Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

écologie et environnement - Page 124

  • L’arnaque du réchauffement climatique et de la transition écolo

    iceberg_ice_j_kullsarlon_iceland_floe-890527-845x475.jpg

    L’émission qu’anime André Bercoff sur Sud Radio avait, la semaine dernière, pour thème « Le réchauffement climatique, info ou intox ? » Il est fort dommage que notre mal-aimé président de la République (24 % des sondés) n’ait pas écouté l’invité du jour, le professeur François Gervais, directeur de recherche au CNRS et qui vient de publier un livre explosif, L’urgence climatique est un leurre.

    Un livre qui vient à point nommé avec le lancement de la nouvelle lubie présidentielle qu’est le Haut Conseil sur le climat et qui a donné l’ubuesque one-man-show de mardi matin sur la manière de réaliser la transition écologique, à des années-lumière de la préoccupation immédiate des gilets jaunes, c’est-à-dire du peuple d’en bas !

    Car François Gervais, qui a consacré sa vie aux problèmes engendrés par l’écologie, démontre, point par point, que le réchauffement climatique qui entraîne cette transition écologique est l’arnaque du XXIe siècle, une véritable intox. Et, personnellement, je ferais plus confiance à un savant qu’à un jeune homme issu de la haute finance.

    Le professeur Gervais se bat contre des idées préconçues qui semblent être la bible de l’Élysée. Il affirme que la pollution a grandement diminué. Le climat change tous les trente ans, mais pas toujours dans le même sens. En 1945, par exemple, lorsque les émissions de gaz carbonique (CO2) se sont accélérées, la température a baissé pendant trente ans… pour remonter de 0,4 % depuis, mais nos experts occultent la variabilité du climat.

    « Il est un fait avéré que le CO2 est un bienfait, car c’est la nourriture indispensable et irremplaçable de la végétation. Sans gaz carbonique, nous n’aurions plus de végétation et la planète mourrait. » François Gervais affirme que le CO2, cause première de la hausse des taxes, est passé de 0,03 % à 0,04 % en un siècle sur la planète Terre, ce qui a permis aux récoltes et à la biomasse végétale d’augmenter de 20 %, conduisant, selon un savant américain, à un gain de trois mille milliards d’euros !

    Un autre chiffre relevé par François Gervais : « Si l’on réduit de 20 % le CO2 d’ici 2020, on éviterait à la planète de se réchauffer de moins de 1 millième de degré pour un coût exorbitant puisqu’au niveau de l’Europe, il s’agit de 20 % du budget européen. »

    Si, donc, la transition énergétique est nécessaire car les ressources fossiles ne sont pas inépuisables, il faut travailler sur l’énergie de substitution et faire le contraire de ce que notre Président préconise, lui qui veut des moyens intermittents comme l’énergie solaire ou l’éolien qui ne produisent de l’énergie, comme l’aurait écrit M. de La Palice, que s’il y a du soleil et du vent !

    Alors, oui, la COP21 ne sert à rien. Selon le MIT, en 2100, on aurait gagné 0,2 °C si tous les pays signataires respectaient les objectifs de la COP. Alors que l’on constate que, grâce au CO2, en 33 ans, la planète verte s’est agrandie de 18 millions de km². Elle a reverdi !

    Il faut donc, selon ce professeur émérite, développer des énergies nouvelles renouvelables non intermittentes, comme les micro-algues qui, à partir de CO2 récupéré, par exemple, auprès de cimenteries voisines, permettent de refabriquer un carburant. Comme, aussi, la fusion nucléaire qui, avec le projet ITER, en construction depuis 2010 à Saint-Paul-lez-Durance, permettra d’utiliser sur Terre la même énergie que celle qui alimente les étoiles.

    Alors, le prétexte des taxes est fallacieux. Car la pollution atmosphérique du CO2 n’a aucune influence mesurable sur le climat. Le professeur Gervais est formel.

