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écologie et environnement - Page 186

  • Quand les tempêtes laissent apparaître des forêts sous le sable

    On le sait, on le répète la Bretagne a essuyé cet hiver une multitude de tempêtes. Mais l'une des conséquences inattendues de ces coups de vents se situe sur les plages. Le sable balayé, laisse apparaître des forêts fossilisées, preuve de l'évolution des paysages à travers les âges.

    © France 3 Bretagne
    © France 3 Bretagne

    Alors que les engins réparent les dégâts des dernières intempéries sur les plages, à quelques mètres la tempête révèle aussi les pages d'histoire qui se sont tournées. En déplaçant le sable par tonnes, le vent et les vagues ont fait émerger les restes d'une tourbière fossilisée. Selon les scientifiques, ces éléments datent de cinq mille ans environ, un phénomène, observé sur plusieurs plages du Finistère.

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  • Les identitaires s’intéressent au cas Giboulot : lu sur Les Inrocks

    BEAUNE (NOVOpress) - Les Inrockuptibles s’interrogent sur la raison pour laquelle les identitaires s’intéressent au cas du vigneron Emmanuel Giboulot. Le politologue Jean-Yves Camus leur répond très justement.

    Une multitude d’organisations rouge-vertes ont ensuite appelé à un pique-nique de soutien à l’occasion de son procès le 24 février : le NPA, Attac, Cap 21, Ensemble-Front de gauche, EELV, la Confédération Paysanne, Greenpeace et d’autres. Cependant des soutiens plus inattendus se sont glissés dans l’attroupement virtuel. Les sites d’extrême droite identitaires Fortune (le blog économique de Fdesouche) et Novopress se sont saisis du cas Giboulot, en relayant la pétition et les informations sur son procès. Pourquoi cet intérêt inopiné ? “La mouvance identitaire considère que la société industrielle et la société mondialisée suscitent un mouvement de destruction des cadres naturels. Ils sont par conséquent favorables à une forme d’écologie qui prend sa part dans un intérêt plus vaste pour l’enracinement, explique le politologue spécialiste de l’extrême droite Jean-Yves Camus. Ce sont des adversaires résolus de la mondialisation libérale, et parmi les phénomènes négatifs qu’ils lui associent il y a la croissance d’une société qui ne respecte pas l’écologie et l’environnement”. Les identitaires reviennent de loin pour se saisir du cas du vigneron. Mais le phénomène de buzz sur internet engendre nécessairement ce genre de rencontres surprenantes, et parfois désagréables.

     

