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économie et finance - Page 323

  • Les trois fléaux qui accablent les Français et les Européens

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    La France va mal. Elle est victime de trois fléaux issus directement de l’idéologie politiquement correcte qui s’impose à elle depuis quelques décennies. Une idéologie qui provoque le chômage de masse, la destruction de nos valeurs et une immigration de peuplement massive et incontrôlée. Aussi les dirigeants du Système qui, malgré ces résultats calamiteux, continuent de mettre en œuvre cette idéologie, sont-ils directement responsables de la situation dans laquelle elle place notre pays. Une situation désastreuse mais qui ne relève pas de la fatalité puisqu’elle a été créée par des chefs politiques déloyaux que l’on pourrait chasser.

    Le fléau de l’ultralibéralisme international

    Les difficultés auxquelles est confrontée notre nation sont en effet directement liées à cette idéologie politiquement correcte qui domine la vie nationale. Sa composante ultralibérale soumet notre économie à la concurrence sauvage des pays émergents. Or, ne respectant aucune de nos règles sociales, fiscales ou écologiques, ceux-ci peuvent organiser un transfert de substance économique à leur profit qui se traduit pour la France par la désindustrialisation et le chômage de masse. Malgré la tentative de nos dirigeants d’atténuer les conséquences catastrophiques de ce phénomène par le recours massif à l’emprunt, cet ultralibéralisme conduit à un appauvrissement du pays qui ira croissant.

    Le fléau de la déconstruction des valeurs

    Parallèlement, les Français sont victimes du volet déconstructiviste de l’idéologie officielle qui s’en prend délibérément à nos valeurs fondatrices. Mise en œuvre au nom d’un prétendu état de droit qui pénalise les discriminations et professe un relativisme généralisé, elle cherche à supprimer les inégalités et surtout à gommer les différences. Ce faisant, elle s’en prend à tout ce qui structure notre société, comme la famille, la nation, le mariage ou encore le mérite, la préférence, l’autorité. Se met ainsi en place une société indifférenciée où ce sont les minorités qui dominent et où les repères traditionnels sont oubliés ou dénigrés, plongeant ainsi les Français dans un univers de moins en moins protecteur.

    Le fléau du mondialisme migratoire

    À cela s’ajoute le mondialisme, la composante la plus néfaste de l’idéologie officielle, celle qui provoque un phénomène d’immigration massive très semblable à une invasion suivie d’une colonisation à rebours. Car les immigrés qui s’installent en France le font la plupart du temps sans notre accord et ne cherchent nullement à se fondre dans notre peuple mais s’efforcent au contraire d’y promouvoir leurs mœurs et leurs traditions. Avec leur religion, ils ont même engagé un processus d’islamisation de notre pays qui vient bafouer des valeurs essentielles de notre civilisation. Atteignant des seuils critiques dans certaines portions du territoire, ce processus d’implantation étrangère qui dure depuis plusieurs décennies s’amplifie d’année en année, porté par les règles implacables de la démographie. Demain, si rien ne vient inverser le phénomène, les Français de souche ne seront plus majoritaires chez eux et notre civilisation aura cédé la place à une autre.

    Le Système, porteur de l’idéologie ultralibérale, mondialiste et déconstructiviste

    Une perspective d’autant plus préoccupante que l’idéologie responsable de tous ces fléaux est portée et mise en œuvre par l’oligarchie qui dirige notre pays. Composée des grands patrons, des hauts fonctionnaires, des politiques, des journalistes et des eurocrates, elle s’est érigée en un Système qui verrouille la vie nationale, imposant à tous cette idéologie ultralibérale, mondialiste et déconstructiviste qui s’affirme comme une pensée unique.

