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écologie et environnement - Page 122
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Face aux éoliennes, Vervins résiste toujours
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Eoliennes: le saccage idéologique du littoral picard
Malgré l’opposition des habitants, l’impact économique et environnemental désastreux, le gouvernement persiste à vouloir saccager la côte picarde à coups d’éoliennes. Explication de Georges Clément, le président de l’Association SCOPA (Sauvegarde des Côtes d’Opale Picardes et d’Albâtre).
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Quand avez-vous créé l’association Sauvegarde des Côtes d’Opale Picardes et d’Albâtre et pourquoi ?
Georges Clément : Scopa a été créée en décembre 2014 après le lancement du deuxième appel d’offres éolien en mer et l’attribution à la Compagnie du vent (GDF Suez) des sites définis par l’Etat au large du Tréport et de Yeu Noirmoutier. Les fondateurs de l’association avaient déjà largement participé à la première Enquête publique qui avait eu lieu en 2010 et dont le déroulement et les conclusions avaient particulièrement mis en évidence l’impossibilité de faire entendre nos arguments, l’impossibilité de modifier le projet pour en limiter l’impact environnemental et économique, et l’absence complète de participation démocratique, contrairement aux dispositions de la convention d’Aarhus. Scopa est une association dont l’objet est la protection de l’environnement et à ce titre s’engage à mettre en œuvre tous les moyens légaux dans ce but.Comment agissez-vous pour alerter le public ?
G.C : Pour alerter le public nous avons fait des communiqués de presse, organisé des manifestations et des séances d’information et de signature, nous avons mis sur le site www.scopa.fr une pétition qui a recueilli plus de 4000 soutiens et une autre plus récemment sur le site www.cityzaction qui a dépassé 7000 signatures. Par ailleurs Scopa adhère à la Fédération Environnement Durable qui apporte son soutien dans ce domaine.
En plus de défigurer le paysage, les éoliennes constituent une aberration économique et s’avèrent finalement plus polluantes que productives. Pouvez-vous nous décrire exactement les conséquences environnementales de l’implantation de ces éoliennes offshore ?
G.C : L’impact environnemental de ce projet est majeur du fait de sa situation, le site imposé par l’Etat d’une surface de 100 Km2, recouvre très exactement la zone la plus importante pour la pêche, aussi bien pour la pêche elle même que pour la reproduction des espèces. Les pêcheurs ont constaté que la campagne de forages d’étude qui a eu lieu de juin à septembre 2018 sur le site du projet avait déjà fait fuir la majorité des espèces.
Cette zone de dune très riche mais très fragile, serait irrémédiablement compromise par les 252 forages nécessaires à l’installation de 62 « jackets » support des éoliennes et du poste de transformation, et les quelques 100 km de tranchées pour l’enfouissement des câbles électriques HT de liaison des générateurs au poste de transformation et ensuite au point d’atterrage sur le littoral.
Ce projet entrainerait rapidement la disparition de la pêche artisanale et la ruine de l’économie locale.
Un tiers du site éolien se trouve dans le Parc Naturel Marin des Estuaires Picards et de la Mer d’Opale, au sujet duquel le Conseil de gestion a émis en 2017 un avis conforme défavorable au projet éolien en raison de son impact environnemental majeur sur le milieu marin, la faune en particulier, poissons, mammifères marins, oiseaux. Avis qui a été bafoué par une décision de la nouvelle Agence Française de la Biodiversité, autorisant la poursuite du projet moyennant quelques mesures compensatoires mineures comme l’augmentation de l’espace libre entre le bas des pales et le niveau de la mer pour réduire les collisions avec les goélands, et surtout la création d’un organisme de suivi scientifique largement doté…
L’impact visuel serait considérable, situées à 15 Km du rivage les machines dont les pales culmineraient à 210m de haut seraient très visibles de jour comme de nuit, signalées en plus par leurs feux de balisage aériens Ce spectacle barrant tout l’horizon marin du Tréport à Ault, face au littoral classé « Grand site de France » de Mers les Bains à la Baie de Somme, et devant le site classé de Mers les Bains pour ses villas balnéaires, et célèbre pour ses couchers de soleil, en compromettrait définitivement l’attrait touristique, ressource principale de l’économie locale.Quand à l’intérêt économique de cette filière, avec un prix d’achat garanti de 150€/MWh soit plus de 3 fois le prix du marché, une concession du domaine publique maritime gratuite pour 40 ans et des coûts de raccordements supportés par les consommateurs, elle ne ferait qu’alourdir encore le montant des taxes, sans aucun bénéfice pour la réduction des émissions de CO2, en raison de l’intermittence de la production nécessitant des centrales complémentaires à gaz productrice de CO2 !