    Source : lesinrocks.com

    http://fr.novopress.info/

  • L'arnaque des énergies 'propres' : L'exploitation des forces de la nature

    Nous avons récemment eu la chance d’entrer en contact avec un biophysicien qui a longtemps travaillé pour des firmes du sud-ouest des États-Unis spécialisées dans les énergies dites «renouvelables» ou «propres». Possédant une conscience de l'occulte depuis sa plus tendre enfance, il a finalement compris le pourquoi de l’effervescence autour de ces énergies soi-disant inoffensives pour la planète. Son constat est terrible.
    CROM : Pouvez-vous nous dire quelle a été votre découverte et ce qui vous a amené à la faire ?
    J. S. : Depuis que je suis conscient, je suis préoccupé par la question de la destruction de la Nature, que j’ai toujours perçue comme une attaque contre ma propre âme. Quoique ne me sentant pas d’esprit scientifique, cette préoccupation m’a incité à me spécialiser dans le domaine de la biologie et de l’écologie, et je fis partie des premières équipes de spécialistes qui réfléchissaient aux énergies «renouvelables», et cela sous toutes leurs formes (panneaux solaires, barrages hydroélectriques, éoliennes...)
    Comme beaucoup, je pensais que l’utilisation du pétrole était une aberration, et je n’étais pas plus convaincu par l’utilisation des «biocarburants», car je voyais bien que cela ne faisait qu’intensifier l’exploitation de la planète, en encourageant le développement de champs de colza gigantesques sur le globe, cela, bien sûr, au détriment des forêts, les éternelles victimes du «progrès humain».
    Mais j’ai mis longtemps à voir en quoi les «alternatives» étaient tout aussi néfastes pour la Nature, car ma formation scientifique avait fini par m’empêcher de voir qu’il n’y a aucune énergie neutre.
    CROM : Qu’entendez-vous par là ?
    J. S. : Je veux dire que la conception selon laquelle l’énergie est une force quantitative – qui peut se transférer, par exemple, de la chute d’un cours d’eau à une puissance électrique – est fausse. Elle n’est vraie que d’un point de vue strictement matériel.
    Pour les Anciens, les éléments naturels – les principaux étant le Feu, l’Air, l’Eau et la Terre – n’étaient pas que des phénomènes physico-chimiques, mais ils étaient la manifestation d’êtres réels, quoique invisibles : les êtres élémentaux. Un grand nombre de légendes anciennes parlent de ces êtres – fées, nains, sylphes, etc. – car, avant que la conscience humaine ne sombre totalement dans la matière, les gens pouvaient encore parfois les observer.
    CROM : Quel est l’incidence de ce fait en ce qui concerne les énergies dites renouvelables ?
    J. S. : Eh bien, regardez un «champ d’éoliennes». Pour un écologiste, il s’agit là d’une chose merveilleuse, non seulement pour sa civilisation, mais pour la Nature elle-même. Pourtant un œil sensible qui a résisté à la propagande scientiste voit dans cela une horreur, non seulement parce que cela «pollue le paysage» mais peut-être parce qu’une telle personne ressent ce que ressentent les élémentaux de l’air face à cet énorme vortex : il s’agit là d’un piège qui leur est destiné, qui est là pour capter leur force et la mettre au service du monde technologique par le biais de l’électricité.
    Vous avez peut-être entendu dire à quel point les oiseaux sont perturbés par la présence de ces éoliennes. C’est parce qu’ils sont profondément liés aux élémentaux de l’air, les sylphes.
    CROM : Vous voulez donc dire que ces nouvelles énergies ne sont pas «propres», et encore moins «libres», mais qu’elles sont le fruit de l’exploitation des élémentaux de la Nature ?
    J. S. : Absolument. Et les loges noires qui mettent en place ce nouvel esclavage énergétique souhaitent que toutes les forces élémentaires soient ainsi enfermées, «broyées»... Nous avons parlé des éoliennes mais le même constat pourrait être fait en ce qui concerne les barrages hydroélectriques qui captent les élémentaux de l’eau, les ondines, et les cellules photovoltaïques des panneaux solaires qui absorbent les élémentaux du feu.
    Ces loges ont lancé une grande offensive contre le pétrole, avec la participation de toute une ribambelle d’écolos bien-pensants, mais cela fut fait dans le seul but d'augmenter le budget de développement des autres technologies. Leur finalité n’est pas de rendre la planète propre – ou plutôt, si, leur objectif est de NETTOYER complètement la planète de toutes ces forces naturelles, et de les transférer vers le monde des machines.
    CROM : Cela semble cohérent. Nos propres recherches nous incitent à croire que le très large déploiement d’Internet a le même objectif en ce qui concerne les êtres humains : les transférer dans le monde des machines. Certaines thèses conspirationnistes avancent même l’idée que toutes ces nouvelles technologies sont d’origine extraterrestre, et qu’elles nous ont été données dans l’unique but de transformer notre planète en une prison électromagnétique, pour la mettre au final sous contrôle étranger.
    J. S. : Effectivement, ces technologies semblent a priori neutres, voire utiles, mais personne ne se doute que leur seule raison d’être est de transférer l’énergie vitale des hommes dans les machines. Cela a de très graves répercussions, en particulier à la mort où la conscience se trouve enfermée dans les circuits électromagnétiques. En fait, par ce biais, un nouveau monde est en train d’être créé. Sur le plan énergétique, les mondes virtuels sont réels, et ils commencent même à devenir plus réels que le monde naturel. Quant au monde naturel, il est nettoyé et le développement des sources d’énergies «propres» ne fait qu’accélérer ce processus, contrairement à ce que la vision matérialiste laisse présager. Car sans êtres élémentaux libres de faire leur travail, il n’y a plus que du désert.
    CROM : Selon vous, que pouvons-nous faire contre cette horreur ?
    J. S. : Une guerre de conquête est en train d’être menée sur le plan énergétique, il faut y participer. Les loges noires ont compris depuis longtemps que le monde matériel est bien peu de choses et qu’il faut que leurs machines réussissent à maîtriser ce plan supérieur. Tout le système financier participe déjà à cette dynamique, puisque pratiquement plus rien sur Terre ne peut se faire sans argent.
    Toutefois, les forces de la Nature sont encore puissantes, les élites le savent et c’est pourquoi elles redoublent d’efforts pour comprendre comment maîtriser le climat. Leur peur devrait nous réjouir, nous qui luttons contre les forces de mort : nous sommes assurés de bénéficier du soutien des forces élémentales. Toutefois, cette aide ne peut être effective que si nous nous hissons à leur niveau de conscience, si nous commençons à voir au-delà de la réalité matérielle. Et cette élévation de conscience est impossible tant que nous restons isolés au sein de leur labyrinthe technologique.
    Il y a 40 ans, on annonçait la naissance de la conscience écologique. J’y croyais alors dur comme fer! Mais c’était une blague de technocrates. Nous avons encore tout à apprendre sur ce qu’est fondamentalement le monde naturel !
    (Article transmis par le W.O.R.C. – World Order Research Center)
    Mise en Ligne : 16.02.10 | Extrait de Technologies du Futur
    http://crom.be/fr/documents/l-arnaque-des-energies-propres

