Bonne affaire semblent penser les requins de la finance étatisée. La Banque de France estimerait, en effet, à hauteur de 165 milliards d’euros l’épargne supplémentaire accumulée par les Français du fait de la crise sanitaire qui leur a interdit de dépenser au rythme antérieur à la crise : 110 milliards en 2020, 55 milliards en 2021.
Pour tout économiste sérieux, ce capital offre une chance de redressement. Il permettra de relancer les entreprises de toutes tailles et plus particulièrement les petites. Celles-ci ont terriblement souffert des restrictions arbitraires et bureaucratiques imposées par le gouvernement, ou, pour être plus exact, par une poignée de ministres et d'administrateurs de la Santé tétanisés devant la perspective de passer devant des instances telles que la Cour de Justice de la république.