Il semble que les Français aient pris conscience des errements d’une transition énergétique imposée par une idéologie et non pas par une analyse objective et responsable. L’envolée des taxes, dont la taxe carbone a été le révélateur et le mouvement des gilets jaunes la conséquence.
Il faut espérer que le gouvernement saura en tirer les conséquences
La région de la Baie de Somme abrite de nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs qui seront littéralement massacrées par le mur d’hélices des éoliennes. Avez-vous reçu le soutien d’associations de protection de la nature et y-t-il eu une réaction du ministère de l’écologie ?
G.C : Hélas aucun soutien de ces organismes, quand au Ministère de l’écologie, mais surtout de la transition énergétique, sa principale action a été d’activer l’Agence Française de la Biodiversité, dont on a pu immédiatement apprécier le rôle avec la décision prise pour le Parc Naturel Marin !
Ce projet a t-il fait l’objet d’un débat public ?
G.C : Il y a eu deux débats publics, en 2010 comme indiqué plus haut et en 2015, ce dernier ou la participation a été encore plus forte que lors du premier débat a soulevé les mêmes problèmes, choix du site par l’état, impact environnemental et économique et impossibilité de modification les choix ayant été faits par le gouvernement avant le débat, ce qui a été souligné par le Président de la CNDP dans sa conclusion, à savoir qu’il ne servait à rien de lancer cette procédure lorsque tous les choix ont déjà été faits.
Quels sont actuellement vos moyens d’action légaux pour empêcher cette désastreuse installation? Avez-vous le soutien des élus locaux ?
G.C : Les moyens légaux dont disposent les citoyens et les associations sont les recours légaux gracieux auprès des Ministres et contentieux, auprès de la Cour administrative de Nantes qui est un véritable tribunal d’exception spécialisé dans le traitement des recours contre les projets d’éolien en mer, le recours ultime étant le Conseil d’État. Les six sites du littoral Manche Atlantique ont des procédures en cours. Il y a aussi la possibilité de déposer une plainte auprès de la Commission Européenne.
Le projet de la société des Éoliennes en Mer de Dieppe le Tréport (EMDT) a mobilisé contre lui Les pêcheurs, une bonne partie de la population, la majorité des municipalités du littoral concerné de Dieppe à Saint-Valery-sur-Somme, et qui soutiennent l’action des deux associations SCOPA à Mers les Bains et SOS à l’horizon au Tréport.
Envisagez-vous des actions particulières en cas de poursuite du projet ?
G.C : L’Enquête publique s’est terminée le 29 novembre 2018 et nous en attendons les conclusions. L’avis de la Commission, n’est qu’un avis que le préfet n’est pas tenu de suivre, et nous avons déjà pris des dispositions conformément aux statuts de Scopa.A LIRE :
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Nucléaire, solaire, éolien : cessons les mensonges et revenons aux faits
Le nucléaire, peut-on entendre, ne produit pas l’électricité au meilleur coût : le coût de l’enfouissement des déchets et du démantèlement des centrales n’est pas connu et n’est pas pris en compte.
C’est faux : ces deux coûts font l’objet de provisions d’EDF et sont pris en compte. Un doute peut être émis sur l’exactitude de leur évaluation car, faute de retour d’expérience, il a fallu élaborer des hypothèses sur la base de scénarios de décontraction.
