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  • Coups bas et coups de com’ à une semaine des élections européennes – Journal du vendredi 17 mai 2019

     

    Coups bas et coups de com’ à une semaine des élections européennes

    Une semaine nous sépare des élections européennes… une semaine pour convaincre les électeurs de se rendre aux urnes. Et, comme toujours, à la veille d’un tel scrutin, le temps est aux coups bas et aux attaques en règle.

    Plus de halal pour Sodebo

    Alors que Sodebo commercialisait des produits halal, l’association Vigilance Halal et le cinéaste Eric Dick ont finalement fait plier le géant de l’agro alimentaire. Une victoire qui pourrait inverser la tendance d’un secteur extrêmement porteur.

    Syrie : La ville chrétienne de Mhardeh prise pour cible

    Alors que le conflit semble arriver à son terme, au Nord de la Syrie, les islamistes ne relâchent pas la pression sur Mhardeh, ville chrétienne en situation d’urgence humanitaire.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/coups-bas-coups-de-com-elections-europeennes-journal-du-vendredi-17-mi-2019

  • Choisir son camp…en toute cohérence

    agora.jpgSur le front de la « culture» populaire et mondialisée on arrête décidemment pas le progrés. Anthony et Joe Russo, les réalisateurs des films de super héros, franchisés Marvel, Avengers Endgame, ont annoncé qu’un  premier personnage LGBT+, ouvertement gay,  serait introduit dans leur prochain opus. C’est ce qui s’appelle avoir le sens du marketing, puisque cette touche progressiste militante assurera bien sûr  au film une bienveillante publicité dans les médias occidentaux. Un progrès qui a aussi franchi une étape décisive sur la longue route qui passe par Praxitèle, Michel-Ange et Maillol pour aboutir au non-art contemporain.  En témoigne le record de vente établi pour l’achat d’une oeuvre d’un artiste vivant, celle du sculpteur-platicien-businessman Jeff Koons. Mercredi le moulage en acier d’un lapin gonflable de ce dernier, sobrement appelé The Rabbit, a été vendu plus de 91 millions de dollars par  la maison Christie’s à New York. M. Koons avait été convié il y a quelques années à exposer ses objets gonflables-gonflants , pardon ses oeuvres d’art, au château de Versailles. Nous rapportions alors la description qui en avait été faite  par  l’écrivain et historien Gérald Messadié: « un lapin en baudruche métallisée et un assemblage rouge de cinq à six saucisses de baudruche que même un marchand de foire du trône eût honte de brandir, un gros cœur de la même baudruche et d’autres inepties furent exposées à grands fracas à Versailles, l’un des hauts lieux de l’art français. ».

    Il finira paraît-il dans «les poubelles de l’histoire». Le député La France Insoumise (LFI)  Adrien Quatennens ne parlait pas ainsi cette semaine du canulart-contemporain mais de Andrea Kotarac, 30 ans, membre de l’équipe de campagne de Jean-Luc Mélenchon en 2017 (ce dernier ne tarissait pas d’éloges sur ce jeune espoir),  conseiller régional Auvergne-Rhône-Alpes de LFI , mandat qu’il vient de rendre avec honnêteté.

    Le crime de M. Kotarac? Il est désormais connu:  avoir appelé à voter pour la liste RN conduite par Jordan Bardella afin de faire efficacement barrage  à la politique gouvernementale: « La situation est tellement grave que j’estime qu’il faut faire en sorte que  Macron ne soit pas en tête. »

    Fin avril déjà, le jeune élu avait reçu un coup de semonce de LFI pour s’être rendu  au forum économique international de Yalta (Crimée).  «Un rendez-vous géopolitique majeur » rapportait mediacités, qui «prend des allures de sommet des  non-alignés sur la politique américaine». «Il rassemble surtout une partie de la droite nationaliste européenne (…). Marion Maréchal (…) faisait partie des invités, tout comme Thierry Mariani, candidat sur la liste Rassemblement National aux élections européennes.» « Un marquage très à droite qui n’a pas empêché Andréa Kotarac de faire le déplacement: Je ne suis pas d’accord avec Mariani et Maréchal sur de nombreux sujets. Mais sur la défense de la souveraineté nationale et sur la nécessité de s’allier à la Russie, je suis d’accord » disait-il alors.

