Alors que notre pays croule sous 3 250 milliards d’euros de dettes, et qu’il est évident que choisir de couper dans certaines dépenses et d’en préserver d’autres n’est justement… pas un choix évident. Il est des dépenses pour lesquelles il n’y a aucune question à se poser et où il faut savoir trancher dans le vif, et mon expression est choisie volontairement tant ces dépenses sont démagogiques et inutiles. C’est parce que notre pays est géré depuis 40 ans par des bandes successives de pieds nickelés démagos, lâches, sans courage et sans vision et dans bien des cas complètement incompétents, le pire étant l’absence d’humilité et de bon sens.
économie et finance - Page 39
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Pass Culture… La démagogie en action, la dette en augmentation et des dépenses à supprimer sans hésitation.
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La Gendarmerie ne peut plus acheter de voiture… à cause du malus écologique !
par 14 Nov 2024 | |
Le malus écologique « plombe » le budget de la gendarmerie dédié à l’achat de nouveaux véhicules…
C’est sous ce titre que le site Opex360 revient sur la pénurie de voiture dans la Gendarmerie qui n’a plus les moyens de ses très “luxueux” véhicules (c’est du second degré) puisqu’ils sont polluants… et donc taxés au malus et pas qu’un peu !
“Instauré à l’issue du Grenelle de l’environnement d’octobre 2007, le malus écologique est une taxe prélevée lors de la première immatriculation de voitures considérées comme trop polluantes. Elle est calculée en fonction de la quantité de dioxyde de carbone (CO2) émise par le véhicule et de la masse de ce dernier [on parle alors de « taxe sur la masse en ordre de marche ».
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Alors que le nombre d’élèves a baissé de 4 %, le budget de l’Éducation nationale a augmenté de 30 %
Le directeur de la Fondation pour l’école, Michel Valadier, évoque, dans une tribune publiée par Valeurs Actuelles, le sacro-saint budget de l’Education nationale :
En cette période d’élaboration du budget et de diminution des dépenses, il est surprenant de constater que nos politiques ne s’aventurent guère dans un domaine où il y a pourtant des questions à se poser et surtout des économies à trouver : je veux parler de l’Éducation nationale.
En effet, du fait de la baisse du nombre de naissances, la France a “perdu” 400 000 élèves depuis l’année 2017. De son côté, le site de l’Éducation nationale nous renseigne sur l’évolution paradoxale des dépenses au cours de la même période :
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L’effondrement des pompes à chaleur… un fiasco de l’économie administrée !
Coup de froid dans les pompes à chaleur : pourquoi le secteur s’écroule en France.
C’est le titre de cet article de BFMTV qui nous explique que du côté des PAC les pompes à chaleur c’est l’effondrement des ventes et que plus personne n’en veut malgré le volontarisme de l’Etat qui voulait en faire une filière de production de masse, sauf qu’entre ce que l’Etat veut et ce que les gens peuvent il y a un grand écart.
Un très grand écart.
C’est tout le problème de l’économie administrée.
Voici ce que dit BFM.
“À peine un an après un objectif très ambitieux affiché par Emmanuel Macron, le secteur des pompes à chaleur est en souffrance, plombé par une demande qui s’est effondrée depuis deux ans.
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Budget : Les députés rejettent le volet recettes, transformé par la gauche en « musée des horreurs fiscales »
Ce mardi après-midi, une large majorité des députés ont voté contre (192 pour, 362 contre) la première partie du projet de loi de finances, dédiée aux recettes. Au cours des débats au Palais Bourbon, le projet de loi gouvernemental avait été fortement remanié par la gauche. L’Insoumis Éric Coquerel, président de la Commission des finances grâce aux députés macronistes, s’en était réjoui : « On a trouvé des dizaines de milliards de recettes nouvelles. C’est une satisfaction : ça veut dire qu’on peut à la fois répondre aux besoins des Français et baisser le déficit », pendant que le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, dénonçait « un matraquage fiscal », avec une hausse d’impôts de 35 milliards d’euros par rapport au projet de loi initial. Un budget « NFP-compatible » qui a poussé les macronistes, la Droite républicaine (ex-LR) et le Rassemblement national à voter contre.
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"On ne vit pas, on survit" : trois travailleurs pauvres racontent un quotidien difficile malgré l'emploi
Isabelle, Valérie et Jérémy travaillent, pourtant, ils ne s'en sortent pas financièrement. Les travailleurs pauvres sont de plus en plus nombreux. • © FTVPublié le
Ils travaillent dans l'entretien, le soin, l'aide à la personne, le commerce, l'industrie.
Précarité, horaires fractionnés, temps partiels subis : en France, ils sont plus d'un million à vivre sous le seuil de pauvreté alors qu'ils ont un emploi. Trois d'entre eux ont accepté de témoigner.
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Les impayés de loyers explosent…. les achats d’I-phone aussi.
Les impayés locatifs atteignent des records en 2024 et les chiffres sont sans appel.
Les retards de paiement ont triplé partout en France, ce qui constitue un niveau historique dans notre pays.
Cette situation ne doit rien au hasard et je n’irai pas par 4 chemins. C’est un processus de déresponsabilisation auquel nous sommes confrontés. Laissez de côté la misère ou les difficultés économiques. Jamais les APL et toutes les aides n’ont été aussi nombreuses. Les impayés de loyers augmentent parce que les locataires peuvent se permettre de ne pas payer sans que les conséquences ne soient vraiment problématiques.
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Pourquoi Big Pharma va devoir rendre des comptes
Maux de tête en perspective pour Big Pharma. Depuis l’élection de Donald Trump, l’industrie pharmaceutique est dans le collimateur de celui qui a décidé d’abattre des citadelles jugées imprenables. La nomination d’Elon Musk, mardi, à la tête d’un « ministère de l’efficacité gouvernementale », annonce des coupes claires (2000 milliards de dollars d’économies !) dans l’appareil bureaucratique. Et les médias s’apprêtent à hurler au complotisme et à l’obscurantisme avec la probable nomination de Robert F. Kennedy Jr à la Santé.
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“Notre pays a décroché : nous vivons dans une France endettée, tiers-mondisée, smicardisée”
Dans le JDD, Philippe de Villiers revient sur les annonces de fermetures d’usines Michelin et de plan social chez Auchan :
[…] J’ai vécu le moment historique où la classe dirigeante a changé de paradigme : on est passé d’un pays de producteurs à un marché de consommateurs.
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Montebourg sur RTL… “nous payons l’électricité à un prix délirant”
Rien ne nous oblige à rester dans ce mécanisme de fixation des prix de l’énergie, il faut faire comme l’Espagne et en sortir, si Michelin ferme ses usines c’est en raison du prix de l’électricité et le patron de Michelin avait prévenu.
Rien n’a été fait.
Michelin ferme ses usines.