Quant à l’enfouissement des déchets, c’est la prudence et la très haute exigence de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour garantir la sécurité des Français (et tant mieux !) qui entraîne un décalage dans l’opération d’enfouissement : technique de conditionnement des déchets, site de stockage sûr et accepté par la population, influencée par les positions idéologiques et/ou politiques exprimées. À tel point que des installations de conditionnement et d’entreposage des déchets activés ont pour but de les conserver sous très haute surveillance en attendant de disposer de lieux de stockage définitifs.
Rappelons que l’ASN est une entité indépendante qui assure les missions, au nom de l’État, de contrôle de la sûreté nucléaire, de la radioprotection et de l’information des citoyens « pour protéger les travailleurs, les patients, le public et l’environnement des risques liés aux activités nucléaires ».
On dit que le débat sur la sûreté des centrales est fui pour éviter les questions gênantes, que les accidents de Tchernobyl et de Fukushima ne sont pas pris en compte et que nous avons frôlé la catastrophe nucléaire.
C’est faux : je n’ai pas connaissance d’accident en centrale qui ait relevé du niveau de catastrophe nucléaire… L’ASN suit chaque incident survenant dans une centrale, les actions correctives effectuées ainsi que les contrôles et corrections réalisés sur l’ensemble du parc pour supprimer tout risque de cet incident sur les autres centrales. Aucun réacteur ne peut redémarrer sans son accord et chaque incident est accompagné d’une communication dans les médias.
D’autre part, EDF s’est particulièrement investie dans la mise sous sarcophage de Tchernobyl et c’est l’unité d’EDF chargée de la déconstruction des centrales qui a directement travaillé avec les Américains sur cette action lui permettant d’en tirer un retour d’expérience pour le parc français.
Enfin, rappelons que nous avons des dizaines d’années de retour d’expérience sur un parc de 58 réacteurs répartis entre 19 centrales. Une enquête auprès des populations vivant près des centrales, et notamment lorsqu’il est question d’en fermer une, en dit plus que les réquisitoires sans fondement avéré.
On lit que l’électricité éolienne et solaire est rentable et moins chère que le nucléaire.
C’est faux : pour promouvoir l’électricité « verte », son prix est subventionné par le biais de la CSPE (contribution au service public de l’électricité), qui apparaît sur les factures d’électricité et qui prend en compte l’obligation d’achat par EDF de cette électricité à un prix supérieur au prix du marché : le surcoût est calculé à partir de la différence entre le tarif d’achat et les prix de marché de gros de l’électricité. De plus, nous n’avons pas de retour d’expérience comparable au nucléaire et nous ne pouvons pas garantir la durée de vie des installations.À cela, il faut ajouter que remplacer un seul des 58 réacteurs par des éoliennes implique de trouver des centaines de sites pour les implanter, avec un impact sur l’environnement et sur le paysage français. Et, le nucléaire supprimé, il faudra payer cash le surcoût : ce n’est pas dans l’air du temps !
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Yves Cochet propose de limiter les naissances en France pour mieux accueillir les migrants chez nous
“Limiter nos naissances nous permettrait de mieux accueillir les migrants qui frappent à nos portes”. C’est le projet pour sauver la planète décrit par Yves Cochet, membre d’Europe Ecologie Les Verts, dans un entretien au Nouvel Observateur. Considérant que les pays occidentaux polluent le plus, ce militant remplaciste souhaite qu’ils cessent d’enfanter. Il s’agirait, selon cet ancien ministre de Lionel Jospin, du premier geste écologique.
Pour inciter les peuples blancs à disparaître pour laisser la place aux immigrés, Yves Cochet propose de supprimer les allocations familiales à partir du troisième enfant. Un projet de Grand Remplacement écologique qualifié par l’essayiste Laurent Alexandre de « masochisme suicidaire ».
Curieusement, Yves Cochet omet de remarquer que l’immigration vers l’Europe conduit à augmenter l’empreinte carbone des immigrants venant de pays moins développés. Une mesure écologique serait donc d’arrêter cette immigration massive !
