    Dans ce processus de mondialisation, ou face à lui, que peut la France, et que pourrait la Monarchie ? S'interroger sur cela ne signifie pas nier ce qui est, mais plutôt chercher à le comprendre, pour s'en défendre ou pour y répondre, c'est-à-dire rester maître de sa propre lecture du monde et de son action intellectuelle ou diplomatique sur ce dernier : « Le monde a besoin de la France », s'exclamait Georges Bernanos. Il ne s'agit pas d'un repli sur soi, d'un isolement qui, pour splendide que certains le verraient, serait, en définitive, mortel pour ce qu'il s'agit de préserver et de transmettre, mais d'une affirmation de soi, de l'exercice de la « liberté d'être » qui est d'abord un pouvoir, la possibilité d'être soi-même et de tracer son propre chemin dans l'histoire, ce qui donne une « raison de vivre » à notre pays, au-delà même de ses conditions économiques d'existence.

    Pour cela, la France a de nombreux atouts, qu'ils soient économiques, culturels, diplomatiques, politiques, géopolitiques, mais elle semble parfois incapable de les valoriser, y compris aux yeux et aux cœurs de ses natifs ou de ceux qui l'ont rejointe en ces dernières décennies. Et pourtant ! La France est une puissance moyenne, mais une puissance quand même, une puissance qui, par sa taille même, peut jouer un rôle de médiation entre les puissances impériales et les nations de moindre envergure, voire les petits pays ou les communautés sans État. Tenir son rang, c'est ne pas céder à la tentation impériale qui fut celle de Napoléon et de la Troisième République (sous des formes différentes selon le cas évoqué), ni au tropisme de l'empire des autres : de Gaulle, dans la lignée des Capétiens, a rappelé ce que pouvait être une politique française d'indépendance, en écoutant les uns et les autres sans forcément leur céder. Si Kennedy en conçut quelque dépit, son concurrent Nixon (malgré tous ses défauts) comprit alors ce qu'était la France « historiquement libre », et il la respecta beaucoup plus que nombre de ses successeurs..

    Or, pour tenir sa place dans le concert des nations, la France se doit d'être elle-même et d'avoir la volonté de sa liberté, mais aussi d'enraciner sa politique dans la durée et la mémoire, ce que, mieux qu'une République présidentielle ou parlementaire, peut faire et assumer une Monarchie royale qui ne détient pas son pouvoir ni sa légitimité d'un « vote de fracture » d'une majorité contre une minorité : par essence, la Monarchie royale, « non élue », n'est pas d'un camp contre l'autre, elle est au-dessus de la mêlée politique sans pour autant être indifférente ou insignifiante. En somme, elle est arbitrale, et, comme l'arbitre d'une rencontre de balle-au-pied, elle suit la partie mais ne la joue pas, se contentant de « distinguer » entre des points de vue qui peuvent être, pour de multiples raisons, divergents, et de décider de valider ou non telle ou telle option de grande politique, par sa signature ou son « conseil »

    (à suivre : La Monarchie et la nation-famille France ; Monarchie et culture mondialisée ; etc.)

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1501:mondialisation-et-monarchie-francaise-partie-1-la-france-face-a-la-mondialisation-contemporaine&catid=52:2018&Itemid=63

  • Chaque peuple porte une tradition…

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    Chaque peuple porte une tradition, un royaume intérieur, un murmure des temps anciens et du futur. La tradition est ce qui persévère et traverse le temps, ce qui reste immuable et qui toujours peut renaître en dépit des contours mouvants, des signes de reflux et de déclin.

    Réponse naturelle au nihilisme, la tradition ne postule pas le retour à un passé mort. Elle ne plaide pas pour les quenouilles ou les calèches. Elle ne postule pas une théorie politique ou sociale. Elle est ce qui donne un sens à la vie et l’oriente. Elle porte en elle la conscience du supérieur et de l’inférieur, du spirituel et du matériel.