    Désireux d’aller vers un marché sans frontières où les grandes entreprises transnationales pourraient commercer en toute liberté sous la houlette d’un gouvernement mondial, ce Système ne jure que par le libre-échangisme dont il persiste à vanter les mérites. Mais il est favorable aussi à l’immigration massive et à la déconstruction des valeurs car l’une et l’autre détruisent la nation considérée comme le principal obstacle à l’avènement du monde globalisé qu’il appelle de ses vœux. Dans le même esprit, il s’appuie sur l’organisation bruxelloise qui a fait de l’Union européenne un instrument de dissolution et d’assujettissement des nations fonctionnant comme si Bruxelles n’était qu’une étape sur le chemin de la globalisation.

    Les dirigeants de la France, responsables des fléaux qui la détruisent

    Les fléaux qui accablent les Français ne sont donc pas le fruit d’une fatalité, ils sont voulus par les hommes du Système qui gouvernent notre pays à Paris comme à Bruxelles. Plus grave encore, les épreuves que rencontre notre nation constituent pour eux autant d’évolutions favorables à leur dessein. Aussi n’est-il pas étonnant que la France comme l’Europe restent paralysées face aux dangers qui les menacent : leurs dirigeants ne cherchent pas à les combattre.

    Devant cette situation aussi paradoxale que scandaleuse, Ligne droite estime qu’il n’y a cependant pas de raison de désespérer car la situation ne relève pas de la fatalité. Notre pays n’est pas frappé par une épidémie contre laquelle aucun remède ne serait efficace. Il est victime d’un projet conçu par des êtres humains et, ce que des hommes veulent et s’efforcent de réaliser, d’autres hommes peuvent s’y opposer et le défaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/12/15/les-trois-fleaux-qui-accablent-les-francais-et-les-europeens-6113199.html

  • Florence Aubenas est venue sur mon rond-point ! par Dominique Monthus

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    Sur Twitter, tout un petit monde d’intellectuels parisiens s’extasie sur le reportage que Florence Aubenas a tiré pour Le monde de son immersion d’une semaine sur le rond-point du Leclerc de Marmande. Un lieu phare de la contestation, qu’elle n’a pas choisi au hasard. Il se trouve que c’est mon pays. Mon rond-point aussi, en quelque sorte. Des compliments justifiés dans la mesure où la célèbre journaliste, selon sa méthode éprouvée, y donne largement la parole aux gilets jaunes, sans trop de filtre. Heureux reportage, donc, qui permettrait à la France des élites, des villes mondialisées et du macronisme déchu de comprendre les raisons profondes de la colère. Car le pouvoir a perdu, il a cédé – un peu – mais, au fond, il n’a pas compris. Et il n’est pas sûr que ce reportage « phénoménologique » au plus près des gilets jaunes campés sur mon rond-point les y aide beaucoup. Alors, soulignons-en quelques traits.

    L’un des aspects originaux de ce mouvement – qui avait séduit un Alain Finkielkraut, entre autres – était la présence des femmes. Mais ce rond-point de Marmande nous révèle le triste sort de certaines d’entre elles. Une infirmière : « Ça fait dix ans que je vis sans sortir, à parler à ma chienne. Aujourd’hui, les digues lâchent. » Société de l’individu roi, mais surtout de l’éclatement des familles, et de la solitude. Face à cela, quelle est la politique du gouvernement ? Marlène Schiappa et la PMA pour toutes…

    L’autre originalité de cette révolution des ronds-points, c’est la libération de la parole. De toutes les paroles. Même les plus extrémistes, les plus violentes, les plus folles. Ce qui en fait un Mai 68 d’en bas. Que les retraités du Mai 68 d’en haut regardent d’un mauvais œil embourgeoisé.

