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écologie et environnement - Page 122

  • L'écologie municipale, un premier pas vers une écologie plus générale ?

    Tandis que la sécheresse sévit en France métropolitaine, y compris dans un Ouest d’ordinaire mieux arrosé que le reste du pays, et que les cartes météorologiques sont rougies en fonction des températures caniculaires et des angoisses contemporaines, l’écologie reste négligée et cela malgré les discours officiels et la récupération par quelques parlementaires de la jeune Greta, nouvelle icône d’un système capitaliste qui n’a pas du tout envie, en fait, de faire des efforts, mais juste des investissements « verts » qui lui donnent bonne conscience et bons profits. Dans mes pérégrinations estivales, je constate que l’artificialisation des terres s’accélère après un bref ralentissement au milieu des années 2010, et les campagnes comme les littoraux se couvrent de bitume et de béton sans que les promoteurs et leurs soutiens, voire leurs clients, ne soient vraiment contredits : les 1.600 hectares sauvés (provisoirement ?) à Notre-Dame-des-Landes cachent une situation terrible et un recul (qui paraît inexorable) de la nature ou, du moins, des espaces dits naturels, herbacés ou boisés. Que cela soit le goudronnage de trottoirs à l’entrée des villages ou la coupe d’arbres, voire la déplantation de haies ; la construction de nouveaux lotissements qui se multiplient non loin des grandes villes ou l’installation de zones commerciales qui ruineront les derniers commerces locaux et indépendants de proximité ; le remplacement d’anciens campings populaires par des projets de résidences de luxe, hotellières ou seulement vacancières ; etc., la liste est longue et désespérante, et rien ne semble pouvoir arrêter le rouleau compresseur des destructions et des constructions inconsidérées et, sur le littoral ou en montagne, souvent destinées aux classes les plus aisées de notre société comme on peut le constater sur la Côte d’émeraude ou en Corse…

    C’est une plainte que je pousse régulièrement, au risque de me répéter et d’apparaître comme un vieux radoteur impuissant, mais l’approche des élections municipales pourrait-elle permettre d’être mieux entendu, ou écouté ? Car chaque liste voudra, de façon plus ou moins opportuniste (et plutôt plus que moins, a priori), verdir son programme pour attirer les jeunes électeurs qui semblent désormais plus attentifs aux questions environnementales que leurs aînés (ce qui reste néanmoins à démontrer). L’écologie municipale est-elle une solution crédible et efficace ? Un lecteur de Jacques Ellul, qui croyait plus aux « petites révolutions locales » qu’à la grande promesse de la révolution générale, répondrait par l’affirmative. Après tout, pourquoi pas ? Des projets pour redonner vie à des zones humides, accueillir des ruches ou aménager des ensembles végétaux sur des immeubles ou entre les bâtiments, replanter des arbres ou organiser des jardins potagers bio en milieu urbain ou scolaire (par exemple), etc. : autant de projets et d’initiatives utiles et bienvenus ! Cela peut être aussi des contestations de projets immobiliers inadaptés aux enjeux actuels ou de destructions de milieux arborés ou de rangées de grands arbres, et la prochaine période électorale municipale pourrait redonner vie à nombre d’affirmations et d’oppositions environnementales, comme on le voit se préfigurer dans de nombreuses villes françaises, sous des couleurs qui pourront ne pas être seulement celles des « écologistes officiels », trop souvent plus politiciens que véritablement défenseurs d’une écologie enracinée et concrète.

    Cet écologisme local, qui peut permettre de faire avancer l’écologie municipale en de nombreux endroits, mérite toute notre attention sans pour autant suffire, en lui-même, à notre réflexion et à une action plus globale et, disons-le sans avoir peur du mot, plus politique. Car c’est en étant politique (ce qui ne signifie pas forcément politicienne, loin de là) que l’écologie peut être la plus efficace et convaincante, et c’est en pensant un « écologisme intégral » que l’on pourra pratiquer et réussir l’écologie intégrale elle-même qui n’oublie rien de la nature, y compris humaine, et fonde la politique générale en se fondant en elle, disparaissant tout en irriguant et inspirant celle-ci, comme le thé infuse en se mêlant à l’eau chaude et en lui donnant son goût particulier…

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1568:lecologie-municipale-un-premier-pas-vers-une-ecologie-plus-generale-&catid=53:2019&Itemid=64

  • Greta Thunberg : Notre-Dame-de-la-Désolation

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    Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

    Greta Thunberg, jeune suédoise de 16 ans, est une militante pour le climat. Elle a notamment commencé la Skolstrejk för klimatet (« grève de l’école pour le climat ») et donné un discours à la conférence de Katowice de 2018 (COP24) sur les changements climatiques, concluant : « Notre biosphère est sacrifiée pour que les riches des pays comme le mien puissent vivre dans le luxe. Ce sont les souffrances du plus grand nombre qui paient pour le luxe du plus petit nombre. Et si les solutions au sein du système sont impossibles à trouver, nous devrions peut-être changer le système lui-même. »

    Voilà qui est clair sur l’idéologie de l’enfant suédois.