    La tradition pérenne d’un peuple ne se confond pas avec les traditions, même si les coutumes portent parfois une part de l’authentique tradition. Celle-ci est l’expression la plus haute et quasi « divine » d’une grande communauté charnelle et historique. Elle est son être éternel. Elle lui donne ses principes, ses vérités permanentes, capables de traverser les fluctuations temporelles.

    Elle plonge dans l’histoire, mais elle est au-delà et en deçà. Elle n’est pas antérieure par la chronologie. Le primordial n’est pas le primitif. Il s’appréhende dans la durée. La tradition est une strate profonde, une assise spirituelle, un cadeau des dieux. Pas plus que le langage, elle n’est une création volontaire.

    Sans que nous le sachions, elle continue de vivre en nous. Comme un leitmotiv musical, elle est le thème conducteur. Elle est fondatrice. Elle est ce qu’il y a de plus ancien et de plus proche. Elle est la traduction d’une façon unique d’être des hommes et des femmes devant la vie, la mort, l’amour, le destin. Elle porte les principes qui transcendent la vie, les pensées et les actes.

    Dominique Venner

    Texte repris de dominiquevenner.fr

    https://fr.novopress.info/

  • Porter le destin collectif de la nation au-delà des droits et obligations des individus

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    Ligne Droite cliquez ici

    Contrairement à ce qu’on peut penser, la politique ne consiste pas à s’occuper prioritairement de la vie quotidienne des gens, à définir les avantages qu’on se propose de leur accorder et les obligations qu’on prévoit de leur imposer. Car la politique au sens noble du terme ne porte pas d’abord sur le sort des individus mais sur le destin de la communauté qu’ils forment. Aussi Ligne droite estime-t-elle essentiel de remettre la communauté nationale au cœur de la vie politique, qu’il s’agisse du comportement des dirigeants, des objectifs qu’ils poursuivent, des règles qu’ils appliquent à leur action ou de la vision qu’ils doivent porter.

    Des débats politiques tirés vers le bas par les médias

    Il est vrai qu’aujourd’hui l’image des membres de la classe politique étant de plus en plus dégradée par les affaires de corruption qui les frappent et par leur impuissance à résoudre les problèmes, beaucoup d’électeurs ramènent spontanément le débat public au rang trivial d’un échange de services teinté d’envie et de rancœur : « Une fois élu, vous vous servirez, alors si je vote pour vous, à quoi me servirez-vous ?»

    Quant aux médias, qui prétendent se faire les interprètes des électeurs et croient le faire en ramenant tout à des considérations pratiques, ils n’ont cessé de tirer les débats vers le bas. « Concrètement, que proposez-vous à ce monsieur ? » demandent-ils souvent en désignant sur leur plateau un invité quadragénaire qui vient de perdre son emploi à la suite d’une opération de délocalisation. La réalité est que l’homme politique interrogé ne peut rien faire qui change radicalement la situation de son interlocuteur. En revanche, s’il est au pouvoir, il peut s’opposer au libre-échangisme sauvage et instaurer une régulation des échanges commerciaux qui mettrait un terme aux délocalisations et au chômage de masse. En clair, il ne peut rien faire pour l’individu, mais il peut agir sur l’organisation de la société pour qu’elle assure un cadre qui lui soit plus profitable.

    La communauté nationale, une réalité dont les Français et leurs dirigeants doivent reprendre conscience

    Aujourd’hui, tout le monde paraît cependant avoir perdu de vue cette réalité essentielle. Les politiques, comme nos concitoyens, considèrent leur appartenance à la communauté nationale comme une donnée accessoire purement administrative et la plupart des Français vivent au sein de la nation un peu comme des locataires dans leur résidence immobilière. Aussi Ligne droite estime-t-elle primordial que nos compatriotes et leurs dirigeants se préoccupent à nouveau de la communauté qu’ils forment. Il est temps qu’ils reprennent conscience que la nation vient de loin et continuera après eux. Elle est porteuse de valeurs exceptionnelles qui transcendent le temps présent de même qu’elle existe à travers un patrimoine d’une grande richesse hérité de nos ancêtres. Si la France a une existence propre, elle doit continuer à tracer le chemin qui est le sien et c’est à cet impératif que les politiques doivent se consacrer prioritairement.

