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  • Patriotes réunis à Milan : « Le jour de gloire des patries est arrivé »

    A quoi se mesure la réussite d’une campagne électorale ? A la dynamique qu’elle suscite. Ce qui se passe actuellement, qui s’est matérialisé samedi en Italie, est totalement inédit : l’expression d’une dynamique, plus que cela, l’expression d’un immense courant d’unité, d’espérance, comme on en voit rarement, qui traverse actuellement l’Europe. Il y a eu 1989 et l’effondrement du rideau de fer. Trente ans plus tard, sous nos yeux incrédules, nous assistons à l’ébranlement du rideau de fer mental qui étouffe les peuples d’Europe.

    A Milan, devant plusieurs centaines de milliers de personnes rassemblées sur la grande place du Duomo, la cathédrale de Milan, et aux abords, c’est un message de libération qui s’est exprimé. Cette foule massive, extraordinairement attentive, extraordinairement mobilisée, révélait à la face du monde que les peuples qui composent notre Europe se sont mis en marche, et que cette marche sera irréversible.

    Les organisations politiques de douze des pays composant l’Union européenne avaient appelé à ce rassemblement, point d’orgue d’une campagne électorale globalement peu mobilisatrice, mais où les initiatives, le mouvement, les propositions, sont venus des partisans de l’Europe des peuples, des identités, de la mémoire et de l’enracinement. Matteo Salvini, le chef de la droite italienne et numéro deux du gouvernement, a su faire l’unité des principaux partis souverainistes. Le charisme de cet homme – quasiment inconnu il y a deux ans seulement –, est proprement stupéfiant. « L’Europe a besoin de plus de Salvini », a affirmé le Néerlandais Geert Wilders, sous les ovations de la foule.

    Les tenants du système avaient la conviction que les souverainistes ne seraient d’accord sur rien, ni sur la discipline budgétaire, ni sur la répartition des migrants déjà arrivés, ni sur les rapports avec la Russie, et qu’Orbán et le PiS polonais réintégreraient le « camp du bien » après avoir fait amende honorable. Mais le succès de Milan a montré que les facteurs d’unité et de convergence sont considérables.

    « Reprendre les clés de notre maison »

    Matteo Salvini, Marine Le Pen, Geert Wilders (Parti pour la liberté), ont trouvé les mots qui rassemblent. « Il faut reprendre les clés de notre maison », a lancé Salvini pour qui ces élections constituent « un référendum entre la vie et la mort, le passé et l’avenir, une Europe libre et un Etat islamique basé sur la peur ». « Une religion qui dit qu’une femme vaut moins qu’un homme ne pourra jamais faire la loi chez moi. » « Basta islam », a fait écho Geert Wilders. Quant à Marine Le Pen, elle a rappelé pourquoi le RN dit « non à cette immigration qui submerge nos pays et qui met en danger la sécurité de nos peuples, nos comptes sociaux et nos valeurs de civilisation ». Pour elle, l’Europe, « plurimillénaire », est « fille d’Athènes et de Rome, de la chrétienté et des Lumières ». « Nous voulons vivre en France comme des Français, en Italie comme des Italiens, et plus largement en Europe comme des Européens. » « Le jour de gloire [des patries] est arrivé », a conclu la présidente du RN.

    Ce sont certes les mots d’un meeting, pas la plate-forme politique d’une coalition qui façonnera l’Europe de demain. Mais à Milan, samedi, il y avait davantage qu’une simple démonstration de force, il y avait l’affirmation d’une volonté.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 20 mai 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Renaud Camus et Karim Ouchikh présentent une liste aux élections européennes

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    Source cliquez ici

    L’écrivain et président du parti de l’In-nocence et le président du SIEL (Souveraineté, Identités Et Libertés) affirment être les seuls à avoir “une ligne claire”. Avec ce constat : “le Grand Remplacement est le seul problème sérieux”. Et une seule solution : “la remigration, la décolonisation, la libération du territoire”.

    La seule frontière qui compte aujourd’hui, c’est celle qui sépare les remplacistes des antiremplacistes, ou réfractaires, ou résistants, ou dissidents (du remplacisme). 

