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divers - Page 450

  • Les conséquences dramatiques des « mariages » homosexuels

    Nous apprenons que cette année 3 % des « mariages » en France ont concerné des duos homosexuels. Paris atteint le record avec 1.331 unions homosexuelles soit 13 % de la totalité des mariages. Dans le quartier du Marais, ce chiffre passe à 32 %. Compte tenu des données qui viennent d’Amérique, nous pouvons vraiment leur souhaiter du bonheur car ils vont en avoir besoin.

    Nous avons donné les références de nos affirmations en nous basant sur des recherches scientifiques ; ceci non pas pour allonger le texte mais afin de ne pas pouvoir être accusés d’homophobie. Ces références ont été laissées en langue américaine afin de faciliter d’éventuelles recherches à nos lecteurs. Les titres des articles concernés se suffisent souvent à eux-mêmes.

    Nous pensons réellement rendre service aux homosexuels en leur exposant ces faits établis par des travaux scientifiques.

    1. Une étude a suivi 156 couples de même sexe. Seulement sept d’entre eux pratiquaient la fidélité dans leurs relations sexuelles. Il est noté que cette situation favorisait la diffusion des maladies vénériennes et les états de détresse psychologiques. (McWhirter, D. and Mattison, A. “The Male Couple: How Relationships Develop.” (Upper Saddle River, NJ: Prentice Hall).
    2. Les couples de lesbiennes sont statistiquement très instables par rapport aux couples hétérosexuels. (“Comparative Relationship Stability of Lesbian Mother and Heterosexual Mother Families: A Review of Evidence,”  Marriage and Family Review 46: 499-509).
    3. Une étude danoise parue en 2011 concerne les douze premières années de légalisation du partenariat homosexuel (les Danois n’ont pas osé qualifier ce type d’union de « mariage »). Le risque de suicide chez les hommes est multiplié par huit. (Mathy, R. et al. 2011. “The Association between Relationship Markers of Sexual Orientation and Suicide: Denmark, 1990-2001,” Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology, 46: 111-117).
    4. En 2010, l’ U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study a établi que 40 % des couples de lesbiennes ayant conçu un enfant par PMA s’étaient séparés. (Gartrell, N. & Bos, H. 2010. “U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study: Psychological Adjustment of 17-year-old Adolescents,” Pediatrics, 126 (1): 28-36.)

    http://www.medias-presse.info/les-consequences-dramatiques-des-mariages-homosexuels/21895

  • Ingénierie sociale, politique et mondialisation

    Jacques Attali, un des plus fins observateurs socio-politiques de l'époque, ne cesse de le rappeler, que ce soit dans ses publications ou ses interventions médiatiques : la plupart des dirigeants contemporains ne poursuivent fondamentalement que deux buts, le premier étant de mettre sur pied un gouvernement mondial ; le deuxième, afin de protéger ce gouvernement mondial de tout renversement par ses ennemis, étant de créer un système technique mondialisé de surveillance généralisée fondé sur la traçabilité totale des objets et des personnes. Ce système global de surveillance est déjà fort avancé grâce à l'informatique, à la téléphonie mobile et aux dispositifs de caméras, statiques ou embarquées dans des drones, en nombre toujours croissant dans nos villes. Un pas supplémentaire sera bientôt franchi avec la technologie RFID et les implants corporels de composants électroniques émetteurs de signaux qui assureront notre géolocalisation permanente. Ce tatouage numérique, plus qu'indélébile puisqu'enfoui dans nos chairs et sous forme de puce miniaturisées jusqu'au nanomètre, contiendra en outre les informations biographiques et biométriques suffisantes pour autoriser le profilage à distance de son porteur et permettre ainsi d'anticiper sur tout comportement évalué comme potentiellement dangereux de sa part.
         Profondément travaillé par ce fantasme d'ubiquité sécuritaire, le pouvoir politique se limite aujourd'hui à l'application du principe de précaution et à une recherche effrénée de réduction de l'incertitude et du risque zéro. L'intégration mondialiste, comme projet politique imposé par certaines élites aux populations, n'est ainsi rien d'autre que la mise en place d'un vaste système de prévisibilité et de réduction de l'incertitude des comportements de ces populations, autrement dit un système de contrôle total des contre-pouvoirs. Il y a en effet équivalence entre imprévisibilité et pouvoir, ainsi que que le notent Michel Crozier et Erhard Friedberg dans un ouvrage fondateur de la sociologie des organisations : "(...) le seul moyen que j'ai pour éviter que l'autre me traite comme un moyen, comme une simple chose, c'est de rendre mon comportement imprévisible, c'est-à-dire d'exercer du pouvoir. (...) Dans le cadre de la relation de pouvoir la plus simple, telle que nous avons pu la découvrir sous-jacente à toute situation d'organisation, nous avons montré que la négociation pouvait être reconstruite en logique à partir d'un raisonnement sur la prévisibilité. Chacun cherche à enfermer l'autre dans un raisonnement prévisible, tout en gardant la liberté de son propre comportement. Celui qui gagne, celui qui peut manipuler l'autre, donc orienter la relation à son avantage, est celui qui dispose d'une plus grande marge de manoeuvre. Tout se passe donc comme s'il y avait équivalence entre prévisibilité et infériorité." 
         Ces enjeux de pouvoir politique s'inscrivent dans une lutte des classes sociales. L'homme d'affaires et milliardaire Warren Buffett confiait en 2006 auNew York Times : "Il y a une guerre des classes, c'est sûr, mais c'est ma classe, la classe des riches, qui fait la guerre et nous sommes en train de gagner."
    Gouverner par le chaos

  • Tout le monde est républicain (article paru dans L’Action Française n°2921, 03 décembre 2015)

    sans-titre-67-6c902.pngAujourd’hui, bien que les royalistes sachent se faire entendre, tout le monde, ou presque se dit républicain. Mais peut-être personne ne l’est-il authentiquement... 