    Critiquée de tous côtés pour l’utilisation affectée de ses prétendues maladies (le syndrome d’Asperger, un trouble obsessionnel compulsif et un mutisme sélectif lui ont été diagnostiqués), son financement douteux, sa manipulation présumée, Greta Thunberg est reçue par le Pape François, proposée pour le Prix Nobel de la Paix, intervient au sommet de Davos, est invitée par Arnold Schwarzenegger, reçoit le prix « prestigieux » d’Ambassadeur de la Conscience par Amnesty International, etc. Pas mal à 16 ans…

    La fulgurance de son irruption encensée et la mise en scène plus qu’ostentatoire de sa démarche par les médias laissent songeur… comme les attaques dont elle est l’objet.

    Vegan, refusant d’utiliser l’avion, dressant un tableau apocalyptique de notre futur déjà présent, Greta Thunberg est invitée à l’Assemblée nationale par 162 députés ce mardi 22 juillet, reçue par son vice-président, et participe à un débat et aux questions au gouvernement.

    Mieux que Jeanne d’Arc, elle n’entend pas la voix de Dieu qui l’appelle, elle est Dieu lui-même. On croit marcher sur la tête. Un mélange d’écologie politique radicale, d’ultragauchisme, de droits-de-l’hommisme extrême, de prophétisme de gourou, d’apocalypse imminente. Icône d’une jeunesse inculte et caution généreuse de politiques manipulateurs à mauvaise conscience.

    L’écologie politique paroxystique sombre dans une pantalonnade dérisoire et inquiétante.

    Et pourtant, comme d’autres depuis peu, Greta Thunberg pose les bonnes questions, mais apporte des réponses ineptes dont on est en droit de se demander à qui elles profitent. La question de la décroissance est bien réelle et même incontournable et elle doit certainement être reconsidérée de manière radicale. Comme celle du système capitalisme financier mondialisé, obstacle fondamental à tout changement radical écologique. Nicolas Hulot les a déjà évoquées. Le grand journaliste objectif Jean-Michel Aphatie aussi, avec gêne. Mais aucun d’eux, y compris l’icône suédoise, ne propose de solutions satisfaisantes, au contraire, se contentant de psalmodier des incantations en appelant un progrès salvateur putatif autant qu’utopique et mortifère en réalité, ou de rêver d’une révolution systémique cosmopolite, genre hippies des années 68 puissance 10, comme Notre-Dame-de-la-Désolation.

    Si notre Planète est en péril, c’est du fait de sa surpopulation humaine, au-delà des cycles naturels, par ailleurs, de réchauffement et de refroidissement alternatifs de la Terre. Or, cette surpopulation, mère de tous nos maux, y compris l’immigration, n’est jamais évoquée ni même envisagée comme la cause des nombreux dérèglements et pollutions catastrophiques, en effet, eux aussi. On lui préfère les bonnes vieilles solutions idéologiques de la gauche –comme de la droite moribonde d’ailleurs– nappées dans l’utopie d’une « race humaine » sacralisée au développement infini, qui détruit faune et flore allègrement avec tous les équilibres naturels, sans que cela fasse sourciller le moins du monde nos ayatollahs de l’écologie politique, Greta en tête aujourd’hui. L’Homme se développe non avec la Nature mais contre la Nature, éclairage que personne ne veut utiliser pour mener une véritable révolution naturaliste.

    Nous voilà donc revenus aux « provos », « plutôt rouges que morts », et autres pacifistes béats des années 60 et 70 avec l’enfant-Dieu Greta Thunberg. Seuls les manipulateurs ont changé en modernisant un peu les thèmes mais avec les mêmes ressorts. On en finit par regretter l’ex-URSS et la Chine de Mao. Au moins, eux, on pouvait les identifier clairement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Ecologie : la dictature du “en même temps” – Journal du lundi 22 juillet 2019

    Ecologie : la dictature du “en même temps”

    C’est un nouveau totem politique : l’écologie. A la veille de l’invitation de la Suédoise de 16 ans Greta Thunberg à l’Assemblée Nationale, le gouvernement renforce son matraquage sur l’environnement alors même que le CETA, aux lourds impacts écologiques, va être ratifié d’un moment à l’autre. Une nouvelle démonstration de la dictature de la communication.

