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divers - Page 356
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Le Journal du Chaos de cette semaine
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Fresnes : la prison de la honte ? - Journal du mercredi 12 juillet 2017
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JO : dernière ligne droite pour Paris 2024 - Journal du mardi 11 juillet 2017
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Enquête sur les médias dissidents
Rarement pour le meilleur, mais très souvent pour le pire, nous vivons dans la société de l’information, des médias, où nos cerveaux sont pilonnés par un flux incessant d’informations annihilant le peu de réflexions dont nous pourrions être encore capables.
Face à cet état de fait, il faut contester le quasi-monopole des médias du système en délivrant une contre-information accessible et de qualité. Et, à partir du moment où l’on a décidé de s’opposer à l’adversaire par le bon combat médiatique, il faut que les courants politiques dissidents – dissidence signifiant actuellement rupture avec le mondialisme ambiant dans ses différentes acceptions (économiques, sociétales, religieuses, politiques) – aient des moyens médiatiques efficaces, informant les citoyens de tout ce qu’il y a de détestable et de déraisonnable dans l’idéologie officielle contemporaine.
Pour qui suit un peu ce qui se fait dans la presse, les blogs et autres sites dissidents, de nombreuses questions viennent naturellement à l’esprit: par exemple, n’existe-t-il pas trop de médias sans influence parce que lilliputiens et donc sans moyens ?
Au sein d’une même tendance dissidente (par exemple, la catholique traditionaliste), ne trouve-t-on pas trop de médias qui disent plus ou moins la même chose, se divisant à outrance les « parts de marché » d’un lectorat dont la taille n’est pas extensible à volonté ?
Certains moyens de diffusion ne sont-ils pas périmés ou à l’inverse ne fait-on pas trop grand cas d’internet alors qu’il s’agit non pas de créer un lectorat « shooté » à l’information dissidente, mais une base de militants solidement formés et se projetant sur le long terme ?
Pour répondre à ces questions, nous avons interrogé des médias dissidents, au moins quelques-uns de ceux qui peuvent se prévaloir d’une certaine réussite (par exemple, à travers leur longévité, leur influence, leur développement rapide, etc.) : Martial Bild de TV Libertés, Samuel Martin de Présent, la rédaction d’Egalité & Réconciliation et Pierre-Alain Depauw de Médias-Presse.info.
Dans ce numéro également :
– Présentation du programme agricole de Civitas,
– Derniers développements du CETA (Accord Economique et Commercial global) et TTIP (Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement),
– Présidence Maltaise de l’Union Européenne et situation de l’Ordre de Malte,
– Evolution de la présence de l’Eglise catholique en Europe depuis 1960 : Dans le but de mieux connaître ce qui est favorable ou, au contraire, nuisible à l’expansion de l’Eglise catholique, nous exposons, après avoir vu dans le n° 63 l’immigration et l’émigration en Europe, quelques critères de la présence démographique catholique en Europe, depuis les années 60,
– Les causes de la Révolution : la défaillance des élites et la crise de la Noblesse,
– Entretien avec Nicole Hugon, Présidente des Amis de Saint Bernard de Lyon,
– Le service du vin.
Vous pouvez acheter ce numéro au prix de 10 euros (port compris) par courrier envoyé à Civitas, BP10100, 95103 Argenteuil Cedex, soit avec le lien suivant :
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Stratégie et dialectique
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Pierre Hillard Atlas du mondialisme 3/3
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Pierre Hillard Atlas du mondialisme 2/3
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Terres de Mission 40
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Naturellement, dans ce contexte, le chef sera toujours primus inter pares, un produit spontané du ressenti communautaire, et non un satrape asiatique haussé sur les boucliers par quelque droit divin immuable
La communauté est toujours, aussi, hiérarchie. Bien entendu, celle-ci est fonctionnelle, pragmatique, révolutionnaire, non sclérosée, sans alibis et cristallisation. (…)Avoir un chef est naturellement blasphématoire dans une vision des rapports sociaux basée sur l’égalitarisme et l’individualisme. En effet, la pensée dominante cherche, depuis plus de deux mille ans, et avec des résultats paradoxaux, à éliminer toute forme de domination de l’homme sur l’homme. On peut même dire que c’est ici l’empreinte véritable du discours idéologique de l’Occident, et même le dénominateur commun à toutes ses variantes. Qu’il existe des communautés, des peuples, des groupes humains qui reconnaissent à de simples personnes des capacités supérieures ou des qualités permettant de se mettre à leur suite, apparaît totalement monstrueux et à la limite indiquerait un manque de maturité de l’ego. On comprend mal, cependant, pourquoi, du point de vue de l’activité psychique, il devrait être plus problématique de réussir à se discipliner dans un contexte ordonné plutôt que dans le refus de tout type de contrainte. (…) Si le seul galonné est l’exemple, celui qui sait l’être de manière plus pleine, significative et cohérente, deviendra le guide naturel des autres. Naturellement, dans ce contexte, le chef sera toujours primus inter pares, un produit spontané du ressenti communautaire, et non un satrape asiatique haussé sur les boucliers par quelque droit divin immuable. Les critiques de cette conception qui parviennent de la gauche sont injustifiées, étant donné que parmi les orphelins de Marx s’il existe une allergie à la hiérarchie, la mentalité d’église et de dogme demeure très forte, avec un niveau très bas de tolérance pour l’hérésie et la pensée individuelle. Et il devient ardu de soutenir que la libre adhésion à celui qui incarne une idée comme est plus contraignante que la soumission au mélange culturel, politiquement correct, chantage social et obtusion de masse qui constitue l’essence anthropologique de la gauche. où y a-t-il davantage de justice et de liberté que dans la conception classique du suum cuique tribuere ? Donner à chacun son dû, selon les enseignements d’Ulpiano : « Justitia est constant et petpetua voluntas ius suum cuique tribuendi ». On peut se demander, naturellement, s’il existe véritablement des modèles réels et humains, d’une organisation sociale capable de donner à chacun son dû. Le doute se fait pressant si on se déplace de la communauté militante à la communauté d’état, à savoir depuis le micro-niveau du groupe volontaire et conscient, au contexte de la société dans son ensemble, à laquelle il faut insuffler le même esprit, objectif qui devrait représenter le but ultime de toute révolution. Cette question souligne la complexité de la réalité, toujours en excédent par rapport aux modèles abstraits, mais auxquels échappe la donnée essentielle : la conscience qu’a chacun de son rôle, de sa fonction dans l’ensemble, et dont le but d’une vie pleinement vécue est de rechercher le rôle, la place et la fonction qui lui sont propres. Cette tension vers l’organicité, plus que la perfection organique idéale, fait la différence entre les différentes conceptions de l’homme et de son rapport avec ses semblables. Entre celui qui estime qu’il doit se donner une forme et une signification, et celui qui entend se diluer dans les brumes indistinctes du néant, à chacun son dû.Adriano Scianca, Casapound. Une terrible beauté est née -
Terres de Sport n°12 Ultras Les passionnés du foot, MMA l'histoire du free fight