Notre classe politique est en émoi : elle vient de découvrir nos déficits publics et notre endettement. Et même M. Attal qui fut pourtant Premier ministre donne maintenant des conseils d’économies et de réformes à son successeur, qu’il n’a lui-même jamais engagées. Car voici ouvert le concours Lépine du déficit : chacun y va de sa solution miracle pour réduire notre dette et nos déficits. Pour la gauche la cause est entendue : il suffit d’augmenter les recettes, de « faire payer les riches » et taxer les superprofits. On connaît la chanson et ses résultats habituels ! Car pour réduire dettes et déficits il faut d’abord arrêter les dépenses nuisibles, au lieu d’augmenter les impôts et les taxes. Mais pour cela il faut disposer d’une ressource rare en France : le courage politique.
économie et finance - Page 20
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Non aux impôts, oui à l’arrêt des dépenses nuisibles !
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Faire des économies ?
Thomas Joly, président du Parti de la France
Si le gouvernement et les parlementaires veulent quelques pistes pour faire des économies substantielles pour le budget 2025, en voici trois :
• Arrêter de financer l'immigration en décrétant l'exclusivité nationale pour l'ensemble des aides sociales. -
« La saignée des impôts. Fin de l’assurance-vie, Flat Tax de 33 % jusqu’à 37.5 % au lieu de 30% ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
A peine la discussion budgétaire commencée à l’Assemblée Nationale, que c’est la couse à l’échalotte de l’impôt nouveau.
Des réductions de dépenses ?
Pensez donc.
Les incapables qui nous gouvernent ne savent faire qu’une seule chose. Taxer plus.
“Il n’existe pas un problème qu’un nouvel impôt ne puisse résoudre”.
Voilà leur triste logique.
Voici l’amendement adopté en Commission hier (source Assemblée Nationale ici).
Le rétablissement des comptes publics et la soutenabilité de notre système social doit aussi s’accompagner d’une juste répartition des contributions de chacun – notamment entre le travail et le capital. Dans l’état actuel du texte, l’ordre de grandeur des prélèvements ciblés opérés à l’article 11 pourrait nuire à l’activité économique tout en ayant un rendement limité compte tenu de son caractère temporaire et des stratégies d’évitement que cela pourrait susciter.
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Le Mondial de l’automobile s’ouvre en pleine déprime. La pression fiscale, normative, écologiste semble bien partie pour avoir la peau de l’industrie automobile française et européenne
Didier Lecerf
En septembre, le marché automobile français a enregistré son cinquième mois consécutif de baisse, avec un recul de 11,07% des immatriculations de véhicules neufs (après -24,3% en août), par rapport à la même période en 2023. Au niveau européen, la tendance est identique : en août, les immatriculations de véhicules neufs ont baissé de 16,5% (-27,8% en Allemagne, -24,3% en France, -13,4% en Italie, etc…). Comme l’écrivait Alain-Gabriel Verdevoye, le 20 septembre dernier, sur le site du magazine Challenges, une « crise structurelle (…) frappe l’industrie automobile européenne » avec « en toile de fond, la concurrence des constructeurs chinois et les objectifs de neutralité carbone imposés par Bruxelles ».
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La moitié du parc automobile français bon pour la casse…
Il n’y pas eu beaucoup de communication et pour tout dire, on se demande si ce n’est pas voulu, mais les automobilistes vont être mis devant le fait accompli au premier janvier 2025, avec le démarrage des Zones à Faibles Emissions, ZFE, qui concernent quarante-deux agglomérations, les plus grandes de France. Dans ces zones, les véhicules qui polluent le plus sont interdits de circuler. Les véhicules qui portent une vignette Crit’Air 3 seront soumis à de nouvelles restrictions dans certaines ZFE et plus globalement, les modèles diesel immatriculés avant 2011 et les véhicules essence immatriculés avant 2006 seront tous concernés par cette mesure.
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Ce n’est pas les Français qui vivent au-dessus de leurs moyens, c’est l’Etat qui vit au-dessus des moyens des Français.
Oui.
Madelin a raison.
C’est l’Etat français qui vit au-dessus des moyens des Français.
A tous les niveaux, et c’est également vrai pour les communes par exemple, les mairies vivent souvent au-dessus des moyens de leurs administrés, et il n’y a qu’à voir la flambée des taxes foncières pour s’en rendre compte.
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Quelques idées pour le Budget et la Justice
Quelques remarques d’actualité.
Budget
M.Barnier a semblé déplorer le déficit abyssal qu’il a trouvé. Ne serait ce pas l’occasion de rechercher et de poursuivre les coupables, et de faire le point sur les contrôles qui n’ont pas été faits ou suivis d effet ? Les responsables, à commencer par le plus haut, doivent entre être identifiés et punis.
Par ailleurs il faut faire des économies. Certaines ne semblent pas avoir effleuré l’esprit du Premier Ministre. Pourquoi ne pas couper les crédits de l’Elysée qui a donné l’exemple des dilapidations ces dernières années ?
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[EDITO] Budget : Bardella et Tanguy accentuent la pression sur Barnier
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Budget : les solutions du RPF…
Il faut commencer par supprimer les machins inutiles, qui servent souvent à créer des fonctionnaires inutiles et des chefs grassement rémunérés, mais pour lesquels personne ne descendra dans la rue.
– Le Conseil Economique et Social, un nid de wokistes et d’incompétents grassement rémunérés.
– Les sous-préfectures : qui ne servent plus à rien et les régions, dont on s’est passé très longtemps sans problème et qui illustrent le mille feuilles administratif coûteux.
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Bonne nouvelle les vassaux, grâce aux Étatsuniens le prix du gaz va baisser !
Par Olivier Perceval
Il sera toujours temps de revenir sur le budget proposé par le gouvernement quand il passera devant l’Assemblée. Ceux qui voudraient savoir ce que nous en pensons peuvent se référer à nos précédentes publications.
Cependant, Le Figaro nous rassure en s’appuyant sur une dépêche de l’AFP (9 octobre) après la montée spectaculaire des prix de l’énergie et particulièrement du gaz, (11% en 2024). On nous annonce la bonne nouvelle : dès 2025, l’arrivée de nouveaux approvisionnements de gaz liquéfié (par fracture hydraulique, qu’en pensent Les soulèvements de la Terre ?) venu du Qatar, notre grand allié protecteur du Hamas et des États-Unis, devrait offrir « un espace de respiration » aux Européens. C’est le patron de l’Agence internationale de l’énergie himself qui nous apprend la bonne nouvelle, Fatith Barol (directeur exécutif).