    Finale de la CAN : une victoire algérienne en demi-teinte

    Alors que de nombreux débordements étaient attendus à l’issue de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations, les célébrations algériennes se sont déroulées dans un calme relatif. Un chercheur guinéen a tout de même été battu à mort.

    Etats-Unis/Iran, des tensions à leur paroxysme ?

    Des navires arraisonnés dans le détroit d’Ormuz, des espions de la CIA interpellés et un drone iranien abattu… en une semaine la crise dans le Golfe Persique semble avoir atteint son paroxysme avec toujours en toile de fonds le risque d’un conflit ouvert.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/ecologie-la-dictature-du-en-meme-temps-journal-du-lundi-22-juillet-2019

  • Greta Thunberg et la psychologie des foules

    Greta Thunberg et la psychologie des foules

    De Gregory Rosse dans Valeurs Actuelles :

    […] Tout, dans le phénomène “Greta Thunberg”, fait appel à l’émotion en faisant passer des messages négatifs. S’agit-il de susciter ou de contraindre ? De porter un message d’espoir ou de faire peur ? Ainsi la fantomatique Greta a-t-elle récité, lors de son intervention au Forum économique Mondial de Davos en janvier 2019, un message apocalyptique, formulé en ces termes : « Je ne veux pas de votre espoir, je veux que vous paniquiez, que vous ressentiez la peur que je ressens tous les jours et que vous agissiez. »

    Nos gouvernements ne profitent pas de cet « effet Greta » pour annoncer l’augmentation des budgets Recherche et développement ni de nouvelles mesures de protection de l’environnement aux effets bénéfiques pour le bien-être du contribuable. Déjà, de nouvelles idées de taxes écologiques, comme la surtaxe sur la consommation d’eau courante ou une écotaxe sur les déplacements en avion sur pointent le bout de leur nez. L’écologie punitive a trouvé son alibi ultime. Bientôt, une taxe sur l’air ?

    Cette jeune fille fragile, à peine âgée de seize ans et atteinte d’une forme d’autisme, est la première victime de cette mise en scène orchestrée par des parents irresponsables pour qui le combat idéologique prime sur la santé physique et mentale de leur enfant. Cette mascarade médiatique, nourrie à coup d’opérations marketing, décrédibilise, en définitive, le combat écologiste. Une enfant de 16 ans fragile et déscolarisée peut-elle prétendre, une fois l’effet de mode passé, s’inscrire dans la durée comme leader du monde post-industriel sans être téléguidée par des intérêts économiques supérieurs ? Le monde attendait un leader charismatique aussi légitime que compétent sur la question du changement climatique. On vient de lui servir un grand chaman de l’écolo-catastrophisme.

    Dans La psychologie des foules, Gustave Le Bon démontre leur irrationalité. Il prétend qu’« elles sont aussi incapables de volonté durable que de pensée », atteintes par un phénomène de contagion par lequel une idée dominante se répand facilement dans les esprits galvanisés par l’émotion commune. La pensée collective devient alors totalement subjective. Ainsi, une seule une idée simple, vague, absolue et présentée sous la forme d’une image impressionnante peut réussir à contaminer une foule qui tend à conférer une dimension mystérieuse et légendaire aux événements collectifs.

    La psychologie des foules les rend dépendantes d’un meneur que Gustave Le Bon décrit en ces termes : « Il s’agit d’une personne d’action, éloquente, dotée d’une foi inébranlable dans l’idéal répandu dans la foule, pour lequel il est prêt à tout sacrifier ; ses paroles sont perçues comme sacrées, ses ordres comme indiscutables, et elle est érigée en légende. »

    L’image ainsi façonnée de Greta Thunberg est un remarquable produit marketing. Un outil propulsé lors du forum économique mondiale de Davos, par le forum de Davos. Ce phénomène n’émane pas d’une manifestation spontanée, populaire, qui aurait échappé au contrôle politico-économique. Il est le produit d’une volonté économique, relayée par le politique. Un superbe instrument de manipulation des foules tel qu’imaginé par Gustave Le Bon.

