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économie et finance - Page 143

  • Twitter adopte un plan pour empêcher Elon Musk de racheter facilement ses actions (MàJ)

    15/04/2022

    Le plan doit “réduire la possibilité qu’une entité, une personne ou un groupe ne prenne le contrôle de Twitter en accumulant des titres sur le marché sans payer à tous les actionnaires une prime appropriée ou sans donner suffisamment de temps au conseil d’administration pour prendre des décisions éclairées”, précise le groupe dans un communiqué.

    Cette clause, surnommée “pilule empoisonnée” dans le jargon financier, se déclenchera si l’actionnaire hostile dépasse les 15% d’actions de la société sans l’accord du conseil d’administration (CA).

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  • “La proposition d’embargo du pétrole russe de l’UE ne sera négociée qu’après le 2nd tour des élections, afin de s’assurer que l’impact sur les prix à la pompe ne booste pas Marine Le Pen”

    Vu sur FdeSouche

    Les responsables préparent une interdiction progressive des importations de produits pétroliers russes, mais la mesure ne sera lancée qu’après le second tour des élections françaises au plus tôt.

     Les responsables européens élaborent des plans pour un embargo sur les produits pétroliers russes, la mesure la plus contestée à ce jour pour punir la Russie pour son invasion de l’Ukraine et une décision longtemps résistée en raison de ses coûts élevés pour l’Allemagne et de son potentiel de perturber la politique dans la région et augmenter les prix de l’énergie.

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  • Le coût de l’immigration est passé de 17,4 milliards d’euros en 2012 à 40,3 milliards

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    Le coût de l’immigration est passé de 17,4 milliards d’euros en 2012 à 40,3 milliards d’euros aujourd’hui, selon une étude publiée par l’association Contribuables Associés, en collaboration avec le chercheur Jean-Paul Gourévitch :

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  • Mensonges sur le pouvoir d'achat

    220412

    On sait que la première victime de la guerre c'est toujours la vérité. Le conflit en Ukraine nous le confirme jour après jour.

    Or, un affrontement politique binaire tel que le deuxième tour de l'élection présidentielle à la française, s'inscrit dans la même logique, bafouant les principes dont se réclame la démocratie.

    Le débat public a été bloqué par la non-campagne du premier tour. Or, il va manifestement s'investir maintenant, se cristalliser, sur un certain nombre de mensonges.

    L'un des plus grossiers portera, – le plus important, aux yeux des Français nous prévient-on donc aimablement dans les gros médias, – sur la question dite du "pouvoir d'achat".

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  • Donoso Cortés Une critique du libéralisme 2/2

    Donoso Cortés Une critique du libéralisme.jpeg

    L’une de ces deux positions nie radicalement la société, l’autre l’affirme souverainement, et c'est avec une conscience tendant à la limite de l'extrême que Donoso Cortés ne voit guère de juste milieu à cette alternative : « Ou bien... ou bien… », soit la civilisation catholique, soit la civilisation philosophique, selon les mots de l’époque, c'est-à-dire la civilisation qui enseigne que la nature de l’homme est déchue ou la civilisation qui enseigne au contraire que la nature de l’homme est une nature parfaite et saine et que la solution du problème social réside dans la rupture avec tous les liens qui compriment et assujettissent la volonté humaine. « Entre ces deux civilisations, il y a un abime insondable, un antagonisme absolu » (lettre à Montalembert du 26 mai 1849). D'ou la nécessité polémique pour Donoso et non dogmatique comme le relevait Carl Schmitt - d'affirmer la radicale malignité de l’homme dans son Essai sur le catholicisme, le libéralisme et le socialisme : « Si mon Dieu n'avait pas pris chair dans les entrailles dune femme, et s'il n'était pas mort sur une croix pour tout le genre humain, le reptile que j'écrase sous mon pied serait à mes yeux moins méprisable que l’homme. »

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  • Donoso Cortés Une critique du libéralisme 1/2

    Donoso Cortés Une critique du libéralisme.jpeg

    Par Ego Non

    Si l’Éducation nationale faisait son travail, elle mettrait au programme des lycées les classiques de la pensée politique, au même titre que les grands auteurs du patrimoine littéraire. L'homme deviendrait alors un animal politique. Ego Non, qui tient la chaine YouTube du même nom, nous offre plus qu'une session de rattrapage - une introduction l’art de (se) gouverner.