    Voilà de quoi rassurer le combat des gilets jaunes !

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/larnaque-du-rechauffement-climatique-et-de-la-transition-ecolo/

  • Pourquoi les gilets jaunes s’évertuent à « monter à Paris » ?

    Pourquoi les gilets jaunes s’évertuent à « monter à Paris » ?

    Sur Boulevard Voltaire, Robert et Emmanuelle Ménard écrivent aux Gilets jaunes :

    En quelques jours, vous avez réussi ce que personne, depuis des années, des dizaines d’années, n’avait même esquissé : vous avez donné un visage à cette France d’en bas, cette France populaire que nos élites ignorent – quand elles ne la méprisent pas.

    En quelques jours, nos gouvernants et tous ceux qui les servent, qui les conseillent ou qui rêvent de leur succéder – partis, syndicats, médias… -, semblent découvrir cette France déclassée, souffrante, exaspérée que, grâce à vous, ils sont obligés, enfin, de regarder, de considérer.

    En quelques jours, vous avez gagné à votre cause une immense majorité de Français – plus de 80 % ! – alors même que, dans les palais de la République, on s’évertuait à vous discréditer, on rêvait de vous voir vous essouffler, on guettait vos premiers faux pas.

    En quelques jours, vous avez fait de la France des ronds-points un nouveau lieu de rencontre – parfois de fraternité – où les difficultés, les malheurs de chacun viennent nourrir les premiers cahiers de doléances que vous faites signer.

    En quelques jours, tout en refusant porte-paroles autoproclamés, leaders consacrés par les médias, récupérateurs professionnels, vous avez imposé vos priorités – « vivre de mon travail », « respecter ce que je suis » – contre les cyniques pour qui tout est joué d’avance, tout est perdu d’avance.

    En quelques jours, la « France périphérique » est devenue, sous votre pression, le nouveau bréviaire de ministres, d’élus qui, jusque-là, préféraient les dialogues convenus avec les partenaires sociaux, la « société civile » la plus policée, les associations subventionnées.

    En quelques jours, vous avez démasqué ceux qui ont du mal à déjeuner pour moins de 200 euros, qui trouvent du boulot en traversant la rue, qui se plaignent qu’on claque un pognon de dingue pour les plus pauvres.

    En quelques jours, vous avez redonné de la fierté aux provinciaux que nous sommes, avec notre accent, parfois nos mauvaises manières, notre façon de parler trop fort, trop haut, d’utiliser des gros mots (« le peuple », « les ouvriers », « les riches »…), de rappeler que nous sommes chez nous et que nous voulons le rester.

    Mais voilà que vous êtes, maintenant, à la croisée des chemins. Pour gagner – en commençant par l’annulation des taxes à venir –, il vous faut éviter plusieurs pièges. Et répondre à plusieurs questions.

    Pourquoi, alors que votre force est d’être au plus près du terrain – du bitume, en l’occurrence -, vous évertuer à « monter à Paris » où vous attendent ces casseurs, ces voyous qui effraient, scandalisent et révoltent à juste titre, ces meilleurs alliés de ceux qui ne s’emploient qu’à vous discréditer ?

    Pourquoi, à la manière des grandes révoltes du Midi viticole du passé, ne pas faire de vos mairies de véritables bastions en demandant aux maires et à leurs conseils municipaux de prendre position, de recueillir vos listes de revendications et de les transmettre aux préfets et sous-préfets ?

    Pourquoi ne pas appeler tous les Français – qui vous soutiennent sans pour autant venir grossir vos rangs – à vous rejoindre en un raz-de-marée de gilets jaunes affichés à leurs fenêtres, portés dans tous leurs déplacements, dans toutes leurs activités ?

    Pourquoi ne pas exiger de tous les députés, quelles que soient leurs sensibilités, qu’ils demandent, de la plus ferme des façons, au président de l’Assemblée de les réunir en une séance solennelle – et aussi longue que nécessaire – au cours de laquelle chacun devra se prononcer sur les plus pressantes de vos revendications ?

