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Les revenus pétroliers et gaziers de la Russie ont augmenté de 61,6% entre janvier et juillet 2024, atteignant 6777 milliards de roubles (environ 61,6 milliards d’euros), grâce à une hausse des taxes et des droits d’exportation.
Selon les dernières statistiques fournies par le ministère des Finances russe et rapportées par l’agence TASS, la Russie a considérablement augmenté ses revenus issus du pétrole et du gaz au cours des sept premiers mois de 2024. En termes annuels, ces revenus ont bondi de 61,6%, atteignant 6777 milliards de roubles (environ 61,6 milliards d’euros), contre 4193 milliards de roubles (environ 38,1 milliards d’euros) sur la même période l’année précédente.
Jour après jour, le temps de la parenthèse estivale, olympique et vacancière se consume.
Jusqu’au 8 septembre, on cherchera sans nul doute à distraire un public hexagonal, sous assistanat généralisé et protection policière. Cependant ces modernes jeux du cirque ne doivent pas nous faire perdre de vue les conséquences à venir d’une situation financière de plus en plus grave, qui menace le pays.
En octobre 2021, l'ancien PDG de Hertz avait amorcé un virage électrique en commandant plus de 100 000 Model 3 de Tesla. Trois ans plus tard, les résultats du deuxième trimestre publiés ce jeudi par le géant de la location soulignent le lourd tribut financier de ce changement stratégique.
Chronique de Victor Fouquet, Doctorant en droit fiscal, chargé d’enseignement à Paris I Panthéon-Sorbonne, parue dans la Revue Conflits n°52 :
En 2022, les dépenses de protection sociale ont représenté 849 Md€, soit près du tiers du produit intérieur brut (PIB), et leur financement a fait appel à plus de 70 % des prélèvements obligatoires (1 188 Md€), qui ont atteint un peu plus de 45 % du PIB. Au niveau individuel toutefois, compte tenu de la très forte progressivité des prélèvements obligatoires en France, les taux marginaux combinés peuvent être très nettement supérieurs à 45 %, et même atteindre dans certains cas 75 %. Au-delà de l’importance des dépenses de la Sécurité sociale et de leur dynamisme, l’attention doit alors se porter sur la déconnexion croissante entre contributions et prestations. Niant au fil du temps toute composante assurantielle à la protection sociale, essayant au contraire de la fonder sur un principe d’assistance et de redistribution pure, sous couleur de « solidarité », les pouvoirs publics ont fragilisé l’adhésion au système des personnes les plus qualifiées, au détriment de la productivité de l’économie française.
La presse économique occidentale affirme souvent que les industries chinoises subventionnées détruisent de la valeur parce qu’elles ne sont pas rentables, qu’il s’agisse de l’immobilier résidentiel, des trains à grande vitesse, des véhicules électriques ou des panneaux solaires. (Selon un récent article de The Economist)
Si The Economist ne le pense pas vraiment et se contente de faire son habituel ricanement anti-Chinois, alors prenons cela de haut et laissons passer. Mais si cette opinion est réellement partagée – et tout porte à croire que c’est le cas – nous avons affaire à quelque chose de bien plus pernicieux. 248 ans après la publication de “La richesse des nations” d’Adam Smith, l’Occident a perdu le fil de l’économie.
C’est maintenant un secret de Polichinelle, les 1,4 milliard d’Euros passés dans la dépollution de la Seine n’ont servi à rien. Après le versement de cette somme colossale, un expert de l’eau qui n’a pas l’intention de respecter la doxa de rigueur, explique que « les parisiens et les touristes ne doivent surtout pas se baigner dans la Seine. Contrairement aux sportifs, ils ne sont pas surveillés médicalement ». Et de dénoncer les ouvrages qui ont été construits en pure perte, les réparations sur les mauvais branchements, insuffisantes. Les payeurs, en dernier ressort, les franciliens donc, ne vont pas apprécier la note. Mais mieux, il explique que la somme de 1,4 milliard a été dépensée pour seulement deux sports : les épreuves de triathlon, des 30 et 31 juillet et 5 août et les épreuves de natation en eau libre, des 8 et 9 août, ce qui met la médaille d’or à 700 millions, soit le prix de 10 tonnes d’or. Toujours dans les équivalences, il va en coûter 1.138 € pour chaque Francilien. Que l’on se rassure, ces 1,4 milliard ne sont pas perdus pour tout le monde, en premier lieu pour les entreprises choisies pour effectuer les travaux, en pure perte donc, mais payés quand même.