    D’un côté de cette frontière, il y tous ceux qui consentent au Grand Remplacement, peu ou prou, ou qui le promeuvent, ou qui l’incarnent, ou qui le nient ; de l’autre il y a ceux qui le refusent de tout leur être, de toute leur chair, de toute leur âme. 

    D’un côté, il y a ceux qui acceptent le changement de peuple et de civilisation, soit parce qu’ils en nient l’existence, soit parce qu’ils n’en sont pas dérangés, soit parce qu’il sert leurs intérêts ; de l’autre il y ceux qui aimeraient mieux mourir que de s’y résigner. 

    D’un côté, il y a ceux pour qui l’occupation étrangère de notre pays n’est pas un problème, soit parce qu’ils ne la voient pas, soit parce qu’ils la jugent normale, inévitable, bien dans l’ordre des choses ; et de l’autre il y a ceux qui ne l’accepteront jamais. 

    Il y a ceux que la colonisation de la France et de l’Europe laisse de marbre, ceux qui s’en réjouissent, ceux qui ne s’en avisent pas, ou qui ne songent pas à la nommer de la sorte ; et il y a ceux qu’elle obsède comme un horrible cauchemar et qui n’ont qu’une hâte, s’en réveiller. 

    On le voit, cette frontière n’est pas seulement politique, mais historique, et même ontologique. C’est-à-dire qu’elle concerne l’être, l’être même de notre patrie et de notre civilisation, et celui de chacun d’entre nous : leur existence, leur survie, leur persévérance dans l’être ou leur dissolution dans l’autre, dans le remplacement, dans le néant, l’ethnocide, le génocide par substitution, tels que les annoncent l’immigration de masse et l’islamisation méthodique de notre continent. 

    La frontière n’est pas politique, ou pas seulement, et pourtant tous les partis politiques sont du même côté d’elle, celui du remplacisme, des remplacistes et du Grand Remplacement : soit qu’ils s’en félicitent, comme les plus extrémistes d’entre eux, par antiracisme absolu ou par servilité impatient aux intérêts de l’hyper-classe ; soit qu’il le nient, comme les plus bêtes ou les plus fourbes ; soit qu’ils l’organisent, comme les plus collaborateurs et compromis ; soient enfin qu’ils s’en accommodent sans le dire, ou en le disant certains jours et en le niant le lendemain — un pas en avant, deux pas en arrière — comme les plus lâches, les plus opportunistes et les plus flous. 

    Ceux-là ne peuvent pas rompre tout à fait avec le remplacisme, même s’ils le critiquent, parce que le remplacisme c’est le système, c’est le pouvoir, ce sont les places, c’est l’argent, c’est l’accès aux médias, ce sont les médias eux-mêmes, dont il importe peu de connaître l’opinion politique mais beaucoup de savoir à qui ils appartiennent et d’où vient leur financement ; car leur véritable opinion c’est celle-ci : le remplacisme global, l’immigration de masse, l’accroissement des besoins par la croissance démographique, les usines de fabrication de la MHI, la Matière Humaine Indifférenciée. 

    Nous sommes seuls de l’autre côté de la barrière, seuls à avoir une ligne claire. Nous pourrions même en faire notre nom : la Ligne Claire, au moins à titre provisoire, à l’occasion d’une descente dans l’arène, hors partis, contre partis, le temps des élections européennes. La ligne claire implique un constat : le Grand Remplacement est le seul problème sérieux, qui rend secondaires tous les autres, même les plus graves, et qui empêchera toujours de leur trouver une solution. 

    Et la seule solution, que ce soit à l’insécurité ou à la surpopulation carcérale, au déséquilibre des comptes sociaux ou à l’artificalisation galopante, à la sécession des « quartiers » ou au réensauvagement de l’espèce, à l’hébétude hyperviolente, à l’expansion du totalitarisme islamique, c’est la remigration, la décolonisation, la libération du territoire. 

