Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 907

  • Provence : Annonce du prochain banquet des Camelots du Roi et autres activités. Qu'on se le dise !

    3525415042.jpg

    La date du prochain banquet des Camelots du Roi de Provence a été fixée au samedi 17 février 2018 à 20 heures.

    Ce banquet se tient dans la tradition et dans l'esprit des Camelots du Roi, anciens et à venir. Banquet privé, sur invitation, réservé aux Camelots du Roi de Provence et leurs invités.

    Fondés en 1908 pour servir l'Action Française, les Camelots du Roi ont été dissous en 1936 par le gouvernement d'alors mais leurs traditions, leur esprit ont toujours été maintenus. La participation des anciens des Camelots du Roi à ce prochain banquet du samedi 17 février 2018, est vivement souhaitée.  

    Signalons encore, s'agissant des prochaines dates à retenir :

    Le 21 janvier 2018 tombant un dimanche, la Messe pour le roi Louis XVI et toutes les victimes de la Révolution sera célébrée à Marseille le samedi 20 janvier à 11 h. Une rencontre suivra, l'après-midi. Toutes précisions utiles seront données dans Lafautearousseau prochainement.   

    Un colloque d'Action Française se tiendra à Marseille le samedi 21 avril et le150ème anniversaire de la naissance de Charles Maurras sera commémoré le lendemain, dimanche 22 avril 2018. Un programme détaillé suivra. Les deux journées seront organisées par Action Française Provence.

    Que l'on se le dise et que l'on retienne ces dates dès à présent ! 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le romantisme selon Anne Hidalgo

    Anne Hidalgo va organiser dans le hall de l’hôtel de ville de Paris une exposition consacrée à Che Guevara, jusqu’au 14 juin. Mme Hidalgo a qualifié dans un tweet le révolutionnaire d’« icône militante et romantique ».

    Voir l'image sur Twitter 

     

     

    En 2007, L'Express publiait des témoignages sur le guérillero.

    Luciano Medina fut le facteur personnel de Fidel Castro. Dans la sierra Maestra, en 1957 et 1958, c'est lui qui acheminait les messages du comandante en jefe à travers les lignes ennemies aux autres comandantes: Raúl Castro, Camilo Cienfuegos ou encore Ernesto «Che» Guevara.

    «Guevara? Il traitait mal les gens. Très mal». «Un jour que je lisais Sélection du Reader's Digest, peinard dans mon hamac, le Che, furieux, m'arrache la revue des mains et s'écrie: "Pas de journaux impérialistes ici! " Mais surtout, il tuait comme on avale un verre d'eau. Avec lui, c'était vite vu, vite réglé. Un matin, vers 9 heures, nous déboulons au Rancho Claro, une petite exploitation de café appartenant à un certain Juan Perez. Aussitôt, le Che accuse le fermier d'être un mouchard à la solde de la dictature de Batista. En réalité, le seul tort de ce pauvre homme était de dire haut et fort qu'il n'adhérait pas à la révolution.» Une heure plus tard, le malheureux caféiculteur est passé par les armes devant sa femme et ses trois enfants de 1, 3 et 4 ans. «Les voisins étaient traumatisés, indignés. Et nous, la troupe, nous étions écoeurés. Avec trois autres compañeros, nous avons ensuite quitté le Che pour rejoindre un autre campement.»

    Eduardo Perez, ex-comptable devenu révolutionnaire, raconte à son tour : en novembre 1958, le Che envoie 30 de ses hommes tendre une embuscade à l'armée du dictateur Batista, dont une colonne, partie de Fomento, se dirige alors vers le massif de l'Escambray, où se trouve le Che.

    «Après une minutieuse préparation, nous lançons l'assaut vers 14 heures. Mais, deux heures plus tard, notre position n'est plus tenable en raison de la puissance de feu adverse. Du coup, nous décidons de nous replier d'un kilomètre. Mais, quand le Che a pris connaissance de notre recul, il nous a coupé les vivres!»

    Une journée passe, sans rien à se mettre sous la dent. Puis deux, puis trois... Finalement, après soixante-douze heures de diète forcée, le détachement est à nouveau ravitaillé grâce au commandant Camilo Cienfuegos, qui, venu du nord, passait dans le secteur avec ses hommes pour livrer une cargaison d'armes à Guevara. «Ayant appris notre sort, Camilo nous a fait livrer d'autres rations. Plus tard, il a, paraît-il, sermonné le Che: "Que nos hommes soient tués par ceux de Batista, d'accord; mais qu'ils meurent de faim, non! "»

    Le 1er janvier 1959, jour du triomphe de la révolution cubaine, Che Guevara est célébré en héros. Fidel Castro le nomme commandant de la Cabaña, prison qui domine le port de la capitale. Derrière les hauts murs de cette ancienne forteresse coloniale, le guérillero argentin va écrire, au cours de l'année 1959, les pages les plus ténébreuses de la révolution cubaine. Selon Armando Lago, vice-président de l'institut de recherches Cuba Archive, 164 personnes sont envoyées au paredon (peloton d'exécution) de la Cabaña entre le 3 janvier et le 26 novembre, date à laquelle Guevara quitte la carrière pénitentiaire. Cette célérité fait de lui le plus grand meurtrier de l'histoire de la révolution cubaine (216 meurtres au total). En ce début d'année 1959, à la Cabaña, où s'entassent 900 détenus, on fusille tous les jours, généralement le soir. 

