culture et histoire - Page 823
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Cette année là n°4 : 2008, "Aristote au Mont Saint-Michel"
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Perles de culture n°174 : Pablo Picasso et l’imposture de Guernica ?
Anne reçoit Maître Jacques Trémolet de Villers qui présente son livre « En terrasse avec Cicéron », terrasse se situant à Vivario, en Corse. Une remarquable conversation sur la mort et la vieillesse, le bonheur et la souffrance.
C’est ensuite Françoise Monestier qui dresse un portrait sans concession de Pablo Picasso. -
LES GRECS & LA MER DANS L’ANTIQUITÉ | 2000 ANS D’HISTOIRE | FRANCE INTER
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Camp Maxime Real del Sarte 2018, Université d’Été d'Action française, du 19 au 26 août
150 nuances de Maurras ...
Des repères pour le XXIe siècle.
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L’identité avant la souveraineté
Analyse de Ligne Droite :
"Comme le faisait remarquer le grand dissident soviétique Alexandre Soljenitsyne, il est plus grave pour un peuple de perdre son identité que sa souveraineté : la souveraineté étant de nature politique, on peut toujours la recouvrer un jour, comme le montrent la Russie et les pays de l’ex-pacte de Varsovie. En revanche, si un peuple perd son identité, il disparaît tout simplement. Aussi, pour Ligne droite, l’impératif d’identité doit-il passer avant celui de souveraineté. Et la droite nouvelle doit se positionner clairement, non comme souverainiste, mais comme défenseur de notre identité.
Notre identité en péril
Car aujourd’hui notre identité, tant française qu’européenne, est gravement et mortellement menacée. Elle est menacée par l’immigration de peuplement qui provoque une substitution de population en Europe occidentale, accentuée par l’effondrement de la natalité autochtone et par la propagande du Système en faveur du métissage et de la « diversité ». Si les tendances démographiques actuelles se poursuivent, d’ici une vingtaine d’années les Européens deviendront minoritaires dans un nombre croissant de leurs villes.
Elle est aussi menacée par le développement de l’islamisation, conséquence de l’immigration. Car l’islam est une religion prosélyte qui contredit les valeurs de notre civilisation et qui s’impose de plus en plus dans l’espace public. Alors même que les prétendus « laïcs » ravivent une attitude intolérante vis-à-vis du catholicisme.
Notre identité européenne est également menacée au plan culturel par l’américanisme, véhiculé par la publicité et les grandes entreprises mondialisées, ainsi que par le système médiatique. Au surplus, le politiquement correct diabolise de plus en plus notre identité comme notre histoire. Il somme les Européens de se repentir de tous les crimes possibles, y compris celui de vouloir, comme les autres peuples, préserver leur identité, de même qu’il somme les Européens de se plier aux mœurs et aux usages des allogènes. Il véhicule le nihilisme et la haine de soi.
Le souverainisme, séduisant mais trompeur
Dans ce contexte, une partie de l’opinion européenne est aujourd’hui tentée par le discours et les solutions souverainistes, qui proposent notamment de s’abstraire de l’Union européenne. Cela s’est déjà traduit par le vote britannique en faveur du Brexit, par la progression des revendications régionalistes indépendantistes (la Catalogne, l’Écosse ou la Corse) et, d’une façon générale, par le vote en faveur des candidats souverainistes. En France, le thème de la sortie de l’euro, qui a notamment été porté par le Front national, se rattache aussi à cette idéologie. Mais si le discours souverainiste séduit, il est malheureusement trompeur.
Nous vivons en effet dans un âge multipolaire marqué par le retour des grands blocs civilisationnels, économiques et militaires ainsi que par la marginalisation inexorable des Européens qui constituent une part déclinante de l’humanité. En 2100, ils représenteront seulement 10% de la population mondiale, Russie comprise, d’après les projections démographiques moyennes de l’Onu. Face à des nations rassemblant des centaines de millions, sinon des milliards, d’hommes et de femmes, comme la Chine et l’Inde, seuls auront la parole les grands blocs civilisationnels, économiques et militaires. Pas les micro-régions ou les micro-États arc-boutés sur un patriotisme de pacotille ou de restriction. Comme ceux dont rêvent ces régionalistes qui veulent la souveraineté de leur contrée mais ne trouvent rien à redire à l’immigration qui la submerge.