    Etre républicain, pourrait nous confier un Descartes subitement tombé du règne de Louis XIII dans celui de François Hollande, semble de nos jours « la chose au monde la mieux partagée ». Car qui, en France, d’un bout à l’autre de l’échiquier politique, oserait laisser entendre qu’il n’est pas républicain ? Voilà donc une bonne question réglée. Ou presque – cette ultime restriction mentale, cette infinitésimale nuance renvoyant à trois hypothèses que l’on n’évoque ici que pour mémoire, et par scrupule.

    Tout le monde d’accord ?

    Première hypothèse : comme Descartes à propos du bon sens, supposons d’abord que tous ceux qui se disent républicains le sont effectivement. On se trouve alors face à l’alternative suivante. Soit, étant républicains, tous s’accordent par conséquent sur un corpus déterminé de valeurs, de principes et d’options institutionnelles – corpus que l’on suppose commun à tous les républicains puisqu’il constitue le critère même du républicanisme. Mais en ce cas, tous sont coupables de mensonge lorsqu’ils prétendent, la main sur le cœur, défendre des positions antagonistes alors qu’ils sont parfaitement d’accord sur le fond : comme des comparses qui se sont entendus pour mieux gruger le gogo, les différences bruyamment affichées n’ayant d’autre but que de rafler le plus grand nombre possible de parts du marché. Soit, seconde branche de l’alternative, ils ne s’accordent sur rien tout en étant malgré cela républicains. Ce qui implique alors que le mot (républicain) ne veut (à peu près) rien dire, dans la mesure où il englobe des positions incompatibles les unes avec les autres : au nom de ce républicanisme, on pourrait ainsi se réclamer tout aussi bien d’un souverainisme farouche que du fédéralisme européen, d’un président fort que du régime d’assemblée, du maintien colbertiste des services publics que d’un ultralibéralisme mondialisé, d’une « foi laïque » à la Fernand Buisson que d’une « laïcité positive », d’un jacobinisme rigide que d’un régionalisme girondin, etc. Dans ce cas, donc, "républicain" ne signifie plus rien puisqu’il recouvre tout : toutes les options possibles. Et l’on pourrait à nouveau reprocher à ceux qui s’en réclament d’être des trompeurs, quoique d’une autre manière : en ce qu’ils agitent devant les électeurs de grands mots dont ils connaissent nécessairement l’inconsistance et la vacuité. [....]

    Frédéric Rouvillois

    Être (ou ne pas être) républicain, éditions du Cerf, octobre 2015, 238 pages, 14 euros.

    Pour lire la suite , une solution, achetez l’Action Française 2000 au numéro

    Vous pourrez entendre Frédéric Rouvillois nous parler de son livre au Cercle de Flore le 22 janvier 2016

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tout-le-monde-est-republicain

  • Djibril Cissé raconte comment il abandonne jeune l’Islam et se fait catholique

    Né musulman et éduqué dans l’Islam, l’un de ses frères deviendra imam en Belgique, Djibril Cissé abandonne jeune l’Islam et se fait catholique. Il est revenu rapidement sur cet épisode de sa vie lors de l’émission de Laurent Ruquier samedi dernier dans On n’est pas couché.

    Durant cette émisison il a rendu un poignant témoignage à sa maman :

    « Déjà, ma mère elle nous a élevé toute seule. On était sept enfants…toute seule ! Moi quand j’ai mon petit de sept mois déjà au bout d’une heure je n’en peux plus alors… Imaginez ma mère avec sept, mais sept -j’avais envie d’utiliser le mot ‘voyous’ mais en ce moment, je ne pense pas- garçons très très turbulents. Elle faisait des ménages à droite à gauche du lundi au lundi sans s’arrêter. Je ne pourrai jamais la remercier assez de tous les sacrifices qu’elle a pu faire. Elle n’a pas eu de vie, sa vie c’était mettre à manger dans la bouche de ses enfants et voilà, aujourd’hui je me dois de lui rendre ».


    ONPC : Djibril Cissé évoque sa conversion au… par nonstopzappingofficiel

    http://www.medias-presse.info/djibril-cisse-raconte-comment-il-abandonne-jeune-lislam-et-se-fait-catholique/44758

  • JT du Jeudi 03 Décembre 2015 -Régionales / Focus sur la Bourgogne-Franche-Comté

  • Agitprop

    Petit rappel des principales techniques de manipulation largement utilisées par nos maîtres - avec un indéniable succès. L'origine de cette synthèse (faussement attribuée à Noam Chomsky) est perdue dans les méandres du net. Je reproduis une version "allégée" par mes soins du billet publié chez Les moutons enragés.

    1 – La stratégie de la diversion

    Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

    2 – Créer des problèmes, puis offrir des solutions

    Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

    3 – La stratégie du dégradé

    Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

    4 – La stratégie du différé

    Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

    5 – S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

    La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental.

    6 – Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

    Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

    7 – Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

    Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

    8 – Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

    Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

    9 – Remplacer la révolte par la culpabilité

    Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !...

    http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/