    La magie de ce coup marketing consiste à faire croire au transfert de pouvoir de l’oligarchie vers les foules. Des gouvernants, des célébrités et même des scientifiques se comportent devant cette jeune fille comme groupies sexagénaires béates devant une idole prépubère, lui conférant un pouvoir que peu d’êtres humains peuvent se targuer de posséder à cet âge. Soumise à un phénomène planétaire de suggestion, abondamment relayé par les medias, la foule suit, nourrit, abonde, diffuse le phénomène, convaincue que Greta porte en elle les germes du changement et qu’elle la guidera vers des lendemains meilleurs. Mais l’objectif de cette opération menée par les tenants du capitalisme vert est de faire passer un message apocalyptique clair : si vous ne souhaitez pas vivre la fin du monde, suivez nos consignes climato-compatibles.

    La démocratie meurt. Nous entrons dans l’ère de l’ochlocratie dans laquelle les masses manipulables, provoquées, nourries et téléguidées par les grands médias, s’estiment légitimes à imposer une idéologie fondée sur la passion, la bien-pensance, l’irrationnel. Dans ce contexte, quiconque sortira du chemin dessiné par la doxa médiatico-politique risque de subir le tir nourri de ses gardiens zélés. […]

    Greta Thunberg est invitée mardi à l’Assemblée nationale par 162 parlementaires.

    https://www.lesalonbeige.fr/greta-thunberg-et-la-psychologie-des-foules/

  • Les contradictions des écolo-bobo-gauchos !

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    Les écolo-bobo-gauchos, qui s’autoproclament progressistes, en contradictions permanentes ont un sens particulier du progrès.

    – Ils confondent science et idéologie : pour eux, le communisme est scientifique, le genre une théorie, le réchauffement climatique est anthropique, alors que les scientifiques (les vrais) démontrent que c’est un phénomène naturel.
    – Ils sont contre le populisme, mais s’esbaudissent devant les démocraties populaires qui ne sont ni démocratiques ni populaires.
    – Ils sont libéraux comme consommateurs, mais marxistes comme fonctionnaires.
    – Ils sont pour l’Afrique aux Africains, mais contre l’Europe aux Européens.
    – Ils sont contre la nation, mais pour les subventions, les services publics et les droits sociaux de la nation.
    – Ils nient l’existence des patries, mais interdisent les apatrides.
    – Ils sont contre le bétonnage des terres agricoles, mais réclament la construction de centaine de milliers de logements sociaux pour accueillir l’immigration qu’ils réclament.
    – Le monde culturel est pour le libéralisme économique, sauf pour eux : ils exigent l’exception culturelle.
    – Ils se disent démocrates, mais admirent les dictatures du prolétariat.
    – Libéraux-libertaires, ils sont pour la concurrence libre et non faussée, mais sont favorables aux fusions-acquisitions qui conduisent à des monopoles.
    – Les féministes sont pour exhiber leurs appas, mais veulent interdire les regards masculins qu’elles provoquent.
    – Elles sont pour la libération de la femme, mais sont contre l’interdiction de la burqa, synonyme de soumission totale de la femme.
    – Ils sont pour la réintroduction du loup et des ours dans les campagnes, mais éliminent les araignées, les souris et les rats de leurs logis.
    – Ils veulent interdire d’interdire leurs interdits et rendre obligatoires leurs fantasmes.
    – Ils nient l’existence des races, mais sont contre le racisme.
    – Ils sont « végans » et consomment bio, mais veulent interdire les élevages indispensables à la production bio dans des fermes polyvalentes.
    – Ils sont contre les pollutions, mais pour la mondialisation qui génère des pollutions gigantesques loin d’eux.
    – Ils sont pour ce qui est naturel, sauf pour la reproduction de l’espèce humaine.
    – Ils sont pour les TGV et les voitures électriques, mais contre l’énergie nucléaire indispensable à ces projets.
    – Ils sont contre le capitalisme, mais pour la mondialisation libérale.
    – Ils sont contre le profit, mais sont des profiteurs.
    – Ils créent des associations à but non lucratif qu’ils transforment en associations lucratives sans but.
    – Ils sont pour le droit à la paresse financé par d’autres qui ont le devoir d’être laborieux.
    – Ils sont généreux, mais seulement avec l’argent des autres.
    – Ils donnent des leçons de morale au monde entier, mais se font « poisser ».
    – Médiocres, imbus d’eux-mêmes, ils sont pour ce qui est contre et contre ce qui est pour.

