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divers - Page 358

  • L'été du Café-Histoire de Toulon : juillet - août 2017

    Le Café-Histoire de Toulon communique :

    1) A ne pas manquer sur Youtube ! La passionnante causerie d'Antoine de Crémiers,responsable éditorial à la Nouvelle Revue Universelle, sur le thème : Les catholiques devant le danger transhumaniste. est visualisable (Cliquer-ici).

    2) ) Surtout ne ratez-pas la causerie du 12 juillet 2017 qui sera assurée par Anne Brassié , responsable de l'émission Perles de Culture sur TVLibertés, et portera sur : La culture au service du Bien.

    Le Président de la République l'a affirmé « Il n'y a pas de culture française ». Pour sa part, Anne Brassié a rencontré la culture française et elle nous expliquera pourquoi la culture doit-être au service du Bien. Anne Brassié, professeur de français à l'origine, auteur de biographies, journaliste littéraire a reçu un écrivain pendant 30 ans, chaque jeudi sur Radio Courtoisie. Elle anime deux émissions hebdomadaires l'une sur Radiolibertés et Perles de Culture sur Tvlibertés ( cliquez-ici). Il y est question de cinéma, de littérature, d'art et de patrimoine et elle s'attache à mettre en valeur cette culture française «  qui n'existe pas » ! 

    Brassié 2

    Mercredi 12 juillet 2017 à 20 h 
    Le Graal, Pub associatif des Missionnaires de la Miséricorde 
    377 avenue de la République - 83000 Toulon 
    (entrée gratuite, même pour la Présidence de la République )

    3) Fortement demandée par les " Prouvèçau e catouli " ,  le 25 juillet,  le professeur Alain Vignal, membre de l'Académie du Var, organise pour le Café Histoire de Toulon et les Amis du Graal, une visite gratuite et ouverte à tous, du vieux Toulon historique et religieux. Prévoir 1h30. Rendez-vous à 17h00 sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame de la Seds, où tout commence...

    4) Cet été, du 20 au 26 août, Marie-Madeleine débarque sur la Côte d’Azur et fait revivre la Tradition de Provence ! Les précieuses reliques de la Sainte conservées à la Sainte-Baume, pélerinent par la mer entre Toulon et Marseille avec les frères dominicains. Assistez au départ, le 20 août, Toulon, de l'église Saint-François de Paule de Toulon à la basilique Saint Victor de Marseille le 26 août en passant par Six-Fours-les-Plages, Saint-Cyr les Lecques, La Ciotat et Cassis (Cliquer ici).

    5) Sur la plage vous pouvez suivre deux des "causeurs" du Café Histoire de Toulon (Antoine de Crémiers et Philippe Lallement), dans le numéro 48 du trimestriel : la Nouvelle Revue Universelle (associationregali a@gmail.com).

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    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Courte réflexion sur l'effacement des partis politiques dans l'histoire de France, des socialistes aux royalistes.

    Le marché de Versailles bruissait des bruits ordinaires d'un dimanche matin, entre cloches de l'église Notre-Dame voisine et harangues des marchands, et il s'y rajoutait les annonces électorales des distributeurs de tracts qui, toujours, précédent le temps des urnes : j'ai, ainsi, récupéré quelques libelles de couleurs variées et quelques portraits des prétendants à un des 577 sièges du Palais-Bourbon, tous plus souriants et sérieux à la fois les uns que les autres. Évidemment, on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre, et toute campagne électorale a ses rituels : il m'arrive aussi d'y sacrifier parfois, en particulier lors des élections européennes, et j'aime ce contact direct avec des électeurs qui, malheureusement, ne se transforme pas toujours en voix sonnantes et trébuchantes au fond des urnes...

    S'il y avait bien de fortes délégations matinales du candidat de la droite conservatrice et de celui du mouvement présidentiel, ainsi que celles, moins nombreuses, de la gauche radicale, des Verts et de quelques « indépendants » (sans oublier les partisans asselinesques du Frexit), le Parti Socialiste brillait par son absence, et l'une des fidèles militantes de ce qu'elle nomme désormais « feu le Parti de Jaurès » affichait ostensiblement une grande indifférence à l'agitation politicienne voisine : il est juste de signaler aussi que, dans les rangs des « Marcheurs » comme ils se nomment, j'apercevais ceux qui, il y a encore moins de deux ans, me vantaient les mérites de la rose au poing... Autres temps, autres engagements, pourrait-on ironiser, mais c'est surtout la démonstration du bouleversement, non des idées ou du paysage idéologique en tant que tels, mais de l'offre politique partisane. En cinq ans, le PS est devenu une sorte de PASOK français (1), perdant en ce court laps de temps, tous les pouvoirs et toutes les positions qu'il occupait insolemment et complètement quand MM. Hollande et Ayrault assuraient, au sortir de la victoire présidentielle du premier nommé, la dyarchie républicaine en un attelage qui allait s'avérer maladroit et incertain.