    Faire vivre la communauté nationale et celle de notre civilisation

    Afin de redonner corps à cette réalité, il faut que le comportement des responsables du pouvoir et tout particulièrement du président de la République soit à la hauteur de la mission qui est la leur d’incarner la communauté. La réserve, la hauteur de vue, la distance, devraient être de rigueur. De même que leurs paroles et leurs actions devraient amener les Français à s’intéresser, au-delà de leurs problèmes quotidiens, à la vie de la nation et de la civilisation auxquelles ils appartiennent. Pour cela, les manifestations publiques, les commémorations symboliques, les fêtes nationales, les discours et les inaugurations devraient être conçus comme des moments de communion collective permettant aux Français de se retrouver autour de leur même appartenance. L’art et l’architecture devraient aussi être mis à contribution pour inscrire la pérennité de la nation dans des œuvres capables de traverser les siècles à l’image de ce qu’ont fait nos prédécesseurs.

    Poursuivre des objectifs au service de la nation et non des individus

    Au-delà de cette dimension affective, ce sont par ailleurs les objectifs de l’action gouvernementale qui doivent être consacrés à la nation et à sa civilisation plus qu’à leurs membres. C’est en effet à ce niveau que les problèmes peuvent trouver des solutions, comme le montre l’exemple du chômeur victime des délocalisations. Vouloir améliorer la situation des Français par des mesures qui les visent directement revient à soigner les symptômes. Si l’on veut s’attaquer aux causes, ce sont des actions portant sur la nation qu’il faut entreprendre.

    Utiliser les règles qui régissent les nations et non celles qui concernent les individus

    Il convient ensuite de prendre conscience que les règles qui s’appliquent au niveau collectif ne sont pas les mêmes que celles qui prévalent à l’échelon individuel. Ainsi, en est-il par exemple de l’immigration. Vu sous l’angle des personnes, il peut paraître légitime au nom de la solidarité humaine d’être accueillant. Quel honnête homme au demeurant refuserait de venir en aide à une personne en difficulté fût-elle étrangère ? Pour autant, sous l’angle national, l’immigration constitue une menace à laquelle il faut faire face car, pour préserver la nation et assurer sa pérennité, il est essentiel de sauvegarder son identité et son intégrité et donc de stopper toute nouvelle immigration. Il y a les droits et les libertés des personnes mais il y a aussi les droits et les libertés des nations et des civilisations qui sont d’un autre ordre et qui doivent s’imposer à ceux qui gouvernent.

    Porter une vision pour notre nation et notre civilisation

    Les dirigeants du pays et plus particulièrement le chef de l’État doivent aussi être porteurs d’une vision pour la nation. Ce dernier doit ainsi expliciter à quel avenir elle peut prétendre et quel projet elle poursuit dans le monde d’aujourd’hui. La droite nouvelle est à cet égard porteuse d’une telle vision. Dans le monde multipolaire, face au choc des civilisations, elle propose d’ériger l’Europe en un pôle de puissance qui lui permette de se protéger à la fois de l’ultralibéralisme économique et du mondialisme migratoire et qui lui rende indépendance et souveraineté.