    Ces rigolos pas rigolos sont les idiots utiles du capitalisme parasitaire mondial qu’ils disent combattre !

    https://www.bvoltaire.fr/les-contradictions-des-ecolo-bobo-gauchos/

  • Analyse du raz-de-marée écologiste dans les médias d’un point de vue identitaire

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    Les Verts ont réalisé une importante percée aux dernières élections européennes, Yannick Jadot atteignant le score de 13,47 %. Bien que cette élection soit traditionnellement favorable à cette formation politique, cette réussite s’inscrit aussi dans un contexte plus global de forte poussée de la thématique écologiste dans les médias depuis plusieurs mois.

    Pour précision, l’écologie est une vraie question et les inquiétudes qui lui sont liées mériteraient d’être traitées par l’ensemble de la droite, dont la réflexion sur le sujet s’avère très pauvre. Mais ce n’est pas ce que nous allons traiter ici, où nous allons davantage nous attacher aux ressorts idéologiques, politiques et psychologiques des représentants officiels de ce courant d’idée.

    1. Le matraquage sur l’écologie s’intensifie

    Impossible d’échapper au phénomène Greta Thunberg. Cette adolescente suédoise s’est fait connaître dans le monde entier grâce au relais massif de médias complaisants pour avoir lancé une grève étudiante pour le climat. Jusqu’ici pourquoi pas, pourrait-on objecter. Oui mais… sa vision catastrophiste et apocalyptique sécrète le manichéisme : elle s’accompagne d’une vision morale et d’un chantage permanent. Nous sommes coupables, et tous ceux qui ne font pas de l’urgence climatique leur priorité politique n°1 sont à excommunier. Bien entendu, les autres problématiques urgentes comme l’invasion migratoire n’existent pas… Le droit de la Terre de continuer à vivre existe, celui des Européens non.

    « L’urgence climatique » est une thématique désormais relayée sans cesse à la télévision et sur les nouveaux médias internet comme Brut et Konbini, créant un nouvel espace de radicalité « autorisée » pour la jeunesse. Nous sommes en train d’assister à une tentative de Grand Remplacement : celui d’imposer « l’écologie » de gauche comme nouvelle idéologie globale pour la jeunesse, au lieu des thématiques identitaires, soigneusement mises à l’écart par ces nouveaux thuriféraires. Des réseaux d’influence et d’énormes sommes d’argent sont mobilisés dans ce but.

    2. Les ressorts psychologiques et ses conséquences politiques

    Le sentiment d’urgence distillé se couple avec une vision mortifère abondamment présente dans les mass-médias. Pour « la planète », il faudrait cesser de faire des enfants. Les Européens, dont la démographie est déjà en berne, devraient maintenant cesser de se reproduire pour sauver la Terre. Yves Cochet, ancien ministre de l’Environnement, va même jusqu’à dire qu’il souhaiterait que nous arrêtions de faire des enfants pour laisser l’Europe aux migrants africains (l’Obs, 03/01/2019).

    Cette mutation de la culture de mort extrêmement inquiétante vient alimenter la politique de culpabilisation mémorielle de notre peuple.

    La planète se substitue à Dieu, que les humains ont gravement offensé. Ils doivent donc faire pénitence. Nous devons nous excuser, puis disparaître après avoir fait repentance. Sans compter qu’à travers cette nouvelle stratégie de culpabilisation, bientôt la réponse adéquate nous sera fournie sur un plateau : vous pouvez obtenir le pardon, en échange… de l’accueil des « réfugiés climatiques ».

    3. L’écologie culpabilisatrice comme nouvelle idéologie

    Le communisme est mort, et ses derniers avatars (Corée du Nord, Cuba) ne font plus rêver grand monde. En France, le mythe du « vivre-ensemble » est sérieusement écorné et la gauche n’en finit plus de se déchirer autour de la question ethnique sous le feu nourri des indigénistes. Prise en étau entre d’une part leurs anciens protégés qui ne rêvent que de les remplacer avec une agressivité affichée et d’autre part le réel qui devient extrêment difficile à nier, la gauche, fidèle à son histoire, est en train de dépasser toutes ses contradictions en se jetant à corps perdu dans un nouveau combat aux contours flous mais à la dimension totalitaire certaine.

    Parlant sans cesse de fin du monde, excitant les masses par les effets combinés du sentiment d’urgence et de la culpabilisation, les nouveaux évangélistes de la religion écologiste font tout pour imposer au forceps leur vision du monde. En omettant de rappeler par exemple que l’urgence démographique se situe davantage en Afrique qu’en Europe (les Africains devant atteindre les 4.5 milliards d’habitants d’ici la fin du siècle) et qu’en ce qui concerne la pollution des océans à cause du plastique, seulement 5 % est de la responsabilité des Européens (Christian Schmidt, université de Leipzig, 2017). Ces omissions volontaires dissimulent très mal l’agenda réel de ces propagandistes : continuer à véhiculer les idées de gauche, violemment hostiles à notre identité, notre histoire et nos traditions, en culpabilisant notre peuple (pourtant le seul à faire le tri sélectif au monde…) pour le faire disparaître et sa civilisation avec.

