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élections - Page 370

  • Face à Emmanuel Macron, l'union des droites ?

    Ivan Rioufol plaide pour l'union FN-LR contre Emmanuel Macron :

    "Reste que l’affaiblissement de Fillon, s’il devait se confirmer, oblige les droites à examiner dès à présent l’hypothèse interdite de leur rapprochement. La question qu’elles ont à se poser est : qu’est-ce que nous ne voulons plus ? Et la réponse est : … de tous ces gens qui veulent brader la France. Les Républicains et le FN ont un même adversaire en la personne de Macron, faux nez de la gauche en déroute. Si ce dernier devait affronter Marine le Pen au second tour, beaucoup d’électeurs LR reporteraient leurs voix sur le FN, en dépit de son programme économique. Mais cet apport serait probablement insuffisant sans des ralliements de personnalités capables d’enrichir, de rééquilibrer, de tempérer un futur gouvernement. Je vois bien ce que cette éventualité a pour l’instant d’improbable, même si Marine Le Pen a lancé ce matin, au Mont Saint Michel, un "appel à l’unité des Français". Mais il s’agit de savoir ce que l’on veut : une nation normalement souveraine, ou une auberge espagnole. J’observe que Fillon est notamment venu hier au secours de la présidente du FN, dont la venue à Nantes a été le prétexte aux violences fascistes de l’extrême gauche : le candidat a en effet dénoncé un climat de "quasi guerre civile". Ce lundi dans Le Figaro, Laurent Wauquiez, vice-président de LR, défend des valeurs que ne renierait pas le FN : "Le travail, l’effort, l’identité de notre pays, le refus du communautarisme". Wauquiez voit Macron comme quelqu’un "qui n’aime pas notre histoire (…). Il n’aime pas notre identité (…) Il n’aime pas la famille, il n’aime pas la nation. Une victoire de Macron serait un hold-up". En cas de duel Macron-Le Pen, Wauquiez oserait-t-il rallier Le Pen ?..."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jeanez Marre - Les émeutes de Nantes attribuables au (((gouvernement))) français

  • Patriotes contre mondialistes

    Monde-et-Vie-Vanneste-Macron-251x350.jpgL’opposition traditionnelle entre droite et gauche est-elle obsolète ? Elle semble aujourd’hui faire place à une confrontation entre patriotes et mondialistes, symbolisée par l’affrontement entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.

    Emmanuel Berl considérait jadis l'opposition politique entre droite et gauche comme « la distinction de beaucoup la plus vivifiante pour la masse de l'électorat français ». Alain de Benoist, dans son livre Le Moment populiste, estime qu'aujourd'hui, cette contradiction est « en passe de perdre une grande partie de sa signification ». Or, les deux personnalités que les sondages placent en tête au premier tour de l'élection présidentielle, Marine Le Pen et Emmanuel Macron, partagent tous deux cette analyse.

    En 2014, la candidate Front national avait déjà annoncé « la fin de la bipolarisation de la vie politique », à laquelle elle considère, comme elle l’a dit le 9 février sur France 2, que s'est substituée la confrontation entre patriotes et mondialistes.

    En avril 2016, Emmanuel Macron avait lui aussi récusé cette fracture gauche-droite, en pratiquant le double discours qui le caractérise : « Je suis de gauche, j'assume d'où je viens. Mais je veux fonder une offre politique progressiste, car le vrai clivage aujourd'hui, il est entre les progressistes et les conservateurs, plus qu'entre la gauche et la droite. (...) Ce n'est donc pas "ni droite, ni gauche" mais et "droite, et gauche" car nous devons rassembler toutes les bonnes volontés autour d'un projet commun. »

    « En marche ! », donc, vers ce mystérieux projet, qui pour l'instant ne contient rien de précis, hormis les ambitions d'Emmanuel Macron. Trader impénitent, celui que les instituts de sondage placent en deuxième position au premier tour de la présidentielle vend des mots qui n'ont pas plus de réalité que l'économie irréelle qui a fait sa fortune. Ainsi, lorsqu'il déclare, le 14 février lors d'un déplacement en Algérie, que sa colonisation fut un «  crime contre l'humanité » : curieux « crime », en vérité, dont il avouait pourtant en novembre dernier qu'il avait permis « l'émergence d'un État, de richesses, de classes moyennes... ». Mais le banquier en attend un retour sur investissement que ne dirait-on pas pour « draguer » les électeurs français d'origine immigrée, fut-ce au risque de jeter de l'huile sur les feux allumés au même moment dans les banlieues ? Le même motif explique les propos qu'il a tenus le 4 février lors d'une réunion publique à Lyon « Il n'y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse. » On aurait cru entendre l'ancien ministre de l'identité nationale de Nicolas Sarkozy, Eric Besson, en 2010 à La Courneuve.