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SAMEDI 16 FÉVRIER, ANGERS : CONFÉRENCE D'ALBAN D'ARGUIN SUR LE SCANDALE ÉOLIEN
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« Les bourgeois aimeraient tellement qu’on en revienne au train-train des débats habituels : les écolos, les vélos, les machos… » Fin
Il faudrait mettre fin à la mondialisation et instaurer de nouveau, en France et en Europe, des frontières qui protègent 2) Faire cesser le matraquage socio-fiscal, qui pèse essentiellement sur la classe moyenne, en réduisant les dépenses publiques anormales 3) Mettre fin à l’assistanat pour réduire les dépenses publiques, pour sauver la sécurité sociale et réduire les impôts de ceux qui travaillent 4) Réduire les folles dépenses et les gâchis engendrés par la sphère politico-administrative, notamment en supprimant le sénat, en réduisant le nombre des députés, en supprimant le département, échelon inutile du mille-feuilles 5) Arrêter l’immigration, qui est devenue une invasion : elle est la cause majeure de l’envolée des dépenses publiques et du matraquage fiscal ; elle a chassé la classe moyenne des banlieues ; elle pourrit la vie des Français ; elle est devenue une invasion.
Pour améliorer considérablement la vie des Français moyens de souche européenne : 1) Rétablir en France et en Europe des frontières qui protègent de la mondialisation 2) Cesser le matraquage socio-fiscal 3) Mettre fin à l’assistanat 4) Réduire la sphère politico-administrative 5) Arrêter l’immigration
Sur les gilets jaunes
La baudruche Jupiter s’est dégonflée brusquement avec un grand pschiiiit…
C’est en roulant dans l’escalier que le pseudo Jupiter dégringole de l’Olympe
Macron-Rothschild est à deux doigts de porter plainte contre le peuple
Bilan provisoire : 1) les réformes libérales prévues par Macron c’est terminé 2) grâce aux gilets, il va se prendre une veste aux européennes 3) il va avoir du mal à tenir jusqu’en 2022
Relevons que les Français moyens actifs qui touchent plus que le Smic et ne font pas d’heures sup, c’est à dire la majorité, ne gagnent rien aux annonces de Macron-Rothschild
Et toute la bourgeoisie retient son souffle : pourvu que ça suffise et que ces imbéciles se contentent de ces miettes…
Il a pris les Français moyens pour des poires
Veut les calmer maintenant avec un moratoire
Un peu tard désormais pour faire machine arrière
Nous ne supportons plus ce pseudo JupiterIl s’est pris pour Jupiter alors qu’il n’est qu’employé de banque
Parties intégrantes du Système, les syndicats subventionnés n’ont plus rien en commun avec les Français moyens en gilet jaune
De nombreux Français ne supportent plus ce banquier et rêveraient d’un Trump ou, mieux encore, d’un Poutine
(l’arc de triomphe dégradé rouvre ses portes) Dans un pays qui se laisse envahir sans réagir, un arc de triomphe paraît quelque peu incongru
En rester au Touquet manquait par trop d’éclat
Un autre avenir s’ouvrait dès qu’elle prit ce quadra
Rothschild et tout le CAC lui ont ouvert les bras
Elysée, Brégançon, Lanterne, Etcetera
Elle courait les palaces, Davos, Essaouira
Un Vuitton tous les jours, une perruque, et Gala
Rien n’était trop brillant pour cette prof d’en bas
Elle pouvait même rêver faire la nique à Carla
Las… Le micro-Jupiter a volé en éclats
C’est au musée Grévin que Brizit vieilliraLes bourgeois aimeraient tellement qu’on revienne au train-train des débats habituels : les écolos, les vélos, les machos…
Trois France en présence désormais : la classe dirigeante mondialiste et immigrationniste ; les immigrés ; et les Français moyens de souche, rackettés, trahis, envahis…
(macron au Puy en Velay) Le rêve jupitérien… Et puis… Envolé…
Il se rêvait en Jupiter… Il lui reste la Jupiler…
Après avoir créé le désordre, Macron-Rothschild compte sur les forces de l’ordre
Macron en 4 flashs : Rothschild ; l’immigration est une chance ; Ben Allah ; ISF…
Les juges voudraient mettre les gilets jaunes sur « le mur des cons » mais ils sont trop nombreux
Les policiers, issus du peuple, ont pour mission de protéger les bourgeois de la colère du peuple… On comprend qu’ils dépriment…
Macron-Rothschild = désordre
La politique libérale de Macron-Rothschild est soutenue par 25 % des Français au maximum, c’est à dire par la classe dominante. Ce niveau est également celui de son score du premier tour.