    Cette semaine M. Kotarac a expliqué sur BFM comme sur LCI qu’il ne se voyait pas continuer à militer au sein de LFI, un parti en  pleine dérive  islamo-gauchiste ,  dans une France en voie de communautarisation et de balkanisation accélérée. Journaliste au Figaro notamment, Jean-Christophe Buisson a noté sur twitter: « On peut railler, contester ou condamner le ralliement de Andrea Kotarac au RN mais son diagnostic inquiet sur LFI est juste (il rejoint de ce point de vue-là Djordje Kuzmanovic et d’autres). C’est d’abord cela qu’il faut retenir… ».

    Nous  notions en janvier dernier, le refus  par la direction de LFI  de toute inflexion en faveur d’une meilleure protection sociale, économique, identitaire des Français face à l’immigration subie, au nom d’un choix stratégique de soutien aux revendications ethnico-communuataire, culturelle et religieuse des minorités dans les  banlieues plurielles. Nous citions alors Marianne qui s’était fait l’écho des tensions au sein du parti mélenchoniste : «quelques semaines après le départ de Djordje Kuzmanovic (poussé vers la sortie pour sa dénonciation du prosélytisme islamiste et son voeu d‘assécher les flux migratoires, NDLR ), Jean-Luc Mélenchon s’en est violemment pris à l’un de ses compagnons de route historiques, tenant d’une ligne souverainiste et laïque, François Cocq, qualifié de national-identitaire. »

    Les stratèges de LFI ont pris clairement  une    option et un pari:  celui  du délitement de la communauté nationale dans une France éclatée,  ils doivent désormais l’assumer devant leurs militants, leurs électeurs et devant les Français.  Il faudra choisir son camp. C’est aussi ce que Bernard-Henri Lévy a demandé en substance au Premier ministre hongrois Viktor Orbán qu’il a interrogé pour le compte de la revue The Atlantic rapportait BFM cette semaine.« Le dirigeant conservateur (aurait) dit n’avoir rien à voir du tout avec la présidente du Rassemblement national.»

    « Viktor Orbán ( a réaffirmé son soutien à Matteo Salvini) mais explique pourquoi il refuse de faire alliance avec Marine Le Pen (…). Laurent Wauquiez m’a prévenu qu’elle représentait une ligne rouge (…). »Viktor Orbán précise par ailleurs à BHL que, «même si ses camarades de la droite française le lui autorisaient, il ne ferait malgré tout pas alliance avec Marine Le Pen. Elle n’est pas au pouvoir.Quand des dirigeants politiques ne sont pas au pouvoir, ils peuvent dire et faire ce qu’ils veulent. Ils peuvent perdre le contrôle. Je ne veux être mêlé à rien de tout cela, tranche-t-il. »Précisons  cependant ce détail qui n’a pas échappé au dirigeant hongrois, à savoir que Laurent Wauquiez  lui non plus n’est pas au pouvoir et ceux qui pensent qu’il sera le successeur d’Emmanuel Macron ne sont pas nombreux…

    «C’est à monsieur Orbán de voir s’il se trouve plus en cohérence politiquement avec des membres du PPE (Parti populaire européen) qui ont voté contre lui, qui ont voté la relocalisation forcée des migrants dans les pays (…), ou s’il se sent plus en cohérence politiquement avec des mouvements tels que les nôtres, déclarait Marine Le Pen  à Bruxelles le 5 mai, lors d’un meeting de campagne pour les élections européennes.» La présidente du RN pose  bien évidemment la bonne question affirme Bruno Gollnisch.  C’est de cohérence politique dont le peuple français comme les autres peuples européens ont besoin. Et elle s’imposera à un patriote comme M. Orban pour peu que la poussée nationale qui se dessine un peu partout en Europe se confirme le 26 mai. La politique, encore et toujours, n’est jamais qu’une question de rapport de forces, même entre alliés de fait ou de revers.

    https://gollnisch.com/2019/05/17/choisir-son-camp-en-toute-coherence/

  • Le 26 mai, les Français ont le feu nucléaire entre les mains !