    Des mots contre les maux

    Macron a des intérêts, pas de convictions. Avec le même aplomb, il fait semblant de regretter - lui que soutient Pierre Berger ! - qu'une partie de la France ait été humiliée lors du vote de la loi Taubira sur le pseudo « mariage pour tous » affirme, au Puy du fou, n'être pas socialiste, après avoir été secrétaire général de l'Elysée et ministre sous Hollande ou tente-t-il, lors des fêtes de Jeanne d'Arc à Orléans, de récupérer la Pucelle - ce qui ne l'empêche pas, le 10 janvier, de prononcer un discours en anglais à Berlin, en plaidant devant un public allemand pour un « Schenghen renforcé ».

    Macron ressemble en réalité à Cauchon plutôt qu'à Jeanne... Il n'existe que par ce qu'il représente et qui le porte le mondialisme et les puissances d'argent qui ont partie liée avec le mondialisme, dont le gérant associé de la banque Rothschild est le féal. À cet égard, il est symbolique et significatif qu'il ait fait appel, pour animer sa campagne présidentielle, à Bernard Mourad, ancien de la banque d'affaires Morgan Stanley et proche collaborateur de l'affairiste franco-maroco-israélien Patrick Drahi. Macron est le candidat de la haute finance internationale, libre-échangiste favorable au CETA (cet équivalent canadien du calamiteux TAFTA), partisan de l'immigration et de la politique d'ouverture aux migrants d'Angela Merkel pour des raisons d’ « opportunité économique », dût-on l'imposer au peuple français « Ce n'est pas un sujet sur lequel on doit gouverner aux sondages », déclare-t-il en septembre 2015, lors d'une visite en Israël. « L'histoire a montré que quand on suit parfois la volonté des peuples, surtout dans des moments difficiles, on se trompe. »

    Marine Le Pen voit juste, la présidentielle de 2017 n'oppose pas tant la droite à la gauche que les patriotes aux mondialistes. Mais comme le système financier dont il est le produit, Macron ressemble à la statue du songe de Nabuchodonosor cet homme d'argent a une tête d'or, mais des pieds d'argile.

    Hervé Bizien monde&vie 23 février 2017

  • Marine Le Pen remporterait la Présidence au second tour selon un dernier sondage – Les VRAIS chiffres dévoilés

    Si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Le sondage Kantar Sofres Onepoint, en dépit de l’habile manipulation des chiffres du Figaro aujourd’hui lundi, révèle donc une montée fulgurante de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif. Et cela en dépit d’une campagne médiatico-judiciaire hystérique! Mais examinons les chiffres du sondeur, habillement maquillés dans l’article du Figaro publié ce jour:

    Le Figaro, entièrement gagné à la gauche caviar et immigrationniste en faveur de Macron, titre pompeusement aujourd’hui: « Sondage : Le Pen et Macron en tête au premier tour de la présidentielle, Fillon distancé ». De la pure manipulation de chiffres!

    Examinons LES RÉSULTATS RÉELS de ce sondage, publiés par l’institut de sondage lui-même:

    Premier schéma: quelque soit le cas de figure: Macron ou Fillon, la candidate souverainiste augmente spectaculairement son score au deuxième tour :

    Ainsi que le montre ce schéma du sondeur, Marine atteindrait 45% des voix (+ 7 points) contre 55% à Fillon (-5%), se rapprochant encore un peu plus de la barre des 50%. Et elle atteindrait le score de 42% (+ 7 points) face à Macron 58% (-7 points). Mais ces chiffres sont encore sous-estimés pour Marine Le Pen, ainsi que le révèle plus bas le deuxième schéma.

    Parce que, d’une part, Macron n’a que peu de chances d’être au second tour face à Marine

    Le Figaro, comme tous les médias mainstream sous influence, aimerait bien que Marine se retrouve face à Macron parce que celui-ci, au second tour, serait, selon eux, davantage susceptible de lui faire barrage! ILLUSION! En réalité suivant ce sondage, Macron n’a que peu de chances de se retrouver au second tour face à Marine Le Pen. 

    Second schéma: Les chiffres réels de ce schéma du sondeur augmentent, en réalité, considérablement le score de Marine Le Pen. En effet 78% des sondés en faveur de Marine sont sûrs de leur choix, alors que seulement 58% des sondés en faveur de Fillon sont sûrs de leur choix et SEULEMENT 54% des sondés en faveur de Macron sont sûrs de leur choix.