    Clément Martin

    https://www.les-identitaires.com/2019/07/08/analyse-du-raz-de-maree-ecologiste-dun-point-de-vue-identitaire/

  • Le réchauffement de l’Afrique n’est pas dû à l’homme

    030102013123047000000chanclim.jpgMise au point  de Bernard Lugan

    En Afrique, le  postulat du « réchauffement climatique global dû à l’homme » est contredit par cinq disciplines scientifiques majeures :

    1) Les paléoclimatologues ont, en analysant les « carottes » obtenues lors de forages continentaux et marins, montré que, durant tout le Quaternaire, c’est-à-dire depuis 2,5 millions d’années, l’Afrique a connu des alternances de périodes froides et chaudes, sèches et humides. Les australopithèques et les premiers hominiens en seraient-ils responsables… ?

    2) Les paléoenvironnementalistes ont mis en évidence les modifications de la végétation africaine résultant de ces changements climatiques intervenus en dehors de toute intervention humaine.

    3) Les climatologues tropicalistes ont démontré que l’actuel  et réel réchauffement est un phénomène à la fois naturel - même si la suicidaire démographie africaine aggrave la désertification -, et delongue durée puisqu’il s’inscrit dans un cycle ayant débuté il y a  5 000 ans. Toujours sans responsabilité humaine.

    4) Les archéologues nous apprennent que sur les quinze derniers millénaires, ce furent ces changements climatiques qui, du nord au sud et de l’est à l’ouest, conditionnèrent la mise en place des populations africaines.

    5) Les historiens ont mis en évidence le synchronisme existant entre changements climatiques et grandes séquences de l’histoire du continent. (Ce thème du synchronisme constitue le cœur de mon livre « Les guerres du Sahel des origines à nos jours »).

    Il a donc été démontré que, depuis des millions d’années, les changements climatiques africains se font selon des cycles naturels connus, décrits, analysés et indépendants des activités humaines.

    Et pourtant, tels de nouveaux messies, les « ayatollahs verts » imposent leurs prophéties hallucinatoires à des populations frappées de panurgisme, cependant qu’ à travers un matraquage orwellien de plus en plus inquisitorial, ils tentent de réduire au silence les « hérétiques » ne croyant pas à leurs « révélations ».

    Cette mise au point est destinée à fournir un argumentaire aux « sceptiques » à travers la mise en évidence des véritables raisons des changements climatiques africains.

    Développements :

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    http://bernardlugan.blogspot.com/2019/07/le-rechauffement-de-lafrique-nest-pas.html

  • Greta Thunberg à l’Assemblée : interdit de rigoler…

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    Ainsi donc, dans quelques jours, Greta Thunberg arrivera en France pour recevoir, à Caen, le prix Liberté… et s’exprimer devant l’Assemblée nationale. Richard Ferrand, sur son perchoir, tel le vieillard Siméon, tendra sans doute une main tremblante vers l’enfançon : « Et nunc dimittis ».

    À la question très sérieuse de Libération – qui a obtenu de haute lutte un entretien – « Vous avez choisi de venir parler devant l’Assemblée nationale le 23 juillet »,  elle répond sans complexe : « J’ai reçu de nombreuses invitations pour m’exprimer devant de nombreux Parlements. J’ai dû décliner pour beaucoup. Cette fois, cela semblait être un bon timing pour la France. »

    On comprend donc qu’il faut, en sus, que nous nous sentions honorés. Peut-être même devrions-nous nous prosterner ? Viva Greta Thunberg, viva notre bienfaitrice !

    « On ne sait pas ce qui va se passer, tout est possible » est la citation de la jeune fille que Libération a choisi de mettre en exergue dans son titre. Merci de cette lapalissade. C’est un assez bon résumé de la condition humaine. Dit autrement par Woody Allen : « Tant que l’homme sera mortel, il ne sera jamais décontracté. » De fait, Greta Thunberg ne semble pas très détendue. Et c’est donc cela que tout un parterre de députés recueillis, la tête penchée, les mains jointes prêtes à applaudir à tout rompre, va devoir se coltiner sans ricaner ?

