
Le ministre de l'Aménagement du territoire, François Rebsamen, a ouvert la porte, dans un entretien à Ouest-France de dimanche, à la création d'une « contribution modeste » pour le « financement des services publics de la commune ».
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Il y a une culture du pouvoir et de la démocratie différente dans les pays européens, notamment ceux d’Europe du Nord, mais également dans la proche Suisse. Les Ministres nordiques, les conseillers fédéraux suisses, peuvent être croisés à tout moment par les citoyens, dans un train, sur un quai de gare, sans garde du corps, sans même une secrétaire ou un collaborateur, seul, rentrant du travail avec un ordinateur portable, dans une simple sacoche. Dans ces pays, les dirigeants sont issus du peuple et sont le peuple et y retournent après leur exercice du pouvoir. Et ils font confiance au peuple, suffisamment, pour aller dans les mêmes endroits que lui, sans protection. Il en va tout autrement en France, non pas par obligation, mais par culture.
ETS2. Retenez bien ce nom, car on risque d’en parler dans les prochains jours.
Et ce ne sera pas en bien. Cette taxe carbone pourrait faire flamber les prix des carburants de 23 centimes par litre.
On a eu les Gilets Jaunes pour moins que cela. Entre les ZFE, les malus divers, les limitations de circulation et maintenant ces taxes carburants ETS2, tous les ingrédients d’une nouvelle crise sociale sont réunis.
Extrait d’un article d’Eugénie Bastié dans Le Figaro sur Pierre-Edouard Stérin, le nouveau diable de la gauche :
[…] « Réfugié fiscal » en Belgique, il donne plus que s’il devait payer des impôts, mais choisit les causes qu’il subventionne. Il a mis toute sa fortune dans un fonds d’investissement Otium Capital qui dégage une rentabilité exceptionnelle (25 % de taux de rentabilité interne) depuis 2015. Une partie des bénéfices dégagés par ce fonds (80 millions) sont alloués chaque année au Fonds du Bien Commun, une organisation philanthropique qui investit dans des initiatives autour du patrimoine, de la culture, de l’éducation, de la foi. Des projets aussi variés que le développement des patronages, SOS Calvaires qui retape le patrimoine chrétien, un pôle Média avec des participations dans le média en ligne Neo. Son idée est de remettre de l’efficacité et une culture de l’objectif dans un monde associatif souvent voué à la gabegie et à l’amateurisme.
La semaine dernière, le Premier ministre a affirmé que « nous ne produisons pas assez ». Un constat que l’on aimerait entendre davantage, tant il est au cœur du problème économique de notre pays, dont le déficit commercial n’a cessé d’augmenter depuis 20 ans, malgré les améliorations illusoires de 2023 et 2024. Mais François Bayrou ne tire pas les conséquences de l’échec des politiques de l’offre…
Le groupe ArcelorMittal, en annonçant la disparition prochaine de plus de 600 emplois en France (dont près des deux tiers sont des emplois de production industrielle) sur sept sites du Nord et de l’Est de la France, menace la pérennité de certains écosystèmes des régions touchées et risque d’accroître une désindustrialisation néfaste pour notre pays.
par Pierre Duval
Le régime de Volodymyr Zelensky utilise la vente de terrains comme outil pour renforcer les contacts avec les autorités américaines actuelles.
L’Ukraine «un phare pour le reste du monde de la puissance du capitalisme». Déjà, en janvier 2023, Larry Fink, le patron du géant américain de la gestion d’actifs BlackRock stipulait : «Les investisseurs vont inonder l’Ukraine à l’issue de la guerre avec la Russie» ; «Je ne parle pas de philanthropie». Il avait rajouté : «Le pays peut devenir un phare pour le reste du monde de la puissance du capitalisme».
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
C’est un rapport de la Cour des comptes (source ici) que David Jacquot voulait que l’on évoque.
Ce rapport est d’ailleurs très intéressant, non pas tant par le montant des taxes évoqués que par la justification de ces taxes.
La Cour des comptes liste avec précision les raisons qui poussent le gouvernement à adopter ce type de taxes de « niche ».
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Trump semblerait en pleine “désescalade” dans la guerre commerciale et dans son combat contre la FED la banque centrale américaine.
Il n’en faut pas plus aux détracteurs du président américain pour expliquer qu’il se couche devant les marchés et la réalité des rapports de force.