    Observez bien le schéma du sondeur qui révèle la réalité des chiffres!

    La Baudruche Macron se dégonfle 

    Mais où les magouilles du Figaro sont les plus criantes c’est sur la baudruche Macron: SEULEMENT 54% des sondés sont sûr de leur choix en sa faveur, ce qui réduit considérablement le score de Macron au premier comme au second tour qu’en l’état actuel de ce sondage il a peu de chance d’atteindre. Et ce qui fait de François Fillon avec ses 58% de votes sûrs en sa faveur, le probable adversaire perdant de Marine Le Pen au second tour. Mais Fillon ou Macron, ce serait Marine qui l’emporterait selon ce sondage.

    Manifestement plus personne ne croit les Journaux télévisés, ni la presse de la haute finance!

    Les chiffres du sondage donnés par Le Figaro qui l’a commandé, ne précisent pas le taux de votes sûrs pour chaque candidat au second tour. Un « oubli » qui manifeste probablement de mauvais taux pour Emmanuel Macron et un bon taux pour Marine Le Pen. La sûreté des votes qui sont régulièrement autour de 80% en faveur de Marine Le Pen au second tour à travers tous les sondages, sont au contraire beaucoup plus volatiles au second tour pour Emmanuel Macron, ce qui ne ferait que renforcer encore le socle positif des électeurs en faveur de la candidate frontiste. Mais en ne nous en tenant qu’aux chiffres du premier tour, les seuls publiés par le Figaro qui se trouvent dans le schéma ci-dessus, avec 20% d’électeurs sûrs en plus, Marine Le Pen devrait aisément flirter avec les 50% nécessaires pour être élue, d’autant plus qu’un certain nombre d’électeurs volatiles de François Fillon et même d’électeurs égarés de Macron, devraient venir consolider l’électorat de Marine Le Pen. 

    Conclusion: Marine a toutes les chances de rentrer à l’Elysée en mai prochain!

    Ainsi, n’en déplaise au Figaro, aux hyènes de l’information, et aux manigances de François Hollande avec le Syndicat de la Magistrature, si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Ce sondage en pleine tempête judiciaro-médiatique contre Marine Le Pen révèle donc une montée fulgurante de Marine  au second tour de la présidentielle qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif.

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-remporterait-la-presidence-au-second-tour-selon-un-dernier-sondage-les-vrais-chiffres-devoiles/70165/

  • En France, le retour du peuple

    PAR CHRISTIAN TARENTE

    Les événements extérieurs survenus en 2016 - succès international de Poutine, Brexit, élection de Trump -, tout à fait inattendus, ont heureusement surpris ceux qui aspirent à secouer le cocotier mondialiste. En réalité, ils n'ont pas de quoi nous réjouir : alors que le monde se réveille, nous, Français, continuons à nous repaître de combats de coqs dans des fonds de basse-cour... Comment voir autrement ces fameuses « primaires », qui étaient censées apporter une modernisation décisive à notre vie démocratique ? Le pays légal reste fidèle à son refus de prendre en compte le bien commun. Pourtant, le peuple de France multiplie les signes de son réveil. Longtemps leurré par le rêve mondialiste - horizon irremplaçable des élites, de la classe politique et des médias -, il a eu peu à peu les yeux dessillés par le réel. Sur au moins trois plans : les conséquences de l'immigration exorbitante ; les résultats d'une économie livrée aux seules forces du marché planétaire ; enfin, les perspectives menaçantes ouvertes par le rejet de toute éthique naturelle. Dans ces trois cas, on a pu voir des révoltes gronder. Le jour où elles sauront comprendre ce qui les relie et se coordonner, les Français seront mûrs pour passer de la simple révolte à la révolution culturelle globale que la situation exige.

    LE PEUPLE NOUS DEÇOIT : CHANGEONS LE PEUPLE !

    On a vu comment l'immigration, répondant initialement à des besoins purement économiques, a progressivement engendré un monstre idéologique où les fantasmes d'un nomadisme généralisé ont rejoint les vieilles haines contre le passé de la France, et d'abord son patrimoine chrétien. Des populations assimilablestant qu'elles étaient peu nombreuses et qu'il y avait volonté de les intégrer, se sont retrouvées trop importantes pour pouvoir éviter plus longtemps un clivage culturel dommageable à tous. On se rappelle les « odeurs » dénoncées par Chirac, en dépit de son « progressisme » revendiqué. L'Islam lui-même, dans ses aspects socio-politiques comme sur le plan des moeurs (voile, hallal, etc.), a fini par apparaître comme destructeur du mode de vie français. Les élites, au lieu de prendre le problème à bras le corps, se sont abritées derrière une ligne de défense : la dénonciation de l'islamophobie. Une digue qui s'est révélée de plus en plus fragile.

