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Délit d'"outrage sexiste" : les hommes hétérosexuels, ces potentiels agresseurs...
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« Minute » continue, « Minute » reste en kiosques et « Minute » change
Lu dans Minute :
"En début d’année, nous nous donnions trois mois. Trois mois pour survivre ou trois mois pour périr. Clairement, le pronostic vital de « Minute » était engagé. La dernière étape, peut-être, de notre longue histoire, en raison, rappelons-le, de la ponction supplémentaire de 25 % opérée par Presstalis, les ex-NMPP, sur le produit de nos ventes – comme sur celles de tous les titres que Presstalis diffuse. Eric Fottorino, le directeur du « 1 », a dû lui aussi lancer un appel au secours...
Trois mois plus tard, le racket de Presstalis a tellement peu porté ses fruits qu’un plan social est en cours et que l’Etat va – encore ! – y injecter autour de 90 millions d’euros, tandis que tous les journaux, dont « Minute », seront maintenant prélevés de 2,25 % de plus que la somme habituelle, et cela pendant cinq ans, simplement pour combler un gouffre financier dont ils ne sont pas responsables.
Notre appel à l’aide, réitéré chaque semaine depuis trois mois, a été entendu. Soyez-en ici remerciés. Sans vous, « Minute » ne pas- sait pas le printemps. Non seulement votre mobilisation nous a touchés mais elle a été suffisante pour que nous puissions aujourd’hui vous l’annoncer : « Minute » continue. Mieux encore : alors que nous avions envisagé de nous replier sur les abonnements, « Minute » reste en kiosques ! Et il change.
Le 4 avril, vous trouverez chez votre marchand de journaux un nouveau « Minute » au format 29 x 37 cm contre 21 x 29 cm aujourd’hui. Sur ses douze grandes pages, vous retrouverez la totalité du contenu rédactionnel du « Minute » actuel. Toutes les rubriques que vous aimez y figureront et le volume des pages d’actualité ne sera pas diminué d’un iota.
Lors des multiples échanges que nous avons eus avec vous ces dernières semaines, vous avez été nombreux à nous dire que « Minute » n’était guère visible chez les marchands de journaux. Grâce à ce passage à un grand format, nous espérons être mieux présentés dans tous les points de vente. De même, les plus âgés d’entre vous nous ont signalé que « Minute » était écrit trop petit. Qu’il leur devenait difficile de le lire. Nous en avons tenu compte. Grâce à ce nouveau format, nous avons pu augmenter le corps de la police – la taille des lettres – sans rien perdre en quantité.
« Minute » continue donc, mais « Minute » a toujours besoin de vous afin d’asseoir au mieux son équilibre financier au moins jusqu’au mois de septembre 2018. Ceux d’entre vous qui ne voulaient pas s’abonner de peur que « Minute » ne s’arrête et que leur argent soit dépensé en pure perte peuvent maintenant être rassurés : oui, le printemps 2018 ne sera pas celui de l’arrêt de « Minute », oui, vous pouvez vous abonner ! Pour trois mois, pour six mois, pour un an ! Ensemble, nous allons écrire une nouvelle page de l’histoire de « Minute ». La droite française a besoin de « Minute », « Minute » a besoin de vous pour ce nouveau départ, de votre abonnement, de votre achat en kiosques et/ou de vos dons, adhésion ou réadhésion à l’Association de soutien à Minute."
Michel Janva
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Perles de Culture n°159 : Entretien avec Cheyenne-Marie Carron
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Carl Lang favorable à l'abrogation des lois liberticides (Gayssot, Pléven, Perben, Taubira)
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Un entretien avec Pierre Debray : « Construire l'arche qui permettrait aux Français de survivre au déluge des barbaries »
Discours de Pierre Debray aux Baux de Provence, en 1973
Nous avons achevé hier la publication de l'étude magistrale de Pierre Debray parue en novembre 1985 dans le mensuel Je Suis Français, sous le titre Une politique pour l'an 2000. On s'y reportera avec profit en utilisant les vingt-six liens ci-dessous. A l'issue de la parution de cette étude, Pierre Debray avait encore donné à Je Suis Français un entretien complémentaire et conclusif. Nous l'avons publié en deux parties, c'est à dire hier mardi et aujourd'hui mercredi. LFAR
Vous êtes sévère pour les socialistes mais moins que pour l'actuelle opposition. Pourquoi ?
Le socialisme debout a sur le socialisme rampant un avantage. Il se montre à découvert. Les Français perçoivent mieux le danger qu'il y a cinq ans.
Vous annoncez, d'ailleurs, la disparition de la démocratie.