  • Un aéroport à la fois coûteux et inutile : le caprice de M. Ayrault...

    La manifestation de samedi à Nantes pour protester contre la construction d’un aéroport international sur le site de Notre-Dame-des-Landes suffira-t-elle pour empêcher le début des travaux, annoncés comme imminents par les partisans de ce projet déjà fort ancien, pensé du temps où Concorde faisait rêver la France ?

    Rien n’est sûr, et il faut craindre, sans doute, une tentative prochaine du gouvernement pour imposer ce qui ressemble de plus en plus à un caprice de notables nantais : M. Ayrault, dans cette affaire comme dans celle du redécoupage régional évoqué en janvier par M. Hollande, raisonne petitement, non en homme d’Etat et de hauteur, mais en féodal départemental.

    Cela est d’autant plus regrettable que la nécessité économique de cet aéroport est de plus en plus contestée, à l’heure où le TGV relie Nantes à Paris en un peu plus de 2 heures, mais avec la perspective d’une réduction de ce temps de déplacement de plus d’une demi-heure dans les prochaines années grâce à de nouveaux aménagements ferroviaires. Contestée et contestable aussi, car ce projet s’appuie sur une conception de l’économie désormais de plus en plus remise en cause par les limites mêmes de la mondialisation et de la métropolisation qui, pour s’étendre encore, suscitent néanmoins également des réserves vives d’un nombre croissant de citoyens. Le modèle économique dans lequel s’inscrit le projet aéroportuaire de Notre-Dame-des-Landes n’est plus adapté aux temps qui viennent, ceux de la nécessaire sobriété et de la transition énergétique, et il faut aussi penser la fluidité et les communications en termes d’aménagement du territoire à la fois local et national (sans oublier, si possible, l’international), et non seulement sous la forme d’égoïsmes départementaux centrés sur eux-mêmes et persuadés que leur « développement » (véritable utopie contemporaine des milieux urbains…) va résoudre tous les problèmes locaux. [...]

    Jean-Philippe Chauvin - La suite sur Nouvelle Chouannerie

    Lire également sur Boulevard Voltaire, un entretien sur le sujet avec Nicolas Dupont-Aignan : "L’aéroport Notre-Dame-des-Landes est un non-sens économique"

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Un-aeroport-a-la-fois-couteux-et

  • Les verts : des camarades pour Mélenchon. - L’écologie politique est bien un gauchisme.