    Dans ces conditions pourquoi songer à une liste aux élections européennes ? Nous n’avons pas un sou, nous n’avons aucun accès aux médias, c’est l’adversaire qui établit les règles du jeu et qui les fait appliquer. Nous partons vaincus d’avance, nous n’avons rien à faire sur un terrain qui n’est pas le nôtre et où tout est prévu pour nous perdre, puisque nous nommons seuls ce qui ne doit absolument pas être nommé et que les électeurs sont dressés dès l’enfance, par l’école, à ne pas voir, à ne pas entendre et à ne pas comprendre. 

    Tout cela est vrai, mais vrai aussi que ces élections sont européennes, et que c’est l’Europe entière et sa civilisation qui sont menacées de mort : d’où notre volonté d’une liste européenne, justement, avec des résistants, des dissidents, des réfractaires antiremplacistes venus de tout le continent. 

    L’Europe, il ne faut pas la quitter, il faut s’en emparer avec nos alliés et en chasser les traîtres, pour la reconstruire ; il ne faut pas en sortir, il faut en sortir l’Afrique. Pour réveiller nos concitoyens hébétés, drogués, manipulés, nous devons saisir toutes les occasions qui se présentent, nous afficher partout et ne laisser passer aucune chance, même légale, même électorale, d’interrompre l’ethnocide en cours et d’attirer sur lui l’attention. 

    Ce n’est pas parce qu’un combat menace de ne pas aboutir qu’il ne faut pas l’entreprendre. Avec toujours la même exigence placée au cœur de notre combat existentiel : œuvrer au rassemblement de tous les Français, de tous les Européens, toutes sensibilités politiques confondues, pour affronter ensemble les périls de ce temps, sans tremblement ni retour. 

    Outre la ligne claire, celle qui va du constat du Grand Remplacement à la double exigence de la Remigration et de la Désislamisation, nous disposons d’une arme formidable, que les autres, par définition, n’ont pas : la vérité. On l’a vue renverser des murailles, et défaire d’un coup des systèmes presque aussi redoutables que celui auquel nous avons affaire, et comme lui construits sur le mensonge.

    Les vidéos de la Ligne claire cliquez là

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  • Le Télégramme et La Voix du Nord ont refusé de publier l’interview-propagande du président de…LREM

    Le Télégramme et La Voix du Nord ont refusé de publier l’interview-propagande du président de…LREM

    Les responsables de ces deux quotidiens expliquent ce qui a motivé leur décision :

    “(…) A cinq jours du scrutin, cette interview du président de la République avait valeur d’engagement, pour une liste [Renaissance]”, estime-t-il. “Si on faisait cette interview-là du président de la République aujourd’hui, les autres candidats pourraient tout à fait dans les jours à venir nous demander d’avoir le même traitement. On a préféré, pour respecter l’équilibre, ne pas reprendre cette interview (…)

    Nous nous sommes engagés il y a quelques mois auprès de nos lecteurs à ne plus permettre les relectures par les hommes et femmes politiques. Par souci de cohérence, on a préféré ne pas répondre favorablement [à la proposition d’interview de l’Elysée]. Il n’y a pas de raison qu’on fasse une exception pour le président de la République (…) [source]

    .

    Vous ne trouverez ni dans ce journal ni sur notre site l’interview complète qu’Emmanuel Macron donnait ce lundi à la presse quotidienne régionale (PQR) ou, plutôt, à une partie d’entre elle devrait-on écrire. Nous vous devons donc quelques explications. Neuf journalistes de « grands titres » régionaux, dont La Voix du Nord, avaient été conviés à poser leurs questions sur l’Europe au président de la République. Une interview d’une heure trente, encadrée de façon inédite puisque les participants devaient s’engager à coécrire sur place une version unique des réponses présidentielles, puis à la soumettre à la relecture de l’Élysée avant toute publication du texte validé.