La démocratie est fondée sur le quantitatif pur. Est élu qui réunit la plus grande Quantité de suffrages. Or notre société tend à restaurer l'élément qualitatif, et ce par nécessité. Il y a contradiction entre l'évolution sociale et le système politique. En politique nous vivons au XIXe siècle pour les institutions, au XVIIIe pour les idées. Cette contradiction est l'une des causes de la crise.
Vous allez plus loin. Vous soutenez que la crise actuelle est du même ordre que celles qui ont détruit le monde antique au Ve siècle et le monde médiéval au XVe.
Je ne fais qu'appliquer l'empirisme organisateur à l'histoire de la civilisation. Le monde moderne va céder la place à un autre monde aussi différent que le sont de lui le monde antique et surtout le monde médiéval. Que sera ce monde nouveau ? Certainement pas le paradis sur terre. Il serait imprudent de tenter de l'imaginer. Ce que l'on peut dire c'est qu'il se construira en réaction contre le monde que nous nommons moderne. Celui-ci avait pris pour modèle le monde antique. Saint-Just se prenait pour un spartiate. Je crois que cette fois le Moyen-Age fournira la référence.
Un nouveau Moyen-Age ?
Pas plus que la France de 1793 n'était la nouvelle Sparte mais considérez les écologistes. Leur utopie cherche un modèle de type médiéval, les énergies douces, la santé par les plantes. Le succès du thème «moins d'Etat» va dans le même sens. C'est d'ailleurs dangereux. Le passé nous fournit des leçons, pas des solutions toutes faites.
Votre pensée est tournée vers l'avenir. On peut se demander pourquoi vous êtes également un « réactionnaire ». N'est-ce-pas, pour beaucoup, contradictoire ?
C'est l'avenir qui est réactionnaire. Pas moi. Je me contente de constater.
Vous posez pourtant des jugements de valeur. Ainsi vous condamnez la « massification » de la société, ce que vous nommez « l'homme-masse ».
Je suis bien obligé de constater que l'humanité a acquis la capacité de s'auto-détruire.
La bombe atomique ?
Il y a plus grave. Les crises, quand elles mettent en cause la civilisation, ouvrent un temps de troubles. La barbarie revient, comme au VIe siècle, comme au XVe et au XVIe, qui furent terribles. La splendeur esthétique de la Renaissance en masque la cruauté. Sait-on que la population européenne n'a retrouvé qu'au milieu du XIXe siècle le niveau de vie qu'elle avait au XIIIe ?
C'est donc une erreur de réduire la crise au seul domaine de l'économie ?
Bien sûr, encore que j'ai, dans cet essai, surtout insisté sur le problème du chômage, qui inquiète, à juste titre, l'opinion. Il fallait prouver que, dans ce domaine aussi, nous pouvions présenter des solutions. J'aurais pu aussi bien étudier la crise de la culture. Le Tchèque Kundera, un romancier de talent, soutient que «la culture en Europe poursuit la parabole du déclin » et une intellectuelle de gauche, Madame Macciocchi, que « l'Europe, du point de vue culturel est aphasique ». L'art est tombé dans le formalisme, phénomène commun au début des temps barbares. Au VIe siècle le monde antique ne produisait plus que des rhéteurs. Le XVe siècle, l'un des plus noirs de l'Occident, voit triompher les « grands rhétoriqueurs ». Nous n'avons que des scoliastes. Il est significatif que l'on ait accordé le Nobel à M. Simon, un romancier qui n'ayant rien à dire pratique l'art du non-dit.
Ce que Maurras annonçait dans « l'avenir de l'Intelligence ».
Avec en plus l'apparition des «mass média», des moyens de communication de masse. La technique permet la massification de la culture.
Il s'agit de perpétuer « l'homme masse ».
Le rêve des démocrates c'est de constituer une élite de techniciens à haut niveau de vie, qui contrôlerait les ordinateurs, l'augmentation prodigieuse de la productivité permettant de nourrir à ne rien faire des millions d'assistés, qui passeraient leur journée devant la télé. Je pourrais vous citer vingt textes de « futurologues » qui vont dans ce sens. L'identité culturelle du peuple français leur importe peu. La télé diffuserait une « culture mondiale » à base de bandes dessinées, immédiatement assimilable par le Bantou, l'Indien, le Chinois ou l'Européen.
C'est commencé.
Un jeune Français sur quatre est actuellement promis au chômage définitif, chômeur à vie, en quelque sorte. Un homme tel que M. Barre serait favorable à un système de type soviétique mais amélioré par une forte dose de libéralisme économique, destinée à le rendre efficace. Grâce à la massification culturelle, la nomenklatura tiendrait en tutelle les travailleurs chassés par la machine des ateliers et des bureaux. On a connu un système analogue dans les derniers siècles de l'Empire romain.