Matraquage socio-fiscal de la classe moyenne, reléguée dans les zones périphériques + enrichissement sans précédent de la classe dirigeante + mépris de classe macronien + invasion migratoire = gilets-jaunes
La classe dirigeante mondialiste a appauvri les Français moyens de souche ; elle les a méprisés ; elle a entrepris de les remplacer… Ils réagissent… Enfin !
Sur la délinquance, la police, la justice
Les médias se passionnent pour ces meurtres bien de chez nous : Dupont, Fourniret, Lelandais, Dutroux, le petit Grégory, Francis Heaulme, l’affaire Daval, la plupart vieux de plusieurs décennies… Quant aux meurtres à coups de couteau qui se produisent à longueur d’année, ils font eux l’objet d’un silence radio quasi total…
(la Défense : un professeur tué devant l’université) Une attaque à la Défense
(la Défense : un professeur tué devant l’université) Pakistanais… Comme le journaliste du Système a oublié de le préciser…
(Chambéry : le magistrat giflé par le père d’une détenue) Première hypothèse : l’agresseur est issu de la diversité…. Deuxième hypothèse : le magistrat giflé, comme la plupart des juges, est immigrationniste… Morale hypothétique : bien fait !
Sur l’économie, le social, l’assistanat
Le but du prélèvement à la source ? Une fois qu’il sera rentré dans les moeurs, il deviendra indolore, comme la TVA. Et l’Etat pourra l’augmenter en douce un petit peu chaque année…
Les assistés et les immigrés voient leur situation s’améliorer au fil des décisions « sociales ». Les riches voient leur impôts baisser (ISF, flat tax…). Matraqués d’impôts et de taxes, les Français moyens de souche voient leur pays leur échapper…
(la France taxera les GAFA même sans accord européen) Ah bon ? Alors finalement on peut quand même agir, même sans l’Europe ? ça fait pourtant 20 ans qu’on nous dit le contraire…
Les délocalisations ; l’envolée des prix de l’immobilier dans les grandes villes sous l’effet de l’enrichissement des riches ; l’immigration… Tout cela s’est fait au détriment des Français moyens de souche
Sur l’environnement
Le racket des Français moyens de souche sur les routes a trois objectifs : remplir les caisses ; créer une fracture entre police et population ; rendre les Français moyens craintifs et dociles
Sur le féminisme, les homos, les mœurs, le politiquement correct
(pupille un film bouleversant sur l’adoption) Le mieux c’est encore la famille traditionnelle : papa, maman et des enfants à soi
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Zoom – François Gervais : démonter le mythe de l’urgence climatique
François Gervais, professeur émérite à l’Université de Tours, jette un pavé dans la mare avec « L’urgence climatique est un leurre » aux éditions L’artilleur. Le physicien retourne un à un tous les poncifs du catastrophisme écologiste : l’anthropisme du réchauffement climatique, la nocivité du dioxyde de carbone ou encore la viabilité d’une énergie 100% renouvelable. Un ouvrage qui démontre également l’absence totale de consensus scientifique autour des questions climatiques.
https://www.tvlibertes.com/francois-gervais-demonter-le-mythe-de-lurgence-climatique
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Pétition climat : l’affaire du siècle ou l’arnaque du siècle ?