    Pourquoi ne pas inventer de nouvelles formes d’action susceptibles de gagner la sympathie de nos concitoyens qui hésitent encore à vous rejoindre ? Rappelez-vous, il y a un demi-siècle, ceux-là mêmes qui nous gouvernent ou leurs jumeaux descendaient dans la rue, exigeant que l’imagination soit au pouvoir. Prenez-les au mot. Ne tombez pas dans leurs chausse-trapes. Votre popularité est votre première arme. Ne vous la faites pas voler !

    C’est en amis – ni donneurs de leçons, ni quémandeurs de voix – que nous nous adressons à vous. Élus d’une ville et de villages longtemps abandonnés par un État centralisateur, paralysés par des notables uniquement obnubilés par eux-mêmes, oublieux de leurs promesses, nous partageons votre constat : cela ne peut plus durer. Et cela ne doit pas durer.

    https://www.lesalonbeige.fr/pourquoi-les-gilets-jaunes-severtuent-a-monter-a-paris/

  • 150 personnes à Le Sourd (02) pour protester contre l'installation d'éoliennes près du cimetière militaire

    IMG_4179.jpg

    Un manifestant raconte :

    Des sociétés éoliennes souhaitent installer des machines de 180 mètres de hauteur sur les territoires de Lemé et Macquigny dans l’Aisne, à proximité des cimetières de Le Sourd et la Désolation cliquez ici.

    Dans son étude de faisabilité, le gouvernement a omis de prendre en compte le fait que ces installations d’éoliennes vont se trouver sur un champ de bataille de la première guerre mondiale. Ces territoires se sont trouvés sous les coups directs des artilleurs allemands.

    Nous avons organisé une mobilisation le 1er décembre pour nous insurger contre  des parcs éoliens prévus sur ce champ de bataille (7 500 soldats inhumés dans les deux cimetières assez proches l’un de l’autre). Et où  bien sur de  nombreux soldats sont encore ensevelis dans les terres agricoles. Nous sommes révoltés que l’on puisse déterrer des  corps de soldats à coup de pelleteuses.

    A Chaudun, dans le sud de l’Aisne, le préfet a signé l’annulation d’un projet éolien sur un site de mémoire afin de respecter la mémoire des soldats afin  qu’ils reposent en paix. Nos soldats de Le Sourd et de La Désolation, seraient-ils moins prestigieux ? 

    Nous avons prévenu les hautes autorités, et sommes soutenus par le Général Sainte Claire Deville (petit-fils du Général Lanrezac, qui a gagné la bataille Guise Saint-Quentin). Malgré la pluie battante et des vents violents, près de 150 personnes se sont déplacées pour venir dénoncer ce sacrilège d’Etat.

    Nous avons ajouté à cela les nuisances sonores, visuelles et les problèmes de santé que génèrent les éoliennes sur la population et avons dénoncé la souffrance des habitants qui se retrouvent bombardés par ces monstrueuses machines de façon dictatoriale.

    IMG_4169.jpg

    Sur le scandale des éoliennes, lire le livre d'Alban d'Arguin cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Christophe Castaner ne mérite ni notre respect, ni notre fidélité

    Christophe Castaner ne mérite ni notre respect, ni notre fidélité

    Commentaire d’un lecteur :

    En tant que Français amoureux de son pays, comme chacun d’entre nous, et en particulier en tant qu’officier, je suis outré (et le mot est faible) de constater que notre ministre de l’intérieur a bien davantage privilégié la protection des lieux de commerce, que du lieu de mémoire de la gloire et du sacrifice de nos aïeux, que constitue l’Arc de triomphe !

    Privilégier exclusivement la préservation des vitrines de verre des lieux de consommation à celle des piliers de pierre des lieux de mémoire et d’histoire est emblématique de l’aveuglement consumériste, doublé d’ignorance culturelle et historique, de nos gouvernants que l’on ne peut plus qualifier d'”élites”. Ceci est illustratif d’une société “de marché”, qui a perdu le sens profond du symbole et qui vacille.