    Curieuse est la postérité de Juan Donoso Cortés, marquis de Valdegamas. Son nom ne semble réapparaitre que lorsque les certitudes s'envolent, dans l'écho des catastrophes. À trois reprises, note Carl Schmitt, les racines de l’Europe ont été profondément ébranlées : lors des multiples révolutions de 1848, à l’issue de la Première Guerre mondiale et de la révolution bolchevique, et à la suite de la Deuxième grande guerre. « Chacun de ces événements de l’histoire a fait que l’on a soudain parlé de Donoso Cortés dans toute l’Europe », note le juriste allemand dans Donoso Cortés. Quatre essais. « Mais chaque fois seulement pour un instant, seulement pour les secondes de frayeur qu'inspire le danger, quand les scellés sont brisés et le sens du secret découvert. Cet instant une fois passé, son nom aussi s'évanouissait en même temps que la frayeur du moment. » Ce retour épisodique de Donoso Cortés sur le devant de la scène intellectuelle doit nous interroger. Peut-être est-il temps, enfin, de redécouvrir ce grand penseur - avant qu'il ne soit trop tard.

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  • Embargo énergétique contre la Russie : l’UE se tire une balle dans le pied

    embargo russie

    Après des semaines d’âpres négociations, les pays membres de l’UE ont finalement décidé jeudi, dans le cadre d’une cinquième salve de sanctions qui entrera en vigueur début août, outre l’interdiction d’exportations vers la Russie à hauteur de 10 milliards d’euros, le gel des avoirs de plusieurs banques russes ou encore l’élargissement de leur « liste noire » à plus de 200 proches du Kremlin, la mise en place d’un embargo sur le charbon russe. Une dernière mesure qui devrait leur coûter très cher puisque, rappelons-le, l’UE n’importe pas moins de 45 % de son charbon de Russie.

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  • « La propriété, c'est le vol »

    Proudhon le disait, l’État socialiste le met en pratique, en empêchant les classes intermédiaires de se constituer un capital et en imposant des règles d'usage qui transforme le propriétaire en fonctionnaire administrant un bien dont il n'est plus libre de jouir : justice sociale ou ruine générale ?

    La haine marquée des socialistes français à l'égard des « Riches », catégorie imprécise et fantasmatique, tient à la fois de la nécessité de désigner un ennemi intérieur (moteur nécessaire à tout réformateur justifiant de ses échecs) et d'une conception foncièrement collectiviste de l'économie.

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  • Dix ans après la crise, la Grèce tarde à se remettre.

    C’était une exigence des bailleurs de fonds du pays : selon le second plan d’aide à la Grèce de 237 milliards d’euros, signé le 21 février 2012 entre Athènes et ses créanciers (effacement de 107 milliards d’euros de dette publique détenue par les créanciers privés et 130 milliards d’euros de prêts), 15 000 postes de fonctionnaires ont été supprimés. Le gouvernement conservateur d’Antonis Samaras expliquait à l’époque y être contraint par l’Union européenne, la Banque centrale européenne, et le Fonds monétaire international. Même s’il oubliait alors de rappeler les lourdes responsabilités de ses prédécesseurs dans la constitution de ces dettes…

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  • Paiement du gaz en roubles : C’est Poutine qui a gagné !

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    Marc Rousset

    Poutine a exigé sur une chaine de télévision russe que les acheteurs payent leurs importations de gaz à la société Gazprom en roubles à partir du 1er avril, sinon les contrats seraient purement et simplement annulés. La France, l’Allemagne, et l’UE ont poussé des cris orfraie en disant qu’il n’en était pas question et que les paiements seraient en euros ou en dollars, tel que stipulé dans les contrats signés à long terme. Que va t- il finalement se passer et pourquoi, même si la face est sauvée en apparence pour les Européens, la Russie a déjà gagné la partie du bras de fer !

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