    Malheureusement, de nombreux Français semblent l’ignorer.
    Mais, le 26 mai prochain, à l’occasion des élections européennes, c’est le feu nucléaire qu’ils auront entre leurs mains par bulletin de vote interposé. 
    En effet, une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique, tant au plan national qu’au plan européen, d’une ampleur jusque-là jamais atteinte.
    C’est la raison pour laquelle toute la Macronie, maintenant aux abois, et au mépris de toutes les règles démocratiques, morales et éthiques, tente de colmater les brèches d’un vaisseau amiral qui menace de sombrer. 
    Un temps piloté par une Nathalie Loiseau, aujourd’hui totalement disqualifiée par son incompétence et son inexpérience politique, c’est le président de la République lui-même qui, rompant avec la neutralité institutionnelle et historique de sa fonction, se voit obligé de venir défendre son projet européen.
    Et c’est à grands renforts d’appuis médiatiques, dont il bénéficie d’ailleurs depuis le début de son mandat, et de soutiens politiques, dont les incontournables et opportunistes Bayrou, Cohn-Bendit et Raffarin, qu’il espère sauver son quinquennat et son avenir politique.
    Car il s’agit bien de son avenir politique. 
    Il n’échappe plus à personne que Macron n’est parvenu au pouvoir qu’avec l’aide de la haute finance internationale. 
    Que ses parrains, dont l’obscur Soros, ne l’ont poussé au sommet de l’État qu’avec l’assurance qu’il saurait renvoyer l’ascenseur et promouvoir une politique mondialiste et multiculturaliste. 
    Mais pour cela, sa mission était double. 
    D’abord, mettre la France au pas. 
    C’est ce qu’il s’acharne à faire depuis deux ans, déclenchant la plus vaste crise sociale de ces cinquante dernières années et n’hésitant pas à faire de la répression un outil majeur de sa gouvernance. 
    Comptant sur la durée et sur la lassitude des Français, il est en voie de réussir son pari et de faire d’une majorité de Français des déshérités.
    Le second objectif qui lui était assigné, et certainement le plus important, consistait en une victoire incontestable aux élections européennes. 
    Face à une Europe, en particulier à l’Est et au Nord, qui marque de plus en plus souvent son scepticisme par rapport au projet européen, la tâche qui lui revenait était de redonner une nouvelle dynamique à une ambition dont les peuples se méfient ouvertement. 
    Et c’est bien ce combat que Macron craint de perdre le 26 mai. 
    Sa défaite dans les urnes signifierait, pour lui, une rupture quasiment définitive avec ses mandataires de la haute finance internationale. 
    Par ailleurs, elle risquerait, au plan intérieur, de relancer un mouvement de contestation qui ne demande qu’à resurgir.
    On le voit donc bien, c’est à un quitte ou double qu’est confronté Jupiter. 
    S’il perd les élections, après s’y être investi à titre personnel comme il le fait, il n’aura d’autre choix que de démissionner. 
    Car c’est bien lui qui, par son attitude partisane, vient de transformer le scrutin du 26 mai prochain en référendum pour ou contre sa politique. 
    Par ailleurs, ayant failli dans la mission qui lui était confiée par ses soutiens mondialistes et européistes, il n’aura d’autre choix que de se retirer tel un général battu en rase campagne et donc bon pour un limogeage séance tenante.
    Mais cette issue, inespérée pour beaucoup de nos concitoyens, ne sera possible qu’à la seule condition que la liste LREM soit laminée lors du vote programmé à la fin du mois. 
    Pour cela, il importe que tous les électeurs se rendent aux urnes afin d’exprimer leur rejet de la politique intérieure de Macron et leur refus de voir se mettre en place une Europe fédérale briseuse des nations. 
    Olivier Damien

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/le-26-mai-les-francais-ont-le-feu.html#more

  • Élections européennes : le match Bardella-Loiseau : le tournant !

