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divers - Page 198

  • Du 19 au 25 août : l'Université d'été d'Académia Christiana dans l'Orne

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    Communiqué d'Universita christiana :

    Nous voulons que notre pays renoue avec son âme française, c'est-à-dire avec notre histoire. Autrement dit : vivre de notre identité. Nous croyons que la tradition n’est pas le passé mais ce qui ne meurt jamais. Nous voulons que notre identité perdure. Provinciale, française, européenne et catholique, notre identité est une richesse. Nous ne sommes pas des conservateurs de musée, nous brûlons d’un ardent désir de vivre ici et maintenant de nos traditions millénaires.

    Nous voulons également la justice et militons pour un ordre politique régi par les lois qui transcendent la volonté des hommes. Notre norme, c’est le réel, c’est-à-dire la nature créée par Dieu. Enfin, parce que nous sommes catholiques, nous voulons que l’ordre politique n’ordonne rien qui soit contraire à la foi et n’interdise rien qui soit exigé par elle. Nous ne sommes pas les gardiens aigris d’un nouvel ordre moral, mais simplement les porteurs d’un ordre politique apte à servir le véritable bien commun.

  • RETENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE STAND AUX RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE PROCHAIN...

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    Depuis 13 ans, Synthèse nationale organise régulièrement chaque année ses journées nationales et identitaires. Depuis 13 ans, celles-ci remportent un succès grandissant. Le moment est donc venu de passer à la vitesse supérieure. Plusieurs éventualités ont été envisagées et nous avons retenu celle du passage de une à deux journées.

    Cette formule présente plusieurs avantages : plus de temps nous donnera la possibilité d’organiser plus d’activités et aussi de voir plus de monde. Elle nous permet ainsi, outre la possibilité de consacrer plus de temps aux interventions, d’accentuer le côté « festif » de ce rassemblement. Et, bien sûr, elle nous rappelle (de manière beaucoup plus modeste certes) les Fêtes « Bleu Blanc Rouge » du FN de jadis. Nous avons demandé au Président Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre "BBR", l’autorisation de le reprendre ; ce qu’il nous a aimablement autorisé avec ses encouragements.

    Les 13Journées nationales et identitaires de Synthèse nationale se dérouleront donc cette année sur deux jours et elles prendront comme nouvelle appellation « Le grand rendez-vous Bleu Blanc Rouge ». Elles se dérouleront le samedi 12 (de 14 h 00  à 23 h 00) et le dimanche 13 octobre 2019 (de 11 h 00 à 18 h 30), à l’Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94).

    DOSSIER D'INSCRIPTION CLIQUEZ ICI

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    PRENEZ VOTRE BILLET CLIQUEZ LÀ

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  • Le tour de France, c’est politique

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    Le billet de Patrick Parment

    Contrairement aux apparences, le tour de France cycliste est un événement éminemment politique. Parce qu’il est d’abord une manifestation européenne, gauloise et franchouillarde. Parce qu’il est un regard géographique sur la France des champs et des campagnes. Par ce qu’il est depuis que la télévision en a fait une émission phare, un regard inégalé sur le paysage français et son patrimoine et qui en appelle à ces générations de Gaulois qui ont fait de notre pays ce qu’il est encore aujourd’hui.

    C’est-à-dire tout le contraire de ce monde d’immigrés qui n’ont rien à voir avec cette histoire. Si la France de demain devait succomber sous le poids démographique des extra-européens, alors c’en sera bel et bien fini de notre beau pays étant donné que ces « populations » ne seront jamais à la hauteur de notre histoire. Les fossés sont non pas raciaux mais culturels.

    Car ce que se garde bien de nous montrer ces reportages épurés d’images dérangeants, c’est que la plupart de ces villes que traverse le tour de France sont gangrenées par une immigration qui rend villes et villages de moins en moins sécures et bien souvent en proie à l’islamisation.

    Là où le tour de France est aussi éminemment politique, c’est dans les populations qui viennent applaudir les coureurs où l’on note surtout l’absence de ces populations exogènes issues pour la plupart du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou des races dérivées du continent indien.

    Eminemment politique encore ces foules franchouillardes qui sont aussi celle des Gilets jaunes, de tous ces mouvements qualifiés d’extrême droite sans compter le gros des troupes du Rassemblement national. Bref, tous ces réfractaires d’une France qu’on voudrait nous faire croire multiraciale quand ces « minorités » demeurent encore minoritaires ! Mais, la bien-pensance à l’œuvre dans les médias est aussi et surtout celle du parti pro-immigrés, d’une anti-France au masochisme malsain.  