Ces derniers jours, sans doute avez-vous entendu répéter régulièrement, dans les médias, un message du type : « Il y a, en ce moment, une pétition qui cartonne. Jamais, en si peu de temps, on n’était arrivé à regrouper autant de signatures. » Il s’agissait, bien sûr, de la pétition en faveur du climat lancée par quatre ONG écologistes : Greenpeace, Oxfam, la fondation Hulot et Notre affaire à tous.
Cette évolution stupéfiante du nombre de pétitionnaires (400.000 en douze heures, selon un tweet de Greenpeace) a éveillé la curiosité de certains internautes et du club des professionnels en informatique, qui se sont amusés à signer plusieurs fois, voire plusieurs milliers de fois, à l’aide d’algorithmes afin de vérifier la robustesse des contrôles de signature.
Évidemment, ils n’ont pas été déçus. Cette pétition, hébergée par l’un de ses organisateurs, la plate-forme Greenpeace France, pouvait faire l’objet de signatures automatiques car aucun contrôle par retour d’e-mail ou CAPTCHA® n’a été mis en place. Pire : comment ne pas imaginer que cette organisation, tellement active pour le sauvetage de la planète, n’a pas été tentée de manipuler des bases de données d’e-mails pour faire des imports de pétitionnaires, comme le suggère, avec de bons arguments, le consultant Cédric Moro, dans un article pour le journal Contrepoints ? Les records de signatures, largement battus, d’autres pétitions nationales ou internationales le laisseraient à penser.
Ce manque de rigueur et d’impartialité n’a jamais été soulevé par la presse et les médias, dans leur ensemble, se sont révélés, une fois de plus, d’une légèreté accablante et d’un parti pris relevant de la manipulation.
Le ministre de l’Écologie lui-même s’est exprimé en tant que soutien du message véhiculé par ces organisations, en rappelant que « nous vivons un état d’urgence climatique », et cela, pour essayer de redorer son blason d’écologiste après le camouflet infligé à la politique de taxation des carburants.
Comment pouvait-il en être autrement, quand on sait que Greenpeace, Oxfam et la fondation Hulot appartiennent au Réseau action climat, largement subventionné par ce même ministère ? Ces subventions ont peut-être servi à la fabrication du clip de lancement de la pétition, où apparaissent quelques vedettes du show-biz, ou à l’achat d’espace publicitaires sur Facebook pour son lancement. Elles pourront peut-être servir également à soutenir l’action en Justice qu’elles comptent entreprendre contre l’État… pour inaction climatique !
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Le GIEC innocente le CO2 ! (l’urgence climatique est un leurre) (Claude Brasseur)
Ce n’est pas l’échec de TOUTES les prédictions du GIEC qui mettra fin à la plus grande escroquerie de l’histoire, c’est le fait que des scientifiques qui laissaient falsifier leurs travaux pour obtenir titres, droit de publication, fonds de recherche etc. atteignent l’âge de la retraite et osent enfin dire la vérité…Le professeur François Gervais, physicien, examinateur du 5e rapport du GIEC (2011-2012) n’avait pas attendu l’éméritat pour dénoncer les pratiques du GIEC (1) et je vous présente brièvement comment il explique, dans une conférence, que les informations des rapports 5 et 5,5 (actuel) démontrent l’absence de rôle du CO2 dans les variations éternelles du climat.Si l’Europe se faisait hara kiri et ne consommait plus de carburants fossiles, cela éviterait théoriquement 0,01°C (un centième de degré!).
La production de CO2 anthropique liée aux carburants fossiles explose depuis 1945… elle a été accompagnée d’un refroidissement durant 30 ans, ensuite d’un réchauffement qui se termine.
Il s’agit d’un cycle naturel de 60 ans que le GIEC refuse d’évoquer.
Si l’arctique témoigne de ce cycle de 60 ans, l’antarctique, lui, s’étend…
Selon le GIEC lui-même, sa théorie bénéficierait d’un consensus.
Etrange consensus où les variations de températures pour le futur oscillent entre 0,3°C et 4,8°C !