    Il y a de multiples formes d’écologie. Certaines, aussi respectables qu’indispensables. Mais il y a une écologie qui occulte toutes les autres, c’est l’écologie politique qui se mêle de tout et qui est un gauchisme radical en tenue de camouflage. Comme le vote écologiste est parfois un complément indispensable, les socialistes font semblant de ne pas le voir.
    Le virage très libéral du président hollande rend ce camouflage inopérant. Les verts apparaissent pour ce qu’ils sont, des rouges. Et pourtant le futur ancien premier ministre tente encore de donner le change avec cette hypocrisie de la mollesse politique érigée en mode de gouvernement.
    Le premier ministre Jean-Marc Ayrault a estimé le dimanche 23 février qu'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) devait « sortir de l'ambiguïté » au sujet de son soutien aux opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, au lendemain d'une importante manifestation qui a dégénéré et causé d'importants dégâts à Nantes. Emmanuelle Cosse, numéro un du parti des gauchos écolos, a, elle, rejeté les fondements de l'appel du premier ministre affirmant qu'il n'y avait « aucune ambiguïté ». « On a toujours dénoncé les actes de violence donc les choses sont très simples » a-t-elle déclaré avant de souligner que son parti avait condamné dès samedi soir les violences à Nantes dues à des « éléments perturbateurs ». Voila un bon raisonnement, mais valable pour la droite et le Fn, camarades ? Poser la question, c’est y répondre.
    Joie et bonheur pour ceux qui méconnaissent la crise ! :
    Quand à Valls on attend au delà des paroles fermes, des décisions de dissolutions des groupuscules gauchistes violents. Qualifiant d'«inadmissible» cette « violence qui vient de l'ultragauche radicalisée », le ministre a renvoyé les organisateurs de la manifestation à leurs responsabilités. C’est un peu court.
    Selon Manuel Valls, «un millier d'individus de l'ultra gauche, ainsi que des Black Blocs, très violents, se sont livrés à des exactions et à des violences intolérables : cocktails Molotov, boulons, pavés jetés sur les forces de l'ordre, détruisant des vitrines de magasins, saccageant un certain nombre de commerces, du mobilier urbain ainsi que l'entrée d'un commissariat de police ». Après avoir déploré que « cette manifestation se soit transformée en véritable guérilla urbaine échappant totalement à ses organisateurs », il a rendu hommage « au préfet de la Loire Atlantique, aux forces de l'ordre, qui avec beaucoup de sang froid et de professionnalisme ont contenu cette manifestation ».
    « Cette violence venant de cette ultragauche, de ces Black Blocs, qui sont originaires de notre pays mais aussi de pays étrangers, est inadmissible et elle continuera à trouver une réponse particulièrement déterminée de la part de l'Etat », Mais la dissolution et l’interdiction, c’est pour la jeunesse nationaliste, politiquement, c’est plus facile Manu.
    Les écologistes eux n’ont pas intérêt avant les municipales a quitter le gouvernement. Jean-Vincent Placé, le chef de file des sénateurs EELV, a estimé samedi qu'un départ des écologistes du gouvernement n'aurait aujourd'hui « strictement aucun sens ». « Il y a un débat très vif au sein du mouvement, la faiblesse des éléments écologiques de la politique menée et les orientations nettement sociales libérales plaisent de moins en moins à nos militants et à nos cadres », a-t-il déclaré sur Europe 1. C’est pourquoi on avale couleuvre après couleuvre.
    Un rappel dans le détail du site Boursorama.
    Juin 2012 : A peine nommée ministre du Logement, Cécile Duflot, encore secrétaire nationale d'EELV, se déclare le 5 juin, à la radio, favorable à la dépénalisation du cannabis, en rappelant que le parti des Verts défend cette position depuis « très longtemps ». Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, la rappelle à l'ordre en soulignant que « le gouvernement n'a rien dit sur ce sujet ».
    Août 2012 : Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls défend une politique de « fermeté » face aux campements illicites de Roms dont il accélère les évacuations. Cécile Duflot estime, pour sa part, que démanteler des campements roms sans les reloger revenait à « mettre les gens dans une précarité encore plus grande ».
    Même date : Une petite phrase d'Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, considérant que le nucléaire est « une filière d'avenir », suscite la colère des écologistes. Denis Baupin, vice-président EELV de l'Assemblée nationale, juge qu'il s'agit « d'une profession de foi en décalage total avec la réalité ». « Provocation », dit son collègue Noël Mamère. La ministre Cécile Duflot rassure son camp en laissant entendre que la position d'Arnaud Montebourg ne modifierait pas d'un iota les engagements de François Hollande sur l'abaissement de 75% à 50% de la part du nucléaire en France.
    Novembre 2012 : Le 9 novembre, François Hollande juge « possible » un départ des deux ministres écologistes du gouvernement (Cécile Duflot et Pascal Canfin, délégué au Développement) mais « ne le souhaite pas ». Le même jour, face aux « annonces très en faveur des entreprises sans contreparties et sans conversion écologique », Jean-Vincent Placé s'était interrogé sur la participation de son parti au gouvernement Ayrault.
    Juillet 2013 : Arnaud Montebourg se prononce en faveur de la création d'une compagnie publique pour exploiter de manière écologique le gaz de schiste. Jean-Vincent Placé estime alors que M. Montebourg est désormais « nuisible à l'écologie, nuisible au gouvernement ».
    Septembre 2013 : Le ministre socialiste de l'Ecologie Philippe Martin met le feu aux poudres en affirmant que, dans le prochain budget, le gouvernement ne prévoyait pas de réduire l'avantage fiscal du diesel sur l'essence, un des « marqueurs » des écologistes. Le gouvernement répond qu'aucune décision n'a encore été prise mais finalement le dispositif restera inchangé.
    Même date : Cécile Duflot accuse Manuel Valls d'être allé « au-delà de ce qui met en danger le pacte républicain » avec ses propos sur les Roms. Le ministre de l'Intérieur avait déclaré que seule une minorité de Roms voulait s'intégrer.
    22 février 2014 : Cécile Duflot affirme dans un entretien au Monde samedi que si elle n'était pas ministre, elle soutiendrait « plutôt deux fois qu'une » les opposants au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique).
    À quand la prochaine ? Et qui peut croire que cette alliance n’est pas purement électoraliste et carriériste ? Pas les électeurs tout de même !
    Raoul Fougax
    Source : Metamag : http://metamag.fr/metamag-1853-Les-verts--des-camarades-pour-Melenchon..html
    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAFkVAVyVxXTqkTdm.shtml

