
par Patrice Gibertie
Quand Marco Nius a lâché les deux infos j’ai cru à un gag et pourtant ??
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par Patrice Gibertie
Quand Marco Nius a lâché les deux infos j’ai cru à un gag et pourtant ??
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Cette semaine, je voulais partager avec vous quelques réflexions concernant la crise agricole que nous venons de vivre et que nous croyons terminée, alors que nous n’en sommes qu’au tout début.
Cette crise va inévitablement ressurgir à très courte échéance, car, en réalité, cela va devenir un combat existentiel pour nos agriculteurs, français bien évidemment, mais aussi et surtout européens. S’ils ne font rien, ils vont disparaître, et les gros aussi, ceux qui se pensent à l’abri, sont aussi devenus de trop et « inutiles » dans le monde prévu sans eux.
L’ombre de l’intellectuel suédois, Andreas Malm, né en 1977, plane sur le sulfureux mouvement des Soulèvements de la Terre. Affrontements des forces de l’ordre à Sainte-Soline, dégradations sur le chantier de l’autoroute A69 ou simplement dégonflement de pneus de SUV : quand le temps presse, Andreas Malm revendique une certaine violence légitime. Mais qui est l’éminence grise derrière les Soulèvement de la Terre et ses méthodes. Éléments de réponse avec Paul Derey, auditeur de la deuxième promotion de l’école de journalisme d’« Éléments », qui appelle à réfléchir aux procédés qui ont fait le succès des Soulèvements de la Terre et auxquels le Conseil d’État n’a rien trouvé à redire.
90 % des Français soutiennent les agriculteurs dans leur mouvement, et ils font partie des professions préférées des Français en temps normal.
Cela explique sans doute la compréhension (relative) du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à leur égard.
Le 25 janvier sur TF1, il disait comprendre « le coup de sang légitime » de personnes qui « travaillent » et justifiait les consignes données aux préfets : « Est-ce que les agriculteurs s’en prennent aux policiers et aux gendarmes ? Est-ce qu’ils s’en prennent aux bâtiments publics ? Est-ce qu’ils mettent le feu aux bâtiments publics ? Ce n’est pas le cas. [...] on ne répond pas à la souffrance en envoyant des CRS. »
Le gouvernement français vient de faire des concessions aux agriculteurs pour calmer leur colère. Certaines sont bonnes comme celles qui visent à agir sur les prix. D’autres beaucoup moins. Rétropédaler en matière écologique est facile, mais c’est aller dans la mauvaise direction. La nature ne manifeste pas, elle ne bloque pas les autoroutes ni ne jette de fumier devant les institutions contestées. Mais elle se venge et la vengeance est un plat qui se mange froid. Bonjour les dégâts… dans quelques années. Prenons un peu de recul pour examiner la problématique agro-alimentaire dans son ensemble.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
L’histoire est passionnante, l’histoire est souvent terrifiante, et trop souvent elle s’oublie.
Il faut savoir et faire savoir. Je vais d’abord reprendre cette brève histoire des Khmers rouges et vous y verrez le rôle fondamental des communistes français et d’une gauche française qui ont marqué notre pays pendant des décennies et continuent à la marquer de son empreinte.
Tout commence par un rêve, un rêve que beaucoup caresse dans notre pays, pensant ainsi pouvoir vivre du travail des autres en réalité, et revendiquant plus un droit à la paresse qu’une réelle égalité.
Inscriptions : lyonpopulaire@gmail.com
Marine Le Pen s'exprime ce 25 janvier à l'occasion de ses vœux à la presse. La Présidente du groupe RN à l'assemblée n'a pas manqué de tacler le gouvernement qui fait face à la crise des agriculteurs en colère :
Les véhicules électriques ne sont pas encore au point quoi qu’en dise la propagande climatique. Les problèmes sont innombrables et sur un marché à peine mature, voilà l’arrivée de la guerre des prix et le protectionnisme des bonus et des malus qui complique encore plus les choses.
Déjà pas franchement convaincu par l’histoire de l’électrification le patron de Stellantis ne veut pas se lancer dans la guerre des prix sur les véhicules électriques.