    Confronté à ces nouvelles réalités, le peuple les a d'abord subies passivement comme on subit les intempéries. Puis il a réagi, avec ses seuls moyens : le racisme, c'est-à-dire le rejet global de l'autre, ou, lorsque des élections lui en donnait l'occasion, le vote Front national. Il est indéniable que, sur ce sujet, le peuple attend désormais du pouvoir, quel qu'il soit, une politique forte. Mis à part les discours électoraux, qui n'engagent « que ceux qui y croient », rien n'indique encore que les élites en aient pris conscience : en 2016, la seule immigration « légale » est en nette croissance par rapport à 2015, et représente l'équivalent de villes comme Bordeaux, Rennes ou Le Havre. « Grand remplacement » ? « Changement de peuple » ? En tout cas, on voit bien qu'il y a là un facteur déterminant de ce qu'il est convenu d'appeler la « droi-tisation » de la société.

    LA CASSE ÉCONOMIQUE

    Un nom marque l'origine du grand dérapage économique que nous continuons de vivre, même s'il a du plomb dans l'aile : Jean Monnet. Après la Libération, Monnet s'est habilement allié à la démocratie chrétienne alors au pouvoir, imperméable aux arguments gaulliens, et qui, naïve, n'a pas vu où il voulait l'emmener, et la France avec elle. Monnet, c'était le libre-échange généralisé, européen et transatlantique pour commencer, et c'était le triomphe des puissances d'argent. C'est son programme qui a été réalisé, non sans certains succès économiques, mais avec des effets pervers, destructeurs en profondeur de la société, tant sur les plans politique, social et humain que du point de vue économique lui-même.

    FRANCE PÉRIPHÉRIQUE ET HORREUR ANTHROPOLOGIQUE

    On lui doit notamment la dislocation méthodique du tissu industriel français, et le chômage qui lui est lié. Le résultat, consternant, est surtout humainement dramatique. La description clinique du stade actuel en a été faite par le géographe Christophe Guilluy, notamment dans son livre La France périphérique (Flammarion). Encore n'est-ce qu'un des aspects d'une dérive progressive, une véritable fuite en avant : elle a conduit à construire l'Europe contre les nations, alors qu'il fallait au contraire, pour qu'elle soit durable, bâtir la solidarité européenne sur la reconnaissance des réalités nationales, bref, faire l'Europe des nations. La prise de conscience de cette réalité par le peuple de France est sans doute longue et difficile, tant la propagande « pro-européenne » est omniprésente, mais le rejet progressif de l'oligarchie encore dominante prélude à une remise en cause de tous ses dogmes. Le Brexit en a été un signal retentissant.

    Simone Veil, auteur de la loi autorisant l'avortement, ne semble pas en considérer les suites sans quelque désarroi. Sur le mode de Guillaume II disant de la guerre mondiale qu'il avait provoquée : « Je n'ai pas voulu cela. » Les suites de la loi Veil, c'est l'application systématique d'un « effet cliquet » conduisant à avancer sans cesse vers une destruction croissante de la nature humaine. Selon la formule d'Alphonse Allais, « quand on a passé les bornes, il n'y a plus de limites... » C'est en effet ce à quoi on assiste, faisant redouter le pire des perspectives annoncées par le « transhumanisme ». À cet égard, l'optimisme invétéré d'un Luc Ferry n'est, hélas, pas de nature à nous convaincre, contrairement aux mises en garde de beaucoup d'autres, comme Jean-Pierre Dickès.

    Cet « effet cliquet » paraissait inéluctable quand la décision d'étendre l'institution du mariage civil aux homosexuels a fait déborder le vase. Et ce fut la grande révolte populaire de la Manif pour tous. Sans effet apparent, puisque l'autisme des parlementaires a imposé le vote de la loi, mais la résonnance en a été profonde : on sait désormais qu'une réaction est possible, le printemps 2013 en constitue une butte-témoin, prélude à l'indispensable révolution culturelle de demain.

