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divers - Page 452

  • La France malade de son matérialisme

    Lundi 16 novembre, lors du conseil municipal de la Ville de Laval (53), les responsables des groupes politiques ont eu l’occasion de s’exprimer pour rendre hommage aux victimes de la tuerie parisienne du vendredi 13 novembre. Ancien élu FN, le conseiller Jean-Christophe Gruau a indiqué que

    « les terribles – mais ô combien prévisibles – attentats de vendredi dernier ont une fois encore démontré que la France se trouve en guerre contre une partie non négligeable de sa population, celle qui veut que notre pays jadis si fier d’être considéré comme la Fille aînée de l’Eglise - par la terreur - un état islamique. » 

    Après avoir signalé que de nombreux Lavallois attendaient que « les musulmans dits modérés condamnent avec une fermeté absolue les tueries de ceux qui prétendent – à tort ou à raison -  agir au nom de l’islam », il a indiqué que la France était malade de maux qu’on entend rarement dénoncés dans une salle de conseil municipal :  

    « Elle est malade de son matérialisme, de son refus de rester fidèle aux promesses de son baptême, de ses familles décomposées et de son mariage pour tous, malade de ses 220 000 avortements annuels remboursés par la sécu, malade de la pornographie diffusée sur l’Internet auprès d’enfants incapables de savoir ce qu’est l’amour véritable, malade de son culte du corps et de l’argent, de ses émission de télévision lamentables, de ses réglementations tous azimuts, de l’impunité réservée aux délinquants d’origine étrangère, de sa novlangue politiquement correcte, malade de la pleutrerie et de la lâcheté de ses élus, etc. » 

    Michel Janva

  • Éloge de la beauté des femmes

    Texte tiré des Confessions de Félicula écrites par Ernest Renan sur les origines du christianisme dans la capitale des Gaules et publiées en 1914 par Noémi Renan. Sauf dans la répartition des dons entre les sexes, son propos n'a pas pris une ride quand on le rapproche des conventions sociales islamiques d'aujourd'hui concernant la femme. Arrivent donc à Lyon, derrière les Smyrniotes, une cohorte de saints de Phrygie prêchant l'ascèse totale. Felicula ne se convertit pas à cette nouveauté :

    « J'éprouvais pour ces saints une sorte d'aversion. Ils me faisaient scrupule du moindre ornement, d'une coupe élégante de la robe noire que portaient toutes les sœurs, d'une disposition heureuse de la bande de pourpre que leur condition permettait à certaines. Un tour heureux donné aux cheveux leur paraissait un crime. J'avais pour disposer les bandeaux blonds de ma chevelure un petit art discret de jeune fille. Ramenant sur l'arrière les abondantes masses que me fournissaient mes tempes et le sommet de ma tête, j'en formais par derrière une masse enroulée que retenait une bandelette infibulée d'or. Ils blâmaient ce très innocent artifice. Cette horreur de la beauté me paraissait un blasphème. Pourquoi Dieu a-t-il créé la femme belle, si cette beauté est pour le mal ? Dieu tenterait donc à plaisir sa créature ? Non, j'ai toujours cru et je crois encore, malgré les malheurs de ma vie, que la beauté vient de Dieu, et constitue le meilleur trésor de la femme, même quand elle la garde pour elle seule. Les dons de l'homme sont la force, le courage, la science, le génie. Le don de la femme est la beauté. Par l'éclat seul de sa beauté, elle apprend et prouve ce que le docteur enseigne péniblement et avec de longs détours. Elle est un abrégé de la bonne création, l'argument suprême de Dieu ; car sa beauté n'est au fond que l'argument de sa bonté intérieure, de ses vertus.
    Je sais bien que l'insupportable Fulgentius faisait quelquefois en ma présence d'odieux sophismes sur ce point. "La beauté des femmes, disait-il, me rappelle les temples de l'Egypte. Le dehors ne prouve rien pour le dedans. Voyez le dehors; que c'est beau ! que c'est saint ! Entrez-y; savez-vous ce qu'il y a derrière tout cet appareil ? Quelque bête immonde, un bouc, un serpent." Oh! le vilain homme ! Qu'il était loin des voies de Dieu !
    La preuve, c'est qu'une femme bonne n'est jamais laide. Sa bonté peinte sur sa figure est sa beauté. Nos vieilles diaconesses ne sont jamais laides. Une jeune fille charmante et modeste est toujours assez belle.
    Pothinos (ndlr: premier évêque de Lyon) voyait bien mes innocents artifices et ne les blâmait pas. Irénée ne les voyait pas. Sa sainteté était née avec lui et l'occupait tout entier. Jeune, il était vieillard pour les sens et la sagesse. Quand je voyais louer les grands artistes qui ont fait les statues célèbres qu'on propose à notre admiration, je ne pouvais m'empêcher de penser que la femme qui se pare ou travaille à parer les autres est un grand artiste aussi. Dans l'âge actuel du monde, âge de péché et d'intempéries, la nudité étant justement interdite, l'art de parer la femme avec ses vêtements est le premier des arts. Et peut-être qu'un jour, quand, avec l'innocence et le chaud soleil du royaume de Dieu, reviendra le temps où tous iront nus sans rougir, regrettera-t-on le temps où l'attrait divin de nos formes était dissimulé en partie et rendu par là plus attrayant. J'imagine qu'on en conservera quelque chose, et qu'après la résurrection, il y aura place encore pour cet art divin, par l'emploi discret de certaines bandelettes, par l'agencement de certains bandeaux..

