Marc Rousset
La Bourse de Paris a fini la semaine dans le rouge, préoccupée par la crise sanitaire. Les marchés préfèrent voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, mais commencent à se poser des questions. Dans un contexte de valorisation élevée des actions, les Bourses semblent mûres pour une correction si les vaccins déçoivent, car il n’y a pas de plan B, ou si les variants anglais et brésiliens de la pandémie s’avèrent plus contagieux et mortels. Le véritable danger, c’est cependant la dette des États qui augmente d’une façon exponentielle avec la politique du « quoi qu’il en coûte ».