    Vandalisé par une convergence d’anarchistes de gauche et de voyous de banlieue aux accents méprisants ! Notre honneur et celui des forces de sécurité, aurait été de défendre sans esprit de recul ce symbole, ce monument. Pour notre part, nous n’avons pas l’habitude dans les armées d’abandonner à l’adversaire, ni nos drapeaux, ni nos emblèmes. Nous préférons donner notre vie plutôt que céder !

    Je le dis avec beaucoup d’amertume : ce ministre ne mérite ni notre respect, ni notre fidélité… Les “séditieux” qu’il évoque, comme pour masquer son incompétence et pour discréditer les Français indignés, ne sont pas ceux que l’on croit…

    Cela, ajouté au récent et inédit “débaptême” d’une promotion de Saint Cyr, pèse lourdement dans les esprits de bon nombre d’officiers et finit de discréditer à leurs yeux un pouvoir qui ne comprend plus ce qu’est la politique au sens noble : le service, exigeant, du bien commun et non celui, délétère, des intérêts partisans et dévoyés.

    Le 2 décembre 1805 est désormais bien loin…

    Le 2 décembre 2018 est un dimanche sans gloire et sans honneur…

  • Ardisson sur Macron et le Système : critique dure, critique juste !

    3834054413.jpg

    En direct sur RMC [émission du 17 novembre 2018] Thierry Ardisson s'exprime sans mâcher ses mots sur les gilets jaunes Macron et le Système. Ici, tout est juste, fort, lucide, intelligent et politique. À écouter d'office !  LFAR 

     
  • Gilet jaunes, anti-éolien, Manif pour tous, familles : cristallisons les colères !

    solidaridad-845x320.jpg

    La révolte des gilets jaunes est parfaitement révélatrice du fossé profond qui existe actuellement entre les élites politiques et médiatiques parisiennes et le peuple de France. Ce mouvement spontané et populaire est loin de constituer une saute d’humeur ponctuel et le gouvernement a tort de le traiter par le mépris.

    En réalité, cette révolte est l’expression, par la population, d’une goutte d’eau qui a fait déborder le vase, face à une attitude désinvolte des hommes qui ont acquis le pouvoir, souvent par des manœuvres politiques ou par des manipulations des règles électorales. Si bien que, depuis des années, de très nombreux citoyens ont ouvert les yeux sur le déficit démocratique grandissant existant dans notre pays.

    Le constat est désormais clair : Les élus au pouvoir ne sont plus les représentants du peuple !

    Cette dure réalité a déjà pu être constatée par des citoyens dans un nombre important de combats depuis quelques années, et le mouvement spontané des gilets jaunes n’est, en fait, que le révélateur de ce déficit démocratique qui s’est installé dans notre pays depuis trop longtemps, tant à l’échelle locale dans les municipalités qu’au niveau national.

    C’est pourquoi ce mouvement est profond, et le gouvernement a tort d’espérer son essoufflement.

    Ce déni de démocratie a été parfaitement exprimé lors des Manifs pour tous qui ont montré que des millions de personnes ne souhaitaient pas de changement de civilisation par une marchandisation et une manipulation de l’humain. Il est également relevé dans le cadre des combats contre la multiplication des implantations d’éoliennes en France, imposée par des gens des villes où elles sont inexistantes au détriment des ruraux qui en subissent les conséquences et sont les victimes d’une corruption généralisée des élus. Il a également pu être constaté lors de la mise en œuvre des mesures fiscales confiscatoires des familles privées de leurs allocations familiales et spoliées fiscalement avec la baisse du quotient familial.

    Compteurs Linky imposés, radars multipliés, contrôles techniques renforcés, essence augmentée, paysage dénaturé : à tous les niveaux, les citoyens français en ont assez et l’expriment avec force et détermination.