    [Ernest Renan (1823-1892) - manuscrit inachevé]
  • A.F.E [Angers] Week-end de cohésion

    Ce week end, 20 militants de l’AFE Angers se sont rassemblés autour de repas traditionnels, cercles et actions !

    Très bonne réussite pour la section !

     

  • Conférence Dextra "L'histoire des droites sous la Vème République jusqu'au FN" par Francis Bergeron et Philippe Vilgier

    Chers amis et camarades. 
     Nous aurons la joie et l'honneur de recevoir ce vendredi 20 novembre Francis Bergeron et Philippe Vilgier qui nous parleront de "L'histoire des droites sous la Vème République jusqu'au FN". 
     
     Attention, exceptionnellement, notre rendez-vous aura lieu au bar Le Molière, 12 rue de Buci, à Odéon dans le 6ème arrondissement. 
     
     Nous vous attendons nombreux et vous disons à vendredi !
     

  • Forum de la dissidence – Entretien avec Béatrice Bourges, présidente du Printemps Français

    Béatrice Bourges, conseillère d’entreprise, présidente du Printemps Français.

    ♦ Dans la perspective du Forum de la dissidence, nous allons publier une série de courts entretiens sur le site Polémia.
    Pourriez-vous répondre à ces questions ?
    Polémia

    Polémia : Qu’est-ce qu’être dissident aujourd’hui et que risque-t-on?

    Béatrice Bourges : Etre dissident aujourd’hui, c’est se battre avec détermination contre le Système représenté par une oligarchie qui se dissimule sous le terme de démocratie. C’est être contre le mondialisme qui n’a pas de couleur politique.

    Etre dissident aujourd’hui, c’est aller à l’encontre de l’historiquement correct, de l’économiquement correct, du politiquement correct, du religieusement correct. C’est ne pas avoir peur de se faire traiter d’islamophobe, d’homophobe, de xénophobe, d’intégriste et de fasciste !

    Etre dissident aujourd’hui, c’est arrêter de faire acte de repentance par haine de la France, c’est être patriote et en être fier.

    dissidence-2jpg-300x225.pngBéatrice Bourges, présidente du Printemps Français

    Plus les dissidents seront nombreux et visibles, plus la répression sera forte et le régime totalitaire. Le risque ira peut-être même jusqu’à la privation de liberté, en plus de la mort sociale.

    « Etre dissident aujourd’hui, c’est arrêter de faire acte de repentance par haine de la France, c’est être patriote et en être fier. »

    Pensez-vous qu’il faille envisager une  vraie Révolution ?

    Je pense que nous arriverons bientôt dans une période de chaos religieux, politique et économique. Les hommes politiques ne contrôlent plus rien. Ils font seulement semblant. Mais l’effondrement est proche. Etre dans le déni ne fait qu’aggraver les choses et ne prépare pas à la reconstruction à laquelle il faut penser dès maintenant.

    Vous interviendrez dans une table ronde sur « la dissidence sur les valeurs » lors du Premier Forum de la dissidence. Pourquoi ?

    Parce que, d’après moi, tout pays court à sa ruine lorsqu’il fait l’impasse sur les valeurs. Ce sont elles qui permettent d’ancrer un pays et son peuple dans leur identité, de les faire tenir debout et de leur rendre leur fierté.

    http://www.polemia.com/forum-de-la-dissidence-entretien-avec-beatrice-bourges-presidente-du-printemps-francais/

  • Les Brigandes, charme et convictions

    Les Brigandes ont été une part non négligeable du succès de la journée de Synthèse nationale, le dimanche 11 octobre à Rougis. Créée en 2014, cette formation de jeunes femmes s'est faite rapidement remarquer par ses chansons engagées et mises en scène au point de devenir la meilleure initiative de la mouvance nationale de ces dernières années. Rencontre...

    RIVAROL : Les Brigandes donnent une impression de compétence et de détermination. Comment est né votre projet qui réunit des compétences dépassant largement le simple cadre musical ?