    Après l’enfant-roi, l’ado-Dieu. Remettre en doute son « expertise » promue dogme de foi – qu’elle reconnaît pourtant elle-même aussi incertaine qu’invérifiable : « On ne sait pas ce qui va se passer, tout est possible » – devient un blasphème, faisant de celui qui le profère un parangon du camp du mal : « Êtes-vous affectée par le fait d’être ciblée par des campagnes de dénigrement de l’extrême droite ? » demande Libération« Bien sûr que cela m’atteint. Mais, malheureusement, c’est ce qu’on doit supporter quand on soutient une cause  : recevoir de la haine, des menaces, être la cible de mensonges. » Greta Thunberg, pour sauver la planète, est prête au martyre. Sous les ors de la République et les ovations des puissants, quand même.

    La petite va prendre une année sabbatique pour aller porter la bonne parole. S’il s’agit de répéter ce fantastique aphorisme ci-dessus cité dans toutes les langues « Wir wissen nicht was passieren wird, alles ist möglich, we do not know what will happen, everything is possible, no sabemos qué va a pasar, todo es posible, non sappiamo cosa accadrà, tutto è possibile… », ma fille qui a peu ou prou le même âge veut bien s’en charger : pour voir du pays, c’est mieux qu’Erasmus. Sauf que ses parents (des tortionnaires) sont plutôt du genre à l’envoyer ranger sa chambre, faire des maths et ne la laisser s’intéresser au climat que pour décider ou non de prendre un parapluie. Ce que c’est, que l’obscurantisme.

    « De jeunes Français engagés pour le climat » seront également là, a précisé à l’AFP le député Matthieu Orphelin, à l’initiative de cette merveilleuse intervention. Choisis, donc, parmi ceux qui, le 15 mars, ont séché les cours pour manifester. Loin d’être sanctionnés, ils se voient dérouler le tapis rouge. Non contente de ne leur avoir pour ainsi dire rien transmis, aucune connaissance ou si peu, notre société les encourage en sus à venir dispenser eux-même leur cours magistral sur la tribune comme s’ils avaient la science infuse et le don de prophétie.

    Sur Twitter, une jeune Martiniquaise répondant au prénom d’Alexane explique doctement, ces derniers jours, avoir « boycotté l’épreuve de littérature du bac L de cette année qui portait sur un roman [Hernanidu RACISTE NOTOIRE Victor HUGO » et initié une pétition. Sa vidéo, vue plus de 750.000 fois, fait le buzz. Un début encourageant.

    Sans doute se voit-elle comme la Greta du racisme ? Et pourquoi n’aurait-elle pas, elle aussi, sa place sur le podium ? Pourquoi ne saurait-elle pas mieux que les adultes le sujet qu’il faut donner et les auteurs à dégager ?

    Chers amis profs, vous avez raison de vous reposer. Dans ce monde de fous, la rentrée de tous ces jeunes promet…

    Gabrielle Cluzel

    https://www.bvoltaire.fr/greta-thunberg-a-lassemblee-interdit-de-rigoler/

  • Une étude scientifique finlandaise conclut que le GIEC se trompe : il n’y a pas de preuves que le changement climatique est dû à l’homme

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    Une nouvelle étude menée par une équipe de recherche finlandaise a trouvé qu’il n’existe pas de preuves à l’appui de l’idée d’un changement climatique dû à l’homme. Les résultats de l’étude ont été corroborés par des chercheurs japonais.
    Dans un article publié à la fin du mois dernier, intitulé « Aucune preuve expérimentale de l’importance du changement climatique anthropique », une équipe de scientifiques de l’Université de Turku en Finlande a déterminé que les modèles climatiques actuels ne tiennent pas compte des effets des nuages sur les températures, et c’est pourquoi ils surestiment à tort l’impact des gaz à effet de serre générés par l’homme.

    Pourquoi le GIEC se trompe

    Les modèles utilisés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) « ne peuvent pas calculer correctement la composante naturelle incluse dans la température globale » car « une forte rétroaction négative des nuages fait défaut dans leurs modèles ».
    Autrement dit, ils ne tiennent pas compte de l’impact naturel des nuages sur la température.
    En tenant compte du facteur de couverture nuageuse et des émissions de gaz à effet de serre, les chercheurs ont constaté que l’homme n’a tout simplement pas beaucoup d’effet sur la température de la Terre.

    Pas de changement climatique anthropique

    Au cours des cent dernières années, la température a augmenté d’environ 0,1 degré Celsius à cause du dioxyde de carbone, et la contribution humaine était d’environ 0,01 degré Celsius, » notent les chercheurs.