    Cette colère, aujourd’hui, doit être démultipliée, les bourgeois doivent rejoindre les gens du peuple, les citadins doivent s’allier aux campagnards, les anti-éoliens, les manifestants de la Manif pour tous, les anti-Linky, les familles nombreuses : tout le monde doit s’unir dans un mouvement de résistance face à cette oligarchie mondialiste qui, sous prétexte de transition écologique, veut nous maintenir en esclavage en détruisant notre civilisation et notre environnement.

    C’est pourquoi nous tous qui combattons dans ces différents mouvements et avons depuis des années eu conscience de ces trop nombreux dénis de démocratie, nous devons rapidement nous joindre aux gilets jaunes pour que, par la cristallisation de nos colères, notre force soit démultipliée et que nous, le peuple, retrouvions enfin notre souveraineté perdue.

    Fabien Bouglé

    http://www.bvoltaire.fr/gilet-jaunes-anti-eolien-manif-pour-tous-familles-cristallisons-les-coleres/

  • Jaune de colère : la « transition écologique » est un mensonge

    Jaune de colère : la « transition écologique » est un mensonge

    De Stéphanie Bignon, présidente de Terre et famille :`

    La « transition écologique » est un mensonge, le faux nez et la nouvelle locomotive de la « globalisation ». Cette dernière se résume à la volonté de supprimer toute résistance à l’enrichissement sans limite de quelques « marchands du Temple » qui n’ont de patrie que l’argent.

    La véritable écologie n’est donc pas compatible avec un système global ! (Voir le film-documentaire de Coline Serreau, « Solutions locales pour un désordre global »)

    Dans un pays où l’Etat est entre les mains des bénéficiaires de ce système, voici résumé, le processus d’asservissement des populations :

    • Produire n’est plus prioritairement destiné à répondre à un besoin réel mais à enrichir quelques-uns aux dépens de tous les autres et des ressources naturelles.
    • Pour satisfaire l’actionnariat des « grands groupes » et augmenter « l’augmentation » de sa marge annuelle, il faut diminuer les coûts de production.
    • Produire loin, grâce à des petites mains peu exigeantes, rapporte à ces financiers qui sous prétexte de baisser les prix, augmentent leur marge aux dépens des salaires, de l’investissement et de la recherche.
    • La propagande nous a vanté que « les prix bas ont permis la consommation de masse…et que nous en profitions tous » … mais à quel prix pour NOUS qui payons la note ?
    • Nous avons progressivement accepté d’être rendu dépendant de cette consommation et avons vécu à crédit. Aujourd’hui nous ne sommes plus solvables : le taux de chômage est insoutenable, le travail est ailleurs et le bilan environnemental est catastrophique, les marchandises sont produites et transportées loin sans autre considération que le profit à court terme.

    Alors que faire devant ce naufrage ? Selon le gouvernement… financier, il faut toujours plus « globaliser ». Mais « globaliser » nous ruine… alors il faut taxer. Prendre ce qui nous reste sous prétexte de financer la fameuse « transition écologique ». Taxes prohibitives qui ont pour but de rendre la vie impossible aux habitants d’agglomérations de moins de 10.000 âmes. Comment travailler, créer, vivre quand les écoles, les hôpitaux, les médecins, les bureaux de poste, les administrations, les banques désertent nos petites bourgades et que ces services ne sont plus accessibles qu’au bout de déplacements toujours plus longs, toujours plus taxés ?

    La loi NOTRe, Nouvelle Organisation Territoriale de la République a trouvé un puissant outil pour détruire nos villages et nous déraciner : « la transition écologique » !

    Donc, sous prétexte d’écologie, nous devons toujours plus « globaliser » et tous vivre en ville !