    Mais une autre préoccupation nous habite : l’équilibre dans le traitement politique d’une campagne électorale. Même si les directives du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) ne s’appliquent ni à la presse papier ni aux sites internet mais aux chaînes de télévision et aux radios, nous veillons à ne pas avantager une liste par rapport à d’autres. En s’invitant dans la presse régionale à cinq jours du scrutin, alors que son engagement pour la liste Renaissance ne fait aucun doute, il nous a semblé qu’Emmanuel Macron rompait cet équilibre essentiel au débat démocratique. En tout cas dans nos colonnes, si nous avions décidé de publier ce texte. [source]

    https://www.lesalonbeige.fr/le-telegramme-et-la-voix-du-nord-ont-refuse-de-publier-linterview-propagande-du-president-de-lrem/

  • Des royalistes aux élections européennes. Pourquoi ?

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    Communiqué de l’Alliance royale 

    Comme à toutes les élections depuis 2004, l’Alliance royale présente une liste pour réaffirmer la pertinence du principe royal dans l’état actuel d’affaiblissement du pouvoir politique en France. Non seulement, la royauté démontre chaque jour son efficacité dans plusieurs pays européens où elle est un facteur décisif d’unité nationale. Mais elle est particulièrement d’actualité devant la déconsidération, voire le rejet dont font l’objet les derniers présidents de la République : M. Sarkozy n’a pas été réélu, M. Hollande n’a même pas pu se représenter et M. Macron fait maintenant l’objet de la fronde des “gilets jaunes” et sa popularité est similaire à celle de M. Hollande.
    A chaque élection présidentielle, les Français cherchent à désigner l’homme providentiel qui sortira la France du marasme dans laquelle elle est plongée depuis plus de 40 ans. A chaque fois, ils sont déçus, car notre système électoral par sa nature ne fait émerger que des personnalités ambitieuses et non pas des personnes réellement au service du bien commun, avec une claire compréhension de notre identité nationale, des enjeux ainsi qu’une vision forte de notre avenir.
    A chaque élection, nous retrouvons les mêmes partis, comme Les Républicains, qui tiennent des discours fermes sur l’économie, les questions de société ou l’immigration et, ensuite, votent à Bruxelles comme à Paris les lois désastreuses contraires à notre intérêt national. Il est temps de cesser de les croire et de sortir du système. Il est temps de voter pour vos convictions ; voter utile a toujours été un marché de dupes au bénéfice des ambitieux et au détriment de ceux qui écoutent les promesses électorales.
    Vous trouverez ci-dessous les liens vers :

    Peut-être continuez-vous à penser que l’on vote pour gagner ? Grave erreur ! On vote pour faire émerger ses idées. A quoi sert-il d’apporter vos suffrages à un candidat qui gagne, mais qui ne vote pas les lois que vous demandez ? Certes, l’Alliance royale n’aura probablement pas d’élu, mais il s’agit de faire émerger un vote royaliste pour les prochaines échéances. Aucun parti n’arrive au pouvoir en une élection, c’est une dynamique qu’il faut lancer. Vous seuls pouvez le faire.

    Cyrille Henrys
    Vice-président de l’Alliance royale

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  • L’Europe, ébranlée par le réveil des nations, par Ivan Rioufol

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    Et les gagnants des européennes du 26 mai seront… les abstentionnistes ! La crise de confiance ne déstabilise pas seulement la plupart des dirigeants politiques confrontés à la colère des peuples. La confiscation du pouvoir par une oligarchie est un grief qui touche plus encore l’Union européenne. Elle s’est construite au fil des ans, derrière une démocratie de façade, sur une cooptation de technocrates insensibles aux vaincus de la mondialisation. Dans son roman L’Ignorance, Milan Kundera, d’origine tchèque, fait dire à l’un des personnages : “L’empire soviétique s’est écroulé parce qu’il ne pouvait plus dompter les nations qui voulaient être souveraines.” Ce même réveil des nations, remisées au nom du commerce, ébranle la forteresse bruxelloise et ses fadaises sur les bienfaits du marché pour tous et du grand mélangisme. Lundi, la commissaire européenne Elzibieta Bienkowska a repris la rengaine : “Le plus grand risque, c’est le populisme.” L’islamisme, parti à l’assaut de l’Europe désarmée, n’a en effet rien à craindre des apparatchiks aux yeux clos et aux cerveaux cadenassés.