    Le retour du peuple fait peur à ceux qui ont tôt fait de le stigmatiser en le qualifiant de « populisme ». Ils se gardent bien de donner la moindre publicité au « Baromètre politique français », le dispositif d'enquête électorale le plus complet jamais réalisé en France, dû au Centre de recherches politiques de Sciences Po, le CEVIPOF. On y constate que, depuis des années, l'institution dont les Français ont la meilleure opinion est... l'armée. Suivie de la police et des PME... Et cette tendance ne cesse de croître. Le retour du peuple ? Ce sont maintenant les statistiques officielles qui l'annoncent..  

    Politique magazine, février 2017  -  Consulter ... S'abonner ...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Tous les coups sont permis

    Réalisés après l’annonce du ralliement de François Bayrou à Emmanuel Macron, les nouveaux  sondages Kantar Sofres Onepoint pour LCI et Odoxa-Dentsu Consulting pour France 2 diffusés  hier,  indiqueraient  que si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu ces prochains jours, François Fillon, avec 19 à 20% des voix serait éliminé du second tour au profit  du candidat préféré de Bruxelles, de  la finance internationale et  des cénacles mondialistes, Emmanuel Macron (25%). Ce dernier ne semble pas pâtir, et cela peut tout de même surprendre, de ses bourdes et de la vacuité de plus en plus visible de son discours.  Marine Le Pen maintient sa première place et continue même  à progresser  avec 27% des voix.  Dans ce climat de fin de règne et de dynamique nationale, il n’y a rien d’étonnant à ce que le Système multiplie les attaques, tous azimuts,  contre le camp national et patriotique. On le voit bien sûr avec les persécutions judiciaires orchestrées contre le FN par certaines instances bruxelloises et relayées en France par le pouvoir socialiste. Hier à Nantes, Marine a d’ailleurs appelé solennellement  les magistrats à « ne pas contrecarrer la volonté du peuple ». « L’Etat de droit est le contraire du gouvernement des juges.  Les magistrats sont là pour appliquer la loi, pas pour l’inventer, pas pour contrecarrer la volonté du peuple, pas pour se substituer au législateur ».

    Parallèlement aux attaques contre le FN dans l’affaire dite des assistants parlementaires, une nouvelle offensive a été lancée ces derniers jours avec la mise en examen  du dirigeant de la société Riwal, Frédéric  Châtillon,  prestataire de service du FN.  Certes, ce n’est pas une surprise, le 22 février lors de son passage au JT de TF1, Marine avait prévenu les Français que  les coups bas, les manips médiatiques ne faisaient que commencer… Car il s’agit  de tout faire pour porter au pouvoir  le « candidat des assurances »  ou celui  « des banques et des médias » relevait encore la présidente du FN  hier. «  Voyez avec quel zèle les puissances d’argent prennent ouvertement parti pour Emmanuel Macron, comme Pierre  Bergé  qui met son journal Le Monde à son service… »

    Les supplétifs du Système que sont les milices d’extrême gauche sont également entrées dans la danse, chargées par le pouvoir  de créer un climat anxiogène de violences autour de la campagne du FN et des déplacements de sa candidate. Le but poursuivi est assez limpide:  faire peur aux Français en brodant sur le thème plus ou moins  subliminal  du voyez ce qui vous attend si Marine gagne la présidentielle… ». Ce fut la cas cette fin de semaine avec la mise à sac du centre-ville de Nantes lors de la manifestations organisée notamment à l’appel  de  l’Union démocratique bretonne (UDB) et des zadistes de Notre-Dame des Landes. «11 policiers et gendarmes ont été blessés et contusionnés». Parmi eux, un gendarme a été brûlé au deuxième degré aux jambes. Il a été hospitalisé », a précisé un communiqué de la  gendarmerie.

    Hier, un bus transportant des frontiste a été attaqué par des zadistes sur la RN137,  à proximité de Notre-Dame-des-Landes, la route ayant été coupée pour empêcher l’arrivée au Zénith de Nantes où Marine a tenu une réunion qui a battu tous les records d’audience sur cette terre de l’ouest  réputée rétive au vote FN… Le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux a «condamné avec la plus grande fermeté les violences commises»;  ce qui ne mange pas de pain mais ne lève pas les interrogations légitimes sur le maintien de l’autorisation accordée  à cette manifestation d’extrême gauche, - a fortiori en plein état d’urgence-,  dont il était évident qu’elle serait le théâtre de débordements et d’exactions.

    La palme de l’hypocrisie pourrait être aussi  attribuée  à François Fillon qui dans un communiqué a accusé  « solennellement le Premier ministre et le gouvernement de ne pas assurer les conditions d’un exercice serein de la démocratie », « ils portent une très lourde responsabilité en laissant se développer dans le pays un climat de quasi-guerre civile qui ne peut que profiter aux extrêmes ».  Mais le candidat de la droite libérale s’est aussi signalé en établissant un parallèle particulièrement malhonnête entre l’action des milices d’extrême gauche et la réunion publique de M Macron à Toulon le 18 février  « perturbé » dit-il  (pacifiquement) par un rassemblement de Pieds Noirs et de militants FN protestant contre les propos scandaleux de l’ex ministre de l’Economie sur la colonisation.