    Comme nos pseudos représentants de l’Etat semblent ne pas être en mesure de comprendre leur propre incohérence, nous allons leur expliquer :

    Economie, vient du grec « oikos », la maison et de « nomos », gérer. Donc, l’économie c’est d’abord gérer sa maison, puis un ensemble de maisons, les villages, puis un ensemble de villages, les provinces, puis un ensemble de provinces, la France… Mais l’échelon de base reste la maison ! Même dans une économie à l’échelle du monde, la référence, l’unité, la brique qui constitue toutes les constructions économiques, est la maison.

    Si la gestion de la maison est rendue impossible, à terme ce sont les échanges internationaux qui deviennent impossibles. Le mépris de cet échelon est une faute grave parce que c’est aller contre la nature, parce que c’est déconstruire au lieu de construire !

    L’application d’une véritable subsidiarité qui redonnerait à chaque maison la liberté de se gérer dans la mesure de ses compétences est la base d’une véritable écologie. Permettre à qui le veut de rester sur la terre familiale, de vivre à la campagne et donc d’éviter l’engorgement des infrastructures urbaines, est essentiel. La pollution étant due à la concentration, il conviendrait d’alléger considérablement la pression fiscale pour que vivre de son travail partout en France soit possible !

    Alors messieurs, globalisation ou écologie ? Là est la vraie question. Sachez que vous êtes démasqués car nous sommes de plus en plus nombreux à savoir que vous répondez « globalisation » et que l’écologie est en réalité le cadet de vos soucis … un cadet abandonné ! Vous méprisez le réel mais la réalité des « Gilets jaunes » va vous chasser !

    https://www.lesalonbeige.fr/jaune-de-colere-la-transition-ecologique-est-un-mensonge/

  • Lancement, au sein du Rassemblement national, du forum Terres de France, sur l’agriculture et la ruralité

    Lancement, au sein du Rassemblement national, du forum Terres de France, sur l’agriculture et la ruralité

    Loup Mautin, lui-même agriculteur, évoque sur Boulevard Voltaire le cas de cet éleveur de volailles de Bresse, criant sa détresse dans une vidéo, alors qu’il fournit les meilleures tables. Par ailleurs, il revient sur le lancement d’un forum de réflexion et de propositions au sein du Rassemblement national, Terres de France, sur la thématique de l’agriculture et de la ruralité.

    La presse locale s’est largement fait l’écho de cet éleveur de volailles du pays de Bresse. Il a beau nourrir les grands de ce monde, il peine à dégager 500 euros chaque mois pour vivre. Cette situation vous interpelle-t-elle ?

    Ce témoignage est vraiment très poignant et touchant. En réalité, cet éleveur vit ce que vivent une grande majorité des agriculteurs. Ils travaillent nuit et jour, y compris les jours fériés et le dimanche. Il n’est pas rare qu’ils travaillent 70 heures par semaine. Et tout cela pour un revenu très misérable. 40 % des agriculteurs, selon les chiffres de la MSA, gagnent 350 euros par mois.

    C’est assez étonnant, puisque cet éleveur fournit les tables présidentielles. On pourrait penser que son carnet de commandes est plein et que ce ne sont pas les clients qui manquent. Pourtant, il n’arrive pas à dégager de bénéfices suffisants pour se payer. À quoi cela est-il dû ?

    Il y a une explication qui est typique de la situation agricole. Entre lui et l’Élysée, il y a un intermédiaire, un industriel.Les agriculteurs au bout de la chaîne n’y arrivent pas. En revanche, l’industriel qui sert d’intermédiaire et qui commercialise le produit, lui, s’en sort très bien. Monsieur Macron a beau dire qu’il va leur tordre le bras et qu’il va signer des accords avec eux pour que la marge et la valeur ajoutée reviennent au producteur, en réalité il n’en sera rien. Le plus puissant est l’industriel. C’est lui qui commercialise. Cette situation n’est donc pas du tout étonnante. C’est la même chose pour le lait, pour la viande et à plus fort degré, pour les salaires.