Panem et circenses.
C'est compter sans l'apparition des « intégrismes religieux ». On songe à l'Islam mais l'hindouisme lui aussi se réveille. Il y a là une réaction de survie de cultures menacées par le projet mondialiste.
Cette réaction se manifeste aussi au sein du catholicisme.
Dans la mesure où le « modernisme » n'a pas totalement gangréné l'Eglise. Celle-ci, pendant trois siècles, avait résisté aux assauts du monde moderne, le sachant anti-chrétien par essence. Elle s'est livrée à lui au moment où il entrait en agonie. Il semble que de nombreux évêques rêvent d'intégrer leur religion, convenablement vidée de la substance, à la culture de masse. C'est le « supplément d'âme » de Bergson. Une vague teinture de religiosité... Il faut, bien sûr, combattre, à l'intérieur de l'Eglise, le modernisme mais dans la perspective d'une espérance surnaturelle. Au plan humain, je suis plus que jamais convaincu de la vérité du « politique d'abord ». Les prochaines décennies seront atroces. Il faut que nous bâtissions l'arche, qui permettrait aux Français de traverser, sans trop souffrir, le déluge des barbaries, l'américaine comme la soviétique ou l'islamique. • FIN
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Une politique pour l'an 2000 de Pierre Debray
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Sortie à la fin de la semaine du n°48 (printemps 2018) de la revue Synthèse nationale
Au sommaire :
=Editorial - Roland Hélie
=L'escroquerie éolienne - Marc Rousset
=La campagne anti-éoliennes d'Alban d'Arguin
=De quelle droite parle-t-on ? - Patrick Parment
=Le problème corse - Arnaud Menu
=La dédiabolisation n'est pas nouvelle au FN - Franck Buleux
Le FN a changé de nom ? Jean-François Touzé
=La Jeanne d'Arc d'Orléans - Bernard Plouvier
=On en finit pas de payer Mai 1968 - Pieter Kerstens
=La chronique de Philippe Randa sur Mai 68
=Il y a 40 ans François Duprat était assassiné
=Célébrons nos petites victoires - Arnaud Menu
=L'AF n'est plus, VIVE LE ROI quand même - Aristide Leucate
=Des censeurs aux mains pures - Morgane De Cruzy
=Mort aux confrères - Eric Delcroix
=L'essor de l'Afrique - Arnaud Raffard de Brienne
=Les pages du Marquis - Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
=Les pages littéraires - Georges Feltin-Tracol, Jean-Claude Rolinat, Daniel Cologne
=Les chroniques de Patrick Gofman et de Charles-Henri d'Elloy
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Un entretien avec Pierre Debray : « Construire l'arche qui permettrait aux Français de survivre au déluge des barbaries »
Nous avons achevé hier la publication de l'étude magistrale de Pierre Debray parue en novembre 1985 dans le mensuel Je Suis Français, sous le titre Une politique pour l'an 2000. On s'y reportera avec profit en utilisant les vingt-six liens ci-dessous. A l'issue de la parution de cette étude, Pierre Debray avait encore donné à Je Suis Français un entretien complémentaire et conclusif. Nous le publions en deux parties, c'est à dire aujourd'hui et demain mercredi. LFAR
Je Suis Français : Pourquoi avez-vous attendu si longtemps pour rédiger un texte qu'annonçaient déjà vos articles de la fin des années cinquante ?
Debray : Une réunion de famille me fit rencontrer, à cette époque, le patron de R.V.I., l'un des principaux dirigeants de Renault. Je lui expliquai que, d'ici une vingtaine d'années, son entreprise serait en situation de faillite. Il me prit pour un fou. Comment aurait-il pu réagir autrement ? Son carnet de commandes était rempli, au moins pour dix-huit mois. La suite devrait pourtant confirmer mon diagnostic. Il est toujours dangereux d'avoir raison trop tôt, surtout quand on ne maîtrise pas les instruments de technique économique qui auraient permis de fournir des arguments capables de convaincre.
Vous n'êtes pas un économiste de métier.
De métier je suis historien, encore qu'on ne puisse faire sérieusement de l'histoire, de nos jours, si l'on n'est pas un peu économiste et sociologue. J'ai eu la chance de rencontrer un homme extraordinaire, que je tiens pour le premier économiste de France, bien avant M. Barre, qui n'est, au mieux, que le meilleur auteur de manuel : Alfred Sauvy.
Un homme de gauche.