    Cette « disparition » du PS n'est-elle qu'un « moment » de la vie du parti refondé au Congrès d'Epinay par François Mitterrand en 1971 ? Peut-être, mais qui sait vraiment ? Chez notre voisin italien, les partis qui ont organisé la vie politique nationale des années de l'après-guerre aux années 1990 ont purement et simplement quitté la scène électorale et gouvernementale, abandonnant aussi leurs noms historiques, que cela soit le Parti Communiste Italien, son homologue socialiste, mais aussi la Démocratie Chrétienne et, pour d'autres raisons mais avec le même résultat, le Mouvement Social Italien néo-fasciste.

    D'ailleurs, les royalistes eux-mêmes ont connu cet effacement à leur corps défendant, et les quelques groupes monarchistes qui militent encore et, heureusement, toujours pour l'établissement d'une Monarchie royale héréditaire et familiale, ont, en fait, tout à reconstruire, à se reconstruire : c'est aussi le cas au Portugal et en Italie, comme si le lien rompu d'un pays avec sa dynastie nationale avait privé ses partisans d'une sève précieuse pour, simplement, vivre et prospérer. Avouons que les Républiques n'ont pas cette difficulté, comme si leur nature, plus « nomade », les préservait d'un déracinement qui, de toutes les façons, ne les concernent pas, faute d'un enracinement véritable, filial...

    Pourquoi cette remarque sur les royalistes, dont je suis, comme chacun sait ? Sans doute parce que j'aspire à voir renaître un royalisme vif, visible et fort, un royalisme politique et d'abord politique, crédible et réfléchi, qui s'inscrive dans une tradition vivante et critique pour ne pas être nostalgique et stérile. Il n'y a pas de fatalité : l'effacement du royalisme comme réalité politique, qui s'est sans doute fait en quatre temps (2), ne signifie pas que la Monarchie soit moins nécessaire mais seulement que le chemin est plus ardu pour la faire advenir. Les récents événements politiques tendent néanmoins à prouver que rien n'est jamais complètement écrit ni, peut-être, définitif : que certains adversaires républicains de M. Macron le qualifient (à tort ou à raison, qui sait ?) de « président monarque » ou de « régent » peut nous surprendre mais cela doit-il seulement nous indigner ? Et, d'ailleurs, n'est-il pas trop tôt pour trancher, malgré les sympathies oligarchiques trop certaines du locataire nouveau de l’Élysée ? Et ne peut-on y discerner l'annonce symbolique d'une sorte de « retour du futur » ? Ou d'une reconnaissance inconsciente d'une « absence » que, là encore, l'actuel président, encore loin de sa candidature et de sa victoire de mai 2017, signalait dans son fameux entretien de juillet 2015 (3) ? Certes, il n'y a plus de Pierre Boutang pour murmurer à l'oreille du « Prince » (et là, je parle, dans le sens de Machiavel, de celui qui siège à l’Élysée) (4), mais ne peut-on pas travailler à forger un « appareil » royaliste susceptible de faire entendre « la voix du Roi », y compris jusqu'au sommet de l’État ?

    (à suivre, forcément !)

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1420:courte-reflexion-sur-leffacement-des-partis-politiques-dans-lhistoire-de-france-des-royalistes-aux-socialistes&catid=51:2017&Itemid=62

  • «L’avenir appartient à ceux qui ne capitulent pas»

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    Par rapport à nos ancêtres, nous nous sommes vraiment distingués par la lâcheté, la passivité fataliste et la paresse. Tout cela, cependant, peut changer rapidement.

    Un entretien avec Milos Kovic, historien, professeur qui a publié un livre sur un moment difficile où seul un chemin restait pour la Serbie et pas très prometteur – « L’unique voie : Pouvoirs de l’Entente et la défense de la Serbie en 1915 ».

    A quel point est-elle précise la théorie selon laquelle il existe des événements tragiques, d’une force exceptionnelle, qui façonnent vraiment l’identité d’une nation ? Comment cela se passe-t-il et quid si nous n’apprenons pas la leçon de ces expériences ?

    – L’éminent écrivain français Renan a écrit dans sa conférence « Qu’est-ce qu’une nation? » que les gens sont souvent liés par des souvenirs de souffrance partagée, et les Serbes ne font pas exception. Aujourd’hui, lorsque la Yougoslavie n’est plus, il n’y a aucune raison pour que Jasenovac ne soit pas ramené au centre de l’identité serbe, tout comme les Juifs l’ont fait avec Auschwitz.

