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À première vue, la politique économique de Donald Trump semble chaotique : il impose des droits de douane, puis les annule, semant la confusion sur les marchés. Certains pays se préparent à la confrontation, d’autres, comme dans la région de l’Asie du Sud-Est, acceptent stoïquement la décision comme inévitable et ont l’intention de négocier.
Cependant, derrière cette agitation se cache un dessein précis.
La guerre économique n’est plus seulement menée avec des sanctions ou des droits de douane. Aujourd’hui, elle se mène également par l’entremise de contrats. La Chine vient de conclure des accords énergétiques à long terme avec les Émirats arabes unis pour l’achat de gaz naturel liquéfié (GNL), mais ce qui est vraiment la nouveauté, ce n’est pas la quantité de la transaction… C’est la monnaie : le pétrodollar est contesté en son sein même…
Ce n’est pas BV qui le dit, c’est la Cour des comptes. L’institution vient de publier un rapport savoureux sur « le verdissement des mobilités au sein des ministères économiques et financiers ». On en frémit de curiosité. Le ministère des Finances, si habile à ponctionner davantage une des populations déjà parmi les plus taxées du monde libre, est-il au moins un modèle d’écologie ? L’État macroniste, prêt à ruiner l’agriculture et l’industrie françaises pour satisfaire aux exigences de Verts de plus en plus déconnectés, donne-t-il l’exemple ? Réponse : non ! Pour la Cour des comptes, les résultats sont… « limités ». Pour ne pas dire catastrophiques.
L’Ukraine ne versera pas un centime pour l’aide militaire des États-Unis. C’est un constat incroyable pour les contribuables américains et un exemple pour ceux de l’UE. Lors de sa visite à Washington, le Premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, a rapporté sur sa chaîne Telegram que la délégation ukrainienne a tenu un certain nombre de réunions au plus haut niveau, notamment une rencontre personnelle avec le secrétaire au Trésor Scott Bessent.
Dans le désastre permanent qui n’en finit pas de se banaliser, nous apprenons terrifiés, du moins devrions nous l’être, que la France fait face à une situation qualifiée pudiquement d’alarmante, car des seniors se retrouvent à fouiller les poubelles pour vivre. Le terme a quelque chose déjà d’indécent, comme une insulte feutrée à l’humanité, à ce qui nous y rattachait : ce lien que l’on croyait éternel et imprescriptible avec nos anciens et leurs conditions de vie. Ceci alors que nombre de faux migrants sont logés dans des hôtels avec piscine réquisitionnés. Mais c’était sans compter avec ces nouvelles générations rompues à la haine et la hargne, au renversement des valeurs, l’oubli et l’aversion et de l’empathie érigés en progressisme, qui déversent leur acrimonie en conclusion d’un dogme qui se veut politique et économique. On se souvient des propos de madame Astride Panosyan Bouvet, fustigeant les retraités qui gagnent plus de 2000 euros comme d’infâmes profiteurs, et leur devoir de contribution pour combler un déficit construit et accumulé par l’impéritie des politiques eux-mêmes. Mais c’est désormais un fait avéré, ils creusent le déficit et nous devons le boucher.
Viktor Orbán a adopté mardi 29 avril une mesure visant à renforcer la natalité en Hongrie. Le gouvernement hongrois souhaite exempter d’impôts les mères d’au moins deux enfants.
David Jacquot sur Ecorama voulait que l’on parle de la taxe d’habitation le retour !
« Si un retour de la taxe d’habitation a été exclu par le ministre de l’Aménagement du territoire, François Rebsamen, ce dimanche il a ouvert la porte à une « contribution modeste » pour le « financement des services publics de la commune ». Est-ce le retour d’une taxe d’habitation déguisée ? »
Hahahahahahaha. Nos mamamouchis sont des êtres vraiment extraordinaires et dont la capacité à nous prendre pour des imbéciles ne cessera jamais de m’étonner, le pire étant, que dans la majorité des cas cela fonctionne !
François Rebsamen exclut un retour de la taxe d’habitation mais envisage une « contribution modeste » (source ici)
Amélie de Montchalin, la ministre des Comptes publics, veut “faire du ménage” et réduire les agences et opérateurs de l’État.
« L’État va faire du ménage dans notre organisation, parce que les Français le demandent. Aujourd’hui, on a 180 000 personnes qui travaillent dans les agences et les opérateurs, plus que de gendarmes dans le pays.