    La mondialisation profite d’abord aux multinationales. Il faut être sourd comme un pot pour ne pas entendre la rage des agriculteurs, artisans, commerçants, entrepreneurs, étouffés par les directives européennes et leurs contraintes budgétaires. Ceux qui abominent le libre-échange ont beau jeu de montrer les catastrophes nées de l’abandon progressif, depuis 1974, de la préférence communautaire. La libéralisation mondialiste des marchés, voulue par Bruxelles, est à la source de la destruction de l’industrie et de la croissance nationale. Cependant, n’en déplaise aux dirigistes, le libéralisme n’a rien à voir avec cette course aux délocalisations et aux concurrences faussées par la disparité des règles. En 2005, le Prix Nobel d’économie Maurice Allais avait prévenu : “Les perversions du socialisme ont entraîné l’effondrement des sociétés de l’Est. Mais les perversions laissez-fairistes du prétendu libéralisme de ces trente dernières années nous ont menés au bord de l’effondrement de la société française.” Nous y sommes. Une abstention des électeurs aux alentours de 60 % confirmerait le rejet de l’UE.

    L’Union européenne n’est certes pas assimilable à l’ex-Union soviétique : le communiste était autrement plus oppressant et liberticide que l’idéologie melliflue de Bruxelles, armée de ses commissaires moralisateurs et de sa presse prêchi-prêcheuse.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 16 mai 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/214626/leurope-ebranlee-par-le-reveil-des-nations-par-ivan-rioufol/

  • Jordan Bardella en tête des sondages

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    En ce qui concerne la campagne et les propositions de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national qui ne manque d'ailleurs pas de talent, nous pensons que les lecteurs de Synthèse nationale ont suffisamment d'informations grâce aux moyens officiels, ce qui n'est pas le cas des autres listes patriotiques. 

    Cependant, dans un souci d'équité, nous reprenons ici l'appel lancé sur les réseaux sociaux par Véronique Péan, la dynamique responsable du RN en Touraine :

    "Un seul tour le dimanche 26. Proportionnelle intégrale plus nous aurons de voix plus nous aurons de députés. Notre ennemi, c’est l’abstention. Contacter les membres de votre famille, vos amis, vos relations professionnelles… Consacrez les jours qui viennent à convaincre vos proches d’aller voter pour la liste de Jordan Bardella. Un impératif : arriver en tête le dimanche 26 mai. Il faut gagner, pour l'Europe, pour la France !"
    Chacun fera donc en son âme et conscience...
    Site de Jordan Bardella cliquez là
    L'appel de Jean-Marie Le Pen cliquez ici
     
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  • Européennes : Loiseau pire candidate, selon le Medef

    nathalie loiseau.pngLe syndicat patronal a fait passer un grand oral aux têtes de listes pour les élections européennes. Un exercice dont la candidate LREM est arrivée bonne dernière. 
    Le 25 avril le syndicat Medef a organisé un événement pour permettre aux têtes de listes des principaux partis candidats aux élections européennes de présenter leur programme devant une assemblée de patrons.
    Un mois plus tard, Franceinfo a pu obtenir les appréciations données par les patrons du Medef.
    Les candidats n’étaient pas jugés sur leur positionnement politique, mais sur leur capacité à convaincre, la cohérence de leurs idées et de leur clarté.
    Sur ces mêmes critères, c’est la tête de liste de LREM Nathalie Loiseau qui a été jugée la moins pertinente. « Elle a simplement lu sa fiche dans une salle pourtant pas hostile. On savait qu’elle était mauvaise, c’était la pire », a expliqué l’un des patrons présents à Franceinfo.
    [...]
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    Sur le même thème lire aussi:

  • Réunion publique à Fessenheim (68) : discours de Jordan Bardella

  • À l’approche des élections européennes, un nouveau mot-clé s’introduit dans le discours de Macron : « Protection »

    21/05/2019 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Il existe sur Internet des outils qui permettent de savoir quels sont les mots les plus récurrents dans un texte. Si l’on analyse le prospectus d’Emmanuel Macron et de son parti, on se rend compte que, après les pompeux termes de « liberté » et de « progrès », le mot le plus usité est celui de « protection ». Macron veut donc une Union européenne qui protège. Mais qui protège qui et contre quoi ?