    Témoin clef de cette période, le père Javier Arzuaga, aumônier de la prison de la Cabaña, aura mis près de cinq décennies à rompre le silence. Dans Cuba 1959: La Galera de la Muerte (Cuba 1959. Le couloir de la Mort), celui qui recueillait les confessions des condamnés et les accompagnait dans leurs derniers instants affirme que des dizaines d'entre eux étaient innocents.

    «Le Che n'a jamais cherché à dissimuler sa cruauté. Bien au contraire. Plus on sollicitait sa compassion, plus il se montrait cruel. Il était complètement dévoué à son utopie. La révolution exigeait qu'il tue, il tuait; elle demandait qu'il mente, il mentait

    A la Cabaña, lorsque les familles rendent visite à leurs proches, Guevara, comble du sadisme, va jusqu'à exiger qu'on les fasse passer devant le mur d'exécution, maculé de sang frais...

    Michel Janva
  • Refuzniks !

    Ces dernières semaines les médias se sont intéressés aux bibliothèques frontistes,  et même  le magazine pipole Closer ,c’est tout dire, s’est livré à une analyse de celle  du bureau de Marine , visible lors de la présentation de ses vœux.  Une curiosité éveillée par les quelques dizaines d’ouvrages, classés en  neuf thèmes -Agriculture/Ruralité, Chrétiens d’Orient/Islamisme, Economie, Entreprise/travail/réindustrialisation, Europe/international, Environnement/Energie, Immigration, Formation générale- que la direction du FN invite ses  cadres et militants à lire. Une liste non exhaustive bien sûr,  dans laquelle on retrouve des personnalités quipèsent dans le monde culturel et le débat intellectuel sans être suspectes de la moindre accointance avec le FN  comme l’écrivain Michel Houellebecq, le philosophe  Michel Onfray, l’académicien Alain Finkielkraut. Celui-ci,  sommé de réagir à sa présence dans cette liste au titre de son essai critique sur les conséquences du multiculturalisme, L’identité malheureuse,  a déclaré: « je préfère qu’ils (les gens du FN, NDLR) me lisent plutôt  que Mein Kampf ». On a connu M. Finkielkraut  plus finaud, mais bon, mettons cette saillie sur le compte  de l’émotion ou de la  gêne de se trouver sur une liste établie par  des refuzniks, des dissidents de ce Système

    Logiquement, cette liste fait aussi la part belle à des auteurs frayant dans les eaux intellectuelles  de la droite nationale comme l’artiste Aude de Kerros,  feu le prix Nobel d’économie Maurice Allais, l’ex directeur de Minute et conseiller (malheureux) de Nicolas Sarkozy, actuel dirigeant de l’excellente chaîne Histoire  Patrick Buisson, le professeur d’Histoire Louis Chagnon, des spécialistes  des questions migratoires et démographiques comme Jean-Paul  Gourevitch,  Pierre Milloz et  André Posokhow, notre camarade Thibaut de La Tocnaye qui contribue de longue date au programme économique du FN, les journalistes-romanciers-essayistes Laurent Obertone et Eric Zemmour … Mais pas que  puisque y  figurent aussi des d’auteurs de livres techniques, idéologiquement assez neutres -quand bien  même  cela serait-il possible… - comme  Jean-Louis Butré, Eric de la Chesnais, François Costantini, Stéphane Courtois, Jean-Luc Gréau, Christophe Guilluy,  Jean-Louis Harouel, Vaclav Klaus, Laurent Lagartempe, Frédéric Parrat, Nicolas Perruchot,  Guillaume Sarlat, Christine Sourgins,  Jana Vargovicikova…

    Les articles consacrés à cette petite bibliothèque idéale de formation ont souligné aussi, parfois pour s’en étonner, la présence de personnalités qui, pour le coup,  sont parfois  publiquement et  assez,  voire franchement  hostiles au FN  comme MM. Onfray et Finkielkraut  cités plus haut mais aussi  les anciens  ministres  Claude Allègre et  Luc Ferry, l’essayiste altermondialiste aujourd’hui disparue Viviane Forrester. Ou de personnalités dont nous sommes  également  libres de ne pas partager  toutes les vues géopolitiques comme le journaliste  Frédéric Pons (auteur cette année d’un bon livre sur les Chrétiens d’Orient) ou l’historienne britannique d’origine juive égyptienne Gisèle Littman, alias,  Bat Ye’or , dont les travaux sur le prosélytisme islamique et la dhimmitude sont  souvent cités,  notamment par notre ami Bernard Antony.