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  • L’économie : une science ?

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    Marc Rousset, dans vos colonnes, stigmatise avec justesse et brillant les dérives financières : taux nuls ou négatifs, épargnants lessivés, statistiques douteuses, choix économiques aberrants… mais qu’en dit la science économique ?

    Je ne crois plus depuis longtemps à cette science – une immense cuistrerie, bien plutôt. Le démontrer ? Autant prendre un bain de minuit dans le rail d’Ouessant. Outre les rentiers (oui, rentiers) de la profession, on se mettrait à dos les politiques, pour qui les économistes et leur prétendue science sont devenus des pères fouettards de l’opinion bien plus efficaces que les moralistes d’antan (DSK, Raymond Barre, salut à vous !).

    Qui dit science dit lois ; lois inviolables assorties de corrections, de retours nécessaires à l’équilibre. Je ne vois, ici, pas d’autre loi à l’œuvre que l’expédient, la fuite en avant indéfinie. Sans lois, donc, pas de science ; pas de justice non plus ; rien que de la politique. La politique n’est-elle pas, comme l’aéronautique avec la chute des corps, l’art de repousser les corrections évidentes.

    Retirez, mentalement, à la science économique tout ce qu’elle s’est approprié (souvent sous un vocabulaire cryptique) des disciplines et des métiers voisins : histoire, géographie, comptabilité, droit, administration, statistiques, commerce, spéculation, banque, manipulation monétaire (oublions ses singeries matheuses)… Que lui reste-t-il, alors ? Ai-je besoin de ses lumières pour savoir qu’un diamant est plus coûteux que le graphite de mon crayon ?

    Ne soyons pas injuste. Elle nous a appris que le temps est de l’argent. L’un de ses fleurons est, d’ailleurs, la prise en compte du temps par un taux de décote des valeurs futures, éclairant ainsi nos grands choix. Quid, pourtant, si les taux de décote sont durablement nuls ou négatifs, comme de nos jours ? Le temps n’est donc plus de l’argent, patatras ! et tous ses savants calculs lui reviennent en pleine figure.

    Aéroports de Paris, par exemple, comme la Française des jeux, garantissent des revenus quasi éternels. Décotés par un taux quasi nul, ces revenus confèrent à ces entreprises une valeur quasi infinie. Les vendre à un prix inférieur, les vendre tout court, ce n’est donc plus de l’économie rationnelle, c’est de la politique, de la politique pure. Une politique qui n’est peut-être même plus aux mains des politiques. De la politique, donc, ou autre chose…

    Marc Vergier

    https://www.bvoltaire.fr/leconomie-une-science/

  • La déséducation nationale… entreprise de destruction massive.

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    N’imaginez pas que donner de bonnes notes soit « égalitaire »
    C’est de la démagogie à l’état pur, et comme toute démagogie à l’état pure, comme toute « facilité » cela mène toujours au résultat inverse à celui qui était recherché
    Donner le BAC avec mention à tout le monde, supprimer les concours d’entrée à Science-Po ce n’est ni du progrès ni de l’égalité.
    La réalité, à un moment, rattrape tous les mensonges.
    A force de mauvais choix les situations ne sont plus rattrapables.
    La sélection naturelle est naturelle.
    Dans un processus politique, l’action publique cherche à rendre la sélection naturelle moins « définitive » et à laisser sa chance à tous.
    C’est le rôle de l’instruction.
    D’ailleurs notez la différence sémantique entre instruction et éducation. 
    Instruire c’est donner les outils de la connaissance ou d’accès à celle-ci. 
    Éduquer, c’est élever, et cela implique par définition une ingérence dans la vie des enfants.
    Le constat du niveau en France est alarmant. 
    On cache derrière des taux de réussite « soviétiques », une réalité dramatique avec des gamins qui ne savent plus lire ni écrire, qui ne savent plus réfléchir ni penser.
    Donner de bonnes notes est ce qu’il y a de plus inégalitaire, cela peut même faire croire à certains parents que tout « va bien », que le gamin a le niveau, alors qu’il est d’une nullité crasse, plus personne n’est en mesure de comprendre ce qu’il lui arrive le jour où la sélection fait son oeuvre.
    Les bonnes notes à tous, c’est comme les taux 0 en économie. 
    Cela biaise totalement la perception de la réalité des agents économiques, cela fait prendre les mauvaises décisions basées sur de mauvais indicateurs.
    Les bonnes notes à tous, c’est faire croire que l’éducation est bonne pour tout le monde, alors que les plus aisés bénéficient d’une bien meilleure instruction et d’une préparation à la maison et pas les gamins issus des classes les plus populaires.
    Mentir aux gens est ce qu’il y a de pire, après… les mensonges que l’on se fait à soi-même.
    Charles SANNAT
     
  • Mysticisme et réalisme : les deux voies du discours populiste

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    Bernard Plouvier

    Grand Président Macron poursuit sa destruction à rythme accéléré des valeurs nationales, celles qui forment notre identité de Français, par opposition à la bouillie mondialiste et au pot-pourri multiracial (en anglais : le melting pot, variante sociologique du Chaudron des sorcières).