    La tête de liste du Rassemblement national a surpassé sa concurrente de LaREM, Nathalie Loiseau, et conforte sa dynamique dans les sondages.

    Une finale de Coupe d’Europe avant l’heure. Ils étaient au coude à coude dans les sondages, BFMTV a réuni Jordan Bardella et Nathalie Loiseau sur son plateau pour débattre de leurs positions sur l’Union européenne, à dix jours du scrutin. Une configuration de débat qui ne laisse pas de doute sur les profondes divergences entre les deux candidats qui revendiquent leur opposition réciproque. Jordan Bardella souhaite représenter un peuple qui veut le réveil des nations, pendant que Nathalie Loiseau se pose en rempart contre le nationalisme. Un plateau scindé en deux, entre la conservatrice d’un village-monde, où l’Union européenne dicte ses lois sur ses Etats membres, et le défenseur de la souveraineté et des frontières nationales.

    Deux générations, deux mondes

    Et lorsque Jordan Bardella prétend être le défenseur d’un peuple qui « rejette les technocrates de Bruxelles », Nathalie Loiseau est renvoyée dans ses cordes. Car elle personnifie bien la technocratie. Haut fonctionnaire, ancienne directrice de l’ENA, ministre des Affaires européennes jusqu’en mars dernier, soutenue par les tenants d’un système à bout de souffle : Jacques Attali, Daniel Cohn-Bendit…, son logiciel est dépassé et son discours ringardisé. Elle n’avait pas d’autre choix que d’utiliser de vieux poncifs pour tenter de sortir des cordes où la maintenait un Jordan Bardella offensif.

    La jeune tête de liste RN dénonce la politique diplomatique d’Emmanuel Macron : « La France n’a jamais été aussi isolée en vérité », avant d’énumérer les tensions avec l’Italie, l’Allemagne, la Hongrie ou encore la Pologne. La représentante d’En Marche répond : « L’isolement, c’est vous, vous voulez retrouver les frontières nationales, la souveraineté monétaire… » Ces qualificatifs utilisés pour dénoncer une vision antieuropéenne du Rassemblement national, Jordan Bardella les reprend à son compte. Dans le monde de demain, « frontière » et « souveraineté » ne sont plus des gros mots.

    Le monde a changé, pas elle

    Sur le SMIC européen, Nathalie Loiseau puise dans ses retranchements pour tenter de remonter sur le ring. Quoi de mieux que de reprendre les bonnes vieilles méthodes apprises à l’ENA pour y arriver ? Echec. Les batailles de chiffres et le règne de « l’économisme » sont derrière nous. Les duels du type de celui de Nicolas Sarkozy contre Dominique Strauss-Kahn ont pris un coup de vieux. Jordan Bardella ne rentrera pas dans une bataille de chiffres où s’affrontent depuis plusieurs décennies les technocrates, qui cachent par ailleurs leurs accords sur les grandes lignes sociétales. Son but n’est pas de gouverner une Union européenne au-dessus des peuples, mais bien de représenter les intérêts de son peuple dans une Europe qui tourne le dos à l’héritage européen vieux de plusieurs millénaires. Les débats UMP-PS d’autrefois sont bien derrière nous. Oui, le monde a changé.

    Etienne Lafage

    Article paru dans Présent daté du 16 mai 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Bellamy, Glucksmann : le temps des intellectuels ?

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    Alors que la campagne des élections européennes bat son plein et que les sondages prédisent un combat final serré entre Les Républicains, La République en marche et le Rassemblement national, une évidence s’impose : cette élection aura eu le mérite de faire connaître au grand public la jeune et brillante tête de liste des Républicains, François-Xavier Bellamy. On a déjà rappelé avec raison que le choix de Laurent Wauquiez avait l’immense mérite de proposer aux suffrages des électeurs de droite un candidat qui porte véritablement leurs convictions et leurs aspirations, après trente longues années de compromissions avec une pensée sociale-démocrate si contraire aux principes gaullistes du RPR.

