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  • Message de Roland Hélie aux participants au 2e dîner de Synthèse nationale samedi dernier à Paris

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    Soyez les bienvenus au 2e dî­ner annuel cliquez ici des Amis franciliens de Synthèse nationale.

    Après la réussite du premier dîner que nous avions organisé l’an passé, ici même, à l’occasion du 70eanniversaire du Mouvement social italien, dî­ner au cours duquel notre camarade Massimo Ma­gliaro, ancien respon­sable national du MSI, nous avait éclairé sur l’histoire de son mouvement, nous avons décidé d’institutionnaliser ce nouveau rendez-vous annuel entre nos lecteurs et amis et notre revue.

    Nous pensons en effet que, dans la situation actuelle, il faut que les natio­naux, les nationalistes et les identitaires multiplient les occa­sions de se retrouver pour créer une véritable communauté combat­tante face à l’oligarchie mondialiste qui veut détruire notre nation et notre civilisa­tion. Il y a les meetings et les manifs, il y a les actions militantes et il y a aussi les réunions amicales comme celle de ce soir.

    Nous avons l’honneur et le plaisir de recevoir ce soir Jean-Marie Le Pen, Président d’honneur du Front national, qui nous parlera de ses Mémoires cliquez là dont le premier tome vient de sortir en librairie. Ce livre rencontre un énorme succès et il est d’ores et déjà classé parmi les meilleures ventes, ce qui ne nous surprend pas vraiment.

    Pendant des décennies, Jean-Marie Le Pen a incarné, en particulier lors des différentes élections présidentielles, la Droite nationale, sociale et populaire. Il avait prévu dès le début les dangers qui mena­cent de plus en plus la France et l’Europe. Il a été calomnié, insulté, condamné… Mais aujourd’hui un nombre croissant de nos compa­triotes reconnaît la véra­cité de ses dires et a envie, finalement, de mieux le connaître. C’est sans doute ce qui explique l’engouement pour son livre qui sera suivi, dans quelques mois, par un second tome. Mais je laisserai le soin au Prési­dent Le Pen de nous en parler lui-même.

    Quelques mots maintenant pour vous donner des nouvelles de Syn­thèse nationale. Notre prochain grand rendez-vous est fixé au di­manche 14 octobre à Rungis. Ce sera notre douzième Journée natio­nale et identi­taire à laquelle vous êtes tous conviés. Une fois de plus cette journée devra être une réussite car elle sera l’aboutissement d’une année d’efforts militants pour faire avancer nos idées et un tremplin vers 2019.

    Sur le plan éditorial, notre petite maison a publié cette année plu­sieurs livres dont celui de Carl Lang, Président du Parti de la France, Un che­min de résistance, et celui d’Hubert de Mesmay, Autop­sie d’un crash annoncé. De plus la campagne que nous avons amorcée au printemps dernier autour du livre d’Alban d’Arguin, Eo­liennes un scandale d’Etat, ne cesse de s’amplifier. Ce thème original nous permet, à cha­cune des conférences de l’auteur, de nous faire con­naître encore plus dans la France profonde.

    Quant au site d’information quotidien Synthèse nationale, lien perma­nent entre notre organisation et nos sympathisants, il est regardé chaque jour par plus de 5 000 personnes.

    Félicitons-nous aussi du partenariat que nous avons établi avec le groupe Libertés. Le jeudi à 18 h, vous pouvez ainsi retrou­ver l’émission « Syn­thèse » que j’anime avec Philippe Randa sur Radio Libertés.

    Mais tout cela à un prix. Tout ce que nous faisons, c’est grâce à votre générosité à tous. Nous ne sommes financés ni par les subven­tions grasse­ment attribuées à nos ennemis, ni par aucune hypothétique puis­sance étrangère. Il manque toujours quelques milliers d’€ pour boucler notre budget. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes et c’est grâce aux sacrifices de quelques-uns que Synthèse nationale réalise ses projets. Si nous avions un peu plus, nous pourrions faire beaucoup plus.

    Des projets nous en avons beaucoup et le premier d’entre eux, c’est le renouveau d’une véritable Droite nationale digne de ce nom en France.

    Lors de la dernière présidentielle, en mai 2017, le Système a uti­lisé son ultime rustine : Emmanuel Macron. Et contre toute attente, ça a mar­ché. Au moment où l’on assiste à une « droitisation », voire à un « sur­saut identitaire » de nos compatriotes, l’hyper classe apa­tride continue à nous im­poser sa volonté mortifère. Cela, nous ne pouvons pas le tolé­rer.