    « Un grand gars arrive, qui voudrait peindre un slogan sur une pancarte. “Je peux écrire Pendaison Macron ?, il demande. “Vas-y, fais-toi plaisir”, dit Coralie. Personnellement, elle ne voit aucune urgence à pendre Macron. Et alors ? On affiche ce qu’on veut. »

    Ce n’est pas un hasard si cette explosion en forme de libération, jusqu’à ces slogans si violents, est arrivée sous ce Président qui n’a de cesse d’imposer sa vision, par ses coups de menton, ses ministres donneurs de leçons, ses lois pour contrôler les informations – les « infox », évidemment, ses procès contre tel ou tel. À trop vouloir museler, on s’expose à ce que le chien se braque et morde. Le rond-point est devenu le seul endroit où certaines opinions étaient dicibles et tolérées. Et ce lieu, il a fallu le créer, le conquérir, comme une utopie d’Aristophane.

    Et c’est, bien sûr, le troisième aspect qu’il faudrait souligner au feutre rouge : la question de l’immigration et de l’islamisation. Un couple de gauche est obligé de reconnaître que, sur le rond-point, ils ne font plus la morale à ceux qui pensent mal. Fallait-il donc cette sécession des ronds-points pour que la France bien élevée de gauche daigne entendre ces paroles que Florence Aubenas a recueillies :

    « Moi non plus, je ne suis pas raciste, sauf pour une tranche d’âge, les 12-25 ans. » « Certains Arabes peuvent être méchants, ça dépend de leur degré de religion. »

    Visiblement, ces sentiments épidermiques, bruts, excessifs qui devraient être pris en compte et au sérieux ne le seront pas, puisque Édouard Philippe vient d’annuler la partie « immigration » du grand débat.

    Faut-il préciser qu’à Marmande, quelques semaines avant le début du mouvement, le maire centriste avait été obligé de décider un couvre-feu dans une cité ? Faut-il rappeler que ce petit département rural du Lot-et-Garonne, qui accueille une importante communauté maghrébine, a été le théâtre d’une tentative d’assassinat à Laroque-Timbaut juste après l’élection d’Emmanuel Macron en juin 2017, des faits qui avaient été minorés, selon le maire de cette commune rurale ? Qu’il y a eu des arrestations de radicalisés ?

    Le reportage a été réalisé juste avant l’apparition, sur les écrans, de Chérif Chekatt. J’ai une petite idée de la prochaine immersion de Florence Aubenas… Neudorf ? Y sera-t-elle aussi bien accueillie que sur mon rond-point de Marmande ? Pas sûr, aussi, que ce qu’elle pourrait faire remonter, toutes ces paroles interdites, parviennent à se frayer un chemin jusqu’à l’Élysée.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/florence-aubenas-est-venue-sur-mon-rond-point/

  • Jean-François Kahn : “On s’est trompé sur la nature composite, à la fois authentiquement populaire et ambiguë, du mouvement “gilets jaunes””

    Jean-François Kahn : “On s’est trompé sur la nature composite, à la fois authentiquement populaire et ambiguë, du mouvement “gilets jaunes””

    Savoureux :

    Comme une douche glacée. Après l’illusion lyrique, le constat tragique.

    Les gauches politiques toutes tendances confondues, ont soutenu, souvent sans recul, le mouvement des “gilets jaunes“. Les médias de gauche, les trois premières semaines, ont été sur la même ligne.

    Or, à l’arrivée, le verdict est terrible. En cas d’élections, l’extrême droite (Le Pen, Dupont-Aignan, Philippot) atteindrait près de 34%, droite musclée et extrême droite friseraient les 45%, tandis que la gauche devrait se contenter de 28% au grand maximum (France Insoumise chutant à 9%) et les “centristes” de 21% (le PS, qui s’est déshonoré, ne passerait peut-être pas la barre des 5%).

    Cela signifie qu’en cas d’élections législatives au scrutin majoritaire, les désistements du deuxième tour et les abstentions à l’extrême gauche aidant, droite Wauquiez et extrême droite pourraient obtenir plus de 60% des sièges avec un énorme contingent lepéniste, le Rassemblement national (ex-FN) étant, grâce à l’affaiblissement des LR, donc maître du jeu. Et, qu’en cas d’élection présidentielle, la victoire d’une Marion Maréchal-Le Pen, par exemple, face à Emmanuel Macron, ne serait pas exclue. Notons qu’une telle majorité absolue extrême droite – droite dure, bien que non majoritaire en voix, mettrait de nouveau la France dans la rue un an plus tard. Rebelote!

