économie et finance - Page 177
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CRISE DE L'ÉNERGIE : L'EUROPE BIENTÔT À L'ARRÊT ?
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Le gouvernement néerlandais a levé 91 sanctions contre la Russie

par RTL Nieuws.
Le gouvernement a accordé des dizaines de dérogations aux sanctions contre la Russie. C’est ce qui ressort d’une enquête menée auprès des ministères concernés. Les entreprises et institutions auxquelles une dérogation a été accordée ne sont plus tenues de respecter ces sanctions.
Les ministères des affaires étrangères, des affaires économiques, des finances, des infrastructures et de l’éducation ont la possibilité d’accorder des dérogations.
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Emoluments des ministres, rémunération des conseillers, chauffeurs, jardiniers, etc, le gouvernement Borne est le plus cher de la Ve République

Selon une étude, le coût global du gouvernement Borne a augmenté de 4,3 % par rapport à son prédécesseur. Le nombre de ministres n’a pourtant pas varié.
Avec un montant global de 174 millions d’euros, le gouvernement d’Élisabeth Borne se révèle « le plus cher des 43 gouvernements de la Ve République, en hausse de 4,3 % par rapport au gouvernement Castex », s’inquiète René Dosière, additionnant les émoluments des ministres, les rémunérations des conseillers ainsi que le salaire des chauffeurs, cuisiniers et jardiniers (entre autres) des ministères.
Le gouvernement de Jean Castex était déjà, rappelons-le,
suite sur Le Point
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690 euros par jour : le coût faramineux de l’immigration clandestine

« C’est un chiffre qui m’a fait sursauter. » En commission des lois à l’Assemblée nationale, Dominique Simonnot, Contrôleur général des lieux de privation de liberté, n'a pas caché sa surprise en dévoilant, ce 26 octobre, le coût d’une journée en centre de rétention administrative (CRA) pour un clandestin. À partir d'un rapport de la Cour des comptes qu'elle a pu consulter, elle affirme devant les députés qu’un retenu, c’est-à-dire un étranger en situation irrégulière placé en CRA, coûte en moyenne à l’État 690 euros par jour ! Un montant effarant qui rappelle que la France dépense des millions d’euros dans la gestion de l’immigration clandestine.
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150 millions d’euros pour les hopitaux : une rustine de plus

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Plus de 40% des automobilistes concernés par les zones à faibles émissions (MàJ : mise en place d’un système de “contrôle sanction automatisé” avec amende pouvant atteindre 750 euros)

25/10/2022
A la suite du premier comité ministériel de suivi des zones à faible émission (ZFE) qui s’est tenu mardi 25 octobre, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu a annoncé la mise en place d’un système de “contrôle sanction automatisé” contre les véhicules trop polluants interdits dans les agglomérations concernées par le dispositif d’ici au second semestre 2024. Les amendes ne concerneront dans un premier temps que les véhicules Crit’Air 5. D’ici 2025, les véhicules crit’Air 4 puis 3 seront progressivement sanctionnés.
Les ZFE concernent d’ores et déjà 11 agglomérations françaises et doit en englober 43 a total d’ici le 1er janvier 2025. Les nouvelles ZFE, qui comptent au moins 150.000 habitants, ont jusqu’à cette date pour se mettre en conformité avec le règlement. […]
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« Les produits surgelés c’est terminé ! Electricité trop chère ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Partout en Europe le problème est le même et partout les conséquences de ce problèmes sont identiques. Partout les réactions gouvernementales sont semblables c’est-à-dire qu’il n’y en a aucune. Rien.
Le problème vous le connaissez. C’est le calcul du prix de l’électricité qui est basé sur un mode lui-même indexé sur le prix du gaz en étant totalement déconnecté du prix réel de production. Moins de 50 euros le MWH en France, mais 1 000 euros en prix de vente sur les « marchés ». Délirant.
Les conséquences, vous les connaissez aussi. C’est un prix tel de l’énergie que quantités de production ne peuvent plus être produites parce que ce n’est plus rentable de le faire.
Mais les conséquences non encore visibles sont en réalité gravissimes et multiples.
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« Du jamais vu depuis 50 ans » : Le patron des supermarchés U s'inquiète de la multiplication des pénuries

Dans un entretien au Journal Du Dimanche (JDD) publié dimanche 23 octobre, Dominique Schelcher, le patron de Système U, alerte sur l'aggravation des pénuries touchant les produits du quotidien. De gros problèmes d’approvisionnement touchent le secteur agroalimentaire, résultat : 10 % à 12 % des denrées sont en rupture de stock. Selon le PDG, « la guerre en Ukraine perturbe la chaîne agroalimentaire durablement et profondément » et le prix de l’énergie « met les PME du secteur au pied d’un mur insurmontable ». À cette crise sur les stocks « bien plus grave que pendant la pandémie», s'ajoute selon Dominique Schelcher, « des baisses de volumes dans les achats » causées par l'inflation.
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Quand Thilo Sarrazin prévenait les Allemands de la crise énergétique

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FRANCE: QUE FAIRE ÉCONOMIQUEMENT POUR AVANCER?