Selon Marc Rousset, économiste, écrivain, Auteur de « la Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou »
Les Médias se hasardent parfois à dire la Vérité, mais en noyant le poisson. !!!.Les dépenses publiques représentent 56,6% de la richesse nationale en France , mais seulement 46,6% du PIB en Allemagne ! Pas un homme politique , de peur de perdre les élections, car comme écrivait Charles Maurras, « A quoi songe un élu, à être réélu ! » ne parle pourtant de ce chiffre très concret, très très parlant de 2 Millions de fonctionnaires en trop, ce qui réveillerait les foules en les sortant de leur torpeur. La France qui subit l’inefficacité du laxisme socialiste de l’UMPS depuis 30 ans, a un plus grand nombre de fonctionnaires en valeur absolue que l’Allemagne, malgré la différence de population !
La Cour des Comptes vient d’épingler le budget de l’Élysée. Il est passé de 9.87 millions d’euros en 2021 à 21 millions l’an dernier, soit plus du double. Le faste n’a pas de prix et on ne saurait lésiner sur l’image à renvoyer, fut-elle désastreuse. Dès qu’il s’agit de briller, le couple Macron ne recule devant rien. Qu’arrivera-t-il une fois ce constat fait ? Rien, puisque personne n’ose affronter Macron. Il fait peur, pas aux Français, mais à tous ces précieux et délicats politiciens, qui ne rêvent que de le servir dans une dévotion toute religieuse et de lui témoigner l’engagement républicain qui est le leur. Dès qu’il s’agit de la continuité des institutions, fussent-elles en piteux état, il y a du monde ! D’ailleurs cette annonce devrait passer presque inaperçue, éclipsée par les JO. Il faudra sans doute attendre septembre pour que l’on se penche sur l’état de faillite que le couple Le Maire/Macron nous a légué. Pour l’heure, la commission Européenne a lancé la procédure contre la France pour déficit excessif. Pas de panique, Macron est bien occupé à chercher le Premier ministre qui saura courber l’échine et l’aduler pour poursuivre, indolent, la destruction de la France. Il aurait un nom… il se murmure Xavier Bertrand. Le dynamisme qui l’affiche dès qu’il apparaît est un gage de réussite, et quand il se met à parler, sa vitalité nous confirme la première impression. Il est aussi, l’un des présidents de région épinglé pour sa mauvaise gestion de l’argent public : un genre de gage. Franchement on sera bien attelé avec lui, d’autant qu’il avait accompagné Macron au Forum de Davos, ils sont donc sur la même ligne, on est rassuré non ? Trêve de plaisanterie, lui n’est pas plus représentatif de l’expression populaire issue des urnes qu’un Bayrou. Le grand rassemblement que veut Macron n’est rien d’autre que l’alliance de tous ceux qui ont été désavoués le 7 juillet.
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Ca y est. Il y est arrivé. Son action au gouvernement depuis maintenant sept trop longues années peut enfin être saluée comme il se doit. Depuis la publication de la dernière note de conjoncture de l’INSEE, notre sympathique argentier pornographe plastronne fièrement, claironnant à tout va ce succès – son succès – aboutissement d’une politique ciselée au cordeau et menée tambour battant qu’il résume lui-même en ces quelques mots : “La France surperformera avec une croissance au-dessus des prévisions du gouvernement.”