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divers - Page 228

  • GILETS JAUNES : LE MOUVEMENT QUI A CHANGE LA DONNE

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    Lu sur Métainfos cliquez ici :

    Fini de tergiverser, il faut saboter les réformes en cours, préparer la chute totale du Système libéral, viser l’instauration d’un nouvel Etat national et identitaire, se préparer aussi physiquement et mentalement à affronter les « ennemis » et les « renégats ». C’est la priorité absolue si on ne veut pas voir notre pays broyé par la volonté des tenants du pouvoir d’imposer leur monde globalisé. Pour faire prendre conscience de tout cela à notre peuple, et en particulier aux Gilets jaunes qui incarnent actuellement sa volonté de résister, Synthèse nationale vient de publier un numéro hors-série. Nous ne pouvons que vous inviter à vous en procurer des exemplaires et à les diffuser autour de vous.

    Synthèse nationale (Hors-série n°6, 120 pages,  l’exemplaire : 15 € (+ 5 € de port). Par 5 : 50 € (port offert), par 10 : 80 € (port offert)

    Dans ce numéro exceptionnel, vous retrouverez des articles de Emmanuel Albach, Serge Ayoub, Franck Buleux, Charles-Henri d’Elloy, Alain Escada, Georges Feltin-Tracol, Roland Hélie, Pieter Kerstens, Aristide Leucate, Olivier Pichon, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, Vincent Vauclin, de nombreux Gilets jaunes et de bien d’autres encore…

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les idées à l’endroit n°22 : René Guénon et la Tradition primordiale

    Le métaphysicien René Guénon (1886-1951) est à la fois un auteur célèbre, dont la critique du monde moderne a exercé une influence considérable sur nombre de ses contemporains, et un grand méconnu qu’il était temps de mieux connaître. Quelle place faut-il lui attribuer dans l’histoire des idées ? Quatre spécialistes de sa vie et de son œuvre, Jean-Pierre Laurant, Xavier Accart, David Bisson et Pierre-Marie Sigaud répondent aux questions d’Alain de Benoist.

    https://www.tvlibertes.com/les-idees-a-lendroit-n22-rene-guenon-et-la-tradition-primordiale

  • Les promesses de l'étatisme

    6a00d8341c715453ef022ad3e53dfe200b-320wi.jpgUne réforme étatiste de l'assurance chômage a été annoncée ce 26 février par le Premier ministre, flanqué de Muriel Pénicaud. Ses modalités inquiètent déjà une partie non négligeable de l'électorat cible de l'actuelle majorité.

    Cette démarche mérite sans doute une réflexion plus radicale.

    Elle éclaire d'abord, en effet, un des vices fondamentaux de notre système d'élection présidentielle depuis la réforme de l'article 7 en 1962.

    Un peu d'histoire permet de mieux comprendre la question et la situation. Rappelons à cet égard que l'équilibre constitutionnel initial, prévu en 1958, supposait que le chef de l'État fût élu au suffrage indirect, par un collège de grands électeurs ressemblant à celui du Sénat. On ne passa au régime plébiscitaire actuel que pour des raisons circonstancielles, et au prix d'un référendum douloureux. De Gaulle imaginait alors de recourir à l'idée proclamée depuis son discours de Bayeux de 1947, revendiquant l'adossement de l'État à ce qu'il appelait le peuple dans ses profondeurs.

    Or, dès la première application, en décembre 1965, du nouveau mode d'élection, au suffrage universel direct, l'illusion se dissipa.

    Le fondateur de la cinquième république lui-même, très déçu, et même ulcéré, d'avoir été mis en ballottage, changea d'orientation sur des questions essentielles : "j'irai, déclara-t-il dès 1966, après un second tour qui avait pourtant polarisé un affrontement, alors inédit, entre droite et gauche, plus loin que leur front populaire".

    Depuis un demi-siècle, nous subissons de la sorte un détournement de légitimité.

    Au gré des campagnes électorales, les candidats énoncent des programmes. Ceux-ci outrepassent à la fois les choix de l'opinion et les prérogatives constitutionnelles de la présidence qu'ils ambitionnent de conquérir.

    Tel détail inaperçu de leur plateforme est alors invoqué après coup. On le présente comme une promesse : ainsi de l'affaire de l'assurance chômage.

    En 2017, l'actuel chef de l'État fut élu en grande partie par défaut, et sur une image de réformateur, plutôt libéral, destiné à nous prémunir des extrêmes. Mais son programme officiel prévoyait, ou plutôt ouvrait la voie à des choses bien différentes.

    Personne n'y prêtait attention mais il disait, parmi tant d'autres choses : "Parce que tous seront désormais couverts quel que soit leur statut, l'État prendra en charge le pilotage du système d'assurance-chômage. Il y associera l'ensemble des parties prenantes, et en particulier les partenaires sociaux".

    Combien de Français ont voté pour cette proposition ?

    Combien même l'ont lue ?

    Les conséquences de cette orientation se révéleront assurément comparables à celle du plan Juppé et des ordonnances signées Barrot de 1995-1996, sur une taille plus réduite, certes, mais assurément aussi funestes.

    Dès maintenant, on s'apprête à réduire les garanties accordées aux cadres, sans envisager de diminuer leur contribution.

    Avec quelque 31 % des cotisations, les cadres ne reçoivent que 15 % des prestations de l'UNEDIC. Ce dernier pourcentage semble encore trop élevé pour les doctrinaires de la répartition et pour les techniciens de la redistribution.

    La pratique de l'étatisme tournera ainsi de plus en plus le dos aux principes de l'assurance.

    Cessons par conséquent de prendre au sérieux les prétendues promesses électorales factices. N'hésitons pas d'en dénoncer même le caractère inconstitutionnel. En droit comme en fait, elles n'engagent personne.

    Dans cette affaire, notre technocratie régnante dévoile une intention ultime, au mépris du droit, de marche vers le collectivisme. L'urgence impose la réduction du périmètre de l'étatisme : la nationalisation annoncée de ce qu'on appelle toujours l'assurance chômage tend au contraire à l'élargir encore.

    Erreur fatale.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • Le hors-série de Synthèse nationale remporte un énorme succès...

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  • Zoom – Raphaël Delpard : ces pères privés de leurs enfants

    Raphaël Delpard, cinéaste et romancier, publie un ouvrage sur le sujet des pères de famille privés de leurs enfants. Un livre sous forme d’enquête et de témoignages qui évoque un véritable problème de société, souvent négligé.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-raphael-delpard-ces-peres-prives-de-leurs-enfants

  • JEUDI 28 FÉVRIER, LA 100e ÉMISSION "SYNTHÈSE" : "L'AFRIQUE À DÉSINTOXIQUER" SUR RADIO LIBERTÉS

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/27/jeudi-28-fevrier-l-afrique-a-desintoxiquer-sur-radio-liberte-6132008.html

  • Réunion publique à Caudry (59) : discours de Marine Le Pen

  • La Petite Histoire : Comment survivre 15 ans sur une île d’1 km² ?

    En 1761, le navire français L’Utile, transportant des esclaves malgaches, échoue sur l’île de Tromelin. Après la construction d’un radeau de fortune, les Français repartent, laissant sur place 80 esclaves en leur promettant de revenir les chercher. Ils y resteront 15 ans. 15 ans sur une île minuscule, isolée, sablonneuse, battue par les vents et dépourvue de toute végétation. En 1776, seuls 8 rescapés seront retrouvés en vie. Comment ont-ils survécu ?

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-comment-survivre-15-ans-sur-une-ile-d1-km%C2%B2