  • EELV se réjouit des violences à Nantes

    Un montage trouvé sur twitter :

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    Une agence de voyages :

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    Les rues de Kiev Nantes :

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  • 400.000 soutiens à Emmanuel Giboulot

    BEAUNE (NOVOpress) – Plus de 400.000 personnes ont adressé leur soutien au viticulteur bourguigonon Emmanuel Giboulot, traîné en correctionnelle pour avoir refusé de polluer. Emmanuel Giboulot passe en correctionnelle le 24 février prochain pour un motif ubuesque : il a refusé de déverser sur ses vignes un pesticide hautement toxique, privilégiant des solutions naturelles tout aussi efficaces (voir notre article).

    400 000 soutiens à 4 jours du procès d'Emmanuel Giboulot !
http://www.ipsn.eu/petition/viticulteur/index.php/400

    http://www.ipsn.eu/petition/viticulteur/index.php/400

    http://fr.novopress.info/

  • En prison pour avoir refusé de polluer !

    Témoignage poignant : Emmanuel Giboulot, le viticulteur bio qui passera la semaine prochaine au tribunal correctionnel pour avoir refusé d’utiliser un pesticide parle. Merci de le soutenir en signant sur ipsn.eu/petition/viticulteur/

  • Des bombes à graines pour se battre contre Monsanto

    Source : agirlocalement.wordpress.com - Pour se battre contre Monsanto, le lobbyiste des graines, on peut agir localement, entre amis et en toute légalité… Réapproprions-nous les espaces verts publics en y plantant des graines… Un groupe de Montpellier a repris une idée de nos voisins anglais. Cela consiste à faire des boules de terreau remplies de graines, de trouver un endroit propice et d’y jeter ces “bombes à graines”. “Une bombe à graines est une petite boule composée d’un mélange de terreau et d’argile dans lequel nous y insérons des graines mellifères, une source d’alimentation pour butineurs et pollinisateurs. Elles sont pratiques pour atteindre les espaces délaissés derrière les clôtures ou sur les toits, elles peuvent également être dispersées directement sur le sol sans être plantées. Les graines ainsi protégées germeront dès qu’elles seront exposées à des conditions favorables. Le lancer de bombes à graines fait partie du mouvement de « guérilla » jardinière né dans les années 90 chez les Anglo-saxons. Cet acte participe à la distribution des semences de façon ludique et engagée.”

