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divers - Page 304

  • Très bonne nouvelle : L'unité des royalistes refaite en Provence

    François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale

    Autre bonne nouvelle en marge de notre « Colloque Maurras » réussi de samedi dernier.

    François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale ont en effet tous deux annoncé au cours de la soirée militante d'après-colloque que l'Action Française refaisait son unité en Provence, mettant fin à la division en deux camps (RN et CRAF) née il y a une vingtaine d'années. Cette décision est prise dans le cadre d'une évolution de même nature devant intervenir sur le plan national en 2018.

    Régionalement, ce regroupement se fait au sein de l'Union Royaliste Provençale, « canal historique » de l'Action Française en Provence, sous l'autorité de Jean Gugliotta, son cinquième président depuis la fondation de l'Action Française. Sur le plan national, ce regroupement se fait au sein du CRAF et ultérieurement au sein d'une Action Française réunie.

    Jean Gugliotta dirige donc désormais l'ensemble des royalistes d'Action Française de Provence. Il sera assisté de deux adjoints pour les groupes de jeunes (Guy Bertran et Bertrand Raffaillac-Desfosse).   

    Cette unité reformée est gage d’une efficacité et d’un rayonnement accrus de l’Action Française en Provence.

    François Bel Ker et Jean Gugliotta ont travaillé pour la bonne cause.   

    * CRAF : Centre Royaliste d’Action Française

  • 3 mai : colloque sur Mai 68

    Dans le cadre des 50 ans de Mai 68, les Jeunes du PCD organisent une table ronde pour mener une réflexion critique sur les événements survenus en France à cette période et leurs conséquences sur notre société… 

    INSCRIPTIONS ICI !

    Autour de Martial Bild, journaliste, Guillaume Bernard, historien, Paul-Etienne Kauffmann, juriste et Jean de Rouen, philosophe. Jeudi 3 mai 2018 de 19h à 22h à la Société Nationale d’Horticulture, 84 rue de Grenelle à Paris. 

    Affiche jeunes PCD mai 68

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Politique & Eco n° 167 - Quand la finance n’est pas de la spéculation mais de l’épargne.

  • « Nous sommes en train de vivre une mosaïque d’effondrements » : la fin annoncée de la civilisation industrielle

    Sur les neuf frontières vitales au fonctionnement du « système Terre », au moins quatre ont déjà été transgressées par nos sociétés industrielles, avec le réchauffement climatique, le déclin de la biodiversité ou le rythme insoutenable de la déforestation. Transgresser ces frontières, c’est prendre le risque que notre environnement et nos sociétés réagissent « de manière abrupte et imprévisible », préviennent Pablo Servigne et Raphaël Stevens, dans leur livre « Comment tout peut s’effondrer ». Rappelant l’ensemble des données et des alertes scientifiques toujours plus alarmantes, les deux auteurs appellent à sortir du déni. « Être catastrophiste, ce n’est ni être pessimiste, ni optimiste, c’est être lucide ». Entretien. 
    Basta ! : Un livre sur l’effondrement, ce n’est pas un peu trop catastrophiste ? 
    Pablo Servigne et Raphaël Stevens : La naissance du livre est l’aboutissement de quatre années de recherche. Nous avons fusionné des centaines d’articles et d’ouvrages scientifiques : des livres sur les crises financières, sur l’écocide, des ouvrages d’archéologie sur la fin des civilisations antiques, des rapports sur le climat… Tout en étant le plus rigoureux possible. Mais nous ressentions une forme de frustration : quand un livre aborde le pic pétrolier (le déclin progressif des réserves de pétrole puis de gaz), il n’évoque pas la biodiversité ; quand un ouvrage traite de l’extinction des espèces, il ne parle pas de la fragilité du système financier… Il manquait une approche interdisciplinaire. C’est l’objectif du livre. 
    Au fil des mois, nous avons été traversés par de grandes émotions, ce que les anglo-saxons appellent le « Oh my god point » (« Oh la vache ! » ou « Oh mon dieu ! »). On reçoit une information tellement énorme que c’en est bouleversant. Nous avons passé plusieurs « Oh my god points », comme découvrir que notre nourriture dépend entièrement du pétrole, que les conséquences d’un réchauffement au-delà des 2°C sont terrifiantes, que les systèmes hautement complexes, comme le climat ou l’économie, réagissent de manière abrupte et imprévisible lorsque des seuils sont dépassés. Si bien que, à force de lire toutes ces données, nous sommes devenus catastrophistes. Pas dans le sens où l’on se dit que tout est foutu, où l’on sombre dans un pessimisme irrévocable. Plutôt dans le sens où l’on accepte que des catastrophes puissent survenir : elles se profilent, nous devons les regarder avec courage, les yeux grand ouverts. Être catastrophiste, ce n’est ni être pessimiste, ni optimiste, c’est être lucide. 

  • Réinfo, magazine d'information du Parti de la France du 23 avril 2018

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  • Russia Today, un danger pour la France… ou pour Macron?

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    Xenia Fedorova, la patronne de Russia Today France, janvier 2018. SIPA. AP22151430_000001

    La chaîne de télévision est peut-être surtout coupable de sa différence par Martin Pimentel

    En commençant à émettre ses programmes en français en décembre dernier, la chaîne d’information en continu Russia Today (RT) se lançait dans un paysage audiovisuel saturé. Sa diffusion est pour l’instant confidentielle et elle ne communique pas ses audiences : on ne peut la recevoir que sur Free ou via son site internet. Dans ces conditions, on aurait presque envie de dire ironiquement aux Russes : « Bonne chance… » C’était sans compter sur la « macronie » et ses médias !

    Lire la suite sur Causeur