    Pour Ligne droite, c’est ce projet qui peut redonner sa place à la dimension communautaire de la politique. En rétablissant ainsi la réalité de notre existence collective, la droite nouvelle permettra à la France de retrouver une place et un rôle de tout premier plan et de nourrir de grandes ambitions dont les effets bénéfiques rejailliront sur tous les Français.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • SOUÂD AYADA RÉVISE LES PROGRAMMES SCOLAIRES ABERRANTS DE NAJAT VALLAUD-BELKACEM

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    Il faut lire, sur lepoint.fr du 30 juin, l’entretien de Souâd Ayada, inspectrice générale de philosophie, nommée par Jean-Michel Blanquer, en novembre 2017, présidente du Conseil supérieur des programmes (CSP) pour remplacer Michel Lussault, démissionnaire. C’est réconfortant : on a le sentiment que l’instruction publique peut, sinon renaître de ses cendres, du moins se libérer des préjugés où la démagogie et l’idéologie l’ont, depuis des décennies, enfermée.

    Elle vient de remettre au ministre un « projet d’ajustement et de clarification des programmes de français, de mathématiques et de l’enseignement moral et civique » : un régal ! Et pourtant, rien d’extraordinaire. Simplement la voix du bon sens : c’est déjà beaucoup ! Je sais bien que le bon sens est accusé d’être réactionnaire, mais Souâd Ayada n’y voit aucun conservatisme :

    « Le bon sens n’est pas méprisable, surtout quand il n’a qu’un seul but : assurer à chaque élève une instruction élémentaire qui rend possible sa vie sociale.  »

    Aux idéologues qui estiment que « [les élèves] peuvent négocier l’orthographe, la grammaire », elle répond qu’« il faut maîtriser la grammaire pour se sentir libre dans l’usage de la langue », apprendre le passé simple, replacer les accents circonflexes qui s’expliquent par l’étymologie, valoriser l’orthographe et la dictée quotidienne. Contrairement aux pédagogistes qui ont si longtemps sévi – et sévissent encore –, elle ne souscrit pas à l’idée que « l’élève construit ses savoirs » : c’est le maître qui instruit et permet à l’élève, quel que soit son milieu social et culturel, de s’émanciper.

    Arrivée du Maroc à l’âge de quatre ans, elle sait que l’école est un outil de promotion sociale. Elle dénonce la « condescendance », le « cynisme », le « mépris de classe » de ceux qui justifient de moindres exigences au nom d’une fausse conception de l’égalité, ce qui revient à dire aux élèves des milieux les plus modestes :

    « Puisque vous n’êtes pas capables d’accéder à toutes les subtilités de la langue, nous décidons, parce que vous êtes étrangers, parce que vous êtes pauvres, de ne pas vous les enseigner ! »

    Au lieu de promouvoir, une telle école « renvoie les élèves à leur milieu ».

    Souâd Ayada a l’élégance de ne pas accabler les concepteurs des programmes de 2015, qui avaient suscité tant de polémiques, où les formules absconses ne manquaient pas : « verbalisation des inférences »« réalisations langagières » ou encore le fameux « prédicat ». Elle se contente de rappeler que les élèves sont des « usagers de la langue, non des linguistes » et qu’il ne faut pas introduire dans l’enseignement scolaire les recherches et querelles universitaires. Bref, la pédagogie, c’est l’art de mettre le savoir à la portée des élèves.

    Encore faut-il que toutes ces bonnes intentions puissent être mises en œuvre. Car ils sont nombreux et bien implantés dans l’Éducation nationale, dans les écoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE), dans certains syndicats et jusqu’au sein de l’Union européenne, ces idéologues pour qui les élèves sont des apprenants et les professeurs, non des transmetteurs du savoir, mais des fournisseurs de compétences, s’adaptant aux besoins du marché.

    La philosophie de Souâd Ayada est résolument conservatrice, au sens positif du terme. Comme Jean-Pierre Chevènement, l’un des rares ministres qui dénonçât les pédagogies constructivistes – les ministres de droite s’en sont accommodés ou les ont accompagnées –, elle se veut un « conservateur du progrès ». Nul doute que son chemin sera semé de chausse-trapes tendues par tous ces parasites, illuminés ou idéologues, qui vivent aux crochets de l’Éducation nationale, c’est-à-dire des contribuables, et finissent par en pourrir les fondements.

    http://www.bvoltaire.fr/souad-ayada-revise-les-programmes-scolaires-aberrants-de-najat-vallaud-belkacem/

  • Parution prochaine du Guide sulfureux du Paris "réac et facho"...

