Le bradage de la branche Energie d'Alstom à General Electrique fin 2014, relève de la haute trahison. Il a eu pour conséquence de placer entre les mains des Américains, non seulement notre indépendance énergétique, mais aussi notre force de dissuasion nucléaire, puisque Alstom produit à la fois les turbines de nos centrales nucléaires et des pièces importantes du porte-avion Charles-de-Gaulle et de nos sous-marins nucléaires. Or, Emmanuel Macron a joué dans cette affaire un rôle suffisamment trouble pour qu'une enquête ait été ouverte par le Parquet national financier, à la demande du député Olivier Marleix, président de la commission d'enquête parlementaire sur les décisions de l’État en matière de politique industrielle. L'actuel Président de la République, qui avait donné son feu vert à cette vente lorsqu'il était ministre de l’Économie, en 2014, est suspecté d'avoir bénéficié d'un « pacte de corruption » qui lui aurait permis de financer sa campagne électorale.
économie et finance - Page 185
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Le traitre et le pognon
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Confiance dans la monnaie, l'inquiétude de Natixis
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Avec plusieurs réacteurs nucléaires à l’arrêt, la France va devoir acheter de l’électricité à l’étranger pour cet hiver, produite à base de charbon ou de gaz
Avec quatre réacteurs nucléaires mis à l’arrêt après l’apparition de fissures dues à leur vieillissement, la France va devoir acheter de l’électricité produite à partir de charbon allemand ou de gaz russe, rapporte Le Parisien. Si, d’habitude, le pays peut compter sur ses 19 centrales nucléaires pour faire face à la hausse de consommation hivernale, leur vieillissement a entraîné une perte d’un tiers de la production d’électricité. Une situation inquiétante qui pourrait entraîner des coupures cet hiver, essentiellement en entreprise, mais surtout : une nouvelle flambée des prix.
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Le cordon de la bourse
Les nouvelles annonces du lamentable Castex ce 17 décembre ont à nouveau fait sursauter une partie du public. Après les tirades interminables du chef de l'État, affichant ses états d'âme artificiels préenregistrés le 12 pour deux heures d'antennes sur TF1 et LCI, les Français supportent de moins en moins la communication gouvernementale. L'outrecuidant Attal gagnerait sans doute à y réfléchir.
De tous les bavardages de nos gouvernants, on doit retenir cependant certaines choses.
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Voiture électrique, la panacée ou encore une supercherie gouvernementale ? Quel véhicule acheter en ce moment ?
Actuellement, la plupart des états développés promeuvent les voitures électriques comme étant l’avenir pour remplacer celles propulsées par un moteur thermique. Pour le moment, nous ne parlerons que des véhicules inférieurs à 3,5 tonnes, car l’électrique ne s’est pas imposé dans les véhicules lourds, de travaux public ou agricoles où les essais sont en cours. Les hybrides tout court existent depuis plus de 20 ans (Toyota par exemple) et restent des véhicules maintenant au point. Elles ont une capacité électrique limitée (recharge durant les descentes, le freinage) qui sert notamment à basse vitesse, en-dessous de 50 km/h, donc en ville. Nous en reparlerons.
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Baisse du pouvoir d’achat à prévoir en France au premier semestre 2022
Mardi 14 décembre, l’Insee a publié sa note de conjoncture pour le quatrième trimestre. Elle prévoit que le pouvoir d’achat, en hausse de 1,8 % en 2021, connaîtra une baisse de 0,5 % sur la première moitié de 2022, en raison de la hausse des prix. Pour Bernard Sananès, président de l’institut de sondage Elabe, le pouvoir d’achat « est l’élément qui comptera le plus dans le vote des Français ».
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Le Japon: son économie, sa puissance, sa démographie par Charles Gave.
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Un pays abîmé 1/3
Chronique de Paysan Savoyard
(n° 262 – Décembre 2021)
L’état de la France est profondément dégradé. Pas un seul secteur de la vie quotidienne et de l’action publique qui échappe au phénomène de délitement. La liste des pays du monde qui sont à la fois riches et apaisés est relativement restreinte : la France en faisait partie sans conteste, et dans les premières places, il y a encore une trentaine d’années. Ce n’est plus le cas.
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Hausse des prix, crise, désindustrialisation etc. Vous saurez tout sur la France laissée par Macron
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LA LOI DU 3 JANVIER 1973
À travers cette loi on peut analyser ce qu'est la création monétaire. Globalement il y avait deux sortes de création monétaire : celle de la banque centrale, c'est à dire la Banque de France et celle des banques privées. Le prix Nobel d'économie Maurice Allais considérait que créer de la monnaie par les banques privées était du même ordre que celle des faux-monnayeurs ; la différence étant dans les bénéficiaires. L'État pouvait lorsqu'il le désirait emprunter directement à la banque centrale à taux 0% ou même bénéficier d'une création monétaire ex nihilo.