    Au cours des guerres des Balkans et la Première Guerre mondiale, nous avons eu une grande victoire, mais aussi beaucoup de souffrances. Nous avons toujours été critiqués pour bâtir notre identité sur la souffrance, la défaite et, par conséquent, pour ne pas regarder vers l’avenir.

    – Lorsque les Américains vous posent une question comme celle-ci, ils devraient se souvenir du spectacle de Hollywood « 300 » sur Leonidas, qu’ils ont filmé et gagné une somme d’argent considérable. Quelle est l’éthique enseignée dans ce film? Il ne s’agit pas de célébrer seulement les défaites. Les batailles sont menées afin d’être gagnées. Personne ne veut mourir. L’éthique de la guerre exige du courage, de la sagesse et de la victoire. Et les défaites nous apprennent des leçons et elles devraient nous rendre plus sages.

    Si nous établissons une comparaison entre le comportement des Alliés pendant la Première Guerre mondiale et ce qui s’est passé dans les années quatre-vingt-dix, nous pouvons constater que dans les deux cas, les intérêts serbes ont été écrasés et trahis, mais malgré toutes les décisions préjudiciables pour nous, nous marchons toujours vers l’intégration européenne.

    – En 1914, l’Empire austro-hongrois avait un bâton dans une main, et dans un autre, il avait un sac, et ils ont offert l’intégration à la Serbie, de meilleures routes, de meilleurs soins de santé, de meilleures écoles. La seule condition était d’abandonner l’indépendance. Aujourd’hui, l’UE a le même comportement, pire encore. Le bâton est plus épais et les carottes sont plus fines. Il est intéressant de noter que, à l’heure actuelle, un grand pourcentage de Serbes sont prêts à plonger le pays dans l’UE et à renoncer à la souveraineté et à la liberté, et en 1914, cela était impensable.

    Pourquoi était-ce impensable?

    – Les réponses se trouvent en nous-mêmes. Nous sommes soumis à un traitement spécial par les grandes puissances qui ont appliqué des méthodes similaires à Hawaii, aux Philippines, au Far West, en Inde. Mais nous ne pouvons pas tout le temps jeter la faute sur quelqu’un d’autre. L’honneur serbe a été rendu célèbre par les Serbes de la Republika Srpska et l’ancienne République de Krajina (en Croatie). Regardez le malheureux Monténégro, l’ancienne Sparte serbe. Ou notre Belgrade affligée, qui agit toujours comme si c’était la capitale de la Yougoslavie. Par rapport à nos ancêtres, nous nous sommes vraiment distingués par la lâcheté, la passivité fataliste et la paresse. Tout cela, cependant, peut changer rapidement. Vladislav Petković Dis (poète serbe) se lamentait de la même manière sur les vices serbes, à la veille des grandes victoires 1912-1918. Nous n’avons besoin que de détermination, d’intelligence et de courage.

    De nos jours, beaucoup de gens croient que nos défaites de la fin du XXe siècle sont enracinées dans les victoires des guerres des Balkans et de la Première Guerre mondiale, parce qu’à cette époque, nous avions obtenu un nouvel Etat?

    – Je dirais que ce genre de débat ne concerne que les années quatre-vingt-dix. Les générations qui fuyaient la mobilisation militaire et protestaient contre leur propre pays, alors que les Serbes de l’autre côté du fleuve Drina se battaient pour la survie, maintenant ils fuient leur propre faiblesse et accusent leurs grands-pères et leurs arrière-grand-pères. Ces pères ont plongé un sabre puissant dans la pierre dure, et leurs fils, ne pouvant sortir cet épée, en accusent leurs pères. Nos grands-pères nous ont laissé un excellent Etat yougoslave. Nous, notre génération, nous n’avons pas su le conserver. Il est facile de jeter la faute sur les morts pour notre propre faiblesse. Regardons dans le miroir et répondons à la question de savoir où nous étions et ce que nous avons fait dans les années quatre-vingt-dix, lorsque la Yougoslavie a été démantelée et ce que nous faisons aujourd’hui lorsqu’ils essaient de détruire notre Serbie.

    Qu’est-ce qui est réellement arrivé aux Albanais en 1912, 1913, 1914 et après 1941?

    – On avait proposé aux Albanais musulmans, qui étaient une classe privilégiée dans l’Empire ottoman, de vivre dans un Etat yougoslave relativement bien ordonné et moderne au lieu de vivre dans l’Empire ottoman. En tant que citoyens égaux avec leurs anciens serfs. Malheureusement, la plupart d’entre eux ont refusé. L’hostilité des Albanais vis-à-vis du nouvel Etat était fondée sur des motifs religieux et de classe. C’est pourquoi, dans la guerre mondiale qui s’en suivait, la majorité a pris parti des occupants et des ennemis du peuple serbe et ont de nouveau commis un génocide contre le peuple serbe au Kosovo et en Macédoine, mais aussi contre les Macédoniens.