    Mais là n’est pas son seul mérite. En choisissant François-Xavier Bellamy, professeur agrégé de philosophie, auteur remarqué, en 2014, des Déshérités ou l’urgence de transmettre, dans lequel il retrouvait les racines philosophiques de la crise de la transmission qui asphyxie l’École, et plus récemment de Demeure, essai philosophique qui questionne la frénésie du changement qui semble s’être emparée de notre civilisation, oublieuse de tout ce qui « demeure » et nous rattache au monde, Laurent Wauquiez fit le pari de l’intelligence. À trop se cantonner à un économisme à courte vue, la droite avait, en effet, perdu à la fois ses racines intellectuelles et sa boussole, et il était bien temps qu’elle se ressaisisse en se mettant à l’écoute de tous ceux qui, dans le monde des idées, préparaient depuis des années déjà son renouveau intellectuel, préalable indispensable à son redressement électoral.

    La profondeur et la justesse de la pensée de François-Xavier Bellamy, sa verve délicate mais toujours lucide jointe à sa parfaite urbanité nous font contempler avec effarement les prétentions d’un Emmanuel Macron présenté, durant la campagne présidentielle, comme l’héritier spirituel du philosophe Paul Ricœur, avant d’endosser une « pensée complexe » que les Français ne sauraient pas apprécier à sa juste valeur… À la lecture de Révolution, le livre écrit par l’actuel locataire de l’Élysée avant son élection, dont la vacuité sidérante détonne tant au regard des ouvrages signés par le candidat des Républicains, on comprend la chance que l’immixtion de François-Xavier Bellamy dans la vie politique offre à notre pays. Espérons qu’il participe à l’émergence d’un débat proprement politique, enfin recentré sur les idées des uns et des autres, et non sur ces polémiques stériles et ces « petites phrases » qui ont fait tant de mal à la politique française. Cet espoir est peut-être fondé, à en croire le mimétisme du Parti socialiste dont la tête de liste, l’essayiste Raphaël Glucksmann, incarne sans doute mieux les idées de la gauche que les anciens éléphants de la rue de Solférino…

    Face à l’explosion des cadres politiques qui a suivi l’élection d’Emmanuel Macron, les deux anciens partis de gouvernement se tournent donc vers des figures du monde des idées, dans une concordance des temps qui nous dit sans doute quelque chose de l’époque. Nos concitoyen lassés par la communication et l’opportunisme, désireux de retrouver le sens de la politique et du bien commun, ne pourront que profiter d’une clarification de l’offre politique qui, seule, permettra la confrontation de visions divergentes mais pleinement assumées, et donnera aux Français les clés de leur destin.

    Laurent Chauvet

    https://www.bvoltaire.fr/bellamy-glucksmann-le-temps-des-intellectuels/

  • Loiseau explose (encore) en plein vol – Journal du 16 mai 2019

     

    Loiseau explose (encore) en plein vole

    La tête de liste de la majorité présidentielle étrillée par son concurrent du Rassemblement National. Nathalie Loiseau a une nouvelle fois montré ses limites à l’occasion d’un débat télévisée face à Jordan Bardella… de 30 ans son cadet.

    Emplois fictifs… le Modem aussi !

    Marielle de Sarnez éclaboussée par une affaire d’emplois fictifs ! Dans la dernière ligne droite pour les élections européennes, le Modem, parti allié à la majorité présidentiel est amené à rendre des comptes alors qu’un de ses députés se serait servi des deniers publics pour se payer… une gouvernante !