    Chers Amis, nous profiterons bien sûr de cette soirée patriotique pour vous demander de nous aider une fois de plus. Des enveloppes sont disponibles à cet effet sur votre table. Vous pourrez, si vous le souhai­tez, mettre votre contribution à l’intérieur et les déposer dans la cor­beille prévue à cet effet au « stand librairie » à la sortie de la salle.

    Vous pouvez aussi nous aider en :

    - vous abonnant à nos revues, Synthèse nationale bien sûr, et aux Ca­hiers d’Histoire du nationalisme.

    - achetant les livres que nous proposons (les auteurs présents vous les dédicaceront).

    - adhérant aux Amis de Synthèse nationale présidés par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta et animés en Ile-de-France par Hugues Bouchu.

    Par avance nous vous remercions.

    N’oubliez jamais la devise que nous avons fait nôtre à Synthèse natio­nale : « Tant que les patriotes se battront, la France existera… »

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Pour aider Synthèse nationale cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Action française Nantes : cercle sur "Le libéralisme contre l'autorité et les libertés?" le mardi 27 Mars à 20h00.

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    L'Action française Nantes vous invite à son cercle sur "Le libéralisme contre l'autorité et les libertés?" le mardi 27 Mars à 20h00.

    Lieu : adresse habituelle

    Renseignement : nantres@actionfrancaise.net

  • Civitas a fait le plein samedi à Rungis

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    Alain Escada, Président de Civitas, lors de son discours de clôture de la fête

    Pour sa deuxième édition, la Fête du Pays Réel a plus que relevé le défi de la confirmation. Cette année ce sont plus de 130 exposants qui étaient présents, pour nous faire découvrir leurs ouvrages, leurs créations, leurs métiers, leurs passions, leurs combats, autour d’un même idéal véritablement catholique et patriote, dont ont profité les 1.400 visiteurs qui se sont déplacés.

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    Carl Lang visite les stands sur lesquels on pouvait trouver des pièces de collections

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    et aussi des amis comme ici sur le stand de Synthèse nationale

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    De droite à gauche : Hubert de Mesmay, Roland Hélie, Aristide Leucate et Philippe Randa

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  • Virginie Vota : Le féminisme, conséquence inéluctable du renversement de l’ordre naturel.

  • La belle soirée de printemps de Synthèse nationale

    Samedi soir à Paris, dans le cadre d'une prestigieuse brasserie, s'est tenu le banquet annuel des Amis franciliens de Synthèse nationale en présence de près de 200 convives (nous dûmes refuser près d'une cinquantaine de personnes compte tenu de la capacité de réception de la salle). Nous reviendrons très prochainement sur le déroulement de cette belle soirée au cours de laquelle Jean-Marie Le Pen, qui vient de publier la première partie de ses mémoires, fit un discours politique qui enthousiasma l'assistance.

    Quelques images de la soirée :

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    Jean-Marie Le Pen et Carl Lang

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    Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

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    Carl Lang, Président du Parti de la France

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    La salle affichait "complet"

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     Séance de dédicaces 

  • La biodiversité animale en danger : comment réagir ?

    En matière de biodiversité, les mauvaises nouvelles s'accumulent ces temps-ci : ainsi, le premier jour du printemps a vu l'annonce de la mort du dernier rhinocéros blanc mâle du Kenya (ils étaient encore 2.360 il y a cinquante ans, mais seulement 15 en 1984), dont les congénères ont disparu en quelques décennies sous les effets d'un braconnage intensif motivé par les vertus aphrodisiaques supposées de la corne de rhinocéros (une superstition asiatique sans fondement scientifique avéré), et l'évocation désolée de la très forte diminution du nombre d'oiseaux des champs, qui rappelle que ceux des villes ne sont pas en meilleure position. Dans le quotidien libéral L'Opinion, ce mercredi 21 mars, Michel Schifres résume la situation : « Premièrement : dans les campagnes françaises, les oiseaux sont en voie de disparition. En quinze ans, leur population s'est réduite d'un tiers. L'alouette décline et la perdrix n'existe plus guère. Deuxièmement : en vingt-cinq ans, 421 millions de volatiles ont disparu en Europe. Troisièmement : au Kenya, Sudan est mort à 45 ans. C'était le dernier rhinocéros mâle blanc de la planète. Cette sous-espèce est donc éteinte. » On pourrait rajouter la mort brutale de 350.000 chauves-souris chaque année en France à cause des... éoliennes ! Sans oublier la quasi-disparition des papillons dans nos campagnes, celle des petits mammifères comme les hérissons, principalement victimes de la circulation automobile, ou celle des crabes, bigorneaux ou anémones de mer que j'ai pu observer à Lancieux, sur la côte d'émeraude, depuis une vingtaine d'années... Le constat du déclin rapide et apparemment définitif pour certaines espèces animales (mais la biodiversité végétale est aussi en danger) n'est pas catastrophiste, comme voudraient le faire croire certains, il est, d'abord et concrètement, une catastrophe !