    A dire vrai, les auteurs des différents courants (patriotique, national, identitaire, catholique de droite,  essentialiste, souverainiste...) de  notre famille de pensée,   réunis par le même rejet du  du  mondialisme,  sont suffisamment  nombreux et talentueux  pour couvrir  la totalité des thématiques retenus dans cette liste. Aussi  il ne semblerait  pas a priori utile et nécessaire d’aller piocher chez d’autres auteurs, se situant  ailleurs, parfois même  en face,  pour illustrer le bien fondé de nos propositions, dénonciations ou avertissements.

    Pour autant, il est très pertinent sur un plan plus prosaïquement politicien et tactique,  de mettre en avant  des personnalités, des intellectuels qui, parfois   à leur corps  défendant,  se livrent à des analyses confirmant celles de l’Opposition nationale, souvent au terme d’une évolution intellectuelle qui les conduit  sur notre terrain. Du fait même de leur éloignement (originel)  avec nous,  ils ne peuvent être aussi facilement  diabolisés, anathémisés, catalogués comme extrémistes. Bref  ils  sont susceptibles d’attirer  des catégories  encore rétives au vote FN,  de changer la perception sur notre Mouvement, de susciter  l’intérêt des esprits  curieux, de désarmer les critiques convenues en validant de l’extérieur des idées, des axes programmatiques  jugés irrecevables, délirants, odieux quand ils étaient  énoncés  par des nationaux ...

    Au nombre des avertissements prémonitoires du FN validés par le temps, qui ont infusé dans l’opinion  publique et que ce sont (ré) appropriés des personnalités de tous bords,  figure la critique de la dérive autoritaire des instances bruxelloises. Le site Polemia a publié hier un excellent article de Michel Geoffroy,  Pologne versus Commission européenne : la liberté européenne se lève à l’Est, dénonçant le totalitarisme d’une Europe bruxelloise qui, selon la vieille méthode de l’inversion accusatoire, prête à ceux qui dénoncent ses penchants liberticides… d’être des antidémocrates!

    Aujourdhui écrit-il, « On reproche à la Pologne de vouloir y mettre fin en rétablissant la primauté des législateurs élus, sur les juges inamovibles et cooptés (…). Pourquoi la Commission Européenneaffirme-t-elle qu’une telle réforme menacerait les  valeurs  de l’Union ?Tout simplement parce que le gouvernement des juges est une composante essentielle de la tyrannie post-démocratique qui s’installe en Europe (…) Au sein de l’Union européenne, les gouvernements gouvernent de moins en moins : ils ont en effet transféré l’essentiel des attributs de la souveraineté politique aux marchés, à la Banque centrale européenne, à la Commission et aux juges. Or, toutes ces entités ont la particularité essentielle d’échapper à la régulation démocratique, c’est-à-dire à la sanction électorale. Et les législateurs élus légifèrent de moins en moins car ils doivent, eux aussi, se soumettre au verdict des juges constitutionnels qui, eux, ne sont élus par personne.»

    « En d’autres termes,  les juges inamovibles et irresponsables ont progressivement usurpé à la fois le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif au sein de l’Union européenne. Ce contre quoi s’insurgent, hier, la Hongrie, et aujourd’hui, la Pologne, ce n’est pas  l’État de droit mais bien la domination de l’oligarchie arrogante des juges qui prétendent gouverner à la place des gouvernements, ou empêcher les gouvernements de gouverner, tout en abusant de leur statut pour se mettre à l’abri de toute sanction démocratique.»

    « Une fois de plus l’Est de l’Europe, moins décadent que sa partie occidentale, ouvre la voie.Elle nous rappelle à une antique sagesse européenne, aujourd’hui perdue de vue : les juges ne doivent pas faire la loi mais seulement dire le droit. La primauté des législateurs doit en effet être garantie :cela s’appelle la démocratie.»

    Une démocratie confisquée de manière de plus en plus voyante en Europe de l’Ouest, avec  la mise en place sans cesse renforcée  d’un attirail législatif, judiciaire, d’une volonté (à l’échelle planétaire)  d’un   contrôle orwellien des canaux d’information alternatifs, sans même parler du dressage des jeunes générations  dés l’école par le biais de  manipulations  sémantiques, d’une propagande négationniste de notre passé,  de ce  que nous sommes . C’est  aussi la raison pour laquelle Bruno Gollnisch estime que la défense  de la liberté d’expression, d’opinion, le droit de ne pas penser dans les clous,  doivent être sanctuarisés et défendus plus que jamais par notre famille politique.