    Si Bernard Cazeneuve fut un ministre très inefficace dans la lutte contre la délinquance et très peu apprécié par les policiers et gendarmes lors de son passage place Beauvau, il entend utiliser son nouveau costume de ministre de l’Intérieur pour lutter lui aussi activement contre le Front National. Le site de BFMTV souligne que M. Cazeneuve  « va mettre à profit ses dernières semaines à Matignon pour enchaîner les déplacements thématiques contre le Front National. » « Ma responsabilité est de tout faire pour démontrer aux Français que les propositions du FN sont des impasses dissimulées derrière des mensonges », affirme-t-il dans le Journal du dimanche.  « Pour moi la priorité c’est le rassemblement pour faire barrage au Front National» précisant qu’il se déplacera en province  (avec l’argent des contribuables ? s’interroge Bruno Gollnisch) pour  «  souligner les dégâts causés par le FN »,  «le « populisme dangereux et mortifère » comme il la affirmé pareillement dans Le Parisien.

    Populisme dont il pourrait après tout aussi faire le reproche  au  Parisien qui a eu le front de faire état que la famille de Théo, ce jeune homme sérieusement blessé après un contrôle de police le 2 février àAulnay-sous-Bois, « est au coeur d’une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie. Les interrogations portent sur une somme de 678 000 euros»,  perçue « entre janvier 2014 et juin 2016 par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés» (une usine à gaz socialiste parmi d’autres). «Une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat».

    Toutes choses qu’un François Hollande s’est bien gardé de dire aux Français quand, devant les caméras, il tressait des louanges à la famille de Théo  Luhaka ou pire encore peut-être, dont il n’était même pas au courant en allant au chevet du jeune homme, omettant de se rendre à ceux des policiers blessés dans les manifs d’extrême gauche ces derniers mois. Nous l’avons dit, pour fustiger les Français qui entendent rester eux mêmes,  « cette putain de France »  décrite comme  « raciste », dixit Oulaya Amamra sacrée meilleur espoir féminin à la cérémonie des Césars pour  son rôle dans le film Divines (sic), toutes les arnaques et tous  les coups s(er)ont permis.

    https://gollnisch.com/2017/02/27/tous-les-coups-sont-permis/

  • Le nouveau clip de Marine Le Pen : et vous, avez-vous « besoin de Marine » ?

    « J’ai besoin de Marine. » Tel est le leitmotiv du deuxième clip de campagne de Marine Le Pen, dont le nom de famille n’est jamais prononcé. Durant deux minutes et demie défilent à l’écran des Français, qui, tous, répètent : « J’ai besoin de Marine », et expliquent pourquoi.

    Il y a le marin pêcheur, qui « ne veut plus crouler sous les contraintes, les quotas et les normes » ; la retraitée, qui ne veut plus « d’une monnaie qui affaiblit mon pouvoir d’achat » ; la jeune fille qui ne veut plus « avoir peur » quand elle traverse « certaines rues, certains quartiers, ou dans les transports en commun » ; la mère de famille qui veut voir ses enfants grandir dans une France respectée, « sûre de ses valeurs » ; le chef d’entreprise qui ne veut pas « d’un Etat qui m’étouffe sous les impôts » mais d’un Etat qui lui « permet de travailler, d’embaucher », et « qui protège » notre économie, « mon entreprise et mes salariés ».

    Il y a l’enseignant qui veut « retrouver la fierté » de sa mission et « transmettre le savoir » ; l’agriculteur qui veut pouvoir vivre de son métier « dans la dignité » ; celui qui veut « un gouvernement qui se préoccupe de l’emploi des Français plutôt que des migrants » ; le policier qui réclame « réellement le soutien de l’Etat » ; l’étudiante (ci-dessus) qui ne veut pas avoir le choix, à la fin de ses études, entre « travailler pour un salaire de misère ou partir à l’étranger », etc.

    A la fin, Marine Le Pen, que l’on voit derrière son bureau mais qui s’exprime en voix off, lance : « Pour remettre la France en ordre, j’ai besoin de vous. » Très fort.