    « Et que faisons-nous devant cette hécatombe, devant cette extinction (…) ?, poursuit Michel Schifres. La réponse tient en un mot, glaçant : rien. » En quelques lignes, tout, ou presque, est dit ! L'indifférence de nos sociétés de consommation, individualistes et anthropocentriques, est terrifiante mais elle s'inscrit dans la logique du système qui, par essence, ne considère que l'utilité économique, le profit immédiat et la satisfaction instantanée des « besoins suscités », sans tenir compte, en définitive, du temps long et de la transmission du capital terrestre, minéral, végétal comme animal. Si la biodiversité animale est ici évoquée et menacée, n'oublions pas, comme nous le rappelait Claude Lévi-Strauss, que la diversité culturelle humaine est, elle aussi, victime d'un système qui se veut à la fois global et illimité, attractif et uniformisateur... 

    Mais le constat désabusé de Michel Schifres doit-il nous décourager d'espérer et d'agir ? Non, bien au contraire ! En ce domaine comme en d'autres, il n'y a pas, il ne doit pas y avoir de fatalisme, et le rôle des royalistes, attachés à la transmission des trésors du patrimoine et à leur actualisation permanente comme à leur usage mesuré, est d'alerter, de sensibiliser mais aussi d'intervenir et de proposer, dans une perspective de long terme et, parfois, dans un contexte d'urgence.

    Il faudra, un jour, écrire un « Que faire ? » de l'écologisme intégral qui n'oubliera pas sa dimension forcément politique et stratégique... Pour l'heure, et en attendant une hypothétique Monarchie qu'il faudra bien faire réellement advenir en France pour un véritable enracinement de l'écologie dans l'être même de l’État et de sa magistrature suprême, il serait fort nécessaire que le ministère de la Transition écologique réagisse en prenant quelques mesures urgentes de sauvegarde des paysages dits « naturels » et de limitation des projets d'artificialisation des terres qui ne cessent de réduire l'espace de vie des espèces d'oiseaux, en particulier dans nos campagnes. La replantation organisée de nouvelles haies et la limitation des coupes printanières le long des routes et fosséspourraient être rapidement décidées et pratiquées, pour permettre la recréation de « pouponnières d'insectes » (et les pollinisateurs ne sont pas les moins importants s'ils ne peuvent être les seuls protégés et favorisés) et les possibilités de nouvelles nichées, mais elles ne sont que quelques uns des éléments d'une politique qui se doit d'être beaucoup plus large et de poser les bases d'un nouveau rapport agricole à la nature, fondée sur l'accord entre production économique et pratique écologique, et bannissant, autant qu'il est possible, l'usage des produits chimiques hérités de M. Von Liebig et vantés par des multinationales plus intéressées à leurs profits qu'à ceux de la biodiversité.

    Le régime chinois de Xi Jinping a inscrit la « révolution écologique » au programme de ces prochaines décennies, conscient des enjeux environnementaux de demain qu'il ne sépare pas des enjeux économiques : la France, avec sa richesse écologique certaine et ses particularités propres, ne devrait-elle pas aussi envisager cette révolution-là qui lui serait beaucoup plus profitable que celle qu'elle a subie à la fin du XVIIIe siècle et qui, à bien y regarder, fut alors si peu favorable aux paysages forestiers et aux espèces animales sauvages ? Le Breton Michel Duval, dans les dernières pages de son ouvrage « Forêts bretonnes en Révolution », soulignait que « la correction immédiate des nouveaux déséquilibres internes provoqués par le contrecoup de l'instauration d'un nouvel « ordre économique mondial », est inséparable désormais du retour aux valeurs qui ont assuré longtemps à notre pays son harmonie, son originalité, sa richesse et sa diversité ». Si nous pouvons aller plus loin encore dans la critique de ce qui fonde ce nouvel ordre mondial et libéral, et remettre en cause le principe même d'une société de consommation et de croissance illimitée, nous faisons nôtre l'appel de Michel Duval à ce nécessaire « retour du Roi », pour que vive la vie, dans nos campagnes, nos forêts et nos villes, et que nous puissions revoir voler les papillons et entendre chanter les oiseaux, éternels compagnons de saint François d'Assise et de nos souvenirs heureux...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/

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