Les rapports du GIEC à ce sujet sont basés sur les 100 modélisations informatiques qu’il finance…modélisations toutes totalement en désaccord entre elles et – pire encore – aucune n’est confirmée par les mesures réelles…
Le GIEC exploite les mesures prédites par ses modèles pour vous effrayer et ignore les mesures réelles !!
Vraiment étonnant : il n’existe pas un seul travail au sein du GIEC qui mesure les effets réels, précis, du CO2.
Ainsi, le modèle d’atmosphère du GIEC imposait une diminution progressive de la température de la stratosphère.
RIEN ne se passe !
Et il existe d’autres preuves pour disculper le CO2 – preuves dont dispose le GIEC – comme les travaux sur son effet.
Et le consensus parmi les scientifiques du GIEC est parfait : progressivement, toutes les études tendent à montrer une absence complète de rôle du CO2 dans la température.
Elles démontrent même que si on mettait 10 fois plus de CO2 dans l’atmosphère, cela ne changerait rien, ce que relève JM Bonnamy (2)
Pour bien convaincre(?) ses victimes, le GIEC publie un graphique présentant un extrait des variations du taux de CO2 et de la température terrestre durant les derniers milliards d’années : il n’y a pas de lien du tout entre les deux courbes !!
Et, petite cerise sur le gâteau surréaliste : le GIEC nous menace de phénomènes naturels de plus en plus extrêmes.
Nul ne sait pourquoi mais l’énergie cyclonique baisse, les ouragans et tempêtes faiblissent… on insiste sur les cas malheureux.
François Gervais nous engage à penser utilement : il est vrai que le taux de CO2 est passé de 280ppm (parties par million,) à 400ppm et que ce phénomène a permis le verdissement de 18 millions de km². De plus, si le CO2 augmente, les plantes ont besoin de moins d’eau, le rendement agricole augmente… et j’irais jusqu’à proposer que les pays émergents versent une prime aux pays industrialisés pour les inciter à produire – proprement, sans pollution – un maximum de CO2.
Finalement, le gros problème, c’est que 200.000 emplois vont disparaître avec le GIEC et, pire, on perd l’occasion d’installer une dictature onusienne mondiale « pour sauver le climat ».
François Gervais sera-t-il le Luther du climat ?
Celui qui met fin aux indulgences – climat ?
Claude Brasseur 26 décembre 2018
(1) Déjà en 2013, F.Gervais osait L’innocence du carbone , Albin Michel
L’urgence climatique est un leurre, Ed. Du Toucan, est publié en 2018
(2) JM Bonnamy, Réchauffement climatique : le pavé dans la mare, Ed. L’Harmattan, 2018 -
L’origine du réchauffement climatique
Le réchauffement climatique allégué pour justifier toutes sortes de contraintes, notamment fiscales, est-il le fruit d’une recherche scientifique originelle ? C’est ce que les pouvoirs politiques et médiatiques veulent nous faire croire. La réalité est différente comme le montre le texte ci-après tiré du livre d’Alexander King, (1909-2007) chimiste anglais co-fondateur du Club de Rome et de Bertrand Schneider (1929- ) diplomate français qui fut secrétaire général du Club de Rome. Il existe une version française de ce livre : Questions de survie. La révolution mondiale a commencé. (Calman-Lévy, 1991).
Ce texte, dû à des plumes irrécusables, montre que c’est la recherche politique d’un motif de mobilisation (en vertu du principe discutable de la nécessité d’un ennemi) qui a fixé ce choix arbitraire. Et c’est en fonction de ce choix qu’il a été demandé à la Science de le justifier a posteriori. Ceci est un exemple flagrant de la mise de la science au service d’une idéologie politique. L’Histoire connait sa version officielle, maintenant la Science subit le même sort. Lyssenko a fait école. Hommes politiques et médias s’entendent pour maintenir cette science officielle et interdire toute forme de dissidence. Les contestataires qualifiés sont pourtant fort nombreux mais le prix qu’ils auraient à payer s’ils se manifestaient est manifestement trop élevé. La dictature de la pensée règne ainsi en paix.