  • Loi Taubira, famille, euthanasie : "la cohérence est du côté de Marine Le Pen"

    Marion Maréchal Le Pen a été interrogée sur Atlantico. Extraits :

    6a00d83451619c69e201b8d264e8e6970c-800wi.jpg"[...] Je suis convaincue que l'offre gagnante dans ce pays correspond plus ou moins à l'alchimie réalisée par Nicolas Sarkozy. La dernière fois qu'il y a eu un véritable engouement pour un candidat, quoi qu'on en dise, au cours de ces dernières décennies, c'est quand même Nicolas Sarkozy en 2007. Cela ne l'a pas empêché de décevoir mais quelque chose c'était passé. C'est une alchimie qui a réussi à mettre dans un même horizon, à la fois, les classes populaires, la France périphérique, les classes moyennes et, la droite bourgeoise conservatrice, sans que cette désignation ne soit péjorative. Nicolas Sarkozy est parvenu à emmener sur un même chemin deux classes sociologiques qui ne se fréquentent pas forcément, qui n'ont pas les mêmes aspirations mais qui arrivaient à se retrouver dans la vision de la France qu'il portait. Et je crois que c'est le chemin qu'a pris aujourd'hui Marine Le Pen, c’est-à-dire d'arriver à parler à ces deux France là, à leur offrir une vision de la France dans laquelle ils peuvent se reconnaître. [...]

    Patrick Buisson avait notamment indiqué qu'une part des électeurs de Jean Luc Mélenchon et de François Fillon pourraient voter Marine Le Pen. Que faites-vous pour donner une réalité à ces propos ? L'alliance des droites rêvée par Patrick Buisson est-elle un objectif pour vous ? Celle-ci est-elle en cours ?

    Marine Le Pen a déjà donné de nombreux signaux, elle peut difficilement en faire plus. Notamment en expliquant que son gouvernement ne serait pas exclusivement frontiste, que le premier ministre ne serait pas nécessairement issu du Front national. Je plaide, et je ne suis pas la seule, c'est une idée qui a pris corps, pour anticiper une nécessaire alliance avec un certain nombre de candidats issus du courant de la droite nationale conservatrice, au cas par cas, pour les législatives. Il est vrai qu'il y a un certain nombre de personnalités issues de la société civile, ex-politiques ou politiques, avec qui nous partageons beaucoup. Après, pour autant, le terme "union des droites" est assez obsolète en raison de ce qu'est devenue la droite en France aujourd'hui. L'UDI est alliée aux Républicains, et nous avons constaté un reniement de cette droite, avec une soumission totale à la gauche culturelle. À ce titre, je ne vois pas l'utilité politique de s'allier avec une fausse droite. Donc, s'allier au plan national, non, mais en revanche, s'allier avec des personnalités, oui, bien évidemment. Je souhaite que cela puisse se faire et cela se ferait d'autant mieux si Marine Le Pen était confrontée à la gauche au 2e tour. Notre ambition est de convaincre tout cet électorat que l'on peut qualifier de "droite hors les murs", qui sont un peu les abandonnés du RPR des années 80, que la véritable alternative qui se présente à eux n'est pas François Fillon, mais le Front national. C'est l'enjeu.

    Marine Le Pen a indiqué son souhait de revenir sur la loi Taubira, en indiquant " je suis pour que la filiation soit réservée à un papa et une maman". Alors que MLP était plutôt en retrait vis à vis de la Manif pour tous, cette déclaration a-t-elle eut un effet ? Constatez-vous, sur le terrain, un report des électeurs catholiques de François Fillon, vers Marine Le Pen ?

    C'est à mon avis un débat qui a été largement sur-interprété. Le seul débat qui a eu lieu en interne est celui de la participation à la Manif pour tous. Je rappelle qu'à l'époque, c'est Frigide Barjot qui refusait la parole au Front national, alors qu'elle la donnait au moindre conseiller régional socialiste. Cela a été vécu comme une véritable injustice et il est vrai que cela était compliqué pour Marine Le Pen, dans sa stature présidentielle, de ne pas avoir de parole. Ce qui ne nous a pas empêché de voter à l'unanimité en bureau politique le retrait de la Loi Taubira et de réaffirmer, chaque fois que Marine Le Pen en a eu l'occasion, qu'elle abrogera cette loi, qu'elle luterait contre l'extension de la PMA, qu'elle s'opposerait fermement à la gestation pour autrui, et qu'elle s'opposerait même à ce qui a été mis en place par la CEDH, c’est-à-dire la circulaire Taubira sur la retranscription obligatoire des enfants nés de GPA à l'étranger. Je ne vois pas comment nous pourrions être plus clairs sur ces sujets. De la même manière que le Front national a été seul à voter contre la nouvelle version de la loi Clays-Léonetti sur l'euthanasie. Sur tous ces sujets, la cohérence est du côté de Marine Le Pen. C'est ce que nous constatons d'ailleurs puisque le Front national est le premier parti chez les catholiques de France depuis les régionales. Cet électorat nous résistait, mais est venu vers nous suite aux renoncements de la droite. De plus, Marine Le Pen a une politique familiale très ambitieuse, sur le retour de l'universalité des allocations familiales tout en mettant en place la priorité nationale, sur la facilitation de la transmission du patrimoine, retour de la liberté sur le congé parental, la baisse de l'IR qui bénéficiera directement aux familles. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tout faire pour barrer la route à Marine Le Pen : même la violence

