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La Russie découvre 511 milliards de barils de pétrole sous l’Antarctique : une découverte qui pourrait mettre fin à l’ère de l’exploitation pacifique du continent.
Les 511 milliards de barils annoncés représentent près du double des réserves prouvées de l’Arabie saoudite et plus de dix fois la production de la mer du Nord au cours des 50 dernières années.
C’est plus que tout le pétrole jamais extrait de la Terre !
François Bayrou, qui donnait une interview ce dimanche en fin d’après-midi, est né trop tard. Il aurait dû être à son apogée politique lorsque la France allait bien - mais on nous a toujours répété qu’elle était en crise, alors… Toujours est-il que son air paisible et rusé, ses phrases lentes et polies, ses parenthèses toujours refermées, son rythme tranquille ne sont pas faits pour ces temps frénétiques dont il ne cesse de nous parler. Face à un parterre de quatre journalistes représentant l’ensemble des sensibilités (de France Info à CNews), dont la toujours remarquable Sonia Mabrouk, François Bayrou a fait son numéro de maquignon : un air grave, un tempo lent, un discours insaisissable.
En attaquant frontalement les retraités qui auraient profité du système, M. Bayrou s’est livré non seulement à une généralisation hasardeuse et à la stigmatisation d’une catégorie, tout en s’excluant de ce groupe des boomers dont il fait pourtant partie.
L’Opération militaire spéciale (OMS) de la Russie a infligé une attrition massive des capacités militaires de l’Ukraine et a également révélé la faiblesse et les limites des pays de l’OTAN en matière de fourniture d’armes de remplacement, de munitions et de véhicules de combat. L’OMS a également démontré la supériorité des armes russes par rapport à celles de l’OTAN. La Russie, par exemple, a utilisé avec succès au moins quatre types de missiles hypersoniques, alors que l’OTAN n’en a même pas déployé un seul.
Nos hommes politiques sont de formidables donneurs de leçons, toujours prêts à fustiger les Français qui s’échinent. François Bayrou ne fait pas exception à la règle. Sa manière de diviser les générations et de tenter une guerre entre les boomers et les autres est abjecte, car qui sont les responsables de cette dette abyssale, sinon ceux qui depuis 40 ans déversent en pure perte des milliards dans les banlieues, dans l’organisation d’une immigration massive qui nous ruine et dans mille et une actions toutes aussi inefficaces les unes que les autres, comme la multiplication d’agences aussi improductives qu’inutiles, sauf pour les fonctionnaires qui y pantouflent.
Voilà Bayrou, KO debout, qui s’égare dans de la sociologie au ras du zinc du comptoir de la buvette de l’assemblée nationale, ergotant sur le confort des boomers et leur irresponsabilité d’avoir laissé des dettes aux jeunes générations. On rêve. Il parle de qui, ce Bayrou en fin de course devenu ventripotent ? Des gens nés de 1936 à 1965 qui ont, pour les premiers, rebâti la France après guerre, qui, avec les seconds, ont travaillé quarante heures et plus par semaine, qui ont bâti les grandes infrastructures, transformé la France rurale en un pays moderne ? Il parle de ceux qui ont construit le Concorde, le TGV, la Caravelle, les grands barrages et les centrales nucléaires, sans ordinateur ? Il parle de ceux qui ont épargné, acheté leurs maisons à l’époque où les crédits immobiliers étaient à 15 % ? Il parle de ceux qui tiennent à bout de bras tout le tissu associatif sportif et culturel du pays et qui donnent souvent largement à leurs enfants et leurs petits enfants, alors qu’ils n’ont, pour la très grande majorité, que des petites retraites ?
Décidément, la période que nous vivons semble propice aux remises en question de choses considérées comme acquises et, en quelques sortes, immuables. Depuis des décennies, on nous a fait croire que l’Europe ne pouvait qu’être « fédérale », à l’exclusion de toute autre forme.
Les dernières informations concernant une attaque présumée de l'Ukraine contre le gazoduc de Druzhba, l'une des artères vitales de l'approvisionnement énergétique européen, suscitent une inquiétude majeure. La députée européenne Petra Steger (FPÖ) critique vivement ces événements : « Quelques jours seulement après l'arrestation d'un Ukrainien en tant que principal suspect du sabotage du gazoduc Nord Stream 2, l'Ukraine met en danger la sécurité énergétique de notre continent avec une nouvelle attaque », a averti la responsable politique européenne.