    Eurovision: le rendez-vous très LGBT

    L’Eurovision, véritable vitrine LGBT. Samedi soir, la 64ème édition du célèbre concours musical européen devrait perpétuer la tradition engagée depuis près de 20 ans. En digne représentant du lobby… le candidat de la France : Bilal Hassani.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/loiseau-explose-encore-en-plein-vol-journal-du-16-mai-2019

  • Européennes : record d'intentions de vote pour le RN

    J Bardella.pngLa liste menée par Jordan Bardella se place désormais à un point de celle de Nathalie Loiseau.
    L’écart se creuse. Selon un nouveau sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio, la liste du Rassemblement national fait la course seule en tête, battant son record de points sur cette campagne européenne.
    Ainsi, le parti de Marine Le Pen gagne un demi-point par rapport au dernier sondage, et culmine désormais à 23,5% d’intentions de vote, à dix jours du scrutin. La liste LREM ne gagne rien et émarge à 22,5% des voix, mais talonne encore son rival de près. Par ailleurs, le RN reste en tête du pronostic de victoire, avec 26% des sondés qui pensent que la liste de Jordan Bardella l’emportera, contre 25% pour la liste de Nathalie Loiseau. Au troisième rang, la liste des Républicains, portée par François-Xavier Bellamy, ne prend pas de point et stagne à 14% des intentions de vote. 

    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com

    https://www.peupledefrance.com/2019/05/europeennes-record-intentions-vote-rn.html#more

  • Jordan Bardella: “Le 26 mai ce sera aussi un référendum sur l’immigration”

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    Jordan Bardella était l’invité de BFMTV ce mercredi soir. Il participait à un face à face avec la tête de liste LaREM, Nathalie Loiseau.

    La tête de liste RN pour les européennes a notamment déclaré :

    Le 26 mai ce sera aussi un référendum sur l’immigration. Car votre gouvernement, il a battu absolument tous les records d’immigration. 260 000 titres de séjours par an, 50 000 mineurs isolés, 400 000 personnes présentes de manière clandestine dans notre pays (…). Je considère aujourd’hui, en matière migratoire, qu’il faut rétablir des portes à la maison France.

    https://fr.novopress.info/214570/jordan-bardella-le-26-mai-ce-sera-aussi-un-referendum-sur-limmigration/
  • Macron : substitution de candidature, détournement d’élection !

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    Bernard Antony dénonce l’entourloupe du président de la République :

    Allez Loiseau, courage, plus qu’une dizaine de jours à tenir et la dure épreuve sera finie !

    On apprend ce matin que Macron a fait tirer à 60 000 exemplaires pour cette élection « européenne » une affiche avec sa photo. Comme si c’était lui la tête de liste ! Pas question donc de la bobine de Loiseau qui, dit-on, ne cesse pas, comme la Castafiore dans Tintin, de se regarder dans son miroir. Se rengorgeant souvent de dépit courroucé, ne se trouve-t-elle pas aussi belle que Macron ?

    En clair, cette pauvre Loiseau en a marre d’être prise pour une potiche. Mais qu’elle se rassure, c’est tout de même elle qui sera élue. Elle pourra alors se reposer dans la fonction de parlementaire européen dont elle se gardera d’avoir une conception par trop héroïque. Peut-être siègera-t-elle assidument mais on la verra sans doute plus dans les immeubles de Strasbourg et de Bruxelles qu’allant constater sur le terrain les dégâts des traités de libre échange et les abominations de l’islam jihâdiste.

    Mais pour l’heure, c’est bien Macron qui effectue l’entourloupe d’une sorte de substitution de candidature. Voter pour la liste de la REM, ce sera voter pour lui bien que non candidat réel !

    Lui qui utilise souvent le concept « d’imaginaire » pratique ainsi un véritable détournement d’élection.

    Comme tous ceux qui n’ont que le mot de démocratie à la bouche, il en piétine allègrement la règle du jeu la plus élémentaire en détournant l’élection en un vote de fait sur sa personne.

    À grand risque, il est vrai. Car si la liste oiseuse dont il est la véritable tête ne l’emporte pas, comme cela est bien possible, alors ce sera pour lui une claque, un désaveu dont il ne se remettra pas. L’imagine-t-on après pareil échec aller faire le mariole auprès de Trump, de Xi ou de Poutine ?

    Le général De Gaulle, lui, avait tiré, par sa démission immédiate, les conséquences de la défaite du oui au référendum de 1968.

    Si le 26 mai la liste faussement Loiseau réellement Macron est battue, nul ne comprendrait que Macron ne fasse pas de même, car ce serait de toute façon sa fin.

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