    Vous avez bien lu… 0,01°.
    L’étude poursuit :

    Comme la part anthropique de l’augmentation du dioxyde de carbone est inférieure à 10 pour cent, nous n’avons pratiquement aucun changement climatique anthropique. 
    Si nous tenons compte du fait que seule une petite partie de la concentration accrue de CO2 est anthropique, nous devons reconnaître que le changement climatique anthropique n’existe pas dans la pratique.

    Un centre de recherche scientifique japonais confirme
    Le professeur Masayuki Hyodo, chercheur principal à l’université Kobe au Japon, confirme :

    Cette étude [finnoise] est l’occasion de repenser l’impact des nuages sur le climat. 
    Lorsque les rayons cosmiques galactiques augmentent, les nuages bas augmentent aussi, et lorsque les rayons cosmiques diminuent, les nuages diminuent aussi, de sorte que le réchauffement climatique peut être causé par un effet opposé — « l’effet parapluie ». 
    L’effet parapluie causé par les rayons cosmiques galactiques est important lorsqu’on pense au réchauffement climatique actuel ainsi qu’à la période chaude de l’ère médiévale.
    Selon Hyodo, les modèles climatiques politiques — y compris le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies — ne tiennent pas compte de cela dans leurs calculs.

    Il existe d’autres sons de cloches
    Il existe d’autres sons de cloche que ceux que les médias veulent bien vous laisser entendre. 
    Et pour que vous ne vous renseigniez pas auprès de sources d’informations multiples, Dreuz a encore récemment été accusé par Le Monde de diffuser des thèses conspirationnistes et des Fake News, une façon de ne pas argumenter et de dire : ne croyez pas ce que vous lisez sur Dreuz.

    • Les températures sur Terre vont baisser jusqu’en l’an 2100 pour atteindre les niveaux d’un petit âge glaciaire, prédit Horst-Joachim Lüdecke, un scientifique de l’Université allemande de la Sarre, en Allemagne (Source : HuffPost)
    • Les températures vont baisser jusqu’en 2060, affirme Habibullo Abdussamatov, directeur de l’Observatoire russe de Pulkovo.
    • Le refroidissement a déjà commencé, et il pourrait se terminer dès 2030, annonceAnastasios Tsonis, directeur du Atmospheric Sciences Group à l’Université du Wisconsin.
    • « Le soleil, et non l’homme, réchauffe la terre », rappelait Lüdecke en 2011, exprimant de manière concise l’opinion émergente selon laquelle l’homme joue un rôle sans conséquence dans le changement climatique.
    • Une étude produite par un géoscientifique de l’Université du Wisconsin-Madison et astrophysicien présente une explication des fluctuations des températures de la Terre qui met en lumière la complexité des forces à l’œuvre sur le climat de la Terre et tout ce qu’il nous reste à en apprendre. L’étude soutient que le cycle des changements climatiques au cours des millénaires est en grande partie le résultat des changements dans la quantité de rayonnement solaire, en partie causés par de petits changements dans les orbites de la Terre et de Mars.
    • Il y a deux ans, des chercheurs australiens ont conclu que la période de réchauffement actuelle de la planète était probablement attribuable aux tendances naturelles de la température qui ont précédé l’industrialisation humaine. « Après avoir appliqué la plus récente technique de grandes données à six séries de températures approximatives de 2000 ans, nous ne pouvons pas confirmer que le réchauffement récent est tout sauf naturel — ce qui aurait pu se produire de toute façon, même s’il n’y avait pas eu de révolution industrielle, » a noté l’équipe australienne.

     » Notre nouveau document technique… sera probablement ignoré », avait écrit l’un des chercheurs. Il avait raison…
    Le pot aux roses du GIEC
    Notez bien ceci, c’est probablement la révélation la plus intéressante. 
    Elle a été faite en 2014 dans le Huffington Post par Lawrence Solomon.

    Lorsque l’ONU a créé le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat en 1988, il a reçu le mandat d’examiner les causes du réchauffement d’origine humaine. 
    Ce mandat prévoit donc que le GIEC doit ignorer l’influence du soleil sur le climat de la Terre.
    C’est ce qu’ont appris les scientifiques lors d’une réunion du GIEC en 1992 : 
    À la surprise d’Eigil Friis-Christensen, chef de la division géophysique de l’Institut météorologique danois, il n’a pas été autorisé à présenter les résultats d’un article qu’il avait co-écrit dans le magazine Science et qui mettait en corrélation les taches solaires et les températures mondiales.Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/une-etude-scientifique-finlandaise.html