    Conclusion évidente: la seule façon d’éviter le pire serait d’instituer un scrutin de type proportionnel. Alors un gouvernement de coalition, hors des extrêmes, s’imposerait. 

    On s’est trompé sur la nature composite, à la fois authentiquement populaire et ambiguë, du mouvement “gilets jaunes”, c’est-à-dire sur l’incidence concrète d’une colère profonde, portant de nombreuses revendications légitimes, mais charriant des tombereaux de haines suspectes contradictoires. Refusera-t-on d’en regarder en face les conséquences?

    Ajoutons cet autre constat: l’une des causes de la crise actuelle c’est qu’un mouvement, qui ne recueillit au départ que 25% des suffrages, a raflé 70% des sièges à l’Assemblée nationale et qu’il tombe, depuis, au-dessous de 20%. Peut-on gouverner encore plus de trois ans dans de telles conditions? A terme, on ne résoudra donc pas la crise sans dissoudre. Mais à condition, pour éviter la catastrophe, d’établir d’urgence un scrutin proportionnel avec la reconnaissance du vote blanc.

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-francois-kahn-on-sest-trompe-sur-la-nature-composite-a-la-fois-authentiquement-populaire-et-ambigue-du-mouvement-gilets-jaunes/

  • «Le Brexit maintenant» : des Gilets jaunes britanniques bloquent le pont de Westminster

    BBO20Sgp.jpgVêtu du même gilet jaune que les manifestants français, des Britanniques ont décidé de bloquer le pont de Westminster, en plein centre de la capitale du Royaume-Uni. Ces «Yellow vests» pro-Brexit demandent notamment la démission de Theresa May.

    L’opération a causé une brève interruption du trafic routier sur le pont de Westminster à Londres ce 14 décembre. Vêtu d’un gilet jaune, les manifestants ont entonné le slogan «le Brexit maintenant» et le chant Rule, Britannia ! qui fait office en Grande-Bretagne d’hymne national. Les services de bus ont été momentanément suspendus.

    Certains de ces Gilets jaunes britanniques ont également exigé la démission de Theresa May, le Premier ministre britannique, engluée dans les négociations sur le Brexit avec d’une part le Parlement et son propre parti, et, d’autre part ses interlocuteurs à Bruxelles.

    Après avoir été délogés du pont par la police, les manifestants se sont retrouvés près de Downing Street. L’un d’eux a empoigné un mégaphone pour réclamer une rencontre avec Theresa May (…)

    https://francais.rt.com/international/56820-brexit-maintenant-gilets-jaunes-britanniques-bloquent-pont-westminster

  • La France, championne du monde des prélèvements fiscaux, doit se réformer !

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    Marc Rousset

    La France, selon l’OCDE, est le champion du monde des prélèvements fiscaux et parafiscaux, soit 47 % de notre PIB. À titre de comparaison, l’Italie se situe à environ 44 %, l’Allemagne à 37 %, le Royaume-Uni à 34 %, le Japon à 32 %, les États-Unis à 27 % et la moyenne générale de tous les pays de l’OCDE à 35 % ! Si l’on ramenait donc le prélèvement fiscal en France à la moyenne de l’OCDE, cela représenterait une minoration fiscale et parafiscale de 12 % du PIB, soit environ 270 milliards d’euros.