    Dans quelle mesure le problème a-t-il été exploré dans l’historiographie serbe? Y avait-il des punitions et des représailles dans l’armée serbe?

    – Oui il y en avait. Il y a des commandements conservés des officiers lors de la retraite en Albanie indiquant que tout vol de civils albanais serait sévèrement puni. Dans la petite histoire Resimić, le batteur, Dragisa Vasic décrit un tel cas, lorsque les soldats serbes affamés, en traversant l’Albanie, volent de la volaille dans un village albanais et, à la demande des paysans, l’officier serbe fusille ces enfants. C’était un événement historique vrai.

    Simon Sebag Montefiore dans son Jérusalem, considère les Albanais très au sérieux et note qu’ils sont devenus un groupe ethnique fort depuis le début du 19e siècle. Par quel moyen les avons-nous sous-estimés en tant que groupe et un pouvoir politique?

    – Il faut dire que Belgrade a vraiment sous-estimé le nationalisme albanais et qu’il était généralement méprisé. Nous n’avons pas été en mesure d’encourager les professionnels des études albanaises. Il y en avait, mais pas assez. Il est encore difficile de trouver quelqu’un qui s’occupera de cette question importante. Contrairement aux Albanais qui, au moins au Kosovo-Metohija, apprenaient le Serbe, nous n’apprenais pas l’Albanais. Donc, il y a eu une sous-estimation, en particulier du nationalisme albanais, et nous en avons payé le prix. Néanmoins, nous ne devons pas perdre de temps en nous accusant nous-mêmes, nous ne devons pas perdre confiance en notre propre force et nous ne devons pas oublier que l’avenir appartient à ceux qui ne capitulent pas.

    Milos Kovic 31/05/2017

    Traduction du Serbe : Svetlana MAKSOVIC

    Source:
    https://zurnalist.rs/intervju-nedelje/item/1369-bitke-se-vode-da-bi-se-pobedilo.html
    25.05.2017.

    Milos Kovic : Historien serbe, docteur en sciences historiques et professeur adjoint au département d’histoire, Faculté de philosophie de Belgrade, Serbie.
    Il est l’auteur du best-seller historiographique « Disraeli and the Eastern Question » (« Disraeli et la question de l’Est ») – Ed.
    Par Oxford University Press, 2011. 364 pp. / Revue: British Scholar:
    http://britishscholar.org/publications/2012/11/27/november-2012-disraeli-and-the-eastern-question/
    Les domaines de sa recherche sont les relations internationales (fin du 18e au début du 20e siècle), l’histoire des idées politiques (fin du 18e au début du 20e siècle).
    Il était à l’Université d’Oxford pour un développement professionnel en 2004-2005. Il a participé à des conférences internationales à Londres, Florence, Iéna, Sofia, Belgrade.

    Image : Photo d’un soldat de la Grande guerre

    https://www.polemia.com/lavenir-appartient-a-ceux-qui-ne-capitulent-pas/

  • L'été approche, la parution du nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy, "Les enfants de Maastricht" aussi...

    377435738.jpgSouvenez-vous de l'été 1992. Il y a 25 ans, les Français allaient être conviés à se prononcer par référendum sur le traité de Maastricht...

    « La génération Maastricht ne se compose pas seulement des jeunes cabotins des émissions de téléréalité. Contre toute attente, et malgré le matraquage des médias et la propagande dispensée dans les grandes écoles, il demeure une jeune élite, rebelle aux forces dominantes. Ces réactionnaires forment-ils le dernier carré de la jeune garde qui meurt et ne se rend pas ? Seraient-ils les derniers légionnaires de Camerone ? L’Histoire n’est pas écrite d’avance. Il ne faut jamais, jamais croire à un quelconque “sens de l’Histoire” ; cette expression ayant été inventée par des fatalistes et des défaitistes qui, par calcul ou par lâcheté, se sont souvent ralliés aux forces du déclin. »

    Sans complaisance ni dramatisation, Charles-Henri d’Elloy esquisse le portrait d’une jeune génération qui devra assumer sa part de responsabilité dans la destinée d’une France confrontée aux fracas des grands bouleversements de l’Histoire du monde.

    Les enfants de Maastricht, Charles-Henri d'Elloy, Les Bouquins de Synthèse nationale, 88 pages, 18 €

    Sortie le 28 juin : le commander dès maintenant en ligne cliquez ici

    Le précédent essai de Charles-Henri d'Elloy cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pierre Yves Rougeyron : Les évènements à venir (19 et 20 juin)

  • Au Forum #7 : Les Rapatriés | Le mythe Gaullien en Algérie | Macron soumis au FLN ?