Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a annoncé que les autorités françaises travaillaient actuellement sur de nouvelles mesures pour limiter la flambée des prix de l’énergie. « Si on ne trouve pas une solution aux prix de l’électricité dans les jours qui viennent, les Français verront à la fin du mois de janvier une augmentation de 35 à 40% », a notamment déclaré le ministre.
économie et finance - Page 178
-
La France pourrait connaître une hausse de « 35 à 40 % » des prix de l’électricité d’ici le mois de février, selon Bruno Le Maire
-
Un sentiment de hausse de prix ?
Le 4 janvier, le Salon beige publiait un article intitulé ‘Un sentiment d’insécurité ?“. Le Monde, qui a pour habitude de relativiser la hausse de la violence dans la société, relayait les inquiétudes de Aurore Bergé sur les violences contre les élus LREM.
Après l’insécurité, c’est au tour de la hausse des prix.
Le Monde relativise les hausses de prix dénoncées par les Français, en parlant de “sentiment de hausse de prix”. Exemple :
Pourtant, Le Monde augmente ses tarifs en kiosque à partir du 4 janvier… en dénonçant ” la hausse des coûts industriels et en particulier des prix du papier.”
Il faut rassurer Le Monde ! C’est juste un “sentiment” de hausse de prix.
-
Marine Le Pen, Eric Zemmour, l’Union européenne et l’euro
Par Thomas Ferrier, président du Parti des Européens et essayiste ♦ La question économique est centrale pour de nombreux Français. La problématique du pouvoir d’achat arrive souvent en tête des préoccupations des électeurs avec la problématique identitaire. L’un des aspects de cette question économique est le rapport à l’Union européenne. Que se passerait-il en cas de sortie de l’UE et de l’euro ? Pour Thomas Ferrier, soutien assumé d’Éric Zemmour, les solutions de Marine Le Pen seraient catastrophiques.
Polémia -
L'économie Française va-t-elle totalement s'effondrer en 2022 à cause d'OMICRON ?
-
Cette dette qu'on laisse à nos enfants !
La dette publique française s’établit, selon l’INSEE, à 2 762 milliards d’euro pour son deuxième trimestre, soit 115 % du produit intérieur brut du pays. Elle devrait, selon toute vraisemblance, passer la barre des 3 000 milliards d’euros très prochainement. Cette nouvelle a été peu commentée et ce quasi-silence est lourd de significations.
Entre deux attitudes extrêmes - les tenants de l’orthodoxie budgétaire et les partisans de la dépense à tout va - une approche politique et souveraine de la dette peut être dégagée permettant d'envisager cette question sous un autre angle que comptable. En effet, une vision strictement technocratique ne permet pas d'envisager la portée éminemment politique, notamment en termes de souveraineté, de la dette.
-
Comment le programme économique de Marine Le Pen peut lui assurer la victoire à la présidentielle
Augmentation du pouvoir d’achat des Français, allègement de la pression fiscale, gestion saine des finances publiques… Marine Le Pen ne fait l’impasse sur aucun sujet économique et assoit davantage sa stature présidentielle. Loin de l’image d’une présidente du Rassemblement national qui ne dirait que des vérités qui fâchent en matière d’immigration et d’insécurité, Marine Le Pen développe un programme économique aussi sérieux que réaliste qui doit finir de convaincre les électeurs désireux de changements.
-
Catastrophes monétaires à balles réelles
Les peuples sont parfois conscients des dangers qui les menacent par le souvenir des catastrophes qui les ont frappés dans le passé. Ainsi les Allemands, gardant un souvenir pédagogique cuisant de l'hyperinflation qu'ils ont connue ne veulent la voir se reproduire sous aucun prétexte.
Mais ce que la plupart des autres Européens d'aujourd'hui se représentent difficilement, c'est le mal que peut produire, insidieusement ou non, l'inflation tout court.
Or, en ce moment même, nous pouvons constater ce qui se passe sous nos yeux dans un pays proche : la Turquie de M. Erdogan.
-
En France, la fiscalité successorale est un système aveugle, injuste et inefficace.
L’héritage est un objet politique hautement inflammable, qui touche à la fois à notre rapport à l’argent, à la mort, à la descendance, ainsi qu’à une conception équivoque du mérite de celui qui donne, comme de celui qui reçoit. Chercher à taxer ce qui est du ressort de l’intime, au nom d’une société moins figée sur le plan de la mobilité sociale, s’est jusqu’à présent heurté à un véritable mur.
Les arguments des uns et des autres tournent toujours autour de deux thèmes. D’une part, la fiscalité sur les successions reviendrait à taxer une deuxième fois ce qui a déjà été soumis à l’impôt, et d’autre part, de quel droit l’Etat ponctionnerait-il le fruit d’une vie de labeur patiemment amassé ? Comment nier cette réalité même s’il faut bien admettre que le débat est plus complexe. Car, en réalité, sous prétexte de défendre le travail, ces arguments laissent la rente prospérer et les inégalités se creuser, en évitant de regarder l’évidence : l’impôt sur les transmissions est, pour l’essentiel, une affaire de très riches, dont 99 % de la population restent les spectateurs consentants.
-
Et si la croissance n’était pas un objectif aussi incontournable qu’on l’affirme.
Et si ce n’était qu’une illusion qui mène droit dans le mur ?
Près d’un mois après la disparition de Pierre Rabhi (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/12/06/pierre-rabhi-est-mort/) et alors que la reprise économique dans la période de pandémie virale que nous connaissons n’est financée que par la dette, il est urgent de s’interroger sur la valeur réelle d’une croissance tant vantée par nos élites politiques et économiques.
-
Retour du nucléaire en Italie
En Italie, c’est le ministre de la Transition écologique qui plaide pour un retour au nucléaire, que l’Italie a abandonné en 1987, après l’accident de Tchernobyl.