    C’est un cas emblématique de l’État de la paysannerie française…

    Tout à fait. On retrouve à un bout de la chaîne des gens qui meurent de faim et n’arrivent pas à s’en sortir et à l’autre bout, des gens qui mangent bien. Les uns mangent de mauvais produits achetés en grandes surfaces parce qu’ils n’ont pas les moyens, et les autres mangent de bons produits.

    C’est une problématique que vous connaissez bien, puisque vous êtes vous même paysan. Vous avez notamment créé Terres de France au sein du Rassemblement national. Quel est le but de ce collectif et quelle est son ambition à long terme ?

    Nous avions eu l’idée de lancer le forum Terres de France depuis longtemps. Il tombe fortuitement en pleine actualité. L’idée était de fédérer toutes les bonnes volontés et les énergies pour défendre la ruralité, l’environnement et l’agriculture. On y retrouve des élus, des maires, des conseillers régionaux et des agriculteurs du Rassemblement national et non encartés.
    L’objectif est d’être force de propositions pour le Rassemblement national et de se faire l’écho ensuite des décisions qui seront prises par le parti de Marine Le Pen.

  • L'Écologisme dictatorial persiste dans son mépris

    6a00d8341c715453ef022ad3a37b80200d-320wi.jpgRien n'y fait. L'aveuglement des technocrates de Bercy l'a encore emporté. La timide velléité présidentielle d'entrouvrir, en apparence, pas même une porte, à peine une chatière, s'est noyée elle-même. Elle s'est engluée dans un discours péremptoire, se présentant comme une affirmation doctrinaire de l'écologisme, étonnamment psychorigide.

    Professionnel coutumier du contresens et de l'enfumage, le directeur de Libération, Laurent Joffrin écrit dans sa Lettre Politique du 27 novembre : "… les vieilles solutions sociales-démocrates peuvent encore servir… Jupiter descend parmi les mortels et tient un langage de raison et d’ouverture." À l'entendre il s'agirait d'un changement de ton. Et on devrait applaudir.

    De ton, vaguement. Mais de fond, rien.

    On annonce que la seule modulation technique de la TCIPE serait laissé au pouvoir du parlement. Merci Monseigneur. Mais cette disposition, qui existe déjà dans la Constitution, ne suscitera l'enthousiasme de personne. La formule rendra, peut-être, la spoliation de pouvoir d'achat constante. Elle ne la diminuera pas.

    La contestation a surtout reçu pour toute réponse la création d'un 387e comité Théodule, Haut Conseil, etc. Tout le monde, sauf les 13 nominés, curieux nombre, pourra se moquer des avis consultatifs qu'il énoncera. Le Premier ministre pourra lire ses rapports et études dans la posture élégante qu'on imagine, à la suite de Léon Daudet : "d'un derrière distrait".

    On doit souligner aussi la composition de ce haut, très haut, collège. Il représentera exclusivement les écologistes. Petite population.

    On ne manquera pas bientôt de comprendre les vrais raisons de l'acharnement en faveur de la transition écologique. Ce programme, imposé par Merkel en Allemagne en 2010, sous l'émotion provoquée par l'accident de Fukushima s’est révélé désastreux. Il s’est soldé par un échec que personne n'ose évoquer. Et encore plus de pollution. Son importation en France sera imposée par un personnage qui n'a pas été élu pour cela.

    Mais que pèsent les écolos dans l’opinion française ? Le parti écologiste en vue du scrutin d 2017, avait désigné au cours d'une primaire Yannick Jadot comme candidat. Or, celui-ci jugea plus prudent de se rallier à Benoît Hamon qui obtint le score misérable 6,4 % tout mouillé en rassemblement avec les socialistes.

    Depuis 1969, c'était la première fois en 50 ans qu'il n'y avait pas de candidat écologiste à une élection présidentielle.