    Un rappel des grands poncifs européens autour de la thématique de la « protection » pour emporter facilement l’adhésion

    Tout d’abord, Macron veut une Europe qui se protège d’elle-même, c’est-à-dire des guerres entre les nations afin de ne pas reproduire le désastre de la seconde Guerre mondiale. Ensuite, il veut une Europe qui s’unit face aux grandes puissances, notamment d’un point de vue économique. Mais quel Européen ne souhaite pas la même chose ? Le ressassement de ces grands poncifs n’est qu’un commode moyen de s’épargner quelques phrases de langue de bois supplémentaires et d’emporter immédiatement l’assentiment des plus naïfs d’entre nos concitoyens français.

    L’apparition du terme « protection » : une tentative de détournement du thème national de la « sécurité » à des fins mondialistes

    « Protection » et « sécurité » : ces deux termes sont très proches, et utilisés dans des discours similaires, ils pourraient apparaître comme des synonymes. Pour un nationaliste, le besoin de sécurité signifie qu’il sature d’immigration, qu’il en a marre d’apprendre dans les médias que M. ou Mme Dupont se sont fait agresser par x ou y personne d’origine étrangère. Mais pour Macron, le besoin d’une Europe qui protège, c’est avant tout le besoin d’une Union européenne qui encadre une immigration de masse et qui garantit aux colons fraîchement débarqués en Europe un même accès à l’emploi. Mais à qui cela profite-il réellement ? Au final, on aura donc compris que Macron veut une Union européenne qui protège les intérêts de la superclasse mondiale cupide au détriment des peuples européens.

    https://fr.novopress.info/

  • Européennes 2019 : le choix d’être « Européen d’abord » !

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    Emmanuel Macron a raison. Derrière la compétition électorale entre « populistes » et « progressistes », ce sont bien deux visions du monde, deux façons d’être au monde, et à l’Europe, qui s’affrontent : celle des Somewhere et des Anywhere (David Goodhart). Rapport au lieu, au territoire, mais également au temps, à l’espace.

    Quand les troupes du président de la République prêchent une « Renaissance » qui ne serait que l’accélération de la disparition de l’Europe par dilution dans le magma mondialiste, le camp identitaire doit faire sienne la devise de Laurent le Magnifique : « Le temps revient ». Le temps de retrouver la fierté de ce que nous sommes, de renouer avec notre génie propre et avec notre destin, d’affirmer enfin ce qui nous (re)lie, Européens, et ce qui nous distingue des Autres. C’est l’enjeu de ce prochain scrutin mais aussi, au-delà, des combats à mener par les générations à venir dans tous les autres domaines. C’est dire, dans ce contexte et cette perspective, l’importance de se doter des cartouches « intellectuelles et morales » nécessaires — et donc l’intérêt du manifeste que publie Jean-Yves Le Gallou chez Via Romana : Européen d’abord, Essai sur la préférence de civilisation.

    Refuser d’être « Grand Remplacé »

    Enarque, ancien député européen, président de la fondation Polemia et cofondateur de l’Institut Iliade, Jean-Yves Le Gallou est connu notamment pour avoir élaboré le concept de « préférence nationale », qui fut le cœur nucléaire idéologique du Front national des années 1980 et 1990, avant l’aseptisation voulue par sa présidente actuelle (jusqu’à ce que ses alliés européens, précisément, lui démontrent que seule une ligne radicale permet de gagner des élections puis surtout d’exercer utilement le pouvoir). Le basculement du concept de préférence nationale à celui de « préférence de civilisation » est une réponse réaliste à une évolution mortifère : la révolution anthropologique qui, par mécanique remplaciste, a vu la France se transformer en « archipel » de communautés (Jérôme Fourquet) et les Français se sentir davantage chez eux à Prague qu’à Mantes-la-Jolie. Si « tout le monde il est français », qu’est-ce encore qu’être Français ?