    LES BRIGANDES : Hormis les amies de jeunesse, certaines Brigandes se sont croisées lors d'événements divers dans la mouvance anti-mondialiste. En échangeant nos idées, Le projet musical a germé. Notre détermination provient d'un désir de former des clans de familles à l'écart du système décadent. Pour réussir à nous regrouper, il fallait mettre l'individualisme de côté et s'impliquer comme on s'engage en religion, ou plutôt, dans une armée. Le contrat a fonctionné par l'effet de la Providence, ce qui nous étonne encore.

    Quant à nos compétences, excepté la musique et le jeu théâtral, nous nous sommes astreintes à étudier les doctrines de la Droite, sans sectarisme, en analysant particulièrement les lobbies mondialistes afin de connaître l'ennemi et de lui rentrer dedans avec les mots justes. Notre érudit de service, Antoine, a toujours une lecture sulfureuse à nous conseiller, et c'est grâce à lui qu'autant les jacobins, le judaïsme ou les jésuites avec leurs lourds secrets nous sont mieux connus. Quand le thème d'une chanson à caractère politique nous vient, il vérifie les références et saurait tenir tête aux chiens de garde du mensonge officiel. L'apport de compétences intellectuelles et artistiques fournit aux Brigandes le courage de s'exposer avec témérité, ce qui paraît étonnant venant de jeunes femmes. Nous nous sentons investies d'une mission pour la France.

    R. : Les chanteuses sont masquées, coquetterie qui ajoute à leur charme ou nécessité de se protéger ?

    L. B. : Le nom de Brigandes a été choisi en souvenir des héroïnes de Vendée. Quant au masque, c'est parce que les Brigandes se livrent à du brigandage politiquement incorrect.

    R. : Contrairement à beaucoup de groupes qui choisissent des musiques de violence et de fureur, vous adoptez des compositions modernes, rythmées et claires qui mettent en valeur les voix des choristes et les paroles des chansons ; les textes sont-ils plus importants que leur support musical ?

    L. B. : Les paroles sont l'élément principal. La musique tempère la radicalité des mots. Cette alchimie entre la révolte et ta douceur est notre signature. Nous visons à produire des chansons populaires. La preuve d'une chanson réussie, c'est quand un petit enfant l'entend le matin et qu'il la fredonne le soir.

    R. : Dans le Ratjèze, vous vous en prenez aux jésuites, les reliant à François, Teilhard de Chardin, Nagasaki et le dalaï-lama, n'est-ce pas un peu ambitieux et réducteur de vouloir tout faire entrer dans une chanson ?

    L. B. : Ah, la question des Jézes ! Rosenberg et Evola avaient insinué que si les causes nationalistes étaient perdues, il fallait regarder du côté des Bons Pères, ce qui semble avoir échappé à Maurras, à moins d'une restriction mentale...

    François est bel et bien « un cadavre entre les mains du maître de l'ordre ». Depuis longtemps déjà, la Compagnie mène une guerre idéologique sous couvert de religion : le mélange des races, des cultures et des religions, jusqu'au point Oméga de la fusion universelle. N'est-ce pas le programme luciférien ?

    Quand Bergoglio le jésuite invite les traditionalistes à revenir dans son giron, on croit rêver. On ignore que les jésuites financent les lamas tibétains. On ignore que des jésuites ayant des grades dans l'armée américaine ont planifié Nagasaki, etc. On n'en finirait jamais de dérouler la liste de leurs coups tordus, au risque de passer pour des conspirationistes, alors que tout ceci est prouvable.

    R. : Le succès rapide de votre formation vient de la qualité de vos compositions, mais aussi de leur mise en scène, vos chansons n'auraient-elles pas le même succès sans vidéo ? Pourquoi avoir sorti un CD et non un DVD ?

    L. B. : Notre modeste succès provient de notre détermination à ouvrir une brèche dans la chanson française. Il faut se réapproprier un espace, en dépit des temps actuels.

    Nous sortons un CD pour répondre à la demande de ceux qui veulent écouter nos chansons au travail ou en voiture. Une chanson, c'est de la musique. Nous produirons une compilation des vidéos si notre CD met du beurre dans les épinards.

    R. : Vous n'allez pas vous arrêter en si bon chemin, quels sont vos projets ?

    L. B. : Nous avons quelques projets concrets que nous préférons garder confidentiels pour le moment, car l'ennemi veille... À court terme, nous allons lancer une nouvelle série de chansons, si toutefois l'inquisition de Youtube ne nous cherche pas de noises.

    Entretien réalisé par Thierry BOUZARD.

    CD Le Grand Remplacement, 23 euros port compris à Barka Productions BP7 34330 La Salvetat-sur-Agout, www.lecomitedesalutpublic.com.