    Il est grand temps que les patriotes se réveillent et réagissent.

    Onze policiers et gendarmes ont été blessés, et des dégradations importantes en centre-ville ont été commises à l’occasion de heurts, parfois extrêmement violents, qui ont émaillé la manifestation organisée à Nantes, samedi après-midi, contre la venue de Marine Le Pen. À l’appel de la CGT et de l’Union syndicale solidaires et des jeunes communistes, environ 2.000 personnes s’étaient rassemblées pour protester contre la tenue du meeting prévu, ce dimanche, par la candidate du Front national à l’élection présidentielle.

    Selon un scénario désormais bien connu, à peine le cortège de la manifestation parti, plusieurs centaines d’individus, cagoulés et casqués, appartenant à l’extrême gauche, s’en sont rapidement pris aux forces de l’ordre ainsi qu’au mobilier urbain, aux magasins et aux édifices publics, lors de véritables batailles rangées. Si de tels comportements ont souvent été observés par le passé lors de la tenue de réunions ou de rassemblements du Front national, ils prennent désormais une autre signification et une tout autre dimension.

    En effet, il apparaît clairement qu’après avoir « neutralisé » le candidat de la droite parlementaire à l’élection présidentielle en usant des moyens les plus détestables, les forces socialo-gauchistes farouchement opposées à une possible victoire de Marine Le Penen mai prochain – et des forces de droite d’un façon générale – ont décidé de la combattre par tous les moyens. Sur le terrain judiciaire tout d’abord, en lançant juges et policiers aux basques de celle qui fait la course en tête dans les sondages depuis maintenant plusieurs mois.

    C’est ainsi qu’après avoir saturé l’espace médiatique avec l’affaire Penelope, c’est maintenant au tour des assistants parlementaires du FN à Bruxelles d’occuper des pans entiers de l’actualité.

    Comme cela a été le cas pour François Fillon, il s’agit d’appliquer le constat cher à Voltaire selon lequel : Médisez, médisez, il en restera toujours quelque chose. »

    C’est ensuite en coupant l’herbe sous le pied de la présidente du parti frontiste lors de ses déplacements à l’étranger, afin qu’aucun dirigeant européen ne la reçoive. Par ces manœuvres méprisables et ignominieuses, la gauche encore au pouvoir entend ainsi discréditer la réelle dimension politique de Marine Le Pen aux yeux des Français. Enfin, jouant sur toutes les peurs, et afin d’accréditer la thèse selon laquelle l’arrivée au pouvoir de la candidate du FN serait synonyme de chaos, voire même de guerre civile, des manifestations (telle celle de Nantes) sont subtilement orchestrées et manipulées dans l’espoir de voir un maximum d’électeurs renoncer à leur vote en faveur de la dirigeante frontiste.

    Tous ces procédés, dignes des pratiques mises en œuvre par les partis extrémistes au pouvoir dans certains pays lors de la première moitié du 20e siècle, sont profondément antidémocratiques. Ils sont destinés à occulter les nombreux échecs de ceux, droite et gauche confondues, qui gouvernent la France depuis plusieurs décennies. Ils veulent se substituer aux programmes de gouvernement ineptes et voués au fiasco, de politiques qui ne visent plus que leurs intérêts personnels. Ils entendent, enfin, tromper les Français et diriger leur choix électoral, fût-ce au prix de la tromperie et du déshonneur.

    Face à de telles méthodes, il est grand temps que les patriotes se réveillent et réagissent. Si un sursaut, qui ne sera possible que dans l’union des droites, n’intervient pas rapidement, le changement qui était promis et tant attendu en mai prochain sera définitivement compromis.

    http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/faire-barrer-route-a-marine-pen-meme-violence,316216

  • 2017, en toute simplicité #5 : « Marine, c'est la souveraineté ! »