    C’est être, pour Jean-Yves Le Gallou, dans la lignée de Dominique Venner, « des Européens de langue française ». Unis par une mémoire commune, conscients de la richesse d’une civilisation à préserver, mais aussi d’une aventure à continuer. Pour paraphraser Renan, c’est « avoir des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore ». Car s’il ne se présente pas comme tel, l’ouvrage constitue le bréviaire d’un « patriotisme européen » conçu comme riposte au risque de Grand Effacement de nos peuples, à l’épuisement de leurs volontés – dont la première de toute, celle de vivre et se survivre dans l’histoire. Les esprits les plus lucides seraient tentés, après Paul Valéry, d’acter la mort de notre civilisation. Jean-Yves Le Gallou s’y refuse et propose bien au contraire de « réaffirmer le droit des peuples européens à l’identité et à la continuité historique ».

    Renouer le fil de notre identité commune

    « Les peuples européens ont une mémoire commune, relève Jean-Yves Le Gallou. Par-delà les différences de leur géographie et de leur histoire, ils partagent un même récit civilisationnel : ils sont les héritiers de la Grèce, de Rome, de la Chrétienté et de la Renaissance. » En une vingtaine de chapitres courts mais solidement étayés, dans le style direct et percutant qu’il affectionne, l’auteur livre en premier lieu une analyse de « la crise de conscience européenne », ouverte par la suicidaire ordalie de 1914 et accélérée au cours du XXe siècle par les ravages d’idéologies internes (la déconstruction et la culpabilisation principalement) et, dans un premier temps tout du moins, externes (l’américanisation du monde ou l’avènement d’une « civilisation du vide », l’islamisation et la tentation de la grande « soumission » dont les ressorts sont également très bien décrits par Houellebecq dans son roman éponyme).

    Le constat dressé, restent les solutions. La première que préconise Jean-Yves Le Gallou est d’opérer un retour aux sources, de retrouver la fierté d’être nous-mêmes — « Sinn Féin » comme le proclament nos camarades gaéliques irlandais. Ce nécessaire « retour de la civilisation européenne » exige d’assumer et transmettre notre héritage, les traits distinctifs de notre identité. Il s’agit ainsi de rappeler que l’Europe, loin de se confondre avec les institutions bureaucratiques et marchandes du moment, est « la civilisation des libertés » (dont la liberté de penser, « marqueur de l’Occident ») et de « l’incarnation » (contre « la grande imposture de l’art contemporain » et la fureur iconoclaste des mahométans), « la civilisation qui voit du divin dans la nature » (supposant de retrouver l’équilibre entre Orphée et Prométhée) et celle « qui respecte les femmes » (la situation des femmes reflétant toujours une « structure de civilisation »), la civilisation enfin des grandes découvertes (qui ont fait « reculer les bornes du monde ») mais également de l’équilibre des fonctions sociales (attestant de la permanence du modèle « trifonctionnel » mis à jour par les études indo-européennes, c’est-à-dire puisant là encore dans notre plus longue mémoire). Pour Georges Dumézil, « l’idéologie tripartite » n’a pas besoin de s’incarner socialement, fonctionnellement. Elle peut n’être qu’un « idéal », c’est-à-dire « un moyen d’analyser, d’interpréter les forces qui assurent le cours du monde et la vie des hommes ». Ce qui permet à Jean-Yves Le Gallou de conclure cette deuxième partie par une exhortation : « Un idéal : voilà bien ce dont les peuples européens ont besoin » !