    Car nous y trompons pas,  au fur et à mesure que le réveil des peuples ira en s’amplifiant, que l’aspiration  à la liberté, à la souveraineté  se fera plus forte en Europe et en France,  la grosse matraque  frappera de plus en plus durement  ceux qui  refusent l’idéologie nomade comme horizon indépassable, la  mise en place de sociétés  hors-sol, transnationales, atomisées, soumises au règne de la quantité et de la marchandise.  Il arrive que le diable porte Pierre. Que nous ne soyons plus le seuls à dénoncer cette involution là est une très bonne chose et un signe encourageant pour l’avenir, tant il est vrai que comme nous l’avons souvent rappelé,  les victoires culturelles précèdent  toujours les victoires politiques. 

    https://gollnisch.com/2018/01/03/refuzniks/

  • ENSEIGNEMENT DE L’ARABE ? PRIORITÉ AU FRANÇAIS QUAND ON NE LE MAÎTRISE PAS !

    cours-arabe-1550x660.jpg

    Certes, il vaut mieux que la langue arabe soit enseignée dans des établissements publics, par des professeurs formés et recrutés par l’Éducation nationale, que dans des mosquées ou des centres culturels musulmans. Mais la priorité, dans les milieux issus de l’immigration, quand les parents ne parlent que le dialecte de leur pays d’origine, devrait être donnée à la maîtrise de la langue française, qui est le premier facteur d’intégration.

    On apprend qu’à Trappes, l’arabe est enseigné en langue vivante 2, dès la 5e, dans les trois collèges de la ville. Tant mieux si l’arabe est considéré comme une langue étrangère semblable aux autres. Mais, en l’occurrence, si l’on en juge par la photo publiée sur 78actu.fr, la très grande majorité de la classe semble issue de la diversité, comme on dit aujourd’hui.

    D’aucuns prétendent que mieux l’enfant maîtrisera la langue dominante à la maison, plus il aura de facilité à apprendre une autre langue. C’est sans doute vrai dans des milieux privilégiés, où les parents parlent régulièrement à leurs enfants en alternant les langues ; mais, en la circonstance, il est loin d’être prouvé que l’apprentissage de l’arabe littéraire – bien éloigné des dialectes – soit de quelque utilité pour bien connaître la langue française.

    Quand une élève se réjouit d’avoir choisi cette langue « pour pouvoir [s’]en servir avec [sa] mère dans la vie de tous les jours », on lui conseillerait volontiers de lui apprendre des rudiments de français ou de l’encourager à suivre des cours.

    Tout le monde admet que la maîtrise de la langue française est fondamentale pour progresser dans toutes les disciplines. Ce devrait donc être la priorité absolue à l’école, avec des cours de soutien, pour ceux qui la connaissent mal – et qui ne sont pas tous d’origine étrangère. Elle est fondamentale, également, pour favoriser l’intégration. Il n’est pas certain que l’enseignement de l’arabe à de jeunes enfants issus de l’immigration y soit propice. Bien au contraire ! Sans compter que les professeurs d’arabe scientifiquement formés manquent cruellement : trois postes sont prévus, en 2018, à l’agrégation, quatre au CAPES !

    Mieux connaître le monde arabe pourrait être utile aux élèves pour comprendre les grandeurs ou les misères de cette civilisation. C’est le rôle des cours d’histoire, si l’enseignement est objectif, et, pour les spécialistes, de l’INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales). Mais pour des enfants qui ont besoin de s’intégrer, ce n’est pas en les plongeant dans la culture de leur pays d’origine qu’on y parviendra. À moins qu’on ne soit partisan d’une société multiculturelle. Si on veut les sortir de leur milieu, leur donner des chances de s’intégrer, leur permettre une promotion sociale sans recourir à la discrimination positive, il faut, au contraire, leur donner tous les moyens de maîtriser la langue, la culture, le patrimoine littéraire du pays dans lequel ils sont destinés à vivre.

    On pourrait dire – et je sais à quel point ce propos peut paraître iconoclaste – que la connaissance de la langue et de la culture arabes serait plus utile à ceux qui n’y connaissent rien qu’à ceux qui en sont imprégnés par leurs origines. Pour les premiers, comme le voyage pour Montaigne, le contact avec d’autres civilisations est enrichissant. Pour les seconds, la langue et la culture françaises permettent de s’intégrer et de s’épanouir dans le pays où ils vivent.

    Bref, au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité, ce qui n’empêche pas l’ouverture sur autrui ni un esprit de tolérance, qui ne consiste pas à tout mettre sur le même plan mais à jeter sur le monde un regard éclairé.

    http://www.bvoltaire.fr/enseignement-de-larabe-priorite-francais-on-ne-maitrise/