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    380 pages, des centaines d'adresses

    et de nombreuses illustrations

    27 € + 4 € de port

    Voici une histoire des rues de Paris qu’une France en proie aux Droits de l’homme aimerait en grande partie effacer. On est d’abord partie à la recherche des lieux de résidence des écrivains que nous aimons, pas seulement de droite, et dont certains, pas les moins talentueux d’ailleurs, furent ce que l’on appelle des « collabos » alors qu’ils cherchaient une issue à une France démocratique qui s’enfonçait – et s’enfonce toujours -, dans la décadence. Dans un deuxième temps, on s’est penché sur ces lieux emblématiques occupés par les Allemands durant l’Occupation – et ils ont eu la main lourde -, dont beaucoup sont toujours le témoignage d’une grandeur passée.

    On ne pouvait pas non plus passer à côté des hauts lieux de cette Révolution dont se gargarisent nos intellos de gauche dont une guillotine aveugle est venue alimenter de trop nombreux charniers, transformés dans le meilleur des cas en cimetières. Leur France des Lumières sent passablement le roussi.

    Enfin Paris est un livre d’architecture passionnant. On a noté quelques ouvrages remarquables. Car il n’est pas sûr que les chapitres d’aujourd’hui et à venir témoignent de la même grandeur que ceux d’hier.

    On n’a pas oublié les hauts lieux – mais c’est loin d’être exhaustif -  de tous ces militants dits d’extrême-droite qui s’obstinent à transmettre le flambeau, de génération en génération, d’une France patriote qui plante ses racines en Grèce dans le doux murmure de l’Iliade et l’Odyssée.

    L'auteur : Patrick Parment

    Editorialiste aux éditions Atlas, a commencé sa carrière de journaliste avec la création du Figaro Magazine ; rédacteur en chef du supplément de l’hebdomadaire Femme d’Aujourd’hui ; chef du service politique de Votre dimanche ; rédacteur en chef d’une lettre numérique hebdomadaire, Le Journal du chaos, collaborateur régulier à Synthèse nationale.  

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  • Lisez « L’Héritage », « revue d’études nationales »

    Heritage13-250.jpgNous ne pouvons que vivement vous recommander la lecture de l’excellente revue d’idées L’Héritage. C‘est un excellent outil de formation et d’analyse (32 pages A4 pour 4 € seulement). Les revues d’idées, dissidentes et nationales, qui vont au fond des choses, sont rares, surtout si elles restent accessibles.

    Vous trouverez notamment :

    • une analyse sans tabou de la « question ethnique », nuancée et avec des informations utiles

    • une riche étude sur « René Guénon et la franc-maçonnerie », par Karl Van Der Eyken (ancien Vénérable d’une loge guénonienne)

    • la suite de l’initiation à la philosophie avec cette fois une « introduction à la logique »

    • un article vigoureux d’Alain Pascal sur l’historicité des Évangiles (commentaire sur l’enquête sur le Jésus historique de R. Hutchinson)

    • des recensions On peut l’acheter en ligne sur le site de la revue ou chez la Librairie française, et dans les bonnes boutiques.

    A lire et à diffuser autour de soi ! 

  • Passé Présent n°201 – Ils ont tué le tsar : Les bourreaux racontent

    – Le mystérieux voyage de La Pérouse, à l’occasion du nouveau spectacle éponyme au Puy du Fou.
    – Nicolas Ross présente son ouvrage “Ils ont tué le tsar… : Les bourreaux racontent” à l’occasion des 100 ans de l’assassinat de Nicolas II et de sa famille.