    Un graphique établi par l’ACDEFI (sources : INSEE ; calculs ACDEFI) de 1960 (avec une pression fiscale de 30 %) à nos jours (avec une pression fiscale de 47 %) montre d’une façon indiscutable que plus la pression fiscale a augmenté en France, plus la croissance économique a évolué d’une façon inversement proportionnelle, puisqu’elle est passée, en cinquante ans, de 5 % par an à 1 %. Tandis que tous les autres pays de l’OCDE ont réduit drastiquement leur taux de chômage entre 2009 et 2019, de 8 % à 6 % pour le Canada, 7,5 % à 4 % pour le Royaume-Uni, 9 % à 4 % pour les États-Unis, 7,5 % à 3 % pour l’Allemagne et 5 % à 2 % pour le Japon, seule la France, avec ses taxations démoniaques, a gardé un taux de chômage inchangé inacceptable de 8,5 % !

    Taxer stupidement aboutit immanquablement à appauvrir les nations. La justice fiscale consiste à taxer seulement relativement les riches plus que les pauvres, mais pas à voler tous les citoyens riches ou pauvres, à gaspiller, à faire rêver les citoyens en les incitant à prendre dans la poche des autres. Il importe donc de procéder, en France, à une révolution conservatrice conduisant à une baisse globale des impôts pour tous, qu’ils soient pauvres ou riches, d’autant plus que ces derniers trouvent la parade en quittant de plus en plus, à l’instar de Johnny et Depardieu, purement et simplement le pays.

    Si les agents de conduite de la SNCF partaient à la retraite à 62 ans au lieu de 50 ou 52 ans, on pourrait abaisser leur effectif de 25 %. Si les aiguilleurs du ciel travaillaient autant que les Allemands, on pourrait réduire leur effectif de 50 %. Les fonctionnaires s’absentent deux fois plus que les salariés du privé. La France a un million de fonctionnaires en trop, toutes choses égales par ailleurs, par rapport à l’Allemagne. Ce sont toutes ces personnes et non les riches qui volent les Français.

    Croire résoudre les problèmes français en rétablissant l’ISF est donc digne d’une stupidité gauchiste, socialiste, d’une démagogie déconcertante. L’ISF rapporte entre 5 et 7 milliards d’euros, mais entraîne un manque à gagner fiscal par la fuite des riches de 30 milliards d’euros. Rétablir l’ISF aurait donc pour effet inverse d’entraîner une ponction fiscale supplémentaire par l’État dans les poches des pauvres et des riches de 24 milliards d’euros !

    L’immigration, le thème dont doivent s’emparer de plus en officiellement les gilets jaunes, pas encore libérés complètement de la pression bien-pensante, coûte à la France, selon les calculs sophistiqués de Polémia et de son président Jean-Yves Le Gallou, environ quatre-vingts milliards d’euros par an.

    Le racket fiscal supplémentaire de l’État français par rapport à la moyenne des États de l’OCDE s’élève donc à 270 milliards d’euros, dont 24 milliards d’euros correspondent à la surtaxation engendrée par l’imbécile ISF et 80 milliards d’euros (soit environ 4 % du PIB) à l’immigration. Ce chiffre monstrueux devrait ouvrir les yeux des gilets jaunes face la tentative de récupération gauchiste « Demain on rasera gratis » à la Luigi Di Maio. Les gilets jaunes patriotes doivent, au contraire, combattre le racket fiscal de l’État obèse, l’arnaque du réchauffement climatique et la ruineuse invasion migratoire conduisant à la perte de notre identité française et européenne.

    Lire Boulevard Voltaire cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Macron écoute mais il n'entend pas et ne comprend (toujours) pas !

  • Acte 5 : les Gilets jaunes se mobilisent dans toute la France (EN CONTINU)

     

    Ni l'intervention d'Emmanuel Macron, ni l'attentat de Strasbourg n'ont eu raison de la détermination des Gilets jaunes, qui poursuivent leur mobilisation dans toute la France. Ils revendiquent désormais un référendum d'initiative citoyenne.