L’idéologie souverainiste fait croire qu’il serait possible d’inverser le cours de l’histoire et de retrouver les grandes nations européennes des siècles passés, lorsque les Européens étaient plus nombreux que les Africains, mais ce temps ne reviendra pas.
Le défi est civilisationnel, pas seulement national
Les migrations de peuplement correspondent en outre à un phénomène civilisationnel et pas seulement national. Car tous les pays du Nord se trouvent confrontés au même défi, celui des migrations croissantes en provenance du Sud. Face à ce défi, comme face à celui qu’annonce le terrorisme islamiste, tous sont irrémédiablement solidaires. Comme ils sont aussi solidaires face aux conséquences économiques et sociales désastreuses de la dérégulation du marché mondial. Or, cette réalité est complètement ignorée par les souverainistes qui refusent de voir que la souveraineté nationale ou régionale dans une Europe impuissante, tiers-mondisée, vassalisée ou islamisée n’existerait tout simplement pas. Ce type de souverainisme incarne chez nous le retour du vieux paradigme de « la France seule », dans un monde qui s’écroulerait autour d’elle. Mais ce patriotisme nostalgique n’est qu’une duperie.
Seule la puissance garantit l’identité
La souveraineté ne garantit en effet l’identité que si elle est associée à la puissance. C’est pourquoi l’avenir des Européens ne peut plus résider dans le repli sur leurs petites patries, sortes de futures « réserves indiennes », mais doit au contraire s’affirmer dans la constitution d’une Europe puissance, une Europe cuirassée, seule capable de nous permettre d’exister dans le monde dangereux qui vient. Aujourd’hui, des milliards d’hommes et de femmes se trouvent en concurrence les uns avec les autres et en mouvement les uns contre les autres : dans ce monde-là, la puissance en Europe ne peut plus être seulement régionale ou nationale mais doit devenir continentale. Le souverainisme n’a désormais de sens qu’au plan civilisationnel et continental, c’est-à-dire pour assurer le retour de la puissance, de la liberté et de la prospérité de tous les Européens ainsi que la sauvegarde de leur identité.
La droite nouvelle dont la France a besoin doit donc se positionner clairement sur cet enjeu majeur en portant ce message simple mais vital : on ne préservera pas notre identité par le retour à la souveraineté de nos petites patries mais on sauvera notre civilisation par la constitution d’une Europe puissance.
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Une plaquette envoyée par Synthèse nationale à 5000 lecteurs dans les jours qui viennent...
Message de Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Un an après l’arrivée à l’Elysée d’Emmanuel Macron, les choses vont de mal en pis.
Alors qu’on nous annonçait une ère nouvelle, débarrassée de la pesanteur des partis et reposant sur le renouveau et l’efficacité, force est de reconnaître que rien ne s’est arrangé. La France reste soumise aux diktats des lobbys mondialistes et les Français continuent à subir les effets dramatiques de la récession et de l’immigration.
A vrai dire, cette situation ne nous étonne pas vraiment, nous autres nationalistes et identitaires. Macron a été propulsé au printemps 2017 pour être la roue de secours du Système. Après la calamiteuse gouvernance hollandesque, consciente que le peuple français était de moins en moins réceptif à ses injonctions, l’hyper-classe aux affaires a lancé le « gadget Macron » pour sauver ses prébendes en l’imposant comme étant le seul « rempart » face à une hypothétique « menace » mariniste.
Macron, en bon transfuge de la Banque Rothschild et en tant qu’ancien ministre d’un gouvernement socialiste, était le meilleur garant de la continuité pour ceux qui veulent instaurer un vaste marché aux dimensions planétaires dans lequel l’homme ne serait plus qu’un consommateur docile. Ce projet passe bien entendu par la destruction des nations, des civilisations et des identités. Quant à la « menace » mariniste, celle-ci relevait, hélas, plus du phantasme collectif que d’autre chose…
Quelle supercherie !
Quoiqu’il en soit, un an après, les Français se réveillent confrontés à une série de problèmes dont ils se seraient bien passés. La précarité augmente de jour en jour, l’insécurité due en grande partie à l’immigration prend des proportions jamais atteintes, la soumission de la France à Bruxelles et à la politique étrangère américaine, en particulier au Proche et au Moyen-Orient, est la même et notre indépendance nationale relève aujourd’hui du passé. Et pour tenter d’amadouer ceux qui seraient tentés de s’opposer, le pouvoir laisse s’agiter le pantin Mélenchon et ses gauchistes de pacotille qui se croient encore en Mai 1968… Face au mondialisme libéral, rien de tel que l’internationalisme marxiste pour faire illusion.