    Manifeste pour une politique de civilisation

    La dernière partie d’Européen d’abord jette les bases d’une « politique de civilisation » dont les caractéristiques sont pensées à la hauteur des défis. Cette politique se veut ainsi totale, « du berceau à la tombe », de l’intimité des foyers à la réforme de nos institutions et à l’inflexion de notre droit – en réhabilitant notamment « le droit de discriminer » qu’étudie dans un récent et lumineux ouvrage l’avocat Thibault Mercier (Athéna à la borne. Discriminer ou disparaître ? Pierre-Guillaume de Roux éditeur, collection Iliade, mars 2019). En matière d’intégration des immigrés extra-européens, Jean-Yves Le Gallou constate l’échec tant du multiculturalisme que de la laïcité, et assume un choix inégalitaire : « Nulle égalité possible dans l’espace public ni dans le calendrier festif entre l’islam et le christianisme ». Ce dernier est reconnu comme consubstantiel à l’affirmation de notre identité commune : « Tout Européen, même agnostique ou athée, païen ou panthéiste, est de culture chrétienne ». Face à l’avancée de l’islam, l’auteur salue ainsi la politique de Victor Orban, qui affiche ses références et sa préférence pour le christianisme. Et contre les souverainistes grincheux et étriqués, il défend la légitimité symbolique du drapeau européen, inspiré de l’Apocalypse de Jean : « Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles ».

    Dès lors, que faire ? Tout ! Jean-Yves Le Gallou propose de réinvestir l’ensemble des champs de la vie sociale et politique. Religion, on l’a vu, mais aussi culture (« Poursuivre la grande aventure artistique européenne »), éducation (selon le précepte que « plus est en chacun »), rites (« de la décivilisation à la recivilisation »), rapport à l’environnement (« Réensauvager l’espace qui n’a pas à être civilisé, garder l’harmonie de l’espace naturel humanisé »), combat sur l’échiquier politico-juridique aussi (contre l’idéologie des droits de l’homme « imposée par les oligarchies médiatiques » et le gouvernement des juges, en rupture avec les traditions européennes)… L’essentiel se jouera finalement dans les imaginaires. « Ce qui est fécond, c’est ce qui s’inscrit dans la durée : cela vaut en histoire, en art, en architecture. Face au déracinement programmé de l’art dit ‘contemporain’, il faut promouvoir une littérature, une peinture, une sculpture, une musique fondées sur l’incarnation, la représentation, la figuration, rappelle ainsi Jean-Yves Le Gallou. Face aux délires de l’idéologie des droits individuels de l’homme, il faut réaffirmer le droit communautaire des Européens à leur identité. Et reprendre conscience que ‘nos mœurs sont plus importantes que nos lois’, selon l’expression du philosophe irlandais Edmund Burke. »

    Le salut nécessitera d’emprunter les voies du communautarisme et des frontières. D’une part, « les Européens doivent à leur tour se communautariser ; ils doivent le faire économiquement, ils doivent le faire culturellement, ils doivent le faire géographiquement. » D’autre part, « la communautarisation des Européens, c’est un peu le rétablissement de frontières intérieures. De ces bornes qui donnent, ou redonnent du sens. Mais ces frontières de l’âme et de l’esprit doivent impérativement s’adosser à des frontières physiques et géographiques » — donc également politiques. Mais, et c’est tout l’intérêt de l’ouvrage, il ne saurait y avoir de victoire politique sans une succession de victoires métapolitiques préalables. Construire ces victoires, au-delà et sans doute malgré les échéances électorales, constitue l’urgence du moment, et « au champ des possibles, les destins ne sont écrits nulle part ».

    Nous sommes sans doute actuellement des « Européens » au sens où l’entendaient, il y a déjà plus de cinquante ans, les fellagas d’Algérie ou les Congolais de Lumumba. Nous désignant sous ce terme comme des cibles, pour ne pas dire comme des proies. Il nous revient de faire de ce beau terme d’« Européen » un étendard afin de réveiller les énergies engourdies, rallier les volontés dont notre civilisation a besoin pour ne pas se laisser engloutir dans le néant et le chaos. Même si ces références ne sont pas celles de l’auteur, son viatique vise indubitablement à « allumer le feu sacré des jeunes âmes » (Lyautey, Le rôle social de l’officier). À l’instar de Saint-Exupéry dans Citadelle, il pourrait ainsi affirmer : « Moi j’ai bâti l’empire dans le cœur de mes sentinelles en les contraignant à faire les cent pas sur les remparts. »

    Européen d’abord. Essai sur la préférence de civilisation, par Jean-Yves Le Gallou, Via Romana

    Grégoire Gambier

    Article paru sur institut-iliade.com

    https://fr.novopress.info/214603/europeennes-2019-le-choix-detre-europeen-dabord/