Debray : Sentimentalement, mais libéré de toute idéologie « libérale » ou « socialiste ». Un esprit libre. Au départ, je me contentais de tirer les conséquences de l'évolution technologique. Dès les années cinquante, on savait que l'automation allait bouleverser la production industrielle et même les services administratifs. Du moment que les responsables politiques et économiques n'en tenaient pas compte, il était facile de prédire la crise. Néanmoins Sauvy m'a fourni l'explication du processus et surtout il m'a montré comment les mentalités constituaient l'obstacle principal. Il suffit d'interroger les gens. Ils sont persuadés que s'il a du chômage c'est que la durée du travail est trop longue. Aussi convient-il de la réduire afin d'embaucher. Or c'est le contraire qui est vrai. Plus la durée du travail est longue, moins il y a de chômeurs.
Cela commence à se savoir.
L'expérience des 39 heures n'a pas été inutile, de ce point de vue. Mais il est encore plus difficile de faire comprendre à l'opinion qu'il faut enrichir les riches si l'on veut empêcher les pauvres de s'appauvrir. Pourtant les statistiques américaines démontrent que le niveau de vie des plus défavorisés a augmenté alors que l'écart se creusait entre les revenus les plus élevés et les autres. En d’autres termes, réduire l'écart entre les revenus, au nom de la justice sociale, rend plus pauvres les pauvres.
C'est le phénomène de la « nouvelle pauvreté ».
Exactement. Le luxe est créateur d'emplois. Réduisez-le et vous ne pourrez fournir du travail aux ouvriers chassés des usines par le progrès technique. Il faut donc augmenter et non diminuer artificiellement, par des prélèvements fiscaux, le nombre de ménages susceptibles de se livrer à des dépenses somptuaires.
L'égalitarisme démocratique est donc la cause véritable du chômage ?
Cela se démontre, mathématiquement. Sauvy a donné une formulation rigoureuse de ce qu'il nomme l'effet de déversement.
Vous proposez l'abolition de l'impôt sur le revenu. Les socialistes l'ont déjà réduit.
Ils l'ont réduit de façon uniforme. Ce qui est une forme de relance par la consommation extrêmement dangereuse. La réduction doit d'abord favoriser les hauts revenus, qui utiliseraient l'argent que ne leur prendrait pas le fisc soit pour investir soit à des dépenses somptuaires. Ce qui, dans l'un et l'autre cas, aboutirait à des créations d'emploi.
De même vous proposez qu'on ne verse plus d'allocations chômage mais que l'on utilise l'argent pour employer les chômeurs à des travaux d'intérêt public. Vous allez pénaliser les entreprises.
Pas du tout. Il y a des travaux dont nul ne conteste la nécessité mais que l'on n'exécute pas faute d'argent. Or nous disposons d'une force de travail inutilisée. Il convient de confier ces travaux à des entreprises, qui embaucheront des chômeurs, les collectivités locales les finançant grâce aux allocations qui auraient été versées de toutes façons et elles percevront les cotisations sociales. Personne n'y perdra rien : ni la collectivité, qui aurait payé des gens à ne rien faire, ni la sécurité sociale qui n'aurait pas reçu, de toutes façons, de cotisation. Si les travaux sont bien choisis, ils favoriseront la reprise économique donc la création d'emplois définitifs. Cette proposition n'a rien d'utopique. Elle a été formulée, de façon moins précise, par le maire de Nîmes.
Les fameux TUC ?
Les TUC sont généralement un moyen d'occuper les jeunes à des tâches non rentables et en dehors du cadre normal qui est l'entreprise. Comme nous l'avons constaté pour la réduction de l'impôt sur le revenu, les socialistes cultivent l'art de pervertir les bonnes idées.
On peut discuter vos propositions. Elles ont du moins le mérite de poser exactement le problème. Les fonctionnaires du Plan admettent la fatalité du chômage, liée au fait que l'homme est chassé de l'usine par la machine. Vous partez par contre d'une remarque de bon sens : ce n'est pas le travail qui manque mais l'argent pour le payer. Il faut donc éviter de gaspiller l'argent en entretenant des gens à ne rien faire.
L'Etat entretient des parasites qui coûtent très cher car ils sont bien payés et encore n'est-ce que demi mal quand ils sont payés à ne rien faire, ce qui est le cas d'un certain nombre de «chercheurs» du CNRS. Quand ils s'occupent, c'est à empêcher les autres de travailler.
La nouvelle lutte des classes oppose, selon vous, le peuple fainéant au peuple travailleur.
La décentralisation à la socialiste aboutit à doubler les parasites d'Etat de parasites régionaux, départementaux et communaux. Toujours cet art de pervertir les idées justes. (A paraître demain : suite et fin de cet entretien)
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