Ce qui semble paradoxal dans tout cela, c’est que, malgré la puissance du Système pour broyer la dissidence et le formatage du prêt à penser institutionnel, jamais les idées de la Droite nationale, sociale, populaire et identitaire ont été aussi partagées par nos compatriotes. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux, et on le voit tous autour de nous, à admettre la clairvoyance de nos analyses et à souhaiter l’application de nos propositions. De même, un peu partout en Europe, les peuples reprennent en main leurs destins. Ce n’est donc pas le moment pour nous de flancher, l’espérance doit guider notre combat.
Depuis 12 ans, un seul objectif
Synthèse nationale est, depuis sa création il y a douze ans et comme son nom l’indique, le point de rencontre des différentes forces politiques, militantes et associatives de la Droite nationale. En multipliant les rencontres, que ce soit dans notre revue ou à l’occasion de nos Journées annuelles (la prochaine aura lieu le dimanche 14 octobre à Rungis), nous œuvrons pour que l’ensemble des forces qui constituent notre famille agissent et combattent dans le même sens.
Et, justement, pour agir et combattre nous avons besoin de vous. Les revues, le site quotidien, les réunions et les campagnes militantes, tout cela a un prix. Synthèse nationaleexiste et agit que grâce à l’aide de ses lecteurs et amis. Pour défendre la France française dans une Europe européenne il faut beaucoup de moyens. Or, nous ne som-mes pas stipendiés par la finance apatride ni par les subventions publiques. Nous ne pouvons compter que sur vous tous.
Ne vous laissez plus manipuler, réfléchissez librement, agissez efficacement. Aidez-nous à nous battre contre le mondialisme et contre la dictature de la pensée unique. La survie de notre nation, de notre civilisation et de notre identité en valent bien la peine. Merci d’avance pour votre fidélité.
= Pour nous aider, c’est simple : abonnez-vous à notre revue Synthèse nationale, abonnez-vous aux Cahiers d’Histoire du nationalisme ou à la revue Confrontation consacrée à l’islamisation de notre continent. Achetez les livres que nous vous proposons. Adhérez à l’association des Amis de Synthèse nationale. Faites un don à l’occasion de la souscription patriotique 2018 (voir en dernière page).
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Zoom – Pierre Conesa : Hollywood, arme de propagande massive
Pierre Conesa est ancien haut fonctionnaire au ministère de la Défense. Après un livre brillant sur La Fabrication de l’Ennemi, il revient avec un nouvel ouvrage Hollywar : Hollywood, arme de propagande massive.
Au fil des pages, Pierre Conesa étudie les figures des héros et des méchants qui évoluent au gré des époques. Une figure du mal construite des Indiens d’Amérique aux terroristes islamistes en passant par les Russes de l’ex-URSS, et des héros américains.
Une propagande permise par un cinéma diffusé dans le monde entier et qui permet à l’Amérique, dépourvue de roman national à proprement parler de développer un sentiment patriotique grâce à des superproductions qui ne reculent devant rien pour séduire ou lobotomiser.https://www.tvlibertes.com/2018/07/03/23959/pierre-conesa-hollywood-arme-de-propagande-massive
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Passé Présent n°202 – Histoire du fascisme
Au sommaire :
– L’Assassinat de Raspoutine (rediffusion de février 2017).
– Frédéric Le Moal présente son ouvrage “Histoire du fascisme” -
La petite histoire : Les méchants conquistadors ont-ils exterminé les gentils aztèques ?
Vue de loin, de très loin, et fortement teintée de politiquement correct, l’histoire de la conquête du Mexique et de l’empire aztèque par Hernan Cortès nous est souvent présentée comme une énième colonisation malveillante des diables européens sur des peuples innocents. Dans cet épisode, nous tâcherons de comprendre comment cela s’est réellement passé. Mais surtout, la véritable question à se poser est la suivante : comment une petite poignée d’Espagnols ont-ils pu conquérir, en quelques années, un immense empire très structuré et densément peuplé ?
https://www.tvlibertes.com/2018/07/03/23961/mechants-conquistadors-ont-extermine-gentils-azteques
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LES VIKINGS (VIIIᵉ – XIᵉ SIÈCLE) – ERIK LE ROUGE | AU CŒUR DE L’HISTOIRE | EUROPE 1