    Mise à jour automatique
    • Quelque 4 500 Gilets jaunes ont manifesté dans le centre de Toulouse où des échauffourées ont opposé des manifestants aux forces de l'ordre, ont constaté des journalistes de l'AFP. La préfecture a fait état de 29 interpellations et de neuf personnes légèrement blessées, dont deux parmi les forces de l'ordre.

    • Selon la préfecture de police, 2 000 personnes ont manifesté à Marseille. Selon une source policière, relayée par l'AFP, les forces de l'ordre ont procédé à 12 interpellations, pour jets de pierre notamment.

    • Les forces de l'ordre ont procédé à 157 interpellations, dont plus d'une centaine de gardes à vue ce 15 décembre à Paris, à l'occasion de l'acte 5 de la mobilisation des Gilets jaunes, selon la préfecture de police, citée par l'AFP.

      Les autorités dénombraient 104 gardes à vue peu avant 18h et comptabilisaient cinq blessés légers transportés par les secours lors de cette journée marquée par une mobilisation en net recul.

    • Selon Le Figaro, des manifestants ainsi que d'autres personnes, «désireux d'en découdre», ont été chargés à l'intérieur du forum des Halles à Paris par les forces de l'ordre. Des CRS et gendarmes auraient tiré des grenades de désencerclement.

    • Jets de bouteille, pétards, gaz lacrymogènes et canon à eau : des heurts opposent les forces de l'ordre à des manifestants dans le centre de Bordeaux, qui fut déjà le théâtre de violences lors des précédentes protestations des Gilets jaunes, selon l'AFP.

      Les heurts ont commencé après une heure de face-à-face où les manifestants criaient leurs slogans devant les forces de l'ordre. S'en est suivie une heure de confrontations sporadiques, quelques dizaines de manifestants étant régulièrement repoussés alors que de nombreux autres restaient spectateurs sur les côtés.

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  • Bienvenue au Macronistan

    6a00d8341c715453ef022ad3816921200c-320wi.jpgÉcoutant sagement les 13 minutes d'allocution présidentielle du 10 décembre, son ambiguïté surprenante n'avait pas échappé à votre chroniqueur préféré. Que voulait-il donc dire en évoquant le nécessaire débat sur l'identité française et l'immigration? À supposer qu'au terme de cette réflexion nationale on convienne d’un désir collectif d’ouvrir plus grandes les portes aux migrants, allait-on évoquer la différence entre l’assimilable et l’assimilable? Discriminer par conséquent entre les peuples aux identités affines, forgées par des siècles de considérations morales issues du christianisme et de l’Ancien Testament – et les autres?

    La réponse allait venir en deux temps.

    Premier temps : le 11 décembre se rédigeait dans les bureaux de l'Élysée un document, qui fut diffusé le 12, à la sortie du conseil des ministres, présenté comme compte rendu de cette réunion hebdomadaire du mercredi. Ce simple détail chronologique contrevient aux articles 20 et 21 de la constitution de 1958. En théorie, en effet, le gouvernement conduit la politique de la nation. Il exécute les lois votées par le parlement, et le Premier ministre le dirige. Dans la pratique jupitérienne actuelle, aboutissement de la dégénérescence formelle de la cinquième république, tout est suspendu aux orientations mouvantes du jeune homme élu de manière si incertaine en 2017 et dont l'avis change toutes les 48 heures.

    Le point sensible porte ici sur les débats à organiser dans le pays. Si l'on se réfère aux déclarations gouvernementales cela commencerait dès le 15 décembre et pourrait durer certains disent jusqu’en mars, d'autres en mai 2019. Tournant le dos à la démocratie représentative, on se proposerait donc de rêver à la démocratie dite participative. On imagine ainsi reprendre un chemin oublié en France depuis la défaite de la Commune de Paris en 1871. Depuis, cette tradition a produit les courtes expériences des Soviets russes de 1917, vite liquidés par le bolchevisme lui-même quand il s'en est emparé, des Assemblées générales éphémères et comités d'Action de 1968, mais aussi de la Jamahiriya arabe libyenne 1977-2011, ou de la révolution bolivarienne proclamée par Chavez au Venezuela et qui, certes, se perpétue sous le régime de Maduro son illustre successeur. On considérerait de la sorte que le gentil fourre-tout initial des gilets jaunes est supposé représenté y compris par les gilets rouges, et qu’un mouvement initialement anti-fiscaliste peut s’exprimer sous l’influence du parti mélenchoniste dit de la France insoumise, de la CGT et du parti communiste français.