    Aux législatives qui suivirent les écolos recueillirent 4 % des suffrages. On peut évaluer à ce niveau l'influence réelle dans notre pays des gens qui ont érigé les légitimes préoccupations environnementales en sectarisme écologiste. Or, c'est au plan européen, qu'en vue du scrutin de 2019 nos grands stratèges imaginent une poussée des verts. On les suppose appelés à se relever sur les ruines d'une sociale démocratie en perte de vitesse partout. Et ceci, en alliance avec le troisième groupe du Parlement européen – les ectoplasmes de l'ALDE du glorieux Verhostadt – permettrait aux macroniens franco-français de piloter un regroupement de centre gauche.

    Mais cet habile calcul ne saurait cependant fonctionner si la France macronienne ne s'applique pas, tant soit peu, à elle-même, les dogmes qu'elle affirme à l'international.

    En décembre, se réunira une 24e conférence annuelle de l'ONU sur les changements climatiques (COP24) à Katowice en Pologne[1]. Difficile de plastronner, pour le gouvernement que le monde nous envie, s'il ne respecte pas, chez lui, les conclusions de l'accord dit de Paris conclu par la COP21 en 2015.

    Les États-Unis s'en sont retirés[2] en juin 2017 : mais, précisément, Donald Trump ne prétend pas porter le drapeau de l'écologie politique mondiale.

    La logique rampante de la manifestation du 24 novembre conduisait les Gilets jaunes au-delà de leur propos initial. Elle tendait à mettre en cause, en la dégradant un peu plus, l'image du chef de l'État, désormais en lambeau.

    Celui-ci, de façon maladroite n'a même pas su tirer parti des dégradations provocatrices des Black blocs. Personne ne les nomme et pourtant quiconque s'est trouvé sur zone dans l'après-midi de ce samedi noir n'a pu que les voir à l'œuvre, déchiffrer leurs tags immondes et comprendre une fois de plus le danger qu'ils représentent à terme.

    Dans le catalogue de revendications des Gilets jaunes, la plus sérieuse, la première, la plus précise, celle qui a permis en quelques jours à Priscilla Ludovsky, principale porte-parole qu'ils ont désignée, 800 000 signatures sur une pétition c'est tout simplement le recul de la taxation du carburant qui rogne leur pouvoir d'achat.

    Ces braves geans s'adressaient au chef de l'État et celui-ci n'a pas voulu recevoir lui-même leur délégation. Serrer les mains calleuses du bas peuple exposerait nos délicats dirigeants à toutes sortes de contagions dommageables. On s'en doutait. On en a reçu la confirmation.

    JG Malliarakis  

    Pour soutenir L'Insolent et souscrire un abonnement payant cliquer sur ce lien.

    Apostilles

    [1] cf. "Climat: la COP24 en Pologne en 2018"
    [2] cf. "Climat: Trump annonce le retrait des États-Unis de l'accord de Paris"

    https://www.insolent.fr/

  • Les gilets jaunes : changement de cap ? – Journal du jeudi 29 novembre 2018

    Social / Les gilets jaunes : changement de cap ?

    Tentative de récupération par la gauche, courtiser par les vedettes du show-biz, à quelques heures de la manifestation de samedi les gilets jaunes pourraient bien changer de couleur.

    Immigration / Le pacte sur les migrations divise L’Europe

    Approuvé en juillet par l’ensemble des pays de l’ONU à l’exception des Etats-Unis, le pacte mondial sur les migrations est de plus en plus contesté. Alors que les refus se multiplient, une ombre plane autour de son approbation le 10 décembre prochain.

    Politique / LFI : les gauchistes mènent la danse

    Djordje Kusmanovic, le conseiller pour l’international de Jean-Luc Mélenchon claque la porte de la France Insoumise. Il livre un constat implacable d’un mouvement gouverné par un groupe sectaire et anti démocratique, obsédé par les vieilles lunes d’extrême-gauche.

    Ecologie / Menace sur le cèdre du Liban

    https://www.tvlibertes.com/les-gilets-jaunes-changement-de-cap-journal-du-jeudi-29-novembre-2018