    Il multiplie les lois liberticides, au nom de sa mystique tiers-mondiste et de l’exaltation des minorités. Il le fait, bien sûr, sans prendre l’avis du seul souverain de l’État : la Nation. Grand Président est l’Attila de notre Bien Commun et se donne même bonne conscience, estimant œuvrer pour l’avenir. Là encore, il ne précise pas s’il s’agit de l’avenir de la Nation française ou de celui des millions d’immigrés d’origine extra-européenne. À dire vrai, il lui est inutile de s’exprimer sur ce point : ses actes parlent pour lui.  

    En Macronie, on ne réprime pas ou de façon exceptionnelle l’omniprésent racisme antiblancs, mais les hystériques font leurs crises de nerfs au moindre tag dit « antisémite » (alors qu’on n’en connaît généralement pas la provenance) ou à la moindre remarque sur le ridicule des travestis. Parallèlement, on assume pleinement la très antidémocratique discrimination positive et les manifestations répugnantes de prévarication (l’actualité en fournit des exemples de façon quasi-hebdomadaire), de copinage maçonnique et de favoritisme ethnique.

    À cette mystique faisandée, il est indispensable d’opposer une véritable mystique nationale. Puisqu’après tout, la politique fait surtout appel à l’irrationnel, à cette mentalité pré-logique qui n’est nullement l’apanage des « primitifs ».

    Encore ne faut-il pas se tromper de mystique : on ne peut opposer la religion chrétienne au culte des droits de l’homme. La seule mesure positive du « régime abject » qui suivit l’affaire Dreyfus fut de séparer nettement l’État des cultes et des sectes, même si l’islamo-pétrodollar a beaucoup modifié les règles du jeu depuis trente ans et si la Ripoublique reste une chasse gardée du Grand-Orient.

    Le discours très réaliste, sur l’immigration-invasion et la certitude mathématique d’un remplacement de population dominante sur le sol français, doit être couplé à l’évocation de nos valeurs propres, en un mot à la mystique nationale, comme Poutine le fait avec succès en Russie ou comme le font les Turcs avec leur mouvement pantouranien.

    Les froids raisonnements et les savants calculs n’ébranlent pas les foules, à la différence de l’émotion. Rien ne nous empêche de rêver d’une France rebâtie en mêlant la technologie moderne à notre culture française, aux indispensables réformes démocratiques (l’égalité de tous devant la loi, la lutte contre la pourriture politico-administrative, l’instauration d’une authentique liberté d’expression d’où seraient bannies seules la pornographie et la calomnie) et au nécessaire retour vers leurs continents d’origine des millions d’extra-européens qui n’ont rien à faire en Europe.

    Mélanger le rationnel à l’irrationnel, c’est le B – A - BA de la propagande politique. Pour l’instant, seuls les écolo-verdâtres et les partisans du libéralisme dur le font avec succès, utilisant les ficelles de la plus basse démagogie : diabolisation de l’ennemi et promesses à la pelle pour les gogos.         

    Rien n’empêche le milieu populiste de faire une bonne propagande : honnête et dépourvue de crainte, ne proposant que des mesures saines et applicables. Pour cela, il faut des êtres prêts à l’action une fois conquis démocratiquement le pouvoir. Surtout pas des opportunistes cherchant un « créneau porteur » !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/11/mysticisme-et-realisme%C2%A0-les-deux-voies-du-discours-populiste-6163450.html

  • Politique-Eco n°223 avec Pierre Jovanovic : Deutsch Bank, agonie avant liquidation

    Pour Pierre Jovanovic, la Deutsche Bank, qui s’apprête à licencier 18 000 personnes, est dans la même situation que la Lehman Brothers au moment de sa chute. Invité de « Politique-Eco » pour sa célèbre revue de presse, le journaliste économique estime que l’établissement a été détruit par les CDS de l’Américaine Blythe Masters, les taux négatifs et bien sûr par la folie de la planche à billets. Une future faillite qui fait trembler l’Allemagne…

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n223-avec-pierre-jovanovic-deutsch-bank-agonie-avant-liquidation