    http://fr.novopress.info/156754/bombes-graines-se-battre-contre-monsanto/

  • Les gaz de schiste ne sauveront pas l’Europe

    Le gaz de schiste a eu peu d’impact sur l’économie américaine. Et l’Europe ne doit pas en attendre des miracles, avertit l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri) dans une étude.

    Les gaz de schiste n’ont pas révolutionné l’économie américaine et ne sauveront pas l’Europe : à contre pied de certaines idées reçues, les chercheurs de l’Iddri ont calculé que l’impact des hydrocarbures non conventionnels sur la reprise économique aux Etats-Unis est marginal – et qu’il le restera sur le long terme.
    Dans une étude de 60 pages (consultez l’abstract [...]), qui doit être présentée jeudi au Parlement européen, l’Institut du développement durable et des relations internationales, fondé par Laurence Tubiana (et partenaire de Sciences Po) montre que le boom du gaz de schiste n’a, jusqu’à présent, que peu pesé sur les prix de l’énergie, la compétitivité ou l’emploi américain.

    Les productions de gaz et de pétrole aux Etats-Unis ont certes augmenté respectivement de 33 % et de 52 % entre 2005 et 2013, provoquant un changement spectaculaire sur les marchés de l’énergie. Mais la forte baisse des prix du gaz dans le pays (de 8 à 4 dollars le million de BTU) a eu peu d’influence sur le coût de l’énergie : les prix de l’électricité résidentielle ont même augmenté en continu entre 2005 et 2012 (+ 25 %).

    « Le gaz ne représente que 27 % du mix électrique, et le prix de l’électricité dépend de bien d’autres facteurs : taxes, coût du réseau, etc. », explique Thomas Spencer, coordinateur de l’étude. Le gaz ne représente en outre que 13 % de la consommation des particuliers.

    La baisse du prix du gaz a, il est vrai, fortement amélioré la compétitivité de certaines industries très consommatrices de gaz : la pétrochimie, en premier lieu, certaines industries chimiques, l’aluminium, l’acier… « Mais ces secteurs ne représentent que 1,2 % du PIB américain », souligne l’Iddri, notant aussi que, si leurs exportations nettes sont passées de 10,5 à 27,2 milliards de dollars entre 2006 et 2012, la progression est loin de jouer sur le déficit commercial industriel américain (780 milliards en 2012).

    A partir des projections de production de l’agence américaine de l’énergie (EIA), et en extrapolant ces tendances, l’Iddri a calculé qu’au final, l’impact global sur le PIB américain serait limité à 0,84 point de croissance entre 2012 et 2035. Soit, pour simplifier, moins de 0,04 % de croissance supplémentaire par an, sur vingt-trois ans. « Le gaz et le pétrole de schiste constituent donc un facteur très faible de croissance », relève Thomas Spencer.

    De même, le nombre d’emplois directs du secteur a augmenté de 200.000 entre 2005 et 2013, note l’Iddri : un chiffre en soi non négligeable, mais finalement très faible au regard d’une population active de 155 millions de travailleurs.

    « L’Europe ne peut donc pas espérer que le gaz de schiste résolve son problème d’approvisionnement énergétique ou de compétitivité », conclut Thomas Spencer. Et ce d’autant que, compte tenu des particularités européennes (urbanisation, matériel disponible, réglementation…), la montée en puissance de la production ne pourrait y être que très lente : le Vieux Continent ne produirait, au mieux, que 3 à 10 % de sa consommation à l’horizon 2035.

    Les Echos

    http://fortune.fdesouche.com/329216-les-gaz-de-schiste-ne-sauveront-pas-leurope