économie et finance - Page 140
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L'inflation est-elle dû à la politique économique de Macron ?
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Les sanctions, quoi qu’il nous en coûte ?
Philippe Villin
Près de six mois après le début de la guerre en Ukraine, qui a été déclenchée le 24 février par la Russie, les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne se sont réunis ce lundi 18 juillet pour discuter d’un éventuel durcissement des sanctions contre Moscou. Le banquier d’affaires Philippe Villin craint que la politique de sanctions à l’égard du Kremlin nous mène à la ruine.
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Ascension et chute de la fausse monnaie – par Jean Goychman
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Faillite d’État
Jacques-Olivier Martin
Back-out boursier pour EDF ! Dans quelques semaines, le géant du nucléaire quittera la Bourse de Paris. Élisabeth Borne l’a annoncé au nom de « notre souveraineté face aux conséquences de la guerre et aux défis colossaux à venir». En 2005, Dominique de Villepin, alors premier ministre, vantait une privatisation partielle pour financer les investissements à venir et permettre aux Français d’être les copropriétaires de leur entreprise préférée...
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Loi sur le pouvoir d’achat : le profil de Charlotte Parmentier-Lecoq députée Renaissance du Nord et rapporteuse de la loi
Le contexte économique et social actuel fait du projet de loi portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat le texte phare attendu. Cet après midi, à 16h00, les députés débutent l’examen en séance publique de ce texte. Le projet de loi a été examiné en commission du 11 au 13 juillet.
Charlotte Parmentier-Lecocq, un profil adapté à la question du pouvoir d’achat ?
Le projet de loi n’est pas exclusivement destiné aux personnes les plus en difficulté mais pourtant c’est bien l’objectif attendu. Les classes moyennes salariées ont de plus en plus de soucis pour se chauffer, et s’alimenter correctement. On ne parle même pas de s’offrir des vacances qui deviennent peau de chagrin. Embrassant d’autres finalités, notamment dans le monde du travail, les français vont en attendre rapidement les effets.
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Quand le capitalisme oublie toute bonté sociale... (Qatar, 2022)
L’exploitation des travailleurs au Qatar, dans la perspective de la prochaine Coupe du monde de balle-au-pied, n’émeut toujours pas les grandes consciences de la « mondialisation heureuse » qui semblent penser que « cela ira mieux demain, avec quelques réglages » et qui raisonnent en termes statistiques plutôt qu’en termes humains, sociaux et civilisationnels, au risque de ne pas saisir le scandale que constitue, en définitive, la vision purement capitalistique du monde et de ses développements à travers celui-ci. Il y a bien sûr un débat possible sur les définitions du capitalisme et sur ses variantes, du capitalisme « familial » (qu’il est possible de défendre, voire de promouvoir sans déchoir) au capitalisme monstrueux des gigastructures et des mégaprofits, ce capitalisme de l’hubris qui est le règne nuisible des féodalités de « l’Avoir », appuyé sur l’idéologie franklino-fordiste (1) animant et encadrant le monde contemporain (2). Mais il n’y a pas que les conditions de travail qui sont concernées par l’exploitation capitaliste : les conditions du « hors-travail », c’est-à-dire les conditions de vie sont tout aussi importantes à évoquer, parce qu’elles sont à la fois les conséquences de cette exploitation au travail, et parce qu’elles déterminent aussi l’état général des travailleurs et leur capacité à produire, à conduire, à servir, ici dans le cadre de la construction des infrastructures sportives et touristiques du Qatar. Elles ne sont donc pas négligeables également pour saisir l’état de la question sociale dans le pays envisagé.
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L'énergie nucléaire est propre, sûre et peu chère, comptez sur nous pour la défendre !
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Crise énergétique : communication intensive vers le grand public, rétropédalage en coulisses
Première urgence : changer de narratif. Car la situation est grave et les perspectives bien inquiétantes : inflation, rationnement, pénuries, les nuages s’accumulent à l’horizon et le mécontentement pourrait vite se faire entendre.
Alors, on a fait plancher les communicants sur le sujet suivant : comment faire avaler la pilule aux Français ? Revenir sur une stratégie kamikaze qui se révèle un échec complet et menace de ruiner nos économies ? Pas question, ce serait reconnaître que l’on fait fausse route depuis le début. Non, il suffira de changer de récit afin de modifier la perception de la crise par les Français.
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L’Allemagne ne survivra pas à l’hiver sans le gaz russe, avertit le président du régulateur national de l’énergie du pays
Le président du régulateur national de l’énergie a averti que l’Allemagne ne disposait pas de réserves de gaz suffisantes.
Les réserves de gaz naturel de l’Allemagne ne sont pas suffisantes pour permettre au pays de passer l’hiver prochain sans acheter du gaz russe supplémentaire, a déclaré aux médias le haut fonctionnaire en charge des réseaux d’électricité et de gaz.
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« Sobriété énergétique », qu’il a dit, le Président : comme au bon vieux temps !
« Nous devons aujourd’hui nous préparer à un scénario où il nous faut nous passer en totalité du gaz russe » : telle est l’annonce faite par le Président, ce 14 juillet, lors de son interview par deux journalistes, lesquelles avaient visiblement oublié leur pugnacité au fond de leur sac Hermès™.
De fait, alors que rien n’indique que le projet de Bruno Le Maire de mettre l’économie russe à genoux prospère, la balle du jokari est en train de nous revenir dans l’œil à grande vitesse.