Le texte ci-dessous est notre traduction très partielle de l’édition anglaise et les surlignements en gras sont de nous.
THE FIRST GLOBAL REVOLUTION
Alexander King & Bertrand Schneider
Chapitre 5 LE VIDE
L’ordre de la société est déterminé par la cohésion de ses membres. Jusqu’au milieu du 20èmesiècle ceci était normalement assuré par le patriotisme naturel, le sens d’appartenir à la communauté, renforcé par une discipline morale provenant de la religion et du respect pour l’État et ses dirigeants, aussi éloignés fussent-ils du peuple. La foi religieuse s’est évaporée dans beaucoup de pays; le respect pour la politique s’est aussi affaibli, aboutissant à l’indifférence sinon l’hostilité due partiellement aux médias et partiellement à l’inaptitude des partis à faire face aux problèmes réels; les minorités sont de moins en moins disposées à respecter les décisions de la majorité. Ainsi s’est créé un vide et tant l’ordre que les objectifs dans la société se sont désagrégés.
….
Nous cherchons en vain la sagesse. L’opposition des deux idéologies qui ont dominé le siècle a disparu, créant son propre vide en ne laissant qu’un grossier matérialisme. Rien dans le système gouvernemental et son processus de décision ne semble capable de s’opposer ou de modifier ces tendances, ce qui soulève des questions sur notre avenir, voire la survivance de la race.
….
Il semblerait que les hommes et les femmes ont besoin d’une motivation commune, c’est-à-direun adversaire commun, pour s’organiser et agir ensemble; dans le vide ces motivations semblent avoir cessé d’exister – ou doivent encore être trouvées.
La nécessité d’avoir des ennemis parait être un facteur historique. Les États ont essayé de surmonter les échecs intérieurs et les contradictions internes en désignant des ennemis extérieurs. Le recours au bouc émissaire est aussi vieux que l’humanité… Unissez la nation divisée pour faire face à un ennemi, qu’il soit réel ou inventé pour la cause. Avec la disparition de l’ennemi traditionnel, la tentation est de désigner comme bouc émissaire des minorités religieuses ou ethniques dont les différences sont perturbantes.
Pouvons-nous vivre sans ennemis ? Tout État est tellement habitué à classer ses voisins en amis ou ennemis que l’absence soudaine d’adversaires traditionnels a laissé les gouvernements et l’opinion publique avec un grand vide. Il faut donc identifier de nouveaux ennemis, imaginer de nouvelles stratégies, inventer de nouvelles armes. Les nouveaux ennemis peuvent avoir changé de nature et de lieu, ils n’en sont pas moins réels. Ils menacent toute la race humaine et leurs noms sont pollution, pénurie d’eau, famine, malnutrition, illettrisme, chômage. Cependant, il semble que la conscience de ces nouveaux ennemis soit insuffisante pour susciter la cohésion mondiale et la solidarité pour la lutte.
Les limites de la démocratie. La démocratie n’est pas la panacée. Elle ne peut pas tout organiser et elle ignore ses propres limites. Il faut admettre franchement ces réalités, même si cela peut paraitre sacrilège. Telle qu’elle est actuellement pratiquée, la démocratie n’est plus bien adaptée pour ses tâches futures. La complexité et la nature technique de beaucoup des problèmes actuels ne permettent pas toujours aux représentants élus de prendre les bonnes décisions au bon moment…Les activités des partis politiques sont tellement concentrées sur les échéances électorales et les rivalités de partis, que finalement ils fragilisent la démocratie qu’ils sont censés servir.
En cherchant le nouvel ennemi pouvant nous unir, nous avons suggéré que la pollution, la menace du réchauffement global, les pénuries d’eau, les famines et autres accompliraient la mission. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent une menace commune qui demande la solidarité de tous les peuples. Mais en les désignant comme l’ennemi nous tombons dans l’erreur de prendre le symptôme pour la cause. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et c’est uniquement par un changement des attitudes et des comportements qu’ils pourront être surmontés. Le véritable ennemi c’est l’humanité elle-même.