    Seulement voilà. Le 10 décembre, M. Macron avait mis à l’ordre du jour des palabres à venir, quatre sujets mous et vaguement consensuels tels que la transition écologique et la citoyenneté, mais aussi une 5e corbeille affectée à l’immigration et à l’identité.

    Immédiatement, à la suite de son discours, l’autorité morale avait fait publier par le camarade Sopo, président de SOS Racisme, un communiqué vengeur. Il y exprimait sa perplexité. Les jours suivants cette interrogation se mua en négation, y compris dans les rangs du parti présidentiel. Et ce processus conduisit, sans débat, en évacuation pure et simple du sujet. On n'en parlera pas.

    Entre-temps un obscur sous-ministre avait apposé sa signature, et engagé la France au bas du document onusien de Marrakech. Et si on doit l'évoquer au parlement français cela ne conduira qu'à en aggraver les conséquences contraignantes au gré d'un vote d'une majorité artificielle.

    En application du pacte, on met en branle un processus tendant à interdire tout débat quant aux bienfaits d'une politique migratoire à sens unique gérée par les États, sans qu'ils s'encombrent de l'avis des peuples. Circulez il n'y a rien à voir.

    On pourra donc dire bienvenue au Macronistan, et on prévoira des pancartes et des guirlandes en albanais ou en bambara. Elle est pas belle la vie?

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • Gilets jaunes – Samedi dernier, l’Élysée s’était transformé en véritable camp retranché

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le 8 décembre dernier, pour l’acte IV des Gilets jaunes, redoutant que le palais présidentiel ne fut submergé par la marée jaune de la colère populaire, le chef de l’Etat n’avait pas lésiné sur sa propre sécurité. Selon une information publiée dans le Canard enchaîné, 500 gardes républicains du premier régiment d’infanterie, plus une petite centaine de policiers et de gendarmes du Groupe de sécurité de la présidence de la République s’étaient positionnés à l’intérieur du palais.

    Ils étaient équipés de lances à eau et de drones, tandis qu’à l’extérieur, un hélicoptère était prêt à exfiltrer le chef de l’État. Le palais présidentiel était isolé au centre d’un immense no man’s land, baptisé « bunker institutionnel », englobant le ministère de l’Intérieur, la place de la Concorde et l’Assemblée nationale. D’où sans doute le faciès très affecté affiché par le chef de l’Etat lors de son allocution de lundi dernier…

    On était en effet loin du provocateur « Qu’ils viennent me chercher ! », ou encore du « Je suis votre chef ! » asséné crânement aux militaires lors de l’affaire de Villiers. Ce même 8 décembre, atteint d’une subite fièvre conspirationniste, le président ordonnait une enquête de la DGSI concernant rien moins qu’une possible tentative de déstabilisation du pouvoir macronien par la Russie via les réseaux sociaux.

    Selon le Canard, le président de la République est en effet persuadé que la cause de tous ses malheurs n’est autre que l’affreux Poutine qui manipulerait dans l’ombre les Gilets jaunes…

    https://fr.novopress.info/

  • Acte 5 : les Gilets jaunes se mobilisent dans toute la France (EN CONTINU)

    Auteur: RT France

    Ni l'intervention d'Emmanuel Macron, ni l'attentat de Strasbourg n'ont eu raison de la détermination des Gilets jaunes, qui poursuivent leur mobilisation dans toute la France. Ils revendiquent désormais un référendum d'initiative citoyenne.