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En 1852, les États-Unis décident de forcer le Japon (qui vivait à l’époque dans une sorte d’autarcie) à ouvrir les ports japonais au commerce. Pour ce faire, en 1853, ils envoient sur place le commodore Perry, avec 10 canonnières dans la baie de Tokyo. Le Japon cède, et la convention de Kanagawa est signée. C’est le début de ce que l’on nomme les « traités inégaux ».
Tous les pays n'ont pas la chance d'avoir un sauveur de planète à leur tête. La pureté des eaux de l'Atlantique au large du Sénégal préoccupe Emmanuel Macron. Entre deux conversations avec la chanteuse Zaho de Sagazan, le Président pense aux poissons qui évoluent dans les fonds marins, de ce côté de l'Afrique. En sauver quelques-uns sera sa mission du moment. Vial'Agence française de développement, sept voitures flambant neuves ont été envoyées sur place. Il s'agit de pick-up tout-terrain qui interviendront si la mer se retire. L'Élysée n'écarte pas la venue de Moïse en cette région du monde.
Au programme ce soir, l’accord commercial entre Bruxelles et Washington. En plein dimanche d’été, Donald Trump et Ursula von der Leyen se sont réunis en Ecosse pour se mettre d’accord sur les taxes douanières et des investissements européens aux Etats-Unis… Eh bien devinez quoi ? C’est l’Oncle Sam qui tire son épingle du jeu, et l’Europe… une balle dans le pied. François Asselineau, le président de l’UPR nous livrera son analyse.
La France vit sous un régime d'occupation !" Une occupation contrôlée par une oligarchie financière en guerre contre les peuples. C'est ainsi que Jacques Cheminade, président du parti Solidarité & Progrès et ancien candidat aux élections présidentielles de 1995, 2012 et 2017, voit les choses. L'homme qui avait annoncé la crise des "subprimes" 12 ans avant son déclenchement est l'invité de "Politique & Eco".
Fraîchement débarqué en Ecosse, Trump tacle l’Europe, sur son immigration qui est en train de la tuer et sur ses éoliennes qui entachent le paysage et ne produisent pas grand-chose. Trump a le droit de le dire, beaucoup le pensent en Europe, qui eux, n’ont pas le droit de le dire, les narratifs sur le climat et l’enrichissement culturel ont la peau dure, même si la réalité est l’exact contraire du discours, à tel point que cela se voit bien depuis les Etats-Unis. Trump snobe carrément les Européens, négociant les droits de douane entre deux parties de golf, sur une terre sortie de l’Europe, sans que les Européens n’aient d’autre choix que d’essayer de ne pas plier trop vite. Précédemment, quelques jours avant, les mêmes Européens s’étaient fait snober également à Pékin, lors d’un sommet Chine/UE sans enthousiasme, le moins que l’on puisse dire. Pékin ne pérore pas, mais la Chine avance ses pions, prend des parts de marchés, en Afrique et au Moyen-Orient, là où les Européens étaient leaders et se sont perdus en considérations culturelles et religieuses, ignorant la bonne vieille sagesse : « Chacun chez soi et les moutons seront bien gardés ». Pour finir, Macron tout seul, s’en va reconnaître l’État Palestinien qui n’existe pas. Quand ça l’arrange, il explique que ça n’a aucun sens que la France prenne des décisions seule et quand ça l’arrange aussi, il prend des décisions seul sans vergogne. Starmer et Merz, qui ne sont pourtant pas des hommes d’État de haut vol, ont bien compris qu’il ne fallait pas s’emballer avec ces Palestiniens dont même les pays arabes ne veulent pas, on se doute un peu pourquoi. Mais voilà qu’une communication attesterait des rapports étroits entre le Hamas et la France macroniste, on se demande bien ce qui lui a pris, s’il a vraiment eu des discussions amicales avec ce parti terroriste et on comprend soudain mieux pourquoi, contre vents et marées et en dépit du moindre bon sens, il va reconnaître une entité inexistante et incapable de s’organiser pour gérer l’équivalent de deux départements français.
La récente campagne militaire israélienne contre l’Iran et la participation des États-Unis à celle-ci pourraient apporter des bénéfices inattendus à la Russie, écrit le magazine économique de référence Forbes. La publication souligne que l’instabilité au Moyen-Orient a ravivé l’intérêt de la Chine pour la construction du gazoduc «Power of Siberia 2».
Le dirigeant allemand Friedrich Merz l’a dit clairement, ce 23 juillet, tranchant sur le nuage de fumée entretenu par la France : « Nous apprenons en ce moment même que des décisions pourraient être prises », a-t-il lancé, à propos des négociations sur les droits de douane, dans le cadre d’un dîner de travail avec Emmanuel Macron. Selon le Financial Times et l’agence Reuters notamment, Donald Trump s’apprêterait en effet à imposer, dans les jours qui viennent, un taux de 15 % de droits de douane à toutes les exportations de l’Europe de von der Leyen vers les États-Unis.
Il fut un temps où Londres ne se contentait pas de marcher droit, elle se pavanait avec l’arrogance sans vergogne d’une ville qui savait qu’elle n’avait pas besoin de s’expliquer. Il y a une génération, elle avait l’air d’une capitale sûre d’elle. L’argent affluait telle une eau de crue, l’énergie était fanfaronnade et excitation, et l’ambiance suggérée par l’histoire se déroulait toujours à l’abri des regards ; dans un sous-sol de club près de